*Noamie*
Non, c'était toujours impossible pour moi.... Un dimanche soir, j'étais avec ma copine Edwige et notre DG m'a demandé de venir le rejoindre dans un hôtel. Je n'avais pas envie d'aller chez lui, mais c'était Edwige qui m'a forcé d'y aller. Quelques minutes après, je suis arrivée chez lui grâce à l'adresse qu'il m'a envoyée. Mon DG m'a dit quelque chose cette soirée là et je ne savais pas comment j'allais lui répondre. Il disait qu'il avait des sentiments pour moi et je me demandais s'il était sincère avec moi ou il disait ça en l'air seulement. Un grand milliardaire comme ça, avouait ses sentiments à une pauvre fille comme moi ? Vraiment, l'amour était très bizarre et rendait aveugle. Je ne parlais plus et on se regardait dans les yeux jusqu'à un moment donné, il m'a embrassé par surprise. Moi aussi j'ai bel et bien répondu à ses baisers et on s'embrassait sauvagement. Quelques minutes après, il voulait mettre sa main gauche dans mon slip, mais je l'ai stoppé.
_ Je suis désolée, je dois partir tout de suite.
Marcel : c'est quoi le problème ?
_ Il n'y a rien, mais je suis sincèrement désolée de vous avoir mis en érection.
Marcel : ne t'inquiète pas pour ça !
_ Je vous laisse. Bonne soirée à vous !
Il n'était pas content, mais je m'en foutais de lui. Je pouvais faire le rapport sexuel avec lui, mais j'ai tellement eu peur. Ah oui, c'était parce que je ne savais pas, s'il était honnête avec moi ou pas. En plus, je n'étais pas encore prête pour tomber enceinte. Je suis quittée chez lui et j'ai pris un taxi pour me rendre à la maison. Quelques minutes après, je suis arrivée et la folie d'Edwige a encore commencé. Elle se mettait à rire, dès qu'elle m'a vu. À chaque fois qu'elle se comporte comme ça, je me mettais en colère contre elle, mais elle-même s'en foutait de moi.
_ Qu'est-ce qu'il ne va pas encore ?
Edwige : il t'a fait quoi ?
_ Tu parles de qui ? S'il te plaît, sois un peu explicite !
Edwige : je parle bel et bien de notre DG. Qu'est-ce qu'il t'a dit et qu'est-ce qu'il t'a fait ?
_ Rien du tout entre ces deux questions !
Edwige : même s'il ne t'a rien fait, j'espère qu'il t'a dit quelque chose.
_ Il disait qu'il est tombé amoureux de moi. J'espère que c'est bon maintenant.
Edwige : je le savais depuis. Vraiment, tu es très chanceuse hein.
Je n'arrivais même pas à comprendre la raison pour laquelle mon amie me parlait comme ça. Si j'étais dans ce pays, c'était pour un but et non pour être en relation avec mon DG. Ce serait un grand atout pour moi de sortir avec un grand milliardaire comme lui, mais je me suis ressaisie en ce moment-là.
*Parfait*
Comme de la pagaille, le boss et moi sommes allés dans un hôtel et moi-même je savais qu'il allait rencontrer Noamie. J'étais toujours dans la voiture devant l'hôtel et il est allé à l'intérieur tout seul. Quelques minutes après, Noamie aussi est arrivée et elle a également fait son entrée. Vingtaine de minutes après, elle est ressortie et je me suis un peu choqué. Tout était bizarre pour moi cette soirée, mais j'ai gardé mon calme jusqu'à ce que le DG soit revenu chez moi. Une fois qu'il a fait son entrée, il m'a demandé de démarrer la voiture. Je voulais lui poser une question, mais je ne savais pas par où commencer, donc je me suis toujours tu en me concentrant sur la route. Quelques minutes après, nous sommes arrivés à la maison. La nourriture était prête pour moi avant mon arrivée même, donc j'étais très content. Vraiment, Diane était très exceptionnelle et magnifique. Surtout, elle était très rapide en matière de cuisine. J'étais dans ma chambre en mangeant mon plat avec un bon appétit et quelques minutes après, j'ai senti qu'on frappait à ma porte. Ce n'était aucune autre personne que Diane, car elle était la seule personne qui pouvait se rendre chez moi à cette heure.
