Elle porte une robe qui lui arrive au mollet et assisez légère, elle à mis sur sa tête un grand chapeau et des lunettes de soleil sur son nez. Tandis que moi j'ai mis un foulard sur ma tête, mon sac sur le dos nous rejoignons les autres.
Après avoir fait l'appel et d'avoir pris connaissance des instructions données par les guides nous avons quitté le camp dans des voitures. Nous avons roulés pendant plus d'une heure pour enfin nous garer et terminer le chemin à pied.
Les voitures ne pouvais pas aller plus loin, ils nous rappellent de bien nous hydrater. Après une quinzaine de minutes nous appercevons enfin l'oasis au pied de la dune.
C'est tout bonnement magnifique qu'il est un telle trésor au milieu de ce désert, de la végétation, un point d'eau magnifique... Ce paysage ressemble à un magnifique portait que les plus grands peintres aurait eux même réalisés.
Nous descendons la dune prudemment tous en groupe, une fois au pied de ce dernier nous nous installons. Nous pouvons nous asseoir sur le sol observer la vue prendre des photos, toucher mais ne pas abîmer.
Je savoure chaque instant dans ce lieu magique, après deux bonne heures nous empruntons le chemin du retour.
Deux minutes après que nous avons commencé à avancer le vent à commencer à souffler, il est très vite devenu fort et violent.
On ne marchions plus mais nous essayons de couvrir maintenant mais le vent et le sable rendaient cela beaucoup plus pénibles à nos yeux.
J'ai finis par perdre le groupe de vue, j'ai été séparés d'eux lorsque ma chaussures se sont pris dans le sable. Mais j'ai tout de même continuer d'avancer en espérant pouvoir les retrouver.
Mais chaques pas que je faisais devenait pénible, la tempête de sable m'a dès lors enveloppé.
J'ai continuée de crier et d'avancer dans cette tempête en espérant les retrouver mais après de longues minutes de lutte de finir par m'effondrer au sol comme une crêpe. Je suis à bout de force.
Point de vue de Jalal :
Je suis silencieusement entraîn de regarder les dunes de ce désert pour la énième fois. Darry se trouve quelques pas derrière moi. Mes bras croisés sur mon torse je laisse mes pensées se disperser.
Depuis quelques jours je semble ailleurs, Darry se pose des questions mais je refuse de lui révéler ce qui occupe mes pensées. Les mâchoires serrés, je souffle et je fais craquer ma nuque pour me tourne.
Je m'avance alors vers lui pour lui parler un peu j'ai été assez dans mes pensées. Il me regarde en esquissant un sourire.
Je me mets à arpenter mon bureau en allant me chercher un verre.
-Votre Grâce...,
Je lève mon regard sur l'un de mes agents de sécurité qui vient de pénétrer dans mon bureau sans mon autorisation. Mais ce dernier semble inquièt.
Mais que fait-il ici ?
Il s'avance vers nous de quelques pas avec un air hésitant sont nos regards perplexes.
Mais que se passe-t-il ?
Il se pousse sur le côté et laisse entrer l'un des guides et une jeune femme métisse.
Je reconnais cette dernière, elle partage la même tente que ma belle inconnue.
-Je crois qu'il y'a un problème, commence-t-il encore un peu essoufflé.
Il se décale pour laisser place au guide qui a le front perlant de sueur.
-Que se passe-t-il ? Demandais-je d'une voix neutre afin qu'il parle en toute sérénité
-Je suis l'un des guides qui s'occupe des étrangers...
Il s'arrête pour reprendre son souffle tandis que la jeune femme à sa gauche commence à fondre en larme. Ils sont complètement paniqués !
-L'une de nos touristes est porté disparue, je ne l'a retrouve pas, il y'a eue une tempête de sable et elle n'est toujours pas avec nous...
Les sourcils foncés je m'avance vers eux, je pose les mains sur les épaules de la jeune demoiselle qui ne cesse de pleurer dans l'espoir qu'elle puisse se calmer un peu.
-Calmez-vous, je vais tout faire pour la retrouver. Lui dis-je en la regardant J'aime que tu me donned l'emplacement exact, je vais y aller immédiatement. Ajoutais-je à l'égard du guide
Je retire mes mains de ses épaules et m'éloigne d'elle.
-Darry je te confie cette demoiselle, lui dis-je avant de quitter la pièce avec le guide.
Sur le chemin menant à la sortie il m'explique comment les choses se sont produits, je rassemble les informations les unes après les autres pour pouvoir agir au plus vite.
-Mon cheval tout de suite ! Ordonnais-je en enroulant soigneusement mon keffieh noir autour de mon visage.
-Je sais que vous êtes le seul à connaître entièrement cette partie du désert c'est pour ça que...
-Je sais, tu as bien fais de venir me voir.
Je monte sur le dos de mon fidèl ami.
-J'y vais retourne prendre soin des autres.
Je m'adresse à un de mes hommes pour qu'il fasse préparer mes appartements par des femmes de chambres. Elle est portée disparue depuis bientôt près d'une heure entière.
Je garde loin de moi l'étrange sentiments qui vient de s'emparer de moi parceque mon objectif premier est de la retrouver avant qu'il ne soit trop tard.
Je lance li étalon sans perdre une seconde de plus en fixant droit devant moi, dans quelques heures la nuit allait montrer le bout de sont nez. Il n'y a plus de temps à perdre, si je ne me dépêche pas elle sera condamnée à mourir.
Je guide mon fidèl étalon à travers ce désert. Je suis le seul à connaître par cœur cette partie du désert, il n'avait aussi mon défunt père qui le connaissait aussi bien. C'est lui qui me l'a fait connaître.
Alors que je guette toute trace d'elle toujours sur le dos de mon cheval, j'apperçois au loin une trace de la jeune inconnue.
Je tire sur les rênes pour ralentir l'allure afin de pouvoir examiner les traces qui ne se voient presque plus.
La tempête compte à elle a disparue, cela devrait me faciliter la tâche.
Je m'approche encore du lieu, la nuit ne devrait plus tarder. Je lâche un juron en avançant.
Je descends une dune en suivant mon instinct qui me mène au pied de cette dernière. Sans réfléchir je fonce.
Mon instinct me guide, je descends de mon étalon en ayant apperçu du tissu vif dans le sable, je m'empresse de récupérer corps de la jeune femme encore couvert par le sable.
Je l'allonge sur le sable pour vérifier son pouls, par chance son cœur bat encore.
Je la soulève dans mes bras pour regagner mon fidèl ami en essayant se faire preuve de self control chaque seconde compte. Je monte sur mon étalon avec elle dans mes bras , lui jette des coups d'oeil les mâchoires serrées en espérant vite regagner le camp pour qu'elle soit prise en charge au plus vite.