J'avais l'air d'être un clochard dans le bus, tous le monde me dévisageais, j'étais torse nu, je puais les ordures, mais le comble ; c'était quand l'un des passagers me donna une pièce d'un euro. J'eus l'envie de la lui balancer sur sa tête ; seulement vu que j'avais d'autres choses qui me tracassait, je n'en fis rien. Quand j'arrivai près de chez marc il faisait presque jour, je regardai l'heure, il était déjà presque six heures du matin. J'espérai qu'il ne soit pas encore parti. Je sonnai à son interphone, pas de réponse, je réessayai un peu plus longuement et là j'entendis :
" – qui c'est ? " d'une petite voix. J'en conclus que je venais de le réveiller.
" – C'est Joshua, désolé de te réveiller, faut que je te vois, c'est urgent !
– T'as vu l'heure qu'il est ?
– je sais, mais c'est urgent.
– Ok vas-y monte.
Marc en ouvrant la porte :
" – T'aime bien m'emmerdé, tu as de la chance qu'on soit de la même famille sinon je ne t'au... how, que t'est-il arrivé ? T'as pas de t-shirt et c'est quoi cette odeur ?
– Ils sont morts, ils sont mort.
– Entre ; qui est mort ?
– Ils sont tous mort, on était là, sa brillait, des cris, des particules, des....
– Quoi ! Je ne comprends rien, tu m'as l'air d'avoir pris une drogue puissante pour être dans cette état. Tu m'en a ramené un peu, au moins ?
– Pris de la drogue, tu te moques de moi, tiens regarde ça ! "
Je lui montra ce que j'avais filmé, il tomba sur le cul. Mais qu'est-ce que c'est que ça ? Me demanda t-il ? Je lui répondis que je ne savais pas encore, mais que c'était ses choses qui avaient tués mes amis. Et je lui racontai tous ce qui c'était passé, il finit par me prendre au sérieux. Ensuite je lui dit que j'avais besoin de son pc, car je devais vérifier ce qu'il m'avais laissé sur la clé. C'était la vidéo surveillance du jour où j'ai été licencié.
" – Tu crois qu'il y a un rapport avec ?
– Je pense que oui. "
Il me passa alors son pc et on regarda ensemble. C'était la vidéo de la caméra qu'il y avait dans la salle où, se trouvait le bureau de Samantha et on pouvait apercevoir la porte du bureau de COMIER juste en face.
" – Là, c'est quand je suis entré dans le bureau de COMIER et là c'est quand COMIER est parti. Ok, maintenant c'est quand Samantha est venu me voir.
– Ah bon ! Samantha est passé te voir ! Et en plus elle est resté longtemps quand même ! Que faisiez vous ensemble ?
– C'est une longue histoire.
– Tu te l'est taper ! Petit veinard. Et tu ne me fait pas Péter l'info, petit cachottier.
– Mouais...
– C'est bien ce qui c'est passé ! Alors raconte, elle est bonne ?
– Il y a bien plus grave à régler, et toi c'est tous ce qui t'intéresse !
– Désolé ; mais en même temps...
– Là c'est quand elle est partie. " Quelques minutes plus tard.
" – Je pense que c'est à ce moment que j'ai perdu connaissance et... Samantha ! Elle était revenue, moi qui croyais qu'elle était absente, merde elle m'a menti. "
Et je découvris avec stupéfaction que Samantha m'avait menti ; elle était repassée dans le bureau de COMIER quand je m'étais évanoui. C'était donc elle qui avait fouillée le bureau et moi qui croyais que c'était Ludovic. Je donnai à Marc comme conseil de ne pas allé travailler, il me dit qu'il ne pouvait pas, sinon il risquerait à ce qu'on remonte vers lui, je lui répondis ok, mais fallait qu'il pense à démissionner très vite. Il fut d'accord, mais il était obligé d'y aller ce jours-là.