_ Tu veux quoi encore ?
Diane : j'aimerais juste te demander si cette nourriture peut te suffire ou pas.
_ Ah, merci beaucoup pour ta gentillesse ! Sinon, c'est bon pour moi.
Diane : vous étiez allés où ?
_ Nulle part ! Mais, pourquoi tu m'as posé cette question ?
Diane : c'est à cause de notre patron. Il dit qu'il n'a pas faim.
Il a mangé à l'intérieur de l'hôtel ou quoi ? Non, je n'étais pas sûr. Mais, qu'est-ce qu'il a mangé ? Ou bien, c'était à cause de Noamie qu'il a refusé de manger ? J'ai dit à Diane de m'attendre dans ma chambre et je suis allé chez mon patron à l'intérieur. Heureusement, il était toujours au salon en regardant un film avant mon arrivée. Je me suis assis à côté de lui et il se mettait à rire. Vraiment, je n'ai jamais vu une personne très gentille comme mon patron.
_ Puis-je savoir la raison pour laquelle vous riez ?
Marcel : oh non, ne t'inquiète pas ! C'est parce que je me suis souvenu de quelque chose. Puis-je aussi savoir la raison pour laquelle tu es là ?
_ Je suis juste venu pour voir, si vous aussi, vous avez fini de manger ou pas.
Marcel : ta chérie Diane t'a dit quoi ?
Non seulement qu'il était un grand milliardaire, mais aussi un grand intellectuel. D'ailleurs, c'était grâce à son intelligence qu'il a pu élargir les entreprises de son père. Il m'a piégé avec sa question et je me suis choqué. Je ne savais pas comment j'allais lui répondre et je me suis aussi mis à sourire. Finalement, il a su que c'était Diane qui m'a dit qu'il ne voulait pas manger.
Une semaine après.
*Gérard*
Le premier jour où j'allais me rendre chez mon directeur général dans sa première entreprise, j'étais très content et aussi j'avais tellement hâte d'y aller à cause de la nouvelle fille dont on parlait. Tous mes collègues aussi faisaient des allusions à la beauté de Noamie, la plus belle. C'était une soirée que moi-même je me suis rendu là-bas pour remettre quelques papiers à mon DG. Comme d'habitude, je me rendais dans chaque bureau avant de partir, donc c'était la même chose que j'ai faite ce jour-là encore. C'était le bureau de Noamie que je me suis rendu dernièrement. Vraiment, tout ce qu'on me disait concernant cette fille, était absolument vrai. Quelques jours après, j'étais au bureau et le DG a envoyé Parfait chez moi encore. À cause de la beauté de Noamie, j'ai décidé de me rendre dans l'autre entreprise encore. Parfait voulait prendre les papiers et repartir seul, mais j'ai refusé, car moi aussi je voulais l'accompagner pour faire une mission là-bas. Ah oui, j'ai décidé de dire quelque chose à Noamie, vue que j'étais un peu timide à notre première rencontre. Le gars là était au volant et j'étais à côté de lui.
Parfait : pourquoi toi aussi tu voulais te rendre là-bas ?
_ C'est parce que je voulais dire quelque chose à Noamie.
Parfait : mon frère, vaut mieux que tu oublies cette fille en même temps, car elle appartient déjà à quelqu'un d'autre.
_ C'est qui cette personne alors ?
Parfait : notre directeur général !
Non, cela ne pouvait pas être possible. Mon DG ? Là, je ne pouvais rien faire encore à cause de mon DG. Malgré tout, je ne devais jamais être en concurrence avec lui. Si moi aussi je ne manquais plus des moyens financiers, c'était à cause de lui. Lors de mon anniversaire, il m'a même offert une nouvelle voiture, donc il fallait que je me recule en les laissant. Parfait se concentrait toujours sur la route et quelques minutes après, nous sommes arrivés. Après avoir discuté avec mon boss, je suis allé chez Noamie pour voir sa beauté encore. Malgré tout, elle était très polie et respectueuse plus que les putes qui se croyaient les plus belles. Dès qu'elle m'a vu, elle s'est levé pour me saluer.
_ Ma princesse, comment tu te portes ?
Noamie : je vais bien et vous ?
