Lui : d'accord ! Ça doit être important pour que tu me le dise à moi. Si non il y'a beaucoup de servantes dans ce château.
Moi : voilà tu as tout compris.
Lui : maintenant tu peux aller. J'ai envie de me changer, oubien tu veux que je le fasse devant toi. ( me regardant droit dans les yeux ). Je t'ai vu lorsque tu regardais les deux salopes qui était là, est-ce que tu ...
Je ne lui laisse pas finir sa phrase quand je lui donne une bonne gifle.
Moi : imbécile ! Je suis ton père tu me respectes.
Lui : ( tenant sa joue ) seule la vérité fait mal.
Je lui assigne une seconde gifle !
Moi : tu me respectes je dis. Je suis ton père !
Lui : ( rentrant dans sa salle de bain ) désolé papa ! J'ai trop bu hier.
Moi : ( sortant ) tu fais ce que je t'ai demandé vite. C'est urgent !
Ce monde d'aujourd'hui hein. Mon fils qui me parle comme si je suis son ami. Il a besoin de rééducation et je le ferai.
Je prends direction la chambre de mon frère ( le roi ).
Je rentre et je le trouve assis sur son fauteuil.
Moi : bonjour mon frère !
Lui : ( me faisant face ) bonjour Farid !
Moi : ( m'asseyant ) tu m'as demandé ?
Lui : oui ! Au faite, je voulais te parler urgemment.
Moi : d'accord je t'écoute !
Lui : je ne pense pas que je vais m'en remettre de cette maladie ! ( se retournant ). Tu es le seul frère que j'ai. Alors, tu dois me promettre de réaliser ma dernière volonté. Anissa est encore jeune, elle n'a que 18 ans. Elle ne connait pas très bien la politique et elle n'a pas fini aussi ses études ( marquant une pause ). Alors, j'aimerais qu'après ma mort tu gouverne le royaume jusqu'au 20 anniversaire de ma fille. Tu la couronnera devant tout le peuple d'Arali ( regard suplicateur ). Mon frère, j'aimerais vivre jusqu'à voir ma fille porter le titre de reine d'Arali mais, je ne suis pas sûr ( yeux rempli de larmes ). Tu es la seule famille qui me reste toi, tes deux enfants, ta femme la mienne et Anissa sont les seules personnes qui me reste de ma vrai famille. Ensuite le peuple d'Arali !
Moi : ( le prenant dans mes bras ) tu vivra jusqu'au couronnement de ta fille mon frère. Si Dieu décide autrement considère que ton vœux est deja réalisé.
Le roi a été comme un père pour moi. Dès notre jeunes âges, nos parents nous ont quitté. Alors, il est celui qui m'a éduqué. Ce n'est pas par la règle du sang qu'il est roi, on a jamais eu de roi dans notre lignée. Mais, sa bravoure, son courage et son honnêteté lui a amené là aujourd'hui. Moi, ainsi que toute ma famille il nous a pris sous son aile. Je ne travaille presque pas pareille pour ma fille qui, d'ailleurs ne pense qu'au luxe et mon fils vous savez déjà dans quelle catégorie il est. Donc, nous profitons librement de ce que mon frère a cherché. Voilà une partie de notre histoire !
Lui : tu peux aller. J'ai dit ce que j'avais à dire.
Moi : d'accord !
Je sors ainsi de sa chambre. Le pauvre il me fait vraiment pitié. Mais, on n'y peut rien.
~~Anissa~~
Je suis toujours dans ma chambre entrain d'attendre Maya. Comme à son habitude, elle prend de temps pour se préparer. A nous voir on dirait que c'est elle la vrai princesse, toujours dans des belles robes.
Elle arrive en fin et nous partons.
Nous étions dans les rues d'Arali et chaque personne qu'on croisait s'inclinent pour nous saluer. On arrive au niveau d'un vendeur et je vois un garçon pleurer dans le bras de son père, pour que ce dernier lui achète un ballon. Je croise le regard triste de son père. Il faut croire que certains sujets du royaume n'ont pas une bonne situation économique. Alors, je décide de faire mon rôle de princesse.
