Nous vivons que pour ça
img img Nous vivons que pour ça img Capítulo 4 Pary
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Capítulo 4 Pary

Je m'appelle Sonia, j'ai 20 ans et suis en DUT Génie civil. C'est là que j'ai rencontré mon premier copain (le premier à qui je me suis donnée) et celle avec qui je co-loue depuis la rentrée, Alice, étudiante en commerce. Nous habitons un appartement composé de deux petites chambres, d'un grand espace cuisine avec une petite table où nous mangeons et d'un ''lieu de vie'' avec grande table et télévision (que nous n'utilisons pas). A cela s'ajoute une vraie salle de bains avec douche et baignoire. Cette histoire commence en février alors que nous logeons ensemble depuis septembre.

A ce moment-là, ni Alice ni moi n'avons de copain. Nous avons appris à nous connaître et ni l'une ni l'autre ne sommes gênées pour sortir de la salle de bains en sous-vêtements mais nous avons aussi toutes les deux une certaine pudeur et ne nous sommes jamais promenées nues dans l'appartement. Quant à mon expérience sexuelle, elle est très limitée. J'ai joui pour la première fois bien involontairement sous ma douche alors que je me rinçais avec un jet puissant quand j'avais presque 17 ans et j'ai joui une ou deux fois avec le seul copain que j'ai eu sans pour autant trouver cela extraordinaire. Nos soirées sont en général chargées ; nous travaillons sur la grande table commune et nous n'arrêtons qu'au moment du repas que nous avons décidé de partager systématiquement. A ce moment, nos discussions peuvent aussi bien porter sur nos cours, nos obligations que sur une observation fine (et peste) de nos profs ou des vêtements portés par les autres. Ce soir-là, alors que nous n'en étions qu'à l'entrée salade, je me payais une des étudiantes de ma promo en dénigrant ses tenues très légères qui laissaient souvent voir des sous-vêtements faisant bébé et non assortis, Alice, riant aux larmes, m'a dit que j'étais vraiment trop peste et que je méritais un gage. J'ai éclaté de rire à mon tour et lui ai dit que j'étais d'accord dès lors que ce serait réciproque et que nos gages devaient rester dans l'appartement ou, s'ils étaient extérieurs, n'être que de l'humour gentil n'entraînant jamais de malaise pour celle exécutant le gage comme pour les personnes impliquées. Alice étant d'accord avec moi, j'ai attendu mon premier gage. Comme je m'étais moqué des sous-vêtements ridicules et non assortis de ma camarade, elle m'a imposé de finir la soirée en sous-vêtements s'ils étaient assortis ou torse nu si ce n'était pas le cas ! Prise au jeu, je me déshabille. Alors que je fais tomber mon pantalon, Alice s'écrie que je suis prise au piège et que je dois aussi retirer le soutien-gorge. J'avoue avoir marqué un temps en espérant qu'elle comprenne ma gêne. Mais Alice a insisté en me disant que je m'étais engagée ! Pendant que je dégrafais mon 90 C, Alice avait les yeux qui pétillaient alors que je me sentais rougir. C'est alors qu'elle a ajouté qu'elle me trouvait à croquer... faisant redoubler ma sensation de chaleur sur mes joues. J'ai piqué du nez et ai fini mon repas sans rien oser ajouter. Et c'est dans cette tenue que j'ai rejoint mon espace de travail. Cependant on se refroidit rapidement à travailler assise et immobile. J'ai donc demandé à Alice la permission d'enfiler un peignoir en le laissant ouvert. Sous couvert des règles tacites, elle a refusé mais m'a dit qu'elle acceptait me réchauffer autant que je voudrais. Elle s'est levée et s'est positionnée derrière moi pour me frotter le dos énergiquement. Cela m'a fait le plus grand bien ainsi que les deux autres fois où elle a recommencé : sensation de chaleur et en même temps frisson de sentir quelqu'un me frotter le dos... Le travail fini, alors que je me levais pour aller me préparer au sommeil, Alice m'a dit qu'elle devait me réchauffer une dernière fois ; elle est venue face à moi et m'a prise dans ses bras pour me frotter le dos. Alors que j'étais ainsi serrée contre elle, ma poitrine nue pressée contre la sienne, j'ai senti la pointe de mes seins durcir. C'était bon mais j'étais extrêmement gênée de le montrer. C'est à ce moment là qu'Alice s'est écartée et, en glissant le dos d'un doigt sur chacun de mes seins, m'a dit « Merci pour ce joli corps ». Je