Puis aussi certain disais que j'étais trop "dur" trop "forte" pour une fille... pff remarque de sexiste ou d'homme impuissant qui l'assume pas.
Forcément j'étais plus forte que certain mec de ma classe car bas mon père fait de la boxe, et moi aussi du cou c'était une suite logique.
Mais je n'est pas a me plaindre car la plupart du temps les mecs était plutôt cool avec moi, surement qu'il voulait être le premier de la classe a sortir avec moi et me sauté et pouvoir s'en venté au près de tout les autres.
Et d'ailleurs du a ca, au faite que j'étais la seul fille de la classe, ca nous a tous souder, tout les mecs se fessait comme une petite guéguerre entre eux, mais sa rester gentil.
Car faut que je vous dise comment je réagissais a tout s'est mecs a fond sur mon cul.
Je dois avoué que la première année ca me pesez, j'avais du mal avec cette sensation d'être observé et tellement désiré qu'ils devaient se soulagé en solitaire en pensant a moi.
Mais quand j'ai commencé a essayé de jouer avec sa, je me suis rendu compte que c'était on ne peut plus drôle, et que si on joue correctement on peut se taper de sacré fou rire.
Du coup la deuxième année j'ai joué avec eux, en apprenant à l'ai connaitre, en passant certaine récré avec eux.
Le seul moment où j'étais embarrassé c'était pendand... les cours de piscine... Putain qui et le pervers de merde qui a eu l'idée de mettre des cours de natation au collège sérieux ?
A cette âge la, la plupart des femmes n'assume pas leur corps et vous l'ai obliger a le montré en grande parti a tout le monde. Alors oui ses en parti une bonne chose, sa nous entraîne à accepter notre physique, Mais se n'est pas la bonne méthode ! Car la plupart du temps les garçons, comme certaines filles d'ailleurs, sont cons ou connes a cette période, et on la critique facile.
Bon pour moi ca aller, mais Putain comme je me sentait mal a l'aise, j'avais l'impression d'être entièrement nue tellement qu'ils me fixer, enfin... qu'ils fixer mes seins et mes fesses surtout...
Après la quatrième qui fut des plus pourrie... entre note de merde et moquerie. Je suis arrivé a la troisième, j'avais 16 ans a ce moment.
Cette année la fut pour moi des plus... instructif je dirais, car c'était l'année ou toute les envies coquine apparaisse vraiment, disons que ses cette année la ou j'ai commencé a vraiment vouloir plaire au garçons et avoir un petit amie, et potentiellement... coucher avec l'un d'entre eux.
L'idée de coucher dans les vestiaires de la piscine m'a même traversé l'esprit, mais je me suis résigniez à le faire, trot risqué et inconfortable.
Mais alors que je chercher un mec et un lieu pour réalisé ses envies et idées, jamais je ne me serait attendu a se qui aller arrivé.
En début d'année de ma troisième un nouveau prof et arrivé, c'était Monsieur Bernard, Eric Bernard.
Il avait la vingtaine et c'était sa première année en temps que prof, il avait environ 25 26 ans je dirais, je n'ai jamais sue sont véritable âge. Il était plutôt mignon, brun au yeux marron, plutôt maigre mais pas dans l'excès.
Puis son petit côté manque de confiance et un peu intimidé était mignon aussi.
Durant la moitié de l'année rien d'extraordinaire ne c'est produit, c'était un prof comme les autres, il fessait ses cours et des fois il fessait chié, comme quant il ma coller car je parler ou avait insulté un de mes camarades de classe qui avais écrie "suce ma grosse bite" sur ma table.
Oui mes camarades n'étaient pas toujours gentils avec moi...
Et donc un jour, j'étais collé pour avoir insulté ma prof d'anglais de salle truie dégueulasse... quoi ? C'était une vielle peau, elle était moche et conne et m'avait traité de "Petite bimbo chaude" parce que je répondais en anglais avec une voix différente et légèrement plus suave que ma voix normale et que j'avais juste crié "HOOO YES !!" quand elle m'avait dis si j'aimer le chocolat.
Alors franchement qui mérite la sanction ?
Bref, j'étais donc en colle et le surveillant de cette colle c'était monsieur Bernard, puis a un moment il à demander à un surveillant du collège de surveiller à sa place car il devait aller aux toilettes et que sa aller prendre un petit moment.
Quelques minutes passe, puis j'ai eu à mon tour envie de faire pipi.
Une fois arrivé dans les toilettes j'ai donc fait mon affaire, et en sortant j'ai entendu des bruits venant des toilettes des garçons, comme des râles de douleurs ou un truc du genre...