Le petit : ( tapant l'épaule de son père ) tu m'avais promis papa ! Tu m'avais promis de m'acheter un ballon lorsqu'on viendra en ville. ( pleurant ) tous mes amis en on un.
Le pere : ( impuissant ) oui fiston ! je te promets de te l'acheter la prochaine fois que nous viendrons.
Le petit : c'est toujours la même chose. A chaque fois ( pleurant ) s'il te plait papa je le veux aujourd'hui.
Cela me faisait trop de peine. Alors, je prend le petit dans mes bras.
Moi : papa va te l'acheter ce ballon ! Il te taquine seulement. ( essuyant ses larmes ) il ne faut pas pleurer tu es un grand garçon.
Entre temps, j'avais donné au père une somme suffisante pour faire plaisir à son fils sans que l'enfant de s'en aperçoive.
Le père : oui fils ! La princesse à raison vient là fils. Tu auras le ballon de ton choix.
Je lui fait descendre et il saute sur le cou de son père. Je jalouse un peu car avec le mien on a pas eu ces beaux moments ensemble.
Le petit : merci papa ! Tu es le meilleur ! Tu vas voir mes amis ne vont plus se moquer de moi. Ouiii papa tu es le meilleur !
Le père : désolé princesse mon fils a sali votre robe. Je suis vraiment désolé.
Moi : ( affichant un sourire sincère ) ce n'est rien, les enfant sont des anges.
Le père : ( baissant sa tête ) vous m'avez enlever une grande honte aujourd'hui. Que Dieu réalise tout vos rêves ! Un JOUR on se reverra. Vous avez du pain sur la planche sur votre destinée.
Moi : d'accord ! Je suis ravie de vous avoir aidé mais, là je dois partir ma cousine est entrain de m'attendre.
Le père : d'accord ! Merci encore.
Je retrouve Maya et nous continuons notre chemin. Il faut avouer qu'elle est aimé ici. Partout où on passe les gens lui pointe du doigt et elle aime ça.
Moi : tu vois comment les gens te regarde ?
Elle : ( ramenant ses cheveux vers l'arrière ) oui et ils peuvent toujours rêver.
Moi : je paris que cela te plaît d'être le sujet de discussion ( rire ).
Elle : bien sûr ! D'ailleurs c'est pour cela que je m'habille toujours bien avant de sortir. Je suis une princesse qu'à même alors, il faut que tout le monde le sache.
Moi : oui tu as raison !
En ce moment on était déjà sortie de la ville. Les habitants sont tous au courant que ce jour là, seule la famille royal est autorisé de partir au fleuve.
Nous arrivons. C'est mon père qui a exigé cela. Pour lui ça nous permettra de savoir comment vis les autre. Parceque, si vous avez remarqué les gardes du corps n'était pas avec nous. Nous avons marcher du château jusqu'au fleuve.
On se déshabille pour nous baigner.
Maya : dernièrement mon oncle ( le roi ) ne sort jamais de sa chambre. Sa maladie ne fait que s'aggraver. J'ai peur !
Moi : oui et cela m'inquiète vraiment.
Maya : il ne t'a toujours rien dit concernant ce qu'il nous avait dit lorsque nous avions 7 ans.
Moi : non il avait dit qu'il allait le dire au moment voulu donc on attend.
Maya : oui tu as raison !
Moi : au faite hier tu n'étais pas dans ta chambre. J'étais partie pour te montrer quelque chose. J'espère que tu ne fréquentes pas les hommes cousine.
Maya : ton père nous a formellement interdit cela. Alors je ne vais pas le faire t'inquiète cousine.
Moi : alors où est-ce que tu étais ?
Maya : euh... au faite... bon
.. et.... j'étais avec mon frère.
Moi : d'accord je vois ( jouant avec l'eau ) !
On était à l'aise dans l'eau. Soudain, on entend les pas d'une personne qui était aux alentours. Il y'avait un chien donc c'est sûrement un chasseur. Le bruit se faisait entendre de plus en plus donc il venait certainement vers notre direction.
Maya : mais qui ose venir en brousse aujourd'hui ? Ils ne savent pas que c'est la journée de la famille royale. En plus, c'est certainement un homme affamé qui est venu tuer des oiseaux pour se nourrir. Il va le payer.