me suis sentie devenir cramoisie et me suis empressé d'occuper la salle de bains. Ma nuit a été étrange, agitée, j'ai eu l'impression de ressentir la caresse des doigts d'Alice sur mes seins dès que je bougeais. Ma journée du lendemain fut plus calme et me permit d'oublier ce trouble. J'étais déjà au travail quand Alice est rentrée et elle m'a vite rejointe en silence. Alors que nous passions en cuisine en vue du repas, j'ai commencé à parler d'un intervenant extérieur que nous avions eu dans la journée et que nous devions revoir le lendemain, tout en précisant qu'il avait été passionnant, j'ai ajouté que je n'avais jamais vu homme si laid... Alice a aussitôt crié ''gage'' ; j'était penaude de m'être ainsi laissée prendre et ai tout de suite craint d'être à nouveau déshabillée alors que nous n'avions même pas commencé le repas. Elle s'est arrêtée pour réfléchir puis m'a dit qu'elle ne savait pas si j'avais été vraiment méchante... elle m'a alors condamnée à prendre cet homme en photo ; si mes dires s'avéraient vrais, il ne se passerait rien d'autre sinon j'aurais un vrai gage de méchante. Là, j'étais rassurée car il était vraiment laid mais il fallait que je réussisse à le photographier sans me faire remarquer ! Je lui ai quand même rétorqué que, s'il s'avérait que j'aie raison, c'est elle qui recevrait un gage pour me soupçonner de mensonge. Elle m'a dit que j'étais une petite futée mais qu'elle acceptait cette contrepartie. Notre conversation s'est poursuivie gentiment jusqu'à ce qu'en fin de repas Alice, me parlant d'une professeure venant d'arriver, me dise « celle-là, si elle a été commerciale dans sa vie, c'est avec ses énormes nibars qu'elle a vendu tant elle expose ! » Je me suis empressée de crier ''gage''. Alice a éclaté de rire de s'être ainsi fait prendre. Vu ses propos, je ne pouvais que la condamner à finir la soirée seins nus. Tandis qu'elle se déshabillait, son rire a redoublé et elle m'a dit qu'elle constatait que je me contentais d'une basse vengeance. Et, retirant son soutien-gorge, elle a ajouté que j'allais devoir moi aussi la réchauffer lorsqu'elle aurait froid... C'est comme hypnotisée que j'ai découvert ses jolis petits seins en poire qui savaient ne pas s'avachir. Sa voix m'a tirée de ma torpeur lorsqu'elle m'a demandé, l'air amusé « ils te plaisent ? » et je n'ai pu que bredouiller une vague réponse inintelligible. Je suis très vite partie travailler pour me concentrer sur d'autres sujets. Bientôt Alice m'a appelée pour la réchauffer. Je suis aussitôt aller lui prodiguer les mêmes soins qu'elle m'avait offerts non sans me dire que sa peau était très douce ; cela s'est reproduit 3 fois dans la soirée et je dois reconnaître que j'ai trouvé cela agréable, elle aussi apparemment puisqu'elle m'a même dit, la troisième fois, que je la réchauffais bien. Lorsque que j'ai rangé mes affaires pour aller me coucher, Alice en a fait autant. Avant que je ne parte dans ma chambre, elle s'est approchée de moi et m'a demandé de la réchauffer encore. Elle est venue se serrer dans mes bras et a posé sa tête sur mon épaule, je sentais son souffle tiède dans mon cou. Je l'ai enlacée, comme elle me l'avait fait la veille, et lui ai caressé le dos énergiquement. De la sentir ainsi contre moi, sa poitrine s'écrasant sur la mienne, sa peau douce sous mes mains m'a provoqué un vrai frisson de plaisir que je n'ai pu contrôler. Alice n'ayant pas bougé, j'ai cru qu'elle ne s'en était pas aperçue. Alors que je ralentissais mon massage pour la laisser aller, elle est restée dans mes bras et m'a demandé, méso voce, de lui réchauffer les seins. Vu toute la tendresse qu'exprimait son corps abandonné contre moi, vu mon état émotionnel m'empêchant de toute analyse, je lui ai caressé les seins immédiatement. Je ne pense pas que ça ait duré mais je suis incapable de le dire... Alice s'est redressée et en s'écartant de moi, elle m'a tendrement embrassée sur la joue en me disant bonsoir et merci. De nouveau ma nuit fut agitée, je me suis réveillée à plusieurs reprises, rêvant de caresser les seins d'Alice. Le lendemain, quand je me suis levée, j'ai pensé qu'il fallait que je m'excuse auprès d'Alice pour mon attitude de la veille. Mais alors que j'arrivais, elle s'est précipitée vers moi en me disant : « Sonia, tu as été super