Kimora : oui ça fait plusieurs heures qu'on a causé elle devait me faire signe mais rien depuis ça m'inquiète
Joyce : moi non plus je n'ai pas de ses nouvelles mais elle va bien j'ai appelé mon voisin d'aller vérifier si elle va bien il m'a dit qu'elle est la. Il a remarqué qu'elle a beaucoup pleuré
Kimora : werrrr ma copine stuipp ça me dérange hein
Joyce : ah oui il fallait s'y attendre.
Kimora : tu me fais signe quand tu rentres je veux la voir c'est mon numéro ici
Joyce : OK on fait comme ça
Elle a raccroché.
Du côté de Mégane elle savourait bien sa nouvelle maison, il fallait la voir se servir dans le frigo à volonté. Maman mado est arrivée avec de quoi faire à manger
Megane : maman Miranda est partie
Maman mado : partie comment
Megane : elle est venue prendre ses valises
Maman mado : alléluia. Tout est bien qui finit bien maintenant c'est ta maison donc met toi à l'aise
Megane : j'ai seulement peur que Franck me frappe ohh tu sais comment il est devenu nerveux surtout quand il va constater qu'elle est partie
Maman mado : aka ne t'inquiète pas je gère la situation. Il va râler une ou deux fois après ça va lui passer. Toi tu dois profiter du calme pour te reposer avant de reprendre le travail
Megane : ok m'aa
Maman mado : je vais te faire un bouillon de pommes ça te fera du bien
Megane : ah merci maman tu est bonne femme j'ai toujours rêvé d'avoir une belle mère comme toi
Maman mado : ah c'est flatteur. Va te coucher j'arrive
Megane : OK
Franck quant à lui essaye tant bien que mal de joindre Miranda en vain. Après sa réunion, il est allé au salon de coiffure ou il a été surpris de son absence. N'ayant plus rien à faire au bureau, il est rentré chez lui pour gérer la situation de Mégane parce qu'il savait qu'elle devait toujours y être.. Les deux femmes étaient assise au salon en train de manger quand il est entré
Franck : ça ne m'étonne pas de vous retrouver ici
Maman mado : tu es vite rentré, ça été la journée ?
Franck : non vous m'avez gâché ma journée
Megane : Miranda est partie
Franck : quoi ? Elle est où
Megane : partie je ne sais pas
Il est allé en vitesse dans la chambre et a constaté le grand vide que Miranda a laissé en retirant ses affaires. Il s'est laissé asseoir sur le lit en se prenant la tête entre les mains. Il a compris pourquoi son téléphone ne passait pas ce qu'il redoutait le plus venait d'arriver. En jetant un coup d'œil sur la table il a vu le mot qu'elle a laissé et l'a lu
Miranda : J'AI CRU QUE J'ALLAIS FINIR MA VIE À TES CÔTÉS, QUE DIEU ALLAIT M'ACCORDER LA JOIE DE TE DONNER TON PREMIER ENFANT MAIS ÇA N'A PAS ÉTÉ LE CAS. ÇA SERAIT ÉGOÏSTE POUR MOI DE TE PRIVER DE CETTE JOIE D'ÊTRE PAPA TOUT COMME ÇA SERAIT DU SUICIDE POUR MOI DE VIVRE DANS UNE TELLE ATMOSPHÈRE. JE NE T'EN VEUX PAS AU CONTRAIRE JE T'AIME MAIS JE ME PRÉFÈRE. NE NOUS FAISONS PAS PLUS DE MAL, NE ME CHERCHE PAS ET CHACUN FERA SON CHEMIN SEUL. BONNE SUITE AVEC TA NOUVELLE FAMILLE...
TON EX PROMISE
Il a froissé le papier et l'a jeté en poussant un grand cri de colère.
Franck : maman (en sortant de la chambre) maman
Maman mado : werrrr mes oreilles
Franck : tu as vu ce que tu as fait ? Ma femme est partie par ta faute tu es contente n'est-ce pas
Maman mado : mais c'était prévu qu'elle parte nor tu veux quoi
Franck : pour la dernière fois Mégane dégage de ma maison je ne vais pas me répéter
Elle a regardé maman mado
Maman mado : elle ne bouge pas d'ici
Franck est allé prendre sa valise qui n'était pas encore défaite pour la mettre dehors
Maman mado : ça c'est quoi, comment tu peux traiter la mère de ton enfant comme ça
Franck : maman je ne veux pas les problèmes avec toi libérez ma maison c'est tout ce que je demande. Je vais m'occuper de l'enfant mais pas ici cette maison a déjà une femme donc de grâce libérez les lieux
Megane s'est levée avec la mine triste
Maman mado : tu ne bouge pas ici reste la
Megane : non maman c'est bon je vais partir c'est mieux.
Maman mado : Franck laisse la ici sa mère ne peut pas s'occuper d'elle
Franck : c'est un enfant ? Elle a 12 ans ? Une fille qui a déjà accouché, on doit la garder comme un œuf ? Prend la chez toi tu as aussi une grande maison.
