Étant commerçante, elle m'a aussi demandé de le garder pour une grande partie de la journée du samedi. Un salaire de baby-sitter, surtout quand le gamin ne sait pas s'occuper tout seul, c'est pas le top mais c'est toujours ça de pris. J'ai commencé en novembre et cela s'est très bien passé avec le garçon que je devais garder, hormis les bêtises et caprices inhérents à l'enfance, je suis vraiment bien tombé. Plus les mois passaient, plus le temps se réchauffait, et étant donné que j'avais parlé de ce job à certains de mes potes, on a commencé à me demander si la mère était bien foutue, s'il « y avait moyen ». Cette femme avait une bonne trentaine d'année, pas loin même de la quarantaine. C'était loin d'être un canon, mais elle était assez sexy et bien foutue. J'ai pu me rendre compte de cela quand nous sommes arrivés au printemps et encore plus en été. Vers les mois de mai et juin, il faisait vraiment chaud dans ma ville, et début mai, lorsqu'elle rentrait vers 20h, elle était habillée d'une simple robe à fleurs avec un décolleté suffisamment suggestif. Plusieurs fois j'ai frôlé l'anévrisme quand je l'ai vue apparaître dans le couloir dans ce styles de robes avec ce cliché du ou de la baby-sitter qui se fait payer en nature. En juillet, les soldes arrivaient et elle me sollicitait d'avantage étant donné les horaires qu'elle faisait. Seulement, les mois de mai et juin avaient été creux pour elle et les soldes ne compensaient pas ces creux dans le tiroir caisse. Étant donné qu'elle ne me payait pas au jour le jour et qu'elle avait la réputation de tirer la couverture dans son sens, je ne fus pas vraiment surpris lorsqu'elle tenta ce qui suit: Elle: « Je voulais vous parler d'une chose. Étant donné que vous mangez ici le midi et que vous pouvez vous servir autant que vous le voulez, je voulais vous proposer de revoir votre paie à la baisse, ce sera pas énorme, mais assez significatif. Avec les samedis ça vous fait déjà un bon pactole et j'ai un peu de mal à m'y retrouver financièrement » Moi: « disons que ça dépend de ce que vous appelez par « pas énorme ». Elle: « oh ce sera de l'ordre de 1 ou 2€ de l'heure en moins... » Moi: « c'est quand même assez important sur toute une soirée ou une journée...Ma paie de l'heure est assez basse par rapport aux services que je vous rends étant donné que je passe prendre votre fils au gymnase le samedi matin, à l'école le soir, que je fais plein d'activités avec lui... » Elle: « Oui c'est sûr, bon je voulais déjà vous en parler, réfléchissez y dans votre coin et on en discutera plus tard. » « Plus tard », c'était le lendemain soir. Son fils m'avait tanné pour qu'il aille jouer chez son voisin de palier, chose que je ne pouvais laisser faire, étant donné que j'étais payé pour le surveiller. Bref, quand sa mère est rentrée, sans même lui avoir dit bonjour, il lui demanda s'il pouvait y aller. Elle: « ah ben merci, ça fait plaisir! Je rentre et tu penses à sortir! Dis moi bonjour quand même... allez file » Sa robe. Son décolleté. Wouaw. Elle: « Bonjour! Alors ça à été? » Moi: « Oui, à part pour les devoirs, c'est toujours moins marrant que les jeux... » Elle: « Oui je m'en doute c'est marrant pour personne. Dites, est-ce que vous avez un peu réfléchi à ce que je vous ai proposé hier? Moi: « Oui, et je suis désolé mais le salaire est vraiment déjà très bas, et je peux pas me permettre de descendre encore... » Elle: « Ah bon...bon ben de toute façon je peux pas faire sans vous...justement, en parlant de ça, est ce que vous êtes disponible samedi prochain? Comme d'habitude nous regardions le calendrier de la cuisine pour fixer les prochaines gardes. Je réfléchissais à ce que j'allais dire, j'en avais un peu marre de passer mes samedis à jouer à des jeux de gamins alors que j'avais des cours à réviser. Elle: « écoutez, je suis vraiment limite financièrement, même complètement dans le rouge et je ne peux pas laisser mon fils tout seul. Je n'ai pas d'autre solution que vous alors je vais vous proposer autre chose. Dites moi si vous voyez ou je veux en venir, peut être qu'on pourrait s'arranger pour la paie... » Moi: « euh, ok... » Elle: « Si vous voulez... au lieu de vous payer en argent...» Elle était très évasive, comme si elle attendait que je finisse sa phrase. « je pourrai vous payer différemment » Moi: « Si vous pensez à votre magasin, je ne crois pas que ça correspond à ce que je pourrais porter... » Elle sourit nerveusement. Elle: « Non, non, non c'est pas là où je veux en venir. Bon, disons que je pourrais peut être vous rendre un service aussi » Ma tête allait exploser, et mon pantalon aussi. J'espérais énormément qu'on pensait à la même chose mais je doutais que ce soit le cas. En plus je ne pouvais pas m'exposer en la devançant et en passant pour un pervers. Je fais donc le mec qui ne comprend pas en espérant savoir où elle veut en venir. Moi: « d'accord, vous avez une idée en tête?» Elle: « Ben, oui, par exemple...euh, je pourrai vous payer... « en nature » comme on dit » Si j'étais croyant, je saurais qui remercier. C'était tellement cliché que je me demandais si on ne me faisait pas une blague, ou si elle voulait juste me tester. Moi: « euh, en fait j'étais pas du tout sur cette piste là... » Bien sûr c'était l'unique piste sur laquelle j'étais. Je faisais semblant de réfléchir mais la bosse sur mon pantalon me trahissait. Moi: « hum, d'accord, qu'est ce que vous suggérez? Parce que c'est difficile de juger ce genre de choses... » Elle: « Je sais pas. Disons une fellation pour toute une semaine de garde? J'étais assez impressionné par sa franchise. Elle mettait les pieds dans le plat et je ne la pensais pas capable de ça. En y réfléchissant, étant donné qu'elle dépendait de moi, je décidais de tirer la couverture à moi au maximum pour une fois. Moi: « euh c'est peut être un peu léger pour tout une semaine, nan? Enfin je veux dire qu'en une semaine de garde...je gagne 75€ quoi... » J'étais tenté de rajouter que je pouvais me faire sucer pour moins cher par une pute. Elle: «Oui mais cette semaine vous n'avez fait que le samedi... » Cette conversation était surréaliste, j'avais du mal à réaliser ce qui se passait et je parlais très lentement parce que je ne savais pas vraiment comment gérer la situation. Moi: « ah oui oui.... bon alors....pour cette semaine on dit...une fellation ...et on voit selon les semaines...ça vous va? » J'avais du mal à prononcer le mot fellation devant elle. Surtout dans le contexte. Elle: « Bon, d'accord, par contre ce soir ça va pas être possible j'ai beaucoup de choses à faire » En d'autres circonstances, j'aurai accepté de reporter la chose, mais la connaissant, je savais qu'il fallait minimiser ces « reports » et se montrer assez ferme. Moi: « Euh, honnêtement je préfère qu'on fasse ça ce soir, on sait pas ou ça va nous mener, donc étant donné que j'ai fait une concession, je pense pas que ce soit exagéré de faire ça ce soir? » Elle: « si vous voulez mais on ne traîne pas parce que mon fils va bientôt rentrer. Venez on va se mettre sur le canapé, ce sera plus simple. » Le silence qui suivit et qui dura le temps que l'on se dirige vers le canapé était assez gênant. Je me suis assis sur le canapé, et elle s'est mis à genoux devant moi en commençant à déboutonner ma braguette. J'étais en érection depuis qu'elle avait amené le sujet et elle sortit mon sexe dur et le tenait dans sa main gauche. Elle commençait à me masturber assez lentement, comme si elle réfléchissait à ce qu'elle faisait, comme si elle allait faire machine arrière. Moi, j'avais une vue sur son décolleté dont je ne pouvais décrocher mes yeux. Elle se pencha en avant et lentement englouti mon sexe. Juste avant que ses lèvres ne se referment dessus, j'ai pu sentir le souffle chaud de son haleine sur mon gland. Quand elle encercla mon sexe de ses lèvres, un sentiment de domination m'envahit. Je me faisais sucer par une femme de 15 ans mon aînée, une femme seule qui suçait un petit jeune. Je n'aurais jamais pensé réaliser ce fantasme très cliché. Néanmoins c'était le cas. Je sentais l'humidité de sa bouche sur toute la longueur de ma queue. Ce qui était un peu frustrant c'était qu'elle me suçait de manière assez monotone, voire robotique. Les mains sur mes cuisses, un mouvement