Moi : il est bientôt là ! Il doit être entrain de suivre quelques choses cachons nous sous les rochers.
Maya : ( en colère ) d'accord !
Quelques instant après, un jeune homme et son chien font leur apparition. Oui il cherchait quelque chose mais le chien à commencé à effleurer, arrivé au niveau de nos habits, il commence à aboyer.
Le jeune : non Ricky ! Ne met dit pas que le lapin s'est caché dans le fleuve.
Ricky continue d'aboyer alors le jeune qui commence à marcher à reculons. Sans le voir il piétine nos habits.
Le jeune : ( une capuche sur la tête ) mais que font des habits ici à cette heure. Il n'y a personne dans le fleuve.
Non il doit sûrement être nouveau dans le royaume. Si non il allait se rappeler qu'aujourd'hui ce la journée des princesses.
Il s'abaisse et commence à prendre les habits.
Maya : ( sortant de l'eau plus que furieuse ) ne touche surtout pas à mes habits misérable que tu es ( tchippant ). C'est sont nos habits et tu ne perd rien pour attendre quand, je dirai à mon oncle qu'un homme a osé nous trouver au fleuve.
Le jeune : parceque le fleuve appartient à ton oncle ?
Maya : ( sortant de l'eau en nuisette ) tu veux savoir qui je suis et tu le sauras !
Le jeune se retourne immédiatement en faisant dos à Maya. Je profite pour sortir de l'eau aussi et me rhabiller immédiatement.
Maya : ( tapant le jeune sur l'épaule ) tu as vu ce que tu as fais ( montrant une tache sur sa robe ). Espèce de sauvage tu as vu ce que tu as fait à ma robe ? Comment vais je rentrer maintenant ?
Le jeune : c'est la dernière fois que tu m'insultes. Je respecte beaucoup les femmes mais je ne tolère pas le manque de respect.
Moi : au faite tu as franchi une règle dont tout le monde est au courant.
Maya commence à lui gifler et immédiatement le chien commence à aboyer sur nous et il fonce.
Je ne sais pas comment je me suis retrouver agripper à son bras la tête plongé dans son coude.
Il fait signe au chien de s'arrêter.
Moi : ( me détachant de lui ) désolée !
Il doit être nouveau ici, parceque tout le royaume connais les princesses. Mais, lui il ne réagit pas comme une personne qui a offenser des princesses.
Maya : on y va ( m'indexant ) ! Et toi tu vas entendre de mes nouvelles ( à l'autre ).
Moi : d'accord !
Le jeune : au faite je suis désolé de vous avoir dérangé dans votre bain, mais pas pour autre choses. Je suis venu chasser et je suis dans mon droit.
Maya : tu ne perds rien pour attendre.
Elle me tire par le bras et nous partons.
On marche un peu quand je me rappelle d'avoir oublié mon bracelet sur la rive.
Elle décide de m'attendre et moi je reprend la route vers le fleuve.
J'arrive au fleuve et je commence à chercher mais rien. Non je ne peux pas perdre mon bracelet. Serait t'il possible que le jeune de tout a l'heure l'ai ramassé ? C'est le cadeau d'anniversaire que mon père m'a donné alors, je ne peux pas le perdre.
Je cherchais au niveau de la rive quand je vois la capuche du jeune homme et son pull-over alors je décide d'aller vérifier.
Jarrive au niveau de ses habits et la seule question qui se répète dans ma tête est : < où peut-il être actuellement > Comme son chien n'était pas là alors j'ai conclu qu'il était reparti chasser.
J'étais entrain de plonger ma main dans la poche du pull quand, d'un mouvement rapide je me retrouve dans le fleuve toute mouillée.
Moi : ( paniqué essayant de me débattre ) oh secours ! Un caïman, oh secours, oh secours !
Une main appuie ma bouche et aucun son ne sortait.
Je me sens enveloppé dans les bras de quelqu'un. Je me retourne et un jeune de teint clair à la chevelure longue me fait fasse.
Lui : toi encore ! Je suppose que l'autre aussi est là, la folle.
Moi : quoi............ ( essayant de me débattre ) mais, il m'enveloppe toujours dans ses bras. C'est comme s'il refuse de me laisser je panique.... !