Chapitre 5 COUPABLE ET NON COUPABLE !

CHAPITRE 5

COUPABLE ET NON COUPABLE !

Je me retrouvai dans un commissariat de police dans l'une de leur salle avec deux policiers, traditionnellement j'aurais eu droit au gentil flic et mauvais flic, mais là, j'avais plutôt droit au méchant flic et méchant flic à me poser des questions :

" – Qu'avez vous fait à Mlle LANKA ?

– Je ne lui ai rien fait, on discutait avant que vous n'arriviez !

– Pourtant Mr REISS, c'est bien son sang, sa main et ses restes que nous avions trouvez dans cette salle de bain ainsi que vous sur les lieux du crimes ?

– Parce que je lui ai rendu visite et comme je vous l'ai déjà dit elle était là avant que vous débarquiez. Elle venait juste d'aller au toilette.

– Vous l'aviez rendu visite, Mr REISS ? D'après les employés du café ; vous l'aviez suivie ! Un autre témoin qui vous a croisé dans l'ascenseur avec elle. Nous a assuré que vous étiez plutôt furieux Mr REISS, furieux pour une histoire d'explication qu'elle devait vous fournir. Et justement vous deviez savoir qu'on vous recherchait aussi pour une autre histoire de meurtre ? Celle de votre ancien employeur Mr COMIER !

– Je n'ai rien à voir avec cette histoire non plus.

– Donc Mr REISS, vous voulez nous dire que c'est une pure coïncidence. Que quelques jours après vous avoir licencier votre patron trouve la mort avec comme message : " il ne fallait pas faire ça ! " Vous disparaissez et quand on retrouve votre trace, vous étiez chez votre petite amie qui a été sauvagement tué. Oui nous savons pour vous deux, nous avons une vidéo en notre possession qui affirme nos dire.

– Si vous avez cette vidéo, vous avez sûrement vu que j'avais perdu connaissance et...

– Oui effectivement nous vous avons vus vous évanouir et devinez quoi Mr REISS ? Nous avons aussi vus votre petite amie qui fouinait dans le bureau de Mr COMIER.

Conclusion c'est à cause d'elle que vous avez été licencié, vous vous êtes venger de Mr COMIER en le tuant pour vous avoir licencié, mais quand vous avez appris que c'était sa faute à elle, vous l'avez tuée elle aussi ! Affaire résolu.

– Non ce n'est pas ça, c'est vrai que je voulais me venger de Mr COMIER mais pas en le tuant, je voulais juste lui donné une petite leçon, mais ce jour là, il était là avec deux choses bizarres qui ont tués mais amis et c'est la dernière fois que je l'ai vu.

– Donc vous étiez plusieurs ?

– Oui, non mais vous avez entendu ce que je viens de vous dire, mes amis ont été tués ! Je veux voir mon avocat, normalement j'ai dois à un avocat non ?

– Oui, mais avec toute les preuves que vous aviez contre vous ; je ne crains qu'il ne puisse rien faire pour vous Mr REISS.

– Moi aussi, j'ai une preuve de ce que j'avance. Je veux voir mon avocat ! "

Ainsi j'avais pu parler de la vidéo que j'avais pris avec mon portable à mon avocat commis d'office. Lors de mon procès, on leur montra la vidéo, ils la regardèrent, ils virent COMIER et au moment de voir les choses, le téléphone c'était éteint, il n'y avait plus de batterie. Putain de technologie quand on a vraiment besoin d'elle vous lâche. Mon avocat réussi à ajourné la séance au lendemain, histoire que l'on charge mon téléphone. Le lendemain nous reprîmes là, où nous en étions la veille. Au moment de voir les étranges créatures, plus rien ! Sur le coup, je ne compris rien ! le juge me fit comprendre qu'ils avaient perdu beaucoup temps pour rien. Et voilà en voulant me défendre grâce à cette preuve, je compris que je m'étais mis la corde au coup tout seul. Ils me regardèrent et me dirent que c'était la preuve pour me mettre derrière les barreaux. Ils tenaient leur coupable. et n'ayant aucune preuve de se que j'avançais car il y avait tout qui était contre moi, je fus inculpé du meurtre de Mr COMIER et de Samantha, je pris alors la plus lourde des peines ; la perpétuité ! Ma mère qui y assista s'effondra et continua à clamer mon innocence tout en répétant " – Ce n'est pas normal, il est évident que le reste de la vidéo à été effacé " disait-elle au policiers qui m'avait interroger et qui eux aussi étaient présents. Ils lui répondirent qu'elle divaguait et qu'ils n'avaient jamais eu de portable. " – Mensonges ! " leur cria-t-elle, mais en vain, le juge et les jurés avaient déjà pris leur décision, pour tous j'étais coupable. Les deux policiers qui m'avait interroger m'escortèrent personnellement au pénitencier auquel j'étais censé aller. Quand ils furent interpellé par d'autres agents, avant d'entrer dans leur véhicule. L'inspecteur Blake fut indigné de devoir me confier à ces agents sortis de nulle part, mais il n'avait guère le choix. ( Les ordres sont les ordres ! )

