Une vie d'amour ; MON ROI
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Chapitre 5 5

Elle avait prononcé cette dernière phrase en caressant son ventre arrondi. Plus je la regardais plus j'avais envie de lui arracher les yeux, mais je savais qu'elle faisait tout ça pour que je m'énerve, mais je refusais de toutes mes forces de lui donner satisfaction, j'allais restée calme et lui montrer que j'étais plus maline qu'elle. Elle n'arrivera pas à me faire sortir de mes gongs.

J'ai repris mon calme et je lui ai dit :

-c'est bon tu as fini ? c'est tout ce que tu as à me dire ?

-non bien sûr ! je suis venu te dire que MON mari a dit que tu dois débarrasser le plancher dans plus brefs délais.

-je ne comprend pas très bien !

-pff... Ne me dit pas qu'en plus d'être vieille et aigri tu es dénuer d'intelligence.

Je me suis rapprocher postalement, d'elle et je lui ai dit d'une voie ferme :

-écoute moi bien ou c'est Sandra ou c'est quoi ? je sais plus trop mais ... depuis que tu as franchis le seuil de cette maison, la seule raison pour la qu'elle je me retient de te donner la correction que tu mérites, ce n'est que parce que tu es enceinte, je ne voudrais pas lui faire de mal ! donc fait très attention à toi.

Contrairement à ce que je pensais, mon discours avait eu l'effet escompter puisque j'avais vue son sourire s'effacer, elle semblait très surprise de ma réaction, certainement pensais-t-elle que j'allais me jeter à ses pieds et pleurer pour la supplier. Elle avait fièrement relevé le menton avant de dire :

-je suis venus ici pour te dire que le divorce a été fixer dans deux semaines et que d'ici là tu dois quitter cette maison.

-oui et c'est tout ?

-je...humm...

-et bien ? c'est tout ? tu ne vas pas me dire que toi la ''grande femme, la nouvelle épouse de Patrick qui en plus porte son héritier'' s'est déplacer jusqu'ici juste pour voir une veille aigrie et lui demander de quitter le domicile conjugal ? alors qu'un simple huissier aurait pu le faire ?

-pour rien au monde je n'aurais raté l'occasion de te le dire moi-même.

-ok et maintenant tu es satisfaite ? tu as obtenu satisfaction ?

Elle n'avait pas répondu, avait tourné les talons et étais sortie de la maison, la tête haute, avec le semblant de dignité qui lui restait. J'étais très fière de moi car j'avais réussi et fermé la grande gueule de cette vipère.

Après sa visite je m'étais dépêche de trouver un appartement, ensuite, Mira et moi avons quitter la maison pour nous installer dans mon appartement.

Le rendez-vous avait été fixe pour 10 heures, Sylvie était avec moi et malgré toutes mes réticences, Mira avait insister pour m'accompagner, elle voulait être présente pour voir son père signer les documents.

Nous étions là depuis près de 30 minutes et Patrick n'était toujours pas là, je commençais à me demander s'il n'avait pas fini par se dégonfler lorsque je l'ai vue arrivé avec sa fiancée à ses cotes, elle était vêtue avec la même extravagance que la dernière fois. Nous nous sommes affrontées du regard pendant quelques secondes jusqu'à ce qu'elle baisse le regard, je venais d'obtenir une nouvelle victoire contre elle. Ils nous avaient salués et Patrick s'était assis sur le siège qui était à côté de moi.

Durant tout le discours du procureur, j'étais absente, je ne faisais pas attention à ce qu'il disait, j'attendais juste le moment où nous devrions signer les papiers. J'avais beau jouer à la femme forte et courageuse mais à ce moment je sentais les larmes me montée au yeux, je n'arrivais pas à croire que Patrick et moi allions vraiment divorcer. Mon monde s'écroulais totalement autour de moi, je me demandais si je réussirais à me relever et à reprendre la cour de me vie.

-carole ?

J'avais sursauter, j'étais tellement perdu dans mes pensées que je ne m'étais même pas rendu compte que le procureur avait arrêté de parler et qu'il s'était adresser à moi, prise au dépourvus, je m'étais mise à bégayer

-oui...oui

-vous êtes sûr que ça vas ? vous avez l'air ailleurs...

-non...je...enfin...oui tout vas bien votre honneur.

-carole tu es sûr que tout va bien ?

-oui Patrick je vais très bien.

-bon ok ... puisque tout le monde va bien, nous pouvons donc passer à la signature des documents. Avait dit le procureur

Patrick avait commencé par signer les documents et ensuite ça avait été mon tour. Lorsque j'ai pris le document, mes mains s'étaient mis à trembler, je n'arrivais plus à contrôler mes émotions, Mira avait vu ma réaction et elle s'était rapproché de moi et avait posé le bras sur mon épaule, en signe d'encouragements. Avec plus de peines que je voudrais l'accepter, j'avais finalement réussi à signer les papiers. C'était fait ! je venais de divorcer et j'étais effondrée.

Comme une automate, j'étais sortis du bureau en compagnie de ma fille et de ma meilleure amie.

Patrick c'était rapprocher de moi et m'a dit :

-je ne voulais pas que ça se termine ainsi. Je...

-Patrick... s'il te plait laisse-moi tranquille !

-mais...

-ne t'approche plus de moi ! tu ne trouves pas que tu m'as fait assez de mal comme ça ?

-je ne...

-papa... s'il te plait...

-mon chéri ? qu'est-ce que tu fais ?

