Alors qu'elle continué reculé, elle posa son pieds sur une plaque d'égout, elle commencer à trembler au niveau de ses jambes qui devenait aussi fragile qu'une hanse de tasse en porcelaine. Alors qu'elle posait son deuxième pieds sur cette plaque d'égout, celle-ci céda et Allice se retrouva à tomber dans un trou, comme ça !! Mais ce n'était pas une chute normal, elle était trop longue, et pourtant ça n'empêcher pas à Allice de crier de tous ses poumons, ayant retrouvé sa voix comme par magie.
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Tout en chutant... encore, elle criait, jusqu'à ce qu'elle voit un lapin. Un vrai lapin, blanc en piteux état, il avait l'air d'avoir une morphologie différente des lapins albinos qu'on avait l'habitude de voir, ce qui le rendait, presque glauque. Ce lapin l'a regardait avec ses gros yeux rouge, puis d'un coup, alors qu'Allice se demandait, si elle n'avait pas était drogué, ce lapin se mit à crier, ce qui réveilla Allice qui elle à son tour se mise aussi et encore à crier.
Leurs chute avait l'air de durer deux heurs, plusieurs objets était apparu entre temps, chutant avec eux, des parapluies, tableaux, tables, tasses, énormément de tasse. Allice n'avait presque plus de voix, et cette fois, c'était Joji qui l'accompagnait dans sa descente aux enfer. Jusqu'à ce qu'elle tombe sur un sol, qui n'avait rien de cette eau fétide qu'on pouvait trouvé dans les égouts.
Non, c'était un sol carrelé, comme un grand jeux d'échec. Mais ce n'était pas le seul truc étrange, premièrement, ces pauvres pizza avait disparu, son portable lui toujours dans ses mains, mais elle portait des vêtements différent. Elle qui habituellement ne s'habiller que noir, elle portait une robe mi-longue bleu, un bleu un peu trop bleu selon elle. Ses converses ne l'avait pas abandonné, mais d'horrible collant à rayure noire et blanche étaient venu se rajouter à la paire.
Même ses cheveux avait décidé de jouer eu rebelles en sortant de leurs tresses habituelle. Elle regarda partout autour d'elle et s'aperçut que cette pièce était remplie de tableau, sans personnage, comme si les personnes peintes s'étaient enfuit. Ce qui était d'autant plus effrayant. Alors qu'elle continuait de tourner sur elle, elle se rendit compte que son le lapin avait disparu. Est-ce que ça aussi, elle l'avait imaginé ?
Derrière elle se trouvait une porte, qu'elle s'empressa d'ouvrir, avant de tomber sur une autre porte, un petit-peu plus petite. Ce petit manège se répéta plusieurs fois, jusqu'à ce qu'Allice soit vraiment énervé. Heureusement, la dernière par laquelle Allice pouvait encore passer donna sur une autre pièce, qu'elle s'empressa de rejoindre.
Cette pièce avait l'air plus grande que l'ancienne, dix fois plus grande même. Il n'y avait plus de tableau sur les murs, il n'y avait rien, même les portes par lesquelles elle était avaient disparus. Elle tourna sur elle même et découvris un rideau, rouge, magnifique, attaché par des cordes dorées, digne du plus beau des théâtre. Elle allait y passer sans hésiter pour sortir de cette pièce un peu trop vide, quand une voix résonna derrière elle.
??? : Je ne ferais pas ça, si j'étais toi.
Allice : Quoi ??
Allice se retourna surprise d'entendre une autre voix et crut halluciner, lorsque qu'elle vu ce chat là fixer du regard. Il était un peu trop grand pour être un simple chat. Mais il lui fallait une grosse tête pour contenir cette énorme bouche qui souriait. Il avait la peau sur les os et pourtant il avait l'air plus en forme que la fille devant lui.
Il se leva sur ses deux pattes arrière et enfila un veston devant Allice avant de prendre une canne sortit de nulle part et de s'approcher d'Allice. Le Chat l'a contourna pour aller prêt du rideau qu'il entrouvrit légèrement pour la nouvelle. D'un signe de tête, il invita Allice à y jeter un coup d'œil.
??? : Voici le pays imaginaire, son nom peut paraître enchanteur, mais c'est tous le contraire. Je n'ai jamais vu quelqu'un sortir de ce pays intacte et si tu aime la souffrance, je pense que c'est la meilleure destination, mais vu les cris que tu as poussé à ton arrivé, je doute qu'il soit vraiment fait pour toi.
Tout avait l'air classe chez ce chat, il ne lui manquait plus qu'un chapeau haute-forme et une clope au bec pour être parfait. Le chat referma le rideau et Allice se rendit compte que plusieurs porte ou ouverture était apparu dans la pièce, il y avait un toboggan, un mur de brique rouge, un miroir, une armoire, un ascenseur et d'autre encore. Mais une porte se démarquer des autres, parce que c'était celle de la maison d'Allice.
Allice : Si je passe par cette porte ? Je rentre chez moi ?
??? : Dans un sens.
Allice : Comment ça ?
??? : Cette porte, c'est l'enfer, mais n'importe lequel, le tiens. Passe par cette porte et tu vivra un cauchemars.
Allice : Mais alors... Comment je rentre chez moi ?
??? : Eh bien, tu vois ces portes par lesquels tu est passé ?
Allice : Oui ?
??? : Normalement, c'est aussi la porte de sortie.
Allice : Vraiment ?? Merci, enfin...
??? : Tu ne pourra pas y passer.
Allice : Quoi ? Pourquoi ?
??? : Tu n'est pas la seule à y être rentrer.
Allice : Si, je l'aurait vu si il y avait eu un autre... Le lapin.
??? : Deux personnes rentre, deux personne sortent. C'est comme ça que ça marche. Si vous êtes 2 à être rentré, tu vas devoir trouver une autre personne avec laquelle sortir.
Allice : Cet espèce lapin, ou il est partit ? Puis vous êtes qui ?? Et c'est quoi ça ? Un cauchemar ? Mais oui... Je suis en train de dormir, j'ai rêvé les pizzas, la ruelle et même le déménagement...
Alors qu'Allice riait seule soulagé que cette folie soit dans sa tête, elle ressenti d'un coup, une douleur sur son avant bras droit, elle baissa les yeux dessus et découvris une énorme griffure plutôt profonde, puis elle releva la tête et vis ce maudit chat lui tendre une mouchoir.
Allice : Vous m'avez...
??? : Tu étais en train d'insinuer que je n'étais qu'un rêve, c'est moi qui devrait être offusqué.
Allice : Mais c'est pas possible... Vous êtes un chat qui parle... Vous êtes qui ?