hier soir ! Merci pour tout » et elle m'a de nouveau embrassée sur la joue, attitude que nous n'avions jamais sauf lorsqu'on rentrait d'un week-end chez nos parents. Aidée par quelques camarades, j'ai réussi à prendre une photo parlante de notre intervenant pendant qu'il parlait, ce qui ne faisant qu'accentuer sa laideur. Ce soir-là, après un repas tranquille, sans gage, alors que nous débarrassions, Alice m'a rappelé que je lui devais une photo tout en précisant que si j'avais tort elle avait choisi le gage qu'elle m'imposerait : une fessée, une vraie, cul nu. Je lui ai répondu que j'avais la photo... Toute souriante, j'ai sorti mon téléphone et ai dégainé ma photo... Alice a vite reconnu que je n'avais pas tort. Je me suis empressée de lui rappeler que, dans ces conditions, pour ne pas m'avoir crue et m'avoir traitée de méchante, c'est elle qui me devait un gage... Et j'ai décidé de lui appliquer celui qu'elle me réservait. Elle a souri e me disant que ce n'était que juste mais qu'elle ne craignait rien car j'étais trop gentille pour frapper quelqu'un. A mon tour, j'ai souri en lui disant qu'elle verrait bien. Elle a alors dégrafé son pantalon et l'a retiré. Maintenant qu'elle était en culotte, je lui ai dit d'attendre pour la suite et que sa fessée n'en serait que plus méritée... Nous avons donc repris notre travail studieux jusqu'à ce que, vers 23 h, nous rangions notre matériel. J'ai alors emmené Alice au bout de la grande table, lui ai demandé de se déculotter et d'allonger le buste sur la table. Il m'est arrivé plusieurs fois de voir des camarades nues mais jamais le corps d'une autre fille ne m'avait spécialement fait réagir, même pour celles que j'enviais tant je les trouvais canon. Pourtant là, en voyant les jolies fesses d'Alice se tendre devant moi, j'avoue avoir ressenti frisson et envie. J'ai alors posé une main sur la fesse la plus proche qui semblait n'attendre que moi, l'autre main fermement appuyée sur son dos. Alice a alors protesté en disant « Eh, je ne t'ai pas autorisée à me caresser le cul ! » Elle qui me croyait gentille a commencé à me découvrir autrement en même temps que je me découvrais moi-même... Je lui ai d'abord répondu que cela faisait partie de sa punition. A peine avais-je terminé que ma main s'abattit avec une certaine force sur la fesse que je venais de caresser. La sentant sursauter sous ma main fermement appuyée sur son dos, j'ai aussitôt claqué l'autre fesse. Alice n'a plus bougé ; je pense qu'elle était étonnée que je la tape vraiment. J'ai lentement repris un doux massage de ses jolies fesses bien bronzées avant de les claquer de nouveau une à une... Ce n'est qu'après 5 claques sur chaque fesse qu'Alice m'a demandé d'une voix plutôt chevrotante si c'était assez. Sans lui répondre, j'ai aussitôt grêlé son joli derrière de petites claques moins fortes mais très sèches. Alice m'a très vite supplié d'arrêter, commençant à sangloter mais je n'y arrivais pas. Le plaisir que je ressentais à voir ses fesses rougir sous mes mains était tel que j'avais l'impression de mouiller ma culotte. Ses fesses étaient cramoisies, Alice ne geignait plus quand j'ai repris conscience de tout cela. Je l'ai alors relevée et l'ai prise dans mes bras pour m'excuser. Elle s'est dégagée, m'a appuyé sur les épaules en me disant « Sonia, éteins le feu que tu viens d'allumer, lèche-moi ! » Maintenant que j'y repense, je me dis que je devais être dans un état second ; moi qui était gênée dès qu'on parlait d'homosexualité, je me suis agenouillée et ai aussitôt commencée à léchée sa jolie chatte toute trempée. Vu son état d'excitation, elle n'a pas tardé à jouir bruyamment en pressant fortement ma tête contre son sexe en feu. Quelques instants plus tard, alors que je me relevais, gênée par la tournure des événements, Alice m'a attirée à elle et embrassée goulûment. Alors que nous reprenions notre souffle après cet interminable baiser, elle m'a dit qu'elle me voulait nue. Nous avons longuement fait l'amour et le lendemain, nous eûmes beaucoup de mal à reprendre le chemin des apprentissages... Ce fut la fin des gages mais le début d'une belle intimité. Pendant deux ans, nous avons partagé nos corps et ceux de nos quelques amants.

            
            

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