Maman mado : tu l'a jette dehors on aura des problèmes
Franck : des problèmes j'en ai déjà énormément avec toi depuis que je suis arrivé dans la ville tu n'as pas cessé de me pourrir la vie. Megane dépêche toi je vais fermer ma porte
Elle a pris sa deuxième valise pour tirer au sol
Maman mado : vraiment Franck tu es méchant je ne te reconnais plus
Franck : c'est normal tu m'as formé à être celui que je suis devenu. Ce que tu viens de me faire maman c'est de la pure méchanceté et je commence sérieusement à te détester
Ces mots ont fait mal à sa mère, elle n'a pas pu placer un mot. Franck a fermé sa porte et est entré dans sa voiture pour partir. Megane et maman mado sont allées ensemble chez elle. Elle était très calme, son fils commençait à la détester ce n'était pas dans ses plans elle voulait juste bien faire son travail de mère en l'aidant, d'après elle.
Franck dans sa voiture a appelé kimora
Franck : bonsoir Kim. Désolé de te déranger je ne sais pas si tu as pu causer avec Miranda
Kimora : oui le matin
Franck : est ce que je peux savoir où elle est ?
Kimora : je ne sais pas elle devait me rappeler j'attends depuis
Franck : elle t'a quand même dis ou elle se trouve nor s'il te plaît je veux juste savoir si elle va bien
Kimora : je ne l'ai pas encore vu mais je sais qu'elle va bien.
Franck : je comprend qu'elle t'a demandé de ne pas m'en parler. Je m'en veux tellement de lui avoir fait souffrir
Kimora : peut-être que c'est mieux comme ça
Franck : non ce n'est pas mieux. S'il te plaît tiens moi au courant
Kimora : OK.
Il a raccroché et a garé sur le côté. Il ne savait pas où aller, même la maison de Joyce il ne savait pas où ça se trouve. Son attention s'est tournée vers un bar où il est entré et a commencé à boire. Il ne voulait pas rentrer et se retrouver seul à la maison, elle devait être vide sans sa femme. Autant mieux boire en espérant que ça atténue sa douleur. Il a appelé sa petite sœur pour lui raconter et à elle de le consoler.
Chez Joyce, elle est rentrée du travail Miranda était toujours couchée avec les yeux rouges
Joyce : hummm je vois que tu n'as fait que pleurer aujourd'hui
Miranda : non ça va.
Joyce : Kim va arriver
Miranda : ah OK j'ai oublié de la prévenir je n'ai pas envie d'allumer mon téléphone
Joyce : tu as même mangé ?
Miranda : je n'ai pas faim
Joyce : hummm
Quelques minutes après kim z fait signe à Joyce d'être à son entrée celle ci est sortie la chercher
Joyce : c'est bien comme tu es venue tu vas la consoler moi je ne sais pas comment m'y prendre
Kimora : OK
Elles sont arrivées à la maison
Kimora : ohh l'amour ohh. Ma chérie
En l'a prenant dans ses bras. Elle a encore fondu en larme
Kimora : arrête aussi de pleurer ça n'en vaut pas la peine..
Miranda : si ça vaut la peine quand je pense que j'ai supporté pendant des années pour mériter ça. Ça fait mal ma copine mal de savoir qu'il m'a caché ça depuis. Je voyais bien qu'il se passait quelque chose mais j'attendais qu'il m'en parle c'est sa mère et cette fille qui sont venues le matin avec sa valise s'installer chez le père de son enfant ma chérie on digère ça comment dis moi un peu je voulais lui donner son premier bb
Kimora : assiiaa ma puce ce n'est pas facile je peux imaginer ce que tu ressens. Mais tu dois rester forte pour continuer. Ne pleure plus
Miranda : je vais rentrer chez nous
Kimora : tu peux rester tu continues à travailler nor
Miranda : je ne veux plus rien, je dois prendre un nouveau départ et c'est pas ici. Je serais mieux chez nous
Kimora : si tu le dis. Tu y vas quand ?
Miranda : dès que possible.
Kimora : tient moi au courant et si tu as besoin de quelque chose je suis là
Miranda : merci. S'il t'appelle dis lui que tu ne sais pas où je suis
Kimora : il m'a déjà appelé c'est ce que je lui ai dit. On sens que lui-même ne va pas bien
Miranda : tant mieux. Et toi ça va ?
Kimora : oui ça va. J'ai perdu 6 kilo de plus
Miranda : waouhh mes félicitations
Kimora : merci.
Miranda : la sorcière la n'a plus fait signe
Kimora : non tu crois qu' elle s'est calmée ?
Miranda : je ne sais pas. Aujourd'hui les femmes sont capables de tout soit seulement prudente.
Kimora : ouais.
Entre temps Alice était très fâchée contre sa mère, elle s'est rendue chez elle. Megane était au salon
Alice : bonsoir
Megane : bonsoir Alice c'est comment
Alice : ça va. Tu es comme chez toi alors, après avoir pourri la vie de mon frère tu viens continuer avec ma mère hein
Megane : tu parles de quoi
Alice : laisse tomber tu es même une marionnette.
Elle est allée dans la chambre de sa mère
Alice : bonsoir maman
Maman mado : tu es venue m'engueuler ?
