Chapitre 9 Père et Mère

Wilson n'avait pas de famille dans Cette ville, il était obligé de s'occuper lui même de son enfant, du ménage ainsi que de son travail. Il avait acheté plusieurs livres et télécharger plusieurs vidéos sur comment s'occuper d'un nourrisson. La nuit Wilson n'avait presque pas dormi à cause des pleures du bébé, il ne pouvait pas se déplacer, on aurait dit que ce bébé sentait les mouvements de ce dernier, dès lors qu'il s'éloigne du lit, ce sont les pleures, quand il est proche le bébé ne pleure pas. Il ne savait pas quoi faire, dès lors qu'il ferme ses yeux pour dormir le bébé se met à pleurer.

Le lendemain il devrait bien aller au travail, il venait de changer de chemise à cause des vomits du bébé, il prépara le biberon et les dossiers, et prit sa fille, il arriva au travail avec sa fille d'un mois, on pouvait voir la pitié sur le visage de tout les travailleurs qui le saluait timidement. Il alla dans son bureau

-Amanda ! Tu es plus têtue que ta mère, que vais-je faire de toi? Ne pleure pas, s'il te plaît, et pas de bobo (caca). Il travailla, et le bébé dans le berceau de son bureau, il convoqua vite son personnel dans la salle de réunion pour la réorganisation, il était obligé de pousser le berceau jusqu'à cette salle. Il commença à Pen qu'Amanda se mit à pleurer.

-Excusez moi ! C'est ma fille qui a besoin de moi! Il prit cette dernière et vérifia sa couche qui était propre, il l'a donna le biberon, elle prit une partie puis le reste sortait de la bouche, on comprit qu'elle n'avait plus faim, mais elle pleurait toujours, il essayait de la bercer en vain.

-Monsieur, pas cette position, elle vient de manger, si non elle va vomir. Disait l'une des employés, il était trop tard car Amanda avait déjà vomit, il remit l'enfant chez ses travailleurs et parti dans son bureau pour se changer, entre temps le songui-songui (comerage) entre employés.

-Pauvre Patron, il doit s'occuper lui même du bébé, ce n'est pas facile ! Disait une

-Il peut bien employer des domestiques, mais il veut s'occuper personnellement de sa fille par peur que quelque chose arrive à cette dernière. Ajouta le comptable

-Il fait pitié ! Cela ne doit pas être facile. Déclarait la directrice du département GRH

-En plus il est humble. La mort de sa femme doit le faire très mal, même si il voile son visage pour nous faire croire que tout va bien disait la secrétaire

-Nous allons tous s'occuper de temps en temps de la petite. C'est mieux. Ajouta le chargé de relations publiques.