Les autres policiers m'embarquèrent, me mirent une cagoule qui m'empêcha de voir où l'on allait. Une chose qui était sûr, c'est que nous prirent l'avion, puis une voiture, ensuite un autre avion et enfin un ascenseur que je trouvai interminable, avant de recevoir une piqûre d'aiguille me mettant dans les vapes. À mon réveil, J'étais enfermé dans une pièce seul pendant plusieurs jours sans voir personnes, mais j'étais quand même sûr que je ne l'était pas. Je crus être au trou d'office. J'entendais des discussions, d'autres langages, des sons et des bruits bizarres. j'avais droit à deux repas par jour sans voir qui ou quoi me les ramenais, qui au passage était délicieux même trop pour un sois disant pénitencier. Un jour ; ils vinrent me chercher, je n'en croyais pas mes yeux, c'était ceux que j'avais vu le jour où mes amis sont mort. Pas la grosse dinde moche mais l'autre chose qui s'illuminait. Il y en avait une dizaine. Je ne savais pas qui ils étaient vraiment, mais avaient forme humaine. Ils étaient de couleur blanchâtre luminescente avec des yeux vides de plusieurs couleurs comme un prisme, des sourcils de très grande taille, pas de nez, mais six petit point à la place et pas de bouche. Ils avaient aussi un collier de perles et des bracelets de perles aux bras et aux pieds. Ils m'escortèrent dans ce qui semblait être un labyrinthe. Je n'y voyais pas grand chose excepter les long couloirs que l'on traversait. Nous arrivâmes devant ce qui ressemblait à une grande porte entre ouverte. Une fois traversé je tombai de haut, en remarquant que les lieux ne ressemblaient pas du tout à une prison. J'étais dans une ville immense ; qui ne s'apparentait à aucune autres villes que j'eus l'occasion de voir. De même la porte par laquelle nous étions passés, à sa fermeture, je constata qu'elle faisait partie d'un mur. Un mur si grand, si long, interminable qu'on ne voyait pas où il commençait et où il terminait. Tout à coup le sol se mit à bouger, un halo de lumière nous enveloppa. Et par une vitesse fulgurante nous nous élevâmes tout le long du mur. Durant notre ascension, je repérai beaucoup d'autres halo de lumière qui s'y déplaçait dans tous les sens ; c'était à la fois stupéfiants et magnifique à voir. Je n'étais pas aux bouts de mes surprise quand je leva la tête ! Une autre ville se dessinait avec comme particularité d'être à l'envers. Déconcerté de voir que tout tenaient en place, des drôles d'engins, des corps suspendus. Subitement la plateforme sur laquelle nous étions bascula et quand nous y accédâmes nous aussi étions à l'envers, c'était comme si je marchais sur le plafond de mon appartement et ça ne se ressentait même pas. Ils m'escortèrent dans un bâtiment colossal, voir une autre créature beaucoup plus grande et beaucoup plus grosse que toute les autres. Elle avait des piques sur la tête en guise de cheveux et des tuyaux qui lui parcouraient le Corps, assise sur un gigantesque trône. J'en conclus que sa devait être leur chef avec à ces côté une femme et un homme. L'homme me rappelait vaguement quelqu'un que j'aurais pu voir quelque part mais je ne me rappelais plus où et dans quelle autre circonstance j'aurais pu le voir et là femme elle, ne me disait rien du tout. Pourtant c'est-elle qui commença à parler, elle me dit: " – Quel plaisir de te voir Joshua. " Étonné quel connaisse mon prénom je lui répondis:

" – Excusé moi ! Mais on yse connaît ?