Sandra venait de s'approcher de nous et elle avait posé le bras sur l'épaule de Patrick, dès qu'elle avait fait ce geste, il s'est directement calmer elle m'a lancé un regard dédaigneux avant de dire.

-madame, combien de fois devrais-je vous demander de laisser mon mari tranquille ? il suffit que je m'éloigne quelques secondes pour que vous veniez mendier l'amour de mon mari ? ces papiers que vous venez de signer ne représentent donc rien pour vous ?

Je me suis tournée vers Patrick, j'espérais qu'il pouvait contredire, les propos de sa maitresse en lui disant que ce n'était pas moi mais lui qui s'était rapprocher de moi, mais non au contraire, il était calme et ne disais rien, il ne me regardait même pas, c'était hallucinant j'aimais je n'avais vu mon mari, non mon ex-mari aussi calme, alors qu'il était au cœur d'une dispute. Je me sentais tellement mal à ce moment que je n'avais même pas la force de répondre à Sandra, je m'apprêtais à partir lorsque j'ai entendu Sylvie répliquer :

-mais jeune fille on ne t'a pas appris à respecter tes ainées ?

-Sylvie calme toi s'il te plait

-non carole ! tu es trop passive tu ne peux pas laisser une pisseuse au lit comme ça te manquer de respect... et toi Sandra, fait attention à ce que tu dis parce que si moi je veux te taper ici je ne vais pas me souvenir que tu es enceinte ! n'importe quoi !

Sandra avait déporté son regard méprisant sur Sylvie avant de dire :

-mais qui à parler à l'autre vielle si ? madame je ne vous ai pas adresser la parole mêler vous de ce qui vous regarde, vous...

Je n'avais pas vue Mira se déplacer mais j'avais juste entendu résonner le bruit de la gifle qu'elle venait de donner à Sandra qui l'avait fait vaciller a tels point que si Patrick ne l'avait pas soutenue, elle se serait retrouver a même le sol

-vois moi une laide chose comme ça qui viens se placer devant moi pour insulter mes mamans, tu te prends pour qui ? espèce de mal éduquer ! sache qui si mes mamans on peur de te brutaliser c'est à cause du bébé qui est dans ton ventre et moi je ne gère pas ça ! sache que ou ta folie s'arrête c'est là-bas que la mienne débute.

J'étais complètement choquée, jamais je n'aurais pu imaginer que ma fille était capable d'une t'elle barbarie, elle était toujours tellement calme et posée, je ne l'avais jamais vue sortir de ses gongs de la sorte, même Sylvie semblait particulièrement choquée, mon regard balançais entre Mira et Sandra, je craignais la réaction e la maitresse de mon... de Patrick car elle était folle de rage, elle s'était tournée vers Patrick en criant :

-mon amour tu as vu ce que ta sauvage de fille à oser me faire ?

-attendez un peu elle appelle qui sauvage ? ma chérie sache que je n'ai même pas encore commencer ma sauvagerie sur toi, ouvre encore ta bouche ici et tu vas voir ce que tu cherches.

-Mira calme toi ma fille pardon.

-maman je ne me calme pas ! ... elle se croit ou celle-là ?

Patrick s'était approcher de nous et avait dit

-Mira je ne te permets pas de parler ainsi à ma femme, tu lui dois du respect car elle sera bientôt la mère de ton petit frère

-ah ! donc papa c'est elle qui a le droit d'insulter maman et tata Sylvie ? pourquoi tu ne lui as pas dit que c'est toi qui est venus vers maman et pas l'inverse ?

-je...

-je ne l'ai même pas bien giflé qu'elle approché encore un peu je vais arranger son teint que le ''djangsant'' (dépigmentation de la peau) a déjà tout détruit la.

Vue que la discussion prenait déjà dans allures que je ne maitrisais plus, j'ai pris la main de mira de force et nous sommes entrés dans ma voiture suivie de Sylvie.

Durant tout le trajet, seul le ronflement de la voiture venait troubler le silence qui régnait dans la voiture, personne ne disait rien même pas Mira qui boulonnait de rage a vue d'œil.

Dès que nous avons franchis le seuil de mon appartement, je m'étais tournée vers Mira avec fureur

-mais bon sang ! pourquoi tu l'as frappé ?

-mais maman as-tu entendu les horreurs qu'elle vous a balancer au visage ?

-ce n'étais Pas une raison... Mira elle est enceinte !

-le fait qu'elle soit enceinte ne lui donne pas lui droit donne pas le droit de vous parler comme elle l'a fait !

-c'est la femme de ton père tu lui dois du respect...

-papa ne l'a pas encore épousé et je ne pense pas qu'il le fera ! et même s'il le fait, toi aussi tu n'as pas droit au respect ?

-carole Mira à raison

-oh Sylvie, s'il te plait dit moi que tu ne vas pas aussi t'y mettre...

-elle a raison. Cette gamine est très mal éduquée... tu as vue comment elle m'a parler ?

-oui tu as raison...c'est une vraie peste. Mais elle a obtenu ce qu'elle voulait puisque son souhait était de nous voir sortir de nos gongs.

-peut être maman mais vue la gifle qu'elle a reçu, je ne peux pas dire qu'elle a gagné, elle était vraiment rouge comme une tomate

Nous nous étions mises à rire. Nous avons encore un peu discuté, puis Sylvie était retirée et moi j'étais aller m'enfermée dans ma chambre, je me sentais très mal. J'avais passé tout le reste de la soirée dans ma chambre.

                         

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