Chapitre 3 Chapitre 3:

Moi: Vous en savez beaucoup sur moi, mais je ne sais rien sur vous.

Jordan : Tu as le droit à 5 questions.

Moi : Seulement ?

Jordan : Oui ça en fait une.

Moi : Mais... Est-ce que c'est fait exprès que vous n'ayez pas de collier ?

Jordan : Oui, ça t'intrigue hein ? 2.

Moi : Je l'avoue...

J'allais lui demander pourquoi, mais je ne veux pas qu'il me réponde parce que...

Moi : Avez-vous quelqu'un ?

Jordan : Personne. 3, fait attention il ne t'en reste plus que 2.

Moi : Je sais, que recherchez-vous ?

Jordan : Complete ta question.

Moi : Relation libre ? Exclusive ? D'un soir ? Sérieuse ?

Il se marre de me voir gêné et me caresse la joue pour décaler mes cheveux et approche sa bouche de mon oreille pour me susurrer.

Jordan : Exclusive et sérieuse. Dernière question.

Il m'a donné des frissons, je m'entends lui demander.

Moi : Je peux vous embrasser ?

Jordan : C'est ta question ?

J'hoche la tête, il sourit, d'un geste sûr, il me fait passer sur ses genoux et m'embrasse en forçant le passage. Le baiser et dur et possessif, il me mordille la lèvre quand on s'éloigne, je vais pour me remettre à côté de lui mais me prend une claque sur le cul.

Jordan : Pas bouger !

Je lui souris et pose ma tête contre son épaule pendant qu'il attrape mon verre et en bois une gorgée.

Jordan : Il est fort, trop fort pour une si jolie soumise.

Moi : Je tiens très bien l'alcool, monsieur.

Il me fait boire en caressant mes cuisses, quand mon verre est finis il fait un signe et j'en ai rapidement un nouveau avec un verre de rhum ambré pour lui.

Moi : Je peux gouter ?

Jordan : Si tu veux.

Je goute son verre que je trouve délicieux, j'en reprend une gorgée et l'embrasse en lui faisant passer le liquide qu'il avale rapidement.

Jordan : Coquine, continue.

Je souris et répète l'opération avec 3 autres gorgées.

Jordan : Qu'imagine tu pour cette fin de soirée ?

Moi : Ce n'est pas à moi de décider...

Jordan : Très bonne réponse, j'ai bien envie de te voir prendre du plaisir avec une femme.

Je dois avoir un grand sourire, ça fait longtemps que je n'ai pas eu de relation avec une femme, mais il a dit qu'il voulait de l'exclusivité, j'ai peur que ce soit un test.

Moi : Mais vous avez dit que vous recherchiez de l'exclusivité...

Jordan : Tu es libre, aucun contrat n'a été signé alors profite en. Alors choisis ma belle.

Moi : Pas besoin de réfléchir, il n'y a qu'une femme qui me plait ce soir.

Jordan : Montres la moi.

Moi : C'est Claire.

Jordan : La serveuse ?

J'hoche la tête.

Jordan : D'accord, je reviens mais avant finis ton verre.

Je finis les dernières gorgées puis le regarde partir avec les deux verres et moins de 5 minutes après il revient avec un nouveau verre de rhum et Claire qui me sourit.

Jordan : Tu préfères monter ou non ?

Moi : Ça m'est égale, mais montons s'il vous plait.

Je vois que Claire est soulagé, elle me fait craqué à être aussi timide. Nous montons dans une chambre, dans les escaliers, je passe une main sur la taille de Claire et lui chuchote.

Moi : Ne sois pas si stressé ma belle. Si ça peut te rassurer, il ne va pas te toucher. C'est à moi que tu plais.

Elle me fait un sourire sincère arrivé dans la chambre, il s'assoit dans un fauteuil et m'appelle.

Jordan : J'ai soif.

Je le refais boire comme dans le petit salon, puis il me dit de faire ce que je veux. Je retourne vers Claire que j'embrasse, elle me répond timidement. Je lui murmure.

Moi : Oublie le c'est juste toi et moi ma belle. Tu as déjà eu des relations avec une femme ?

Claire : Une fois et toi aussi tu me plais.

Elle m'embrasse timidement, je lui réponds en la couchant dans le lit et descend mes mains sur ses cuisses. En gardant ma bouche contre la sienne je retrousse sa jupe et je constate qu'elle porte une jolie petite culotte toute sage, je ris ce qui la fait rougir, je la caresse au-dessus du tissus, pendant que ses mains à elle me caresse les seins à travers le tissus. Quand elle me les libère, je m'assoie sur ses jambes en me cambrant un max pour que Jordan puisse profité du spectacle. Quand je tourne la tête vers lui ils nous regardent comme avec attention ce qui m'excite encore plus. Je retire la culotte de ma belle qui est humide.

