La nuit étant sombre je n'ai pas bien vu son visage mais une chose était sûr c'est qu'il était pas n'importe qui et qu'il était pas là par hasard avant que je ne puisse faire un seul mouvement il m'a pris avec tellement de force qu'il ne pouvait pas être un simple concierge. Au bout de trois secondes j'étais déjà debout à quatre centimètres de lui . Mon cœur a raté un battement face au corps bien battit de l'homme qui pouvait se voir même dans la nuit sombre.
Après quelques secondes des gardes sont arrivés sans qu'en ait pu en placer une.
«Mon...Monsieur vous... vous êtes déjà arrivé ??» Visiblement il tremblait, mais de quel monsieur parlati-il à ce moment là j'étais toute aussi confuse que le garde .
«Non mais vous êtes con ou quoi, à cause de vous la fugitive la plus importante a failli fuir, si j'étais pas arrivé à temps elle serait sûrement déjà loin en ce moment. Je suis venu ici uniquement pour elle qu'Auriez-vous dit si j'arrivais le lendemain sans la voir ?» la quoi?? Mais qu'est-ce qui se passe ? Se pourrait-il qu'il soit l'officier qu'on attendait et sinon il était censé arriver demain non , mais alors pourquoi était-il là maintenant ??
Sans se soucier de moi il a continué à réprimander les garde « Mais où étiez vous quand elle est sorti de sa putain de cellule ? Vous avez de la chance que j'ai décidé de venir plus tôt pour aller la prendre au dépourvu .» après un moment de silence il a continué tout aussi énervé « mais qu'est ce que vous attendez ramenez la dans sa cellule au lieu de me regarder comme ça »
Alors les gardes ont commencé à me prendre et à me transporter jusqu'à la pièce où j'étais avant de fuir. Arriver dans la pièce il n'a pas fallu beaucoup de temps pour que lui aussi n'y arrive . Dès qu'il est entré dans la pièce la salle s'est immédiatement illuminé m'offrant donc l'opportunité d'enfin voir son visage , un visage qui était pas seulement beau mais qui était orné d'une belle mâchoire des yeux comme ceux de l'océan et une belle lèvre fine .Qui dans d'autres circonstances j'avoue que j'aurais aimé. Lui il avançait en grande enjambée vers moi avec une expression impassible plus tard il était près de moi me prenant si fort le bras que je ne sentait plus rien à part celle douleur mais au lieu de me montrer faible je l'ai regardé dans les yeux avec une telle intensité .
«Qu'est ce que tu me veux , je n'ai absolument rien à te dire ... j'ai dis que j'étais innocente dans cette histoire alors pas la peine d'insister je sais rien» après que j'ai dis cela il ne s'est pas arrêté mais au lieu de cela il m'a pris mes deux bras et m'a coincé au mur ... toutes ses actes se faisaient toujours avec une telle force que quand il m'a poussé vers le mur j'ai ressenti une vive douleur me parcourir tout le dos laissant échapper une larme de mes yeux .
« Qu'est ce que je te veux... je veux te faire souffrir autant que vous les dealers font souffrir à ce qui vous prennent de la drogue , tu n'es pas innocente parce que tu étais à la fête où tous les dealers se réunissaient alors arrête de faire semblant et raconte-moi tout pour pouvoir alléger ta peine ou sinon je te ferai tellement souffrir que tu regretteras d'avoir croisé ma route » disait-il avec une colère bien évidente mais je ne le laisserais pas m'intimider pour quelque chose que j'ai pas fait alors je lui ai craché « tu peux faire tout ce que tu veux je m'en fous mais j'ai absolument rien fait et si tu persistes je te promet que je m'enfuirai et là tu es bien prévenu » je lui ai dit tout en soutenant son regard d'assassin.
« Alors j'espère que tu es assez sobre maintenant pour subir les tortures parce qu'à partir de maintenant t'auras plus à manger jusqu'à ce que tu me dises tout ce que tu sais » alors il m'a laissé littéralement tomber par terre et a retourner les talons pour partir ... Dès qu'il est sorti la pièce est aussitôt replongée dans l'obscurité laissant entendre les ordres de l'officier au garde« Gardez bien un œil sur elle parce que si vous faites encore un autre faut pas vous ne voudrez même pas savoir ce que je vous ferais... oh et ne la donnez plus à manger »
« Mais monsieur on peut pas...» avant qu'il ne puisse terminer l'officier les a interrompus «Vous n'avez pas pas compris ce que j'ai dit à ce que je vois »
« si si monsieur on a compris me vous inquiétez pas » disaient-ils avec une teinte de peur dans la voix . Alors un bruit de pas s'éloignant s'est fait entendre .