Chapitre 5 Chapitre 5

Point de vue de Joël

Quand je suis revenue du service je suis tellement exténué je veux me reposer mais c'est sans compter sur elle, elle m'a croisé à la porte avec un couteau, je dirai qu'elle m'attendait avec ça depuis longtemps mais où est passé maman, si elle était là cette fille n'oserais pas utiliser ce couteau, elle a barré la porte et me regarde bizarrement, j'espère qu'elle ne veut pas me faire du mal, avec elle faut s'attendre à tout

-dit moi ce que tu faisais dans ma chambre où je te coupe ton truc qui t'a poussé à venir dans ma chambre, me dit elle subitement

- en regardant partout pour voir si maman est là ou pas : je suis désolé je ne sais pas ce qui m'a pris

- ah hahaha, ta mère est sorti nous sommes que deux ici, je t'ai laissé ce matin c'est parce qu'elle était là alors monsieur répondez à ma question

- en voyant qu'elle est prête à tout et que je n'ai pas de réponse qui pourra la satisfaire : en fait je te promets que ça ne se reproduira plus jamais, maintenant donne moi le couteau

- en riant, donc tu penses que je suis bête hein tu penses que je suis bête, regarde bien la couleur de mes yeux est ce que tu as déjà vu ça à quelque part

- essayant de la distraire pour pouvoir m'enfuir : non je n'ai jamais vu des yeux comme ça, maman est là,

Et voilà elle fonce vers moi, je la devant je monte dans ma chambre alors qu'elle est toujours derrière moi je ferme la porte à clé.

-à bout de souffle : vas t'en d'ici,

-tu as de la chance que ta maman est déjà là sinon je défonce cette porte, comme ça tu vas me respecter la prochaine fois, et écoute moi bien je suis capable du pire, monsieur gros bras, ou bien tu penses même que c'est parce que tu me dépasse en forme que je ne pourrai rien te faire, alors détrompe toi

Elle a continué à parlé comme j'étais calme elle est partie

-c'est qu'elle folle comme ça je suis allé chercher et amener chez moi et qui me fait courir comme un athlète dans ma propre maison ?

Je croyais parler seul

-je t'informe que tu n'as rien vue d'abord,

Moi : mais je croyais que tu étais partie

- sort d'ici, Un gros bras peureux comme ça

Je suis resté calme pendant plusieurs instants avant d'ouvrir et d'aller les trouver au salon, elle m'a jeté un de ses regards qui peut faire fuir quelqu'un.

-Bonsoir maman, comment était ta journée ?

-toi plutôt dit moi comment s'est passé ta journée, parce que quand je rentrais dans la maison je t'entendais crier sur ta femme, tu n'as pas amener la fille des gens chez toi pour la maltraité est ce que c'est compris ?

- maman combien de fois est ce que je dois te dire que ce n'est pas ma femme

-Et elle faisait quoi avec toi dans ta chambre là-bas ? Pardon, je rentre chez moi demain, j'ai trop dérangé votre intimité comme ça, demain je m'en vais

Elle est là à me regarder et en se moquant de moi je sais que c'est elle qui a mis tous ces mensonges dans la tête de maman. Elles ne vont pas s'en tirer comme ça.

- maman, vous pouvez rester autant que vous voulez, ici c'est chez vous s'il ne veut pas vous voir il n'a qu'à aller dormir au dehors, c'est tout est ce qu'on discute même, lui dit

-merci ma fille, tu es trop gentille, tu n'es pas comme mon fils

-et je ne veux même pas être comme lui

-la bouche complètement ouverte : attendez vous de moi comme ça quand je ne suis pas là aussi ? Ou bien vous faites semblant de me provoquer ?

Je me suis levé et je suis monté dans ma chambre, je n'aime pas du tout leur comportement, je me suis couché je ne me suis même pas rendu compte à quel moment je me suis endormie.

Ce sont des mains douces qui parcouraient mes jambes et je me suis réveillé en sursaut

- tu fais quoi dans ma chambre ?

-Tu ne pouvais pas te réveiller doucement ? Tu te réveilles comme si on te pourchassait dans tes cauchemars, tu m'as même fait peur, pardon, descend tu vas manger et pour ton information c'est ta maman qui m'a envoyé te réveiller sinon si cela ne tenait qu'à moi tu allais dormir sans manger,

-c'est ta façon de me réveiller qui

- en me coupant la parole : c'est ça qui a mis ton truc là au garde à vous ?

Oh non putain je ne me suis même pas rendu compte, c'est quelle genre de sensations ça encore mon Dieu.

Lorsque je soulève la tête pour lui parler mais elle n'est plus là, tant mieux alors, je reste là jusqu'à ce que la pression baisse avant de descendre les rejoindre, nous avons mangé dans le silence et je suis repartie me coucher.

Le lendemain matin maman a décidé de partir, je vais enfin respirer dans cette maison, j'espère que cette fille ne va pas me pourrir la vie dans ma maison.

Je les laisse et je file au travail.

Présentement je suis dans mon bureau, je pense à ce qu'elle m'a fait hier soir, avec son couteau dans la main j'ai eu la peur de ma vie.

Quand je suis revenue le soir, je vois Mira assise au salon, quand elle m'a vue elle s'est levée et s'est dirigé vers moi

- maintenant ta maman est partie, à nous deux monsieur le boss

-Mais qu'est ce que tu dis ? Je t'ai fait quelque chose de mal mademoiselle ?

- oui tu m'as fait très mal, tu as violé mon intimité en rentrant dans ma chambre alors que je dormais.

- je suis désolé, maintenant on peut passer à autre chose madame ?

-Tu es désolé ? ET tu veux que ça me fasse quoi hein, cher monsieur tu veux que ça me fasse quoi ?

Sa manière de parler me fait vraiment marrer, c'est qu'elle genre de fille ça même ? Elle va me rendre foun