Moi : Hum, on dirait que je ne suis pas la seule à être excitée.

Elle rougit de plus belle, je souris et la doigte en l'embrassant elle me remonte la jupe de ma robe et me caresse les fesses, avant de me les claqué. Plus elle le fait, plus elle m'excite donc plus j'accélère etc....

Claire : Haaaaan putain...

Je sens qu'elle va jouir, je vais entrer ses jambes et lui fait un cuni en la doigtant plus brutalement. Quand elle jouit je récupère la moindre goutte de cyprine entre mes lèvres.

Moi : Miam, j'ai encore faim moi.

Claire : Laisse-moi un peu respirer.

Moi : Désolé mais pas prévu au programme.

Je la doigte encore plus brutalement, il lui en faut peu pour rejouir, elle est à la limite quand on entend.

Jordan : Claire je te l'interdis.

Claire : Monsieur, je n'en peux plus...

Jordan : Si tu le fais quand même 15 coups de fouet ! Ma belle continue !

Je souris de voir la tête de ma belle qui hurle dans tous les sens, j'étais seulement à 2 doigts, j'en insère 2 de plus d'un coups, elle hurle encore plus fort. Au début j'y vais doucement puis accélère en la léchant, quand je sens ses doigts jouer sur ma fente.

Jordan : Vicky si tu la fait pas jouir dans les 5 minutes le fouet est pour toi !

Moi : Bien monsieur. Huuum

Je deviens plus brutale dans mes mouvements et la fait jouir dans le temps impartie mais a ce retenir elle en est fontaine et je me prends donc une douche de cyprine.

Claire : Haaaaaaaaaaaaaan putain de bordel de merde !

Je m'essuis les yeux parce que j'en ai absolument partout et remonte l'embrasser. L'heure suivante c'est elle qui me rend folle, elle a reçu sa punition pendant qu'elle me faisait un cunni.

Moi : Haaaaaan monsieur puis-je...

Jordan : Pas encore.

Elle continue de me rendre dingue, bordel j'ai un self contrôle mais la ça devient vraiment dur. Il me frustre pendant encore 10 minutes puis m'autorise enfin. J'hurle, ça m'a épuisé, je reste un long moment dans les bras de la belle Claire, puis on va prendre une douche ensemble où nous nous l'avons mutuellement. On est en train de se sécher.

Moi : J'espère que tu vas pas te faire engueuler par ton patron.

Claire : Aucun risque la dessus, Jordan avait réglé ça. En tout cas quand tu veux diablesse.

Moi : C'est toi la diablesse oui !

On rit toute les deux en nous rhabillant avant de rejoindre Jordan qui m'embrasse dans la seconde. Nous redescendons en regardant l'heure sur la montre de Jordan je vois qu'il est 3 heures. Claire va reprendre son poste après un dernier baiser.

Jordan : Je te vois regarder l'heure tu veux que je te ramène ?

Moi : C'est juste que j'ai un déjeuner de famille...

Jordan : Alors je te raccompagne.

Moi : Je ne veux pas vous embêtez monsieur.

Jordan : Tu ne m'embêtes pas, alors cesse de discuter si tu veux que ça continue à ne pas m'embêter.

Moi : Pardon monsieur.

Il passe sa main autour de ma taille et me raccompagne au casier ou je fais mon code puis récupère mes affaires et sort ma carte pour réglé, mais il me la retire des mains, me retire mon bracelet et le tend au vigil avec sa carte, je discute mais je reçois une giga fessée qui me fait taire dans la seconde. Bordel, j'en étais sûr qu'une fessée de sa part fait mal, elle raisonne encore dans tout mon corps. Une fois qu'on est dehors, il m'en remet une aussi forte qui me fait couiner.

Jordan : Je déteste qu'on me contredise et surtout devant d'autres !

Moi : Pardon monsieur...

Je trouve mes pieds très intéressant d'un seul coup, il m'attrape le bras et me conduis à sa voiture.

Jordan : Ton adresse !

Je lui donne, en essayant de me faire pardonner, mais tu tout le chemin, il m'ignore ou repousse mes signes de tendresse en m'interdisant de parler. Une fois arrivé je lui propose de monter, mais il refuse. Je n'ai même pas le droit à un baiser d'au revoir. Bon bah ça aura été cool comme soirée... même si je suis déçue de la fin. Je monte chez moi et me couche en ayant mal aux fesses, je souris de ce constat et m'endors amer.