de tête de haut en bas, et c'est tout. C'était déjà très bien, mais l'excitation montait de plus en plus. Et puis d'un seul coup, elle a commencé à improviser. Visiblement elle s'est mise à prendre du plaisir à sucer, et elle y mettait du cœur à l'ouvrage. Il manquait juste une chose: Moi: « Vous pouvez me regarder quand vous me sucez? » Elle s'arrêta brièvement, se relevant, et reprit son activité en me regardant. Ce regard décuplait mon excitation. C'était un regard gourmand. Je ne pus m'empêcher de poser doucement une main sur sa chevelure brune. Visiblement, cette pipe réveillait en elle une fougue qu'elle avait un peu de mal à contrôler. Ses « hmmm » validaient ma théorie. Moi: « vous vous débrouillez très bien » Elle, ne disait rien. Je me suis penché en avant ce qui l'a obligée à se redresser. Toujours sur ses genoux, je l'ai regardé, l'ai rapproché de moi et l'ai embrassé doucement, puis, voyant qu'elle appréciait, un peu plus fougueusement. Cela a duré une bonne dizaine de secondes. Ma main droite au niveau de sa hanche et l'autre main posée sur son cul, nous nous sommes embrassés comme pour rattraper toutes les fois où nous ne l'avons pas fait. Nous nous somme relevés, toujours en nous embrassant, et j'ai commencé à soulever sa robe, pour découvrir son cul que je me suis empressé de saisir. Elle portait une culotte, assez banale, je dois l'avouer. J'ai juste abaissé ce qu'il fallait pour pouvoir sentir chacune de ses fesses nues sur chacune de mes mains. Alors que je lui pétrissais le cul, Je la soulevai et ses jambes vinrent s'enrouler autour de mes hanches comme un réflexe. j'avançais jusqu'au mur et la plaquai contre celui ci Elle: « oui, prends moi » Moi: « Je vais vous prendre, mais si vous continuez de me vouvoyer » Garder cette distance m'excitait aussi. Le fait de garder ses distances sur le plan oral alors qu'on ne pouvait être plus proches physiquement était un paradoxe qui augmentait mon plaisir. Je l'ai saisie par la taille et l'ai obligée à se pencher sur la table du salon contre laquelle ses seins se sont écrasés. Après avoir pris le temps de contempler ce qui s'offrait à moi, j'ai entièrement déboutonné mon pantalon et l'ai laissé tomber sur mes chevilles. Mon sexe était plus tendu que jamais. Et c'est forcément à ce moment là qu'on sonne à la porte. Elle: « Hé merde ça doit être mon fils... » Nous nous rhabillons aussi vite que possible et elle va ouvrir la porte tout en se recoiffant un peu. C'est bien son fils. J'ai cette impression de me réveiller alors que je faisais un rêve absolument génial. Une impression de grosse déception. Mon sexe est encore dur et cela se voit à travers mon pantalon. J'essaie de dissimuler cela avec la longueur de mon t-shirt. Elle: « Vous avez déjà fini de jouer? » Lui: « ouais, mais comme il jouait tout seul à la console, je suis parti » Il rentre dans l'appartement et je dis adieu à mes ambitions. En revenant dans la salle avec son fils qui allume la télé et se jette sur le canapé, elle me lance un regard perplexe. Impossible de se « débarrasser » du gamin pour ce soir. Elle: « Donc c'est d'accord pour samedi prochain? » Je reste assez stoïque face à ce retour à la normal. Je n'ai pas rêvé, une minute auparavant elle avait ma bite profondément ancrée dans sa bouche et elle me parle comme si j'avais imaginé tout ça. Avec la présence du gamin je n'ose même pas la contredire. Moi: « Pour moi, ça pose pas de problème. » En passant devant elle, je la regarde avec insistance comme si je tentais de lui faire passer un message. Elle semble faire de même. Je ne sais même pas ce que son regard à elle signifie, mais je sais très bien ce que veut dire le mien. Elle se retourna brutalement, gênée. Alors que son fils était aveuglé par la télé, je me saisissais discrètement de la fesse droite de sa mère avec ma main et approchait ma bouche de son oreille: « Si vous voulez éviter de poser un arrêt de travail, je vous conseille d'acheter du lubrifiant. » Ce n'est pas terminé, même si ce soir je dois me la mettre sur l'oreille. Coïtus interruptus. Je dis au revoir au gamin et sors de cet appartement bien frustré.