Chapitre 2 2

Je ferme les yeux afin d'attendre l'impact mais il ne vient jamais.

J'ouvres alors les yeux et je vois un homme venir vers moi.

Lui: NON MAIS ÇA VA PAS DANS VOTRE CRANE?!!!!VOUS ETES MALADE OU QUOI? J'AI FAILLIT VOUS TUER!!

Il me tient par les épaules et me bouscule tout en me criant dessus.

Même mourir est devenu un luxe.

Dépassée par les évenements je me laisse tomber au sol, criant mon desespoir.

Eh Seigneur! Pourquoi tant de souffrance? Pourquoi?

je l'entends me demander ce qui ne va pas mais je ne lui reponds pas! De toute façon

si j'allais bien je n'allais pas chercher à ce qu'il me tue.

Je sens que l'on me soulève et dès cet instant je ne saurai vous dire ce qui s'est passé par la suite. Je me suis reveillée dans une chambre qui n'est pas la mienne.

Pendant que je me demande ou je suis, j'entends quelqu'un frapper à la porte.

Moi: euh oui?

La personne ouvre la porte de la chambre et entre.

C'est homme dans la trentaine si il est trop vieux là c'est 40 ans je lui donne.

Lui: oh déjà debout?

Moi: qui êtes-vous?

Lui ironiquement: bonjour je vais bien et vous?

Moi: Vous ne repondez pas à ma question

Lui: ah parce que vous ne,vous rappeler pas de moi?

Moi, sechement: si c'était le cas je ne devais pas vous cela!

Lui: je suis l'homme que tu as voulu des problèmes en voulant te faire ecraser par ma voiture

Moi: oh

Lui: ahhh maintenant tu te rappelles? Et puis, qu'est-ce qui t'as pris? Parmi toutes les voitures qui circulaient c'est la mienne que tu as choisis pour mourir?

Moi la tête baissé:...

Lui: pourquoi voulais-tu mettre fin à tes jours?

Je ne reponds toujours pas.

Lui: là je parie que c'est à cause d'un homme!

A ces mots je sens mes yeux se remplirent de larmes, j'essaie de me retenir de pleurer, mais ces sorcières décident de couler sur mes joues sans mon accord. Malgré que je les essuie elles revienne à la hargne.

Dès qu'il voit mon état, il se précipite vers moi

Lui en essuyant mes larmes: heee pleures pas s'il te plait

Mais je ne peux plus m'arrêter. Je continues à pleurer

Il me console jusqu'à ce que je me calme au bout de dix minutes.

Lui: je ne sais pas ce que tu as vecu hier, mais tu ne devrais pas pleurer ça va te rendre malade

Moi: je sais mais je ne peux pas m'en empecher

Lui: les pleures ne resoudront rien

Moi: c'est trop dure

Lui: permets-moi de te donner un conseil.

Moi: je veux rentrer chez moi

Lui: ok, je vais aller te deposer, mais promets moi que tu ne feras rien de stupide.

Moi: ...

Lui: j'attends..

Moi: je..je..je te le promet

Lui en souriant: Bien.. Au fait je connais même pas comment tu t'appelles

Moi: Brenda. Mon prenom c'est Brenda.

Lui en me tendant la main: enchanté Brenda. Moi c'est Manuel mais tu peux m'appeller Manu.

Je souris puis sers sa main.

Les présentations faites, nous quittons sa maison. En cours de route je décide de descendre chez Gladys ma grande soeur. Je n'ai pas la force,d'affronter Franck donc mieux je me refuge chez ma soeur.

Au bout de dix minutes on arrive chez ma soeur.

Moi: Merci de m'avoir raccompagner

Manu: De rien. Tout le plaisir était pour moi.

Moi: je.. Je voulais aussi te remercier piur ce que tu as fait pour moi. J'ai été stupide en voulant me suicider heureusement que tu as freiné à temps

Manu: Oh c'est pas moi que tu dois remercier, mais plutôt le bon Dieu

Moi: en tous cas merci

Je descends de la voiture et au moment de fermer la portière il m'interpelle.

Manu: Brenda..

