Tous le monde peut devenir le héros d'une histoire. Non, tous le monde est le héros d'une histoire, de son histoire. Pas besoin de princesse, de chevalier, de méchante reine qui jalouse votre beauté. Vous êtes le héros de votre histoire, a condition que vous accepter d'être au devant de la scène. Et malheureusement, ce n'est pas le cas d'Allice. Allice est une adolescente particulière et à première vu, elle n'a pas l'air d'une héroïne de contes. Premièrement, elle déteste se faire des amis, c'est une solitaire.
Deuxièmement, ce n'est pas le genre de fille à aidé les petites vielles à traversé la route. Non, qu'elle ai le rôle de la méchante, mais elle utilisera comme excuse « Non, c'est bon, quelqu'un d'autre va l'aider. ».
Allice est même qualifié de froide par sa mère, ce qui est très fort quand on connaît sa mère. Une femme très original, qui adore exprimait sa bonne humeur à tous les coins de rue, c'est mission impossible de ne pas aimer cette femme, cette femme, c'est la joie. Ce qui fait que beaucoup pense que la mère d'Allice, Caroline, aurait peut-être adopté la jeune fille. Mais non, Allice est bel est bien la fille de Caroline. Elles n'ont d'ailleurs pas toujours était toutes les deux, avant bien sur, il y avait le père d'Allice.
Terrence, un homme qui faisait fondre toutes les mamans du visionnages par sa beauté. Ils formaient la famille parfaite, si on enlève la froideur d'Allice. Mais un jour, une dispute à éclaté entre les deux amoureux et le père d'Allice à quitté la maison. Elle le voit pendant les vacances et lors des Week-end, mais à la maison, ce n'est plus vraiment pareil, même si dehors sa mère paraît être la femme la plus heureuse du monde, à la maison, Allice voit bien que le départ de son père la touche.
Caroline : On déménage !
Allice : Quoi ?
Caroline : Je sais, ça peut paraître précipité, mais je te promet que tu ne vas pas le regretter. On va arriver dans une nouvelle ville, pour de nouvelles aventures, un nouveau lycée. Peut-être même que tu te trouvera un petit-ami !
Allice : Pourquoi on déménage ?
Caroline : On va retourner vivre chez ta grand-mère, ça fait trop longtemps qu'on est éloignée !!
Allice : Ah, d'accord.
Caroline : Vraiment ? Tu n'est pas excité ? Ou en colère ?
Allice : Non.
Caroline : Bien sur... Je t'aime ma puce.
Allice : Moi aussi maman.
Caroline avait espérer faire ne serait-ce qu'un peu réagir sa fille, mais elle n'avait pas de racines dans cette ville et elle n'en n'aurait sûrement nulle part. Une fois dans sa chambre, Alice se mit à ranger celle-ci, si les deux femmes déménageaient mieux fallait ne pas être en retard dans les cartons, puis de toutes façon, elle n'avait rien d'autre à faire.
Elle mit sa musique dans ses oreilles et fit partir du Bring Me the Horizon a fond tout en emballant ses livres. Tout en chantant Parasite Eve, elle rangea sa chambre de fond en comble avant que sa mère ne vienne la prévenir qu'il fallait aller chercher le dîner.
Allice : Qu'est-ce qu'on mange ce soir ?
Caroline : Pizza !! Je les ai déjà commandé, tu peux aller me les chercher ?
Allice : Pas de problème.
Caroline : Merci choupinette.
Tout en gardant ses écouteurs sur ses oreilles, elle enfila ses converses et sortit de leurs petit appartement direction, le Borat ! Un nom original pour une pizzeria, mais le propriétaire est un fan. Il ne lui fallu qu'une dizaine de minute avant d'arriver au sein Graal. Elle prit alors ses deux boîte commandé par sa mère et rebroussa chemin.
Sur la route, elle s'arrêta quelques secondes pour faire son rituel secret, bizarre, mais elle adorait ça. Elle sortit les boîtes de pizza de leurs sachet en plastique blanc et le mit dans sa poche. Elle préféré porter les boîte à la main, premièrement, ça la réchauffer et quand elle rentrait chez elle, avait encore l'odeur de la pizza sortant du four sur les mains.
Mais alors qu'elle allait reprendre sa route, son sac plastique décida de se faire la mal. Elle aurait bien laissé tombé, mais sa conscience ne l'aurait pas lâcher en citant sa propre mère. Elle s'approcha donc de ce foutu sac plastique pour le ramasser quand celui-ci s'envola un peu plus. Elle du parcourir une bonne dizaine de mètre a courir après ce sac, jusqu'à arrivé dans une ruelle assez sombre.
Une fois le sac en mains, elle s'apprêta à rebrousser chemin, quand elle remarqua qu'il y avait quelques choses de changer dans ce maudit sac. Il y avait un dessin dessus, lui qui était tous blanc quelques minutes auparavant. A présent il y avait un prénom dessus, le siens. Mais avec une faute d'orthographe. Le siens s'écrivait avec deux l et non un. Elle examina encore ce sac quand un homme se plaça à l'entrée de la ruelle.
Sa musique toujours tournant dans ses oreilles, Allice releva la tête et bloqua son regard sur cet homme. Elle commençait petit à petit a avoir peur, espérant sincèrement que c'était juste un sans abris qui chercher un coins tranquille. Mais l'homme sortit d'une de ses poches un mini canif ayant pour réaction d'Allice que ses larmes commencent à perler sur ses joue. Elle avait peur, mais même ce sentiment rester bloqué en elle. Elle commença alors à reculer tout en serrant son sac plastiques dans la main et en priant que quelqu'un d'autre passe pas là. La panique lui ayant fait perdre l'usage de sa voix, elle n'avait personne pour l'aider.
Alors qu'elle continué reculé, elle posa son pieds sur une plaque d'égout, elle commencer à trembler au niveau de ses jambes qui devenait aussi fragile qu'une hanse de tasse en porcelaine. Alors qu'elle posait son deuxième pieds sur cette plaque d'égout, celle-ci céda et Allice se retrouva à tomber dans un trou, comme ça !! Mais ce 'était pas une chute normal, elle était trop longue, et pourtant ça n'empêcher pas à Allice de crier de tous ses poumons, ayant retrouvé sa voix comme par magie.