Et... je dois avouer être du genre un peut trot curieuse des fois et la... bas je n'est pas pue m'en empêcher et je suis aller voir.
ca venait de l'intérieur d'une cabine qui n'était pas verrouiller, j'entendais des frottements et des gémissements.
C'est la que j'ai compris que c'était monsieur Bernard qui devait se masturber dans le wc dans lequel j'écouté et ou je me trouvé juste devant la porte.
J'allais partir sauf que soudainement la porte c'est ouverte et il et sorti d'un seul coup, étant samedi matin il n'y avait personne d'autre que les coller et le surveillant, et ils étaient tous dans la salle, ses surement pour sa qu'il ses permit de sortir avec les fesses a l'air et le sexe encore dans la main en râlant.
- Putain de gaule de merde !! Pourquoi tu viens me faire chié tout le temps comme ca ?!!!
Il ne m'avait pas vue car la porte c'était ouverte pile devant moi manquant de peut de me défoncé le nez, et le temps qu'elle se referme d'elle même il a eu le temps de dire beaucoup de chose.
- Pourquoi sa m'arrive à moi Bordel !! Si je me fais surprendre à bander durant les cours ses fini je suis viré de toute les écoles de cette foutu planètes ! Et peut être même pire, je vais peut être même allé en prison pour pédophilie ! Hooo merde...
Il était déboussolé et commencer à s'imaginer des trucs vraiment démesuré.
Moi je rester immobile, regardant la porte des wc se refermer doucement et voyant petit à petit monsieur Bernard de dos entrain d'essayé de se calmer.
Et quand la porte fut entièrement fermée en fessant un légers clac normal, il c'est retourner et il m'a vue, les mains en l'air, les ayant levé quand la porte a failli me rentré dans le nez part réflexe, ne les ayant toujours pas baissé, les yeux grand ouvert fixer sur son pénis, et le corps entier tremblant sous se mélange de peur et d'excitation sous se que j'étais en train de vivre.
Quand il m'a vue il na pas vraiment réagit d'ailleurs, il m'a regarder, a regarder son sexe voyant que mon regard était bloqué dessus, puis c'est rhabiller comme il pouvait sans rien dire.
L'un comme l'autre on ne disait rien, on ne savait pas comment réagir, je ne savais pas si il fallait que je parte en courant ou que je dise quelque chose. Lui sembler attendre que je réagisse en cachant du mieux possible sa bite.
Après une bonne minute de silence, il commença à prendre sont souffle pour parler. Mais j'ai parlé avant lui.
- Je ne dirais rien à personne ! Je... j'ai rien vue.
C'était quelqu'un d'honnête et loin d'être con, et du genre a pas ce cacher derrière des faux semblant.
- Bien sur que si, tu as tout vue et tout entendu Mélissa.
- Je ne dirais rien promis.
Il sembler gêner, ce qui était on ne peut plus logique, je l'avais surpris en pleine séance de masturbation et j'ai vue son sexe.
Un silence suivi.
Une question tourner en boucle dans ma tête et je ne pouvais m'empêcher de la lui poser.
- Co...Comment sa ce fait que vous vous retrouvé dans un t'elle état monsieur ?
- Sérieusement ? Tu veux savoir ? C'est vraiment ce que tu veux savoir ?
- Si j'ai posé la question sa veut dire que oui. Voyait ca comme un cours particulier d'SVT.
- Je suis prof de Français Mélissa.
- Et alors ?
Il soupira et baissa la tête.
- Je... merde... je ne sais pas vraiment pourquoi mais j'ai des théories.
- Vous êtes puceaux ?
- Quoi ? Non ! Et... se n'est pas le genre de question qu'on pose a son prof ! Et... même en général.
- Il n'y a pas de mal a sa vous savait, le prof d'SVT et le premier à nous dire ca.
- Oui bas non, je ne suis pas puceau je... je ne sais pas pourquoi mais quand je vois une collégienne sexy bas s'est... automatique sa monte tout seul, et Putain sa me fait chié d'imaginer ne serait-ce qu'un instant que j'ai des tendances pédophile !
Petit à petit je me rapprocher de lui comme pour essayé de le rassuré.
- Vous bander comme sa ? Ne vous pouvais vraiment pas vous contrôler ?
- Non... même si je viens de me branler sa revient directement, c'est un vrai cauchemar...
Je ne sais pas pourquoi mais... a cette instant j'ai eu comme l'envie de joué avec lui, je trouvé sa méchant de profité de se moment de faiblesse ou il m'avoué a moi, une simple collégienne qui pourrait très bien tout balancer au directeur. Mais je voulais voir si c'était vrais, et aussi je voulais revoir sa bite aussi, car du peu que j'avais vue avant qu'il ne la cache m'avait plutôt plus.