– Bien évidemment on se connaît, mais c'est normal que tu ne te rappel pas de moi.

– Mais qui êtes vous, madame ?

– Mais c'est moi Joshua. Je ne veux rien savoir, vos gestes parle pour vous. Vous êtes renvoyer, sortez de mon bureau. "

Et là je réalisai que...

" – Mr COMIER ! C'est vous ?

– Tu me remet maintenant, oui effectivement c'est moi ; Mr COMIER ; du moins c'était mon ancien moi. Désormais, je suis madame MARCHAL la future présidente de la France.

– Mais c'est quoi cette merde ! Vous êtes mort ?

– Oui, enfin c'est ce que tout le monde croit et dois-je te rappelé que c'est toi qui m'as tuer.

– Comment est-ce possible ?

– C'est une longue histoire, mais trêve de bavardages, laisse moi te présenté mes amis. Lui là le grand, c'est le grand XAAL le roi des URTNIS. Nous sommes ici chez eux dans l'Édennia comme tu as pu le constater c'est une autre espèce que l'espèce humaine. Ils sont très anciens, ils étaient là avant la naissance de la terre et sont à l'origine de tout, ce sont nos créateurs, nos dieux. Ils communiquent uniquement par la pensée d'où la présence de Jürgen qui fera office de traducteur. "

Jürgen se nom me disait quelque chose, mais ça ne me revenait toujours pas. Le grand XAAL le fixa puis après il me dit :

" – Si on t'as fait venir jusqu'à nous c'est parce qu'on a besoin de ton aide.

– Besoin de mon aide ? Comment ça, premièrement vous avez tuez mes amis, essayez de me tuer, puis séquestré, j'ai dû mal à comprendre !

– Vos amis ne sont pas mort regardé. "

Soudainement un écran s'alluma et je vis Carl ! Je n'en revenais pas :

" – Qu'est-ce que...

– Désolé frangin, je sais que c'était un peu tirer par les cheveux. Mais c'était le seul moyen. Tu ne nous auras pas cru.

– Alors depuis le début vous...

– C'est pour une cause qui nous dépasse. Tu peux leur faire confiance. Regarde, tout le monde vas bien. "

Denis, Wesley, Fred ils étaient tous là. On discuta encore quelques minutes, ensuite Jürgen repris la parole :

" – Cela faisait partie de la mise en scène pour vous attirer vers nous. Il fallait qu'on vous fasse disparaître et oublier d'où les schmirtt chez vous. Vous voyez le monde ne connais pas notre existence et c'est mieux ainsi. Comme ça nous pouvons mieux les protéger, vous avez regardez autour de vous quand vous étiez escorté ? Il y a d'autres humains qui travaillent avec nous et aussi d'autres êtres, nous faisons notre possible pour un monde meilleur. Quand à votre séquestration, nous ne savions pas comment vous réagiriez. Donc c'était pour que vous vous calmiez un peu.

– Mais pourquoi moi, et en quoi puis-je vous venir en aide ?

– C'est parce qu'il y a très longtemps, pour notre bien à tous, nous avions passez un pacte avec une autre race qui vie chez vous. Et qui malheureusement ne respecte plus notre accord. Ils ont l'art de la dissimulation. c'est eux qui sont responsables pour votre amie Samantha. Pourquoi vous ? C'est parce que nous avons décelé quelque chose en vous qui pourrait nous aidez à leur mettre la main dessus et que nous avons besoin des meilleurs.

– ...!???

– Vous n'avez rien à craindre de nous car si c'était le cas il y a longtemps que se serait fait. " Et M. MARCHAL rajouta : " ça oui, tu peux le croire, ils sont partout. "

Après coup ils me dirent que j'étais libre. Que Jürgen serait charger de me montrer où je résiderai ainsi qu'il sera mon guide pour une visite de l'Édennia. Et qu'il me donnera toutes les explications de comment je pourrais les venir en aide.