Chapitre 5 05

Beverlie : Marcel..

Marcel tendit son bras vers sa direction et dit :

Marcel : Beverlie!!!!!

Beverlie : OH mon Dieu...

Les autres filles ainsi que Firik les regardaient étonné... Puis Firik.. dit tout bas :

Firik : Oh non... J'espère bien que c'est pas ce que je pense.

Déborah les regardaient tour à tour, de même que les deux autres copines..

Beverlie tremblait au fond d'elle, tout ce qu'elle espérait en ce moment était que le fiancé de sa copine soit par Marcel, mais hélas la réalité se fit face rapidement devant elle.

Les deux étaient toujours entrain de se regarder, et Déborah commençait par avoir un peu peur au fond d'elle, alors elle décida de brisé ce moment, en ce moment les autres aussi s'étaient déjà levé...

Déborah : Euhh attendez un moment s'il vous plaît. Vous vous connaissez c'est ça ?

Marcel et Beverlie la regardent ensemble, et personne n'osait parler en premier, ils savaient pas s'il fallait dire qu'ils étaient des amis, ou s'ils étaient des petits amis auparavant , Déborah fit face à Beverlie et dit :

Déborah : Beverlie, tu peux me dire quelque chose ? Tu connais mon fiancé où ?

Beverlie : (au fond d'elle)..Fiancé??

Déborah : Merde... Quelqu'un peut me dire quelque chose ici s'il vous plaît ? Où suis-je la seule à vouloir entendre un mot ?

Simonia : Humm.. Non non, nous sommes toutes curieuse ici.

Marcel : Euhh.. Bon.. Écoute Déborah, c'est rien de grave, au fait Beverlie et moi nous nous connaissons..

Lorie : Ça tout le monde l'a constaté cher beau, mais comment ?

Déborah : Exactement, vous vous connaissez où ?

Marcel : On avait fait le même lycée, il y a de cela plus de dix ans passés déjà..

Déborah : Et ??

Pendant que Marcel parlait, Déborah ne faisait que le regarder guettant ce qu'il allait faire sortir de sa bouche comme connaissance.

Marcel : Et comment ? Ne vous faites pas des idées s'il vous plaît. On était juste des amis.

Aussitôt à l'entente de cette phrase, Lorie et Simonia dit tout bas.

Lorie & Simonia : Hum hum..

Malheureusement, tout le monde les avait entendu, Marcel continua :

Marcel : Je ments pas... Beverlie j'ai raison n'est-ce pas ?

Tout le monde se tourna vers Beverlie qui avait presque les larmes aux yeux en écoutant ce que Marcel venait de dire, elle avait envie de dire que ce que Marcel venait de dire était fausse, mais en pensant à sa copine, elle voulait pas la blesser,... Marcel pendant ce temps, se sentais mal au fond de lui également, mais n'était pas prêt à en parler pour ne pas que sa future femme ait mal. Sa prière était que Beverlie ne dise oui, alors avec les yeux, il l'a suppliait..

Lorie : Ma chérie dit nous quelque chose on continue s'il te plaît.

Beverlie : (tête baissé) oui.. C'est vrai... On était juste des amis. Rien de plus. Excuser moi mais je viens de me rappeler que j'avais quelques choses à faire. Je vous laisse les filles.

Elle s'en va et les laisse précipitation...

Déborah : Mais attends... Reviens on a pas terminé..

Elle voulu partir la retenu mais Lorie lui dit :

Lorie : Non.. Laisse là partir.. Laisse là aller faire ce qu'elle a à faire. (elle fit les yeux à Déborah et celle ci se retourna)

Simonia : Bon je crois que la fête peut continuer ?

Tout le monde la regardèrent étrangement, et elle dit :

Simonia : Quoi??? On va pas terminé la celebration pour nos invités tout au moins ?

Marcel : Non ne vous inquiétez, nous allons demander à partir. C'était pour les connaissances et puis c'est fait déjà. N'est-ce pas Déby ?

Déborah hocha juste la tête et ne dit plus rien.

Marcel : Donc on y va ?

Déborah : Allez y sans moi, je vais rester ici un moment encore avec mes copines..

Marcel : Tu es sûre de toi ? Tes parents ne diront pas que...

Déborah : Je t'ai dit que je resterai ici un moment, donc te gêne pas pour eux, je vais les appeler pour les informer.

Marcel : D'accord. Bye les filles.

Il voulait s'approcher de Déborah pour la faire une bise certainement, mais celle avait déjà compris et ne voulant pas, trouva une excuse et dit :

Déborah : Les filles je vous attends à l'intérieur.

Il ne dit plus rien malgré sa nervosité et s'en va dans la voiture, Firik le suit également.

Arrivé dans la voiture, ses yeux étaient tout rouge et il regardait droit devant lui sans démarrer.

Firik lui tapota doucement l'épaule et lui dit :

Firik : Allons y...

Il mets un coup de poing sur le volant en disant :

Marcel : Merdeeee..

Un autre coup encore et un troisième, il avait presque envie de pleurer mais finalement se résignait et démarra la voiture.