Il me laissa prendre une douche et me passa des vêtements propre. Je le laissai et décidai de retourner chez moi. Arrivé devant la porte de mon appartement je vis quelqu'un y sortir, je lui demandai ce qu'il faisait chez moi, et cette personne me répondit que j'étais fou, car c'était de chez elle qu'elle sortait. Surpris je toquai chez Christian le voisin d'en face, qui sortit :
" – Salut Christian ça va ? Il y a cette personne qui est sortit de chez moi. "
Il regarda la personne en question et lui dit : " – Ça va Greg ? " Et me regarda bizarrement pour me dire ensuite :
" – Mais qui êtes vous Mr ?
– Mais ; c'est moi Joshua ton voisin d'en face, on c'est vu hier soir avant que ton ch... Et ton chien ça va, il va bien ? " et lui me répondit qu'il n'avait pas de chien, qu'il ne me connaissait pas et d'ailleurs comment que je connaissais son nom ? là je m'étais dis que c'était de plus en plus bizarre, puis il hurla qu'il appellera la police ; sous ses menaces je partis au plus vite. Quelques minutes après je reçus un appel de Marc, qui me dit qu'à son arrivé à la société qu'il n'y avait aucune trace de tous ce que je pus lui raconter. Pas de grabuges, pas de fenêtres cassés, pas de morts et que tout était normal du moins jusqu'à l'arrivée beaucoup plus tard de policier venant leurs annoncés la mort de Mr COMIER dans sa maison et qu'il s'agissait d'un meurtre. Ils auraient trouvé une inscription au dessus du cadavre qui disait qu'il ne fallait pas me faire ça ! Et qu'ils lui avaient poser des questions à mon sujet, car ils savaient pour mon licenciement, qu'il pensait qu'ils me soupçonnaient. Mais qu'il n'avait rien dit et qu'il ne pouvait guère me garantir que d'autres n'auraient pas fait autant. Il me dit aussi de faire attention à moi et raccrocha. Choqué par ce que je venais d'apprendre, je décidai d'aller voir Samantha ; car elle avait des explications à me donner. Bien évidemment, elle n'était pas encore rentré donc je guettais son arrivé dans un café non loin de chez elle. Avec la folle soirée que j'avais passé, je finis par m'assoupir un peu et je retombai dans mon rêve récurrent. Le grand hall, la belle brune, nos regards qui se croisent, notre attirance et au moment où je commence à aller vers elle ; je fus réveillé par le serveur qui me secouai : " – réveillé vous Mr, voilà l'addition, Mr. " Je payai l'addition et je regardai l'heure qu'il était, là je vis Samantha passée, je me précipitai pour la rejoindre quand passa un flash info sur la télé du café. Qui parlait du meurtre sauvage de Mr COMIER chez lui et que l'unique suspect c'était moi car il y avait ma photo. C'était comme me l'avais dit Marc, je disparus du café avant qu'on me reconnaisse. Je suivis Samantha jusqu'à ce qu'elle entre par le portail de son immeuble, je réussis à me faufiler avant que la porte ne se referme, elle prit l'ascenseur quand j'arriva à son niveau, les portes de l'ascenseur s'était presque refermé. Je mis mon bras qui bloqua et força la réouverture des portes. Là, elle fut surprise de me voir. Joshua, s'écria t-elle, " – mais que fait tu là ?
– Tu me dois des explications !
– Des explications, mais de quoi parles-tu ?
– Ne joue pas l'innocente avec moi je sais tout.
– Tu sais quoi exactement ?
– Par exemple que c'est toi qui a fouillée le bur... "
Elle m'interrompit en posant son doigt sur mes lèvres, me fit signe d'attendre. Avant de me dire qu'elle m'expliquerait tout, une fois chez-elle. D'accord, je lui répondis, nous continuâmes et arrivâmes à son étage. Quand nous sortîmes de l'ascenseur elle me glissa dans l'oreille qu'elle était heureuse de me voir, elle ouvrit la porte et nous entrâmes. Une fois à l'intérieur, elle me proposa un verre. Que je refusai bien sûr et la rappelai que je n'étais pas venu pour ça. Qu'elle ferait mieux de me dire ce qui s'était passer ce jour-là et ce qu'elle cherchait dans le bureau de COMIER. Elle tourna autour du pot et commença par me dire que ce n'était pas contre moi, mais qu'elle n'avait pas le choix.