- En gros... si je fais ca... Je mis mon décolleté en évidence et me pencha légèrement vers lui pour qu'il et une vue plongeante. Vous bander instantanément ?
Il évité de me regarder ayant entre aperçu ce que je fessais.
- Qu'es que tu essaye de faire la Mélissa ?
- Rien, je veux juste avoir la preuve de se que vous dite s'est tout, je trouve ca intéressant... et... un peu excitant aussi.
Soudainement il me regarda surpris.
- Non mais... Mélissa qu'est ce que tu fabrique ?!
- Ca fait longtemps que l'idée et l'envie d'essayé le sexe me trotte dans la tête et... je trouve le moment plutôt opportun non ? Je découvre le plaisir et vous soulager de vos désirs en même temps, une pierre, deux coup... même si j'espère que vous donnerait plus que deux coups. Lui ai-je dis d'une voix coquine et sensuel que je ne me connaissais pas.
Oui j'était déjà sacrément salope je dois l'avoué, c'était le genre de phrase que je sortais souvent avec les mecs de ma classe pour les faire taire, même si cette fois la c'était pour réellement avoir du sexe.
- Non, je refuse de faire une telle chose, retourne dans la salle de colle Mélissa.
Je m'approchais doucement de lui en enlevant mon pull.
- Mélissa Non, Arrête sa tout de suite.
- Vous ne voulait pas voir mes seins monsieur ?
- Non, et même si mon sexe dit l'inverse je ne veux pas l'ai voir.
Puis j'ai enlevé mon t-shirt et monsieur Bernard fut surpris, surpris car je ne portais pas de soutien-gorge. Et donc il et tomber directement sur ma poitrine plutôt généreuse.
Je ne fessais pas encore du 86D, ma taille de poitrine une fois la puberté passer, mais je m'en rapprocher. Puis j'ai toujours aimé ma poitrine, je n'ai jamais pensé qu'elle était trop grosse ou trop petite. Puis j'avais un petit atout, certain dise que ce n'est rien mais moi je trouve que sa rajoute un truc, j'ai un grain de beauté sur le haut de mon seins droit, c'était la petite particularité de ma poitrine se grain de beauté.
Des qu'il a vue ma poitrine il a arrêté net de parler et l'ai a regarder juste quelques secondes avant de fermer les yeux pour s'empêcher de continué.
- Arrête ! ce n'est pas bien ce qu'on est en train de faire. A t'il dit en reculant contre le mur et tournant la tête pour évité de me voir au maximum.
- Je ne vous prends pas pour un pervers si c'est ce que vous craigniez, vous ne m'avait pas demandé d'enlever mon t-shirt, s'est moi qui les fait, et le faite que vous bander sur les élèves ne me dérange pas, au contraire, étant la seul fille de la classe je trouve sa flatteur.
Vous devez vous dire que j'étais une sacrée salope à mes 16 ans pour montré ma poitrine a un prof comme ca.
Me juger pas trop sévèrement sil vous plait, j'étais jeune et désiré vraiment découvrir si tout se qu'on disait sur le sexe était vrais, puis a cette âge la tout les adolescents sont attiré part le cul.
Puis pour être franche avec vous je ne m'attendais pas à ce que j'agisse comme ca.
Je reprends.
Il était donc contre le mur, le pantalon a moitie fermé, et le sexe qui sortez légèrement a cause de moi avec les seins a l'air dans les toilettes de l'école.
Et voyant se sexe à porter de main, littéralement il suffisait que je tende la main pour le toucher, bas l'envie était de plus en plus forte, toucher pour la première fois un pénis me démanger et... et celui du prof était plutôt attirant je dois dire donc... Oui... j'ai craqué et j'ai tendu la main.
Ne me regardant pas pour évité de voir mes seins, il n'a pas pue m'empêcher de toucher sont sexe. Par contre a la seconde ou il a senti ma main la il a réagit a la attrapé.
- Non Mais Mélissa qu'est ce qui te prend Merde ! Saisissant ma main et l'enlevant de dessus sont pénis en la relevant, ouvrant les yeux et me regardant droit dans les miens.
- Je... je ne sais pas... j'ai pas pue résister a l'envie de la toucher, j'ai envie de la goutter, et la sucer et...
- Arrête. M'interrompant.
Il sembler... perdu... visiblement il était en plein doute, entre juste nous rhabiller et partir comme si de rien n'était, ou succomber et me laisser le sucer.