Moi: oui

Manu: tu as l'air d'être une femme bien, ne laisse jamais au grand jamais un homme te detruire, c'est dure mais Dieu t'aideras à surmonter cette épreuve.. Prends(il me tend une carte) appelles-moi si tu as besoin de quelque chose, même pour n'importe quoi

Je prends la carte puis m'en vais. Une fois devant la porte de ma soeur, je sonne et elle vient m'ouvrir.

Gladys étonnée: Brenda?.. Euh qu'est-ce que tu fais là avec un pyjama et sans babouche.

Moi: Gladys.. Laisses-moi d'abord rentrer, je prends une douche et je te raconte tout

Gladys: euhh ok.

Elle me laisse entrer et je me diriges directement à la douche.

Je me déshabille attendant que l'eau se rechauffe et je jette un coup d'oeil dans le miroir.

Je suis horible.

Qui est cette femme regardant fixement derrière moi?

Qui suis-je sans Franck?

J'ai toujours pu m'appuyer sur lui... Il a toujours prit soin de moi.

J'ai l'impression de n'être rien sans lui.

Brenda pourait-elle exister sans Franck?

J'entends un petit coup doux sur la porte de la salle de bain.

Moi: oui?

Gladys: Bren's, j'ai posé quelques vêtements sur le lit pour toi

Moi: d'accord.

Gladys est ma grande soeur et ma meilleure amie.. Franck est aussi mon meilleur ami.

Mais je ne suis pas sûr qu'il le soit encore.. Des amis ne sont pas censés briser le coeur de l'autre. Bien entendu, ni les maris. Ils sont censés les aimer et cherir leur femme. Pas les déchirer.

C'est sur ces pensées triste que je finis ma douche.

Une fois habillée je vais rejoindre ma soeur.

Gladys: Bon maintenant je t'écoute, qu'est-ce qui se passe?

Moi: Ahh Gladys je suis détruite

Gladys: Ehh Seigneur dis-moi ce qui ne va pas!

Moi en essuyant les larmes qui commencent à couler sur mes joues: Franck..et moi c'est..terminé

Gladys: Quoi?? Qu'est-ce qui s'est passé?

Je soupire puis me mets à lui raconter tout ce qui se passe depuis deux mois déjà ainsi que ce qui s'est passé hier.

Dès que je termine mon récit je n'ai même pas le temps de me remettre de mes émotions que je reçois une gifle magistralle.

Jezos!! ça fait mal!

Moi la main sur la joue: aie! Gladys!!

Gladys enervée: Non mais tu es folle Ampoumet! Vouloir te tuer à cause d'un enfoiré? Ça ne va pas dans ta tête? Awé gno mbô sê?(on te manges ou quoi?) tu as pensé à ta famille? Ce qu'on aurait ressentis?

Moi: ...

Gladys: heureusement que le gars là a freiné à temps!

Moi en larmes: sniif...je suis désolée...mais putain....je l'aime

Gladys: tuu l'aimes au point de vouloir faire souffrir ta famille?

Moi: sniif sniif

Gladys: je sais que tu l'aimes et qu'il t'a brisé le coeur mais est-ce une raison? Tu t'aurais tué et l'enculer serait resté à baiser sa salope tu aurais gagner quoi?

Moi: ...

Gladys: maintenant ecoutes moi très bien, je ne veux plus au grand jamais entendre parler de lui, tu ne remettras plus les pieds chez lui, dans deux jours on ira prendre toutes tes affaires. Tout ce que tu as acheté même le verre.

Et c'est ce que nous avons fait. Deux jours plus tard nous étions devant la porte de maison ou devrais-je dire mon ancienne maison.

C'est dimanche aujourd'hui et à entendre la musique qui provient du salon Franck est là mais au moment où je veux ouvrir la porte quelle n'est pas notre surprise lorsqu'une femme d'à peu près mon âge, vêtu d'une culotte et d'un soutient gorge ouvre la porte.

Elle: Oui, que puis-je faire pour vous?

Seigneur.. Une femme est dans ma maison. Franck a fait venir sa salope chez nous.

Wow il n'a vraiment pas perdu de temps