" – Comment ça pas contre moi ! " je lui répétai ! Et elle me dit que COMIER recherchait quelqu'un depuis quelques temps et que ce pourrait être moi.
" – Comment ça ?
– il ne m'a rien dit de plus. Tout ce que j'avais à faire c'était de m'assurer à te faire sentir un parfum qu'il m'avait remis. Je ne sais comment, mais il savait pour notre relation car il m'a préciser que ça ne sera sûrement pas difficile à faire vu qu'on fricote déjà ensemble. c'est mot pour mot ce qu'il m'a dit, je lui ai demandé pourquoi je ferai ça ? et qu'est-ce qui se passerais si tu respirait cette odeur. Il me répondit que tu mourras. Puis il rigola et me dit qu'il plaisantait, que se serait pour lui la façon d'être sûr que ce soit bien toi qu'il cherchait. Et que de toute façon que je n'avais pas le choix, que c'était sois ça, sois la porte. C'est tous ce que je devais faire, je te le jure !
– Mais qu'est-ce qu'il me veut ? plutôt qu'est-ce qu'il me voulais ? maintenant qu'il est mort.
– C'est toi qui l'a tué ?
– Bien sur que non, j'suis pas un assassin. Mais tu est revenue dans le bureau. Pourquoi ?
– je suis revenue pour voir comment tu allais. Puis je t'ai vue au sol, j'ai cru que t'étais mort. J'ai appelé COMIER pour lui dire et il me répondis est-ce que j'étais sûr, c'est la que je me suis rapprochée et que j'ai constatée que tu étais juste inconscient.
– Tu ne me dis pas tout. Pourquoi le bureau était sans dessus-dessous ?
– Justement j'allais y venir. COMIER était intimidant mais les autres eux me faisait vraiment très peur. Ils m'ont demandés de chercher un certain dossier que COMIER était censé recevoir ce jour même.
– Le pc ! Tu l'a encore avec toi, ce fameux dossier ?
– Oui.
– C'est qui les autres ?
– Je ne sais pas !
– Tu dois les revoir quand ?
– Je ne sais pas, ils m'ont dit qu'ils prendraient contacte avec moi. Maintenant tu permet je reviens.
– Tu vas où ?
– je vais pisser, j'ai le droit ?
– Ho, excuse moi ! "
Pendant ce temps je me répétais dans la tête ce qu'elle m'avait dit, les autres... Les autres, how, elle voulait sûrement parler de ceux que j'avais vu ? J'étais plongé dans mes pensées quand j'entendis un cri suivie d'un bruit de porte défoncé, des verres se brisés et des : " – Police on ne bouge plus, à terre. " Chose que je fus sans bronché, j'étais cerné. Ils me menottèrent et me demandèrent si j'étais seul ? je répondis que non, qu'il y avait une amie dans la salle de bain. Et ils répétèrent :
" – Il y a quelqu'un ? " à deux reprises mais curieusement aucune réponse. Ils allèrent fouiller le reste de l'appartement, quelques minutes après j'entendis un " haaaa ", puis un " bhgggll ", comme ci l'un d'entre eux gerbait ensuite :
" – quel horreur. "
Ils revinrent vers moi et me dirent :
" – Mr, nous avons trouvé du sang, un bras et des morceaux de viscères mais pas votre amie. "
Bam ; le choc :
" – Pourtant j'étais avec elle, il n'y a même pas cinq minutes. "
Et ils répliquèrent :
" – Mr, sois vous l'avez tuée, sois elle c'est volatilisée. "
Et ils m'embarquèrent.