_ Eh bon, s'il te plaît, arrêtes de me vouvoyer ! Peux-tu me parler de toi un peu ?
Noamie : je suis une orpheline de père et unique enfant de mes parents.
_ Vraiment, je suis désolé pour ton père.
Noamie : oh non, ne t'inquiète pas pour ça, car c'est déjà passé.
Après avoir profité pour bien regarder sa beauté, je me suis retourné au bureau à l'aide d'un taxi pour aller prendre ma voiture afin de me rendre à la maison.
Un an après.
*Diane*
J'ai fait tout possible pour le conquérir, mais il ne faisait que me raconter des choses bizarres. D'ailleurs, notre aimable patron même nous a donnés un feu vert pour notre relation, mais mon beau gars même disait qu'il n'était pas encore prêt. Vraiment, certaines personnes étaient très bizarres plus que le mot bizarre même. Un jour, il est allé déposer notre patron au bureau et après son retour, je suis allée le rejoindre dans sa chambre. Parfois, son comportement me faisait très rire et je l'appelais comédien.
Parfait : tu ris quoi encore ma princesse chérie d'amour ?
_ Chaque jour, tu me flattes, mais tu dis que tu ne ressens rien pour moi, pourquoi ?
Parfait : vas demander le mot flatterie, pourquoi il existe.
_ Je ne vais pas te donner à manger ce soir à cause de tes pagailles là.
Parfait : tu es en train de creuser ta propre tombe sans le savoir. As-tu oublié que je suis le bras droit de notre patron ?
Honnêtement, il était le meilleur ami de notre patron, malgré qu'il était juste son chauffeur. Je ne voulais pas avoir des problèmes, donc je suis quittée chez lui sans parler encore.
Quelques jours après.
*Noamie*
Après avoir pris mon petit déjeuner avec Edwige comme d'habitude, nous sommes parties ensemble. Quelques minutes après, chacune d'entre nous s'est rendue dans son bureau. À peine cinq minutes, je ne me sentais pas bien, en plus j'avais envie de vomir, donc je suis allée dans la toilette. J'ai pris plus de dix minutes pour faire des vomissements avant de me retourner dans mon bureau encore. Une heure de temps après, c'était toujours comme ça et finalement, j'ai décidé d'aller rejoindre Edwige pour lui parler à propos de mon état de santé.
Edwige : ma chérie, qu'est-ce qu'il ne va pas ?
_ Je ne me sens pas bien. Je ne fais que vomir.
Edwige : il faut qu'on se rende à l'hôpital afin que tu fasses le test de grossesse.
_ Pourquoi ce test ?
Elle ne m'a plus répondu et se mettait à rire. Pourquoi Edwige me parlait du test de grossesse ? Ou bien j'étais enceinte sans le savoir ? Non, cela ne pouvait pas être possible, car c'était une seule fois que j'aie fait l'amour avec mon DG. Depuis le jour où je suis quittée chez lui dans l'hôtel, il ne faisait que me déranger et finalement, un jour, j'ai décidé de le laisser faire ça avec moi. Sans mentir, c'était un peu doux et magnifique, mais seulement que la conséquence était très douloureuse. J'imaginais comment ma mère allait réagir si sincèrement, je suis tombée enceinte. Pendant la pause, Edwige et moi sommes allées dans une clinique qui était proche de notre lieu de travail. Quelques minutes après, l'analyse a été bien faite et le docteur m'a dit que je suis sincèrement tombée enceinte. Oh mon Dieu, comment j'allais le faire ? Quelques minutes après, nous sommes revenues au bureau.
Edwige : pourquoi tu es dans cet état au lieu de te réjouir ?
_ Je n'ai que vingt-trois ans et....
Edwige : s'il te plaît, arrêtes ce que tu voulais me dire ! Tu parles comme si tu es la plus jeune fille qui tombe enceinte. As-tu oublié qu'il y d'autres filles qui tombent enceinte à l'âge de quinze ans ?
_ Ma sœur, tu ne peux pas le comprendre.
Edwige : quoi ? Vraiment, tu es très bizarre hein. Noamie, il faut savoir que cette grossesse sera ta bénédiction.
Moi-même je savais que c'était à cause de la richesse de notre DG que Edwige me parlait comme ça.
À suivre....