Un léger silence s'installa, j'étais vraiment très près de lui, mes seins lui toucher presque le torse.
- Tu... tu veux juste goutter ?
- Juste ca oui.
- A... A une seul condition, juste cette fois, et jamais tu n'en parle a personne, Jamais.
- Promis, sur ma vie Monsieur Bernard.
Il me lâcha la main et arrêta de bouger tendis que moi je me mettais doucement a genoux devant lui.
Son pénis était la, juste devant moi, légèrement cacher dans son boxer et pantalon que je lui et enlevai délicatement pour la laisse se tendre vers moi.
Puis je les pris dans mes mains, je fut surprise de la sentir frémir entre mes mains, comme si c'était vivant, c'était très étrange de la sentir durcir et grossir. Puis cette chaleur, elle était brûlante, jamais je n'aurais pensé qu'un pénis pouvait être aussi chaud.
Commençant à le masturber lentement avec l'une de mes mains, je la contempler en ouvrant sans m'en rendre compte petit a petit la bouche et la langue.
Et quand ma langue toucha le bout du gland, Monsieur Bernard poussa un gémissement incontrôlé qui fit durcir d'un seul coup son sexe.
Je commencer donc à lui lécher le bout du gland, comme si je savais se que je fessais, découvrant et appréciant le goût du premier pénis entre mes mains et sur mes lèvres.
Puis l'envie fut trop forte, j'ouvris la bouche et avala la moitié d'un coup avant de fermer les lèvres autour. Dans un gémissement de plaisir de la par de Monsieur Bernard, je commencer à le sucer lentement mais avec plaisir et enthousiasme.
J'étais tellement excité que je descendis ma deuxième main et me caresser la poitrine et sentait mon entre jambe frémir à chaque fois que je l'enfoncer dans ma gorge, et plus je l'enfoncer, plus sa frémissez, plus je la lécher, plus mes tétons durcissait.
Je prenais énormément de plaisir et lui aussi, car à chaque fois que je l'enfoncer dans ma gorge il pousser un gémissement retenu pour évité de faire trot de bruit.
Mais il n'a pas tenu très longtemps, quelques minutes à tout casser, car quand il senti l'envie de jouir arrivé.
- Mé... Haaa... Mélissaaa... je... je vais jouir... re... retire toi... sil te plait retire toi...
Quant il ma dis ca, d'une main il essayé de me pousser doucement la tête pour retiré son sexe de ma bouche, mais je ne voulais pas m'arrêter moi, et savoir qu'il aller jouir me donna l'envie de goutter son sperme.
J'ouvris alors le plus possible ma mâchoire et enfonça en gorge profonde sa bite dans ma gorge dans un bruit pervers de suffocation et d'appel d'air se mélangeant à la grande quantité de bave qui couler de ma bouche directement sur mes seins dénudé.
Quant je fis cela, Monsieur Bernard ne pue s'empêcher de jouir sous la surprise et le plaisir qu'il ressenti et cracha tout sont sperme au plus profond de ma gorge.
Essayant de tout avalé, j'ai manqué de me noyé dedans en avalant de travers mais j'avais presque tout avalé avant de sortir sont sexe de ma bouche et craché le reste dans l'évier accoté n'arrivant plus à déglutir.
Mais j'étais trop excité pour m'arrêter la, ma main sur mes seins continué malgré moi de me caresser et ma deuxième, après m'avoir tenue sur l'évier descendis a mon entre jambe pour me caresser le vagin.
Avant même que Monsieur Bernard n'est le temps de parler que je me suis mise à jouir devant lui comme une folle en hurlant.
Il a n'est en moins mis sa main sur ma bouche pour m'empêcher d'hurler trop fort et qu'on nous entende, écrasant ainsi ma poitrine contre lui.
Après avoir était tous les deux rassasient de nos orgasmes, on s'est rhabiller, enfin... moi perso je me suis changé, vue comment j'avais joui j'allais arrivé l'entre jambe trempée dans la salle et ca aller jasé, heureusement j'avais sport se jour la et mon casier n'était pas loin, du coup je me suis changé avant de retourner avec Monsieur Bernard dans la salle de colle.
Il a raconté au surveillant que j'avais pris du temps car je me sentais pas bien et que j'avais sali mon pantalon et que j'ai donc du me changé.
Le surveillant le cru sur parole et ne m'a pas poser de question.
La fin de la colle c'est fini sans accro.
En sortant par contre Monsieur Bernard ma demander de venir le voir, il c'est pencher vers mon oreille et m'a dis.
- Évite de refaire se genre de chose à l'avenir, du moins, pas dans l'enceinte du collège compris ?
Bien sur que j'avais compris...