Alice : oui. Je ne suis pas fière de ce que tu es en train de faire subir à Franck tu es en train d'aller loin
Maman mado : vouloir de son bien c'est être méchante ?
Alice : mais regarde la façon donc tu t'y prends ? Il m'a appelé pour me raconter, il était dans un bar maman tu sais qu'il ne boit pas beaucoup mais quand il se retrouve dans un endroit pareil ça ne présage rien de bon. Je ne refuse pas que tu veuilles t'occuper de lui mais maman tu t'y prend tellement mal. Comment est ce que tu peux ramener Mégane chez lui alors que Miranda est encore là ça c'est même quelle façon ça de réfléchir. Si la mère de Carlos me fait ça est ce que tu seras contente. Werrrr maman
Maman mado : il t'a dis quoi
Alice : qu'il te déteste c'est ce que tu voulais nor. Il est mal il souffre c'est tout ce que tu a réussi à faire, le faire souffrir j'espère que tu es satisfaite.
Maman mado : donc toi aussi tu penses que je suis méchante c'est ça ?
Alice : je n'ai pas envie de penser ça de toi.
Maman mado : je veux aussi que mon seul fils ait des enfants c'est tout ce que je demande est ce que ça fait de moi une méchante
Alice : mais c'est sa vie, laisse le décider. Tu n'aurais pas dû faire venir Mégane là-bas ça ne se fait pas. Tu t'es posé une seule fois la question de savoir si elle était vraiment enceinte de Franck ?
Maman mado : elle me l'a confirmé
Alice : avec sa bouche n'est-ce pas ? Si elle avait eu d'autres rapports avec un autre homme on saura comment ? Toi qui connaît trop dis moi.
Maman mado : humm
Alice : tu seras contente si Franck élève un enfant qui n'est pas le sien ? Tout ça à cause de la pression
Maman mado : Megane ne peut pas me faire ça parce que si j'apprends qu'elle m'a menti je vais la tuer
Alice : avant de la tuer que tu auras gâché la vie de ton fils.
Maman mado : il est où ?
Alice : dans un bar il n'a pas voulu me dire exactement lequel il voulait rester seul. Je vais rentrer
Quand elle est sortie sa sœur est arrivée
Alice : voilà l'autre cruella
Lisette : à peine arrivée je reçois des injures. D'abord même mon sac est ou
Alice : tant que tu ne finis pas de payer ce que tu me dois je ne te donne plus rien. Le crédit avec toi c'est fini
Lisette : werrrr ma sœur je vais te payer à la fin du mois promis
Alice : OK est ce que c'est loin je vais attendre. Moi je suis partie
Au salon elle a toisé Mégane
Maman mado : appelle ton frère voir je l'appelle il ne prend pas
Lisette : il y a quoi. Il pleure toujours sa cendrillon
Maman mado : je veux savoir s'il va bien.
Lisette : il ne prend pas ton appel c'est pas pour moi qu'il va prendre.
Maman mado : il me déteste je voulais juste l'aider
Lisette : ce sont les paroles en l'air il va se calmer et redevenir le petit mignon fils adoré de maman
Maman mado : je ne suis pas tranquille
Lisette : calme toi va te coucher je vais encore essayé de l'appeler
Maman mado : OK
Elle s'est couchée mais n'a pas pu fermer les yeux 'elle pensait à son fils et se demandait s'il allait bien. C'était la première fois de le voir en colère au point de lui lancer des paroles blessantes à la figure. Quelques heures après elle a encore essayé son numéro mais ça ne passait pas elle a appelé Alice
Alice : oui maman c'est quoi la nuit
Maman mado : désolé de te réveiller est ce que tu as eu Franck ?
Alice : depuis la non pourquoi
Maman mado : il ne décroche pas mes appels et maintenant ça ne passe même plus
Alice : sûrement il dort nor maman repose toi demain tu vas le voir
Maman mado : je ne suis pas tranquille ohh comment je peux dormir sans savoir s'il va bien. Je vais demander à lisette de m'accompagner là-bas
Alice : mais attend demain nor ekieeee il est minuit passé. Es ce que Franck c'est un enfant il a dit qu'il veut rester seule laissons le
Maman mado : OK bonne nuit
Alice : demain à la première heure je l'appel et je te fais signe
Elle a raccroché. Jusque là elle n'était pas satisfaite. Soudainement, on a sonné à la porte.
Maman mado : peut être c'est lui
Elle est sortie de sa chambre au même moment que Lisette.
Lisette : qui est ce ?
...... : la police
Maman mado : hein ? Lisette tu as fait quoi
Lisette : rien ohh
...... Vous pouvez ouvrir ? C'est urgent
Lisette a ouvert. Il y avait deux policiers sur le palier de la porte
Maman mado : oui messieurs
Lui : je ne sais pas si nous sommes au bon endroit il ya eu un grave accident de la circulation et nous avons trouvé ça (en leur remettant un porte monnaie, un' trousseaux de clé et le téléphone) dans l'un des véhicules
C'est toute tremblante que maman mado à pris ces objets
Lui : nos recherches nous ont conduit jusqu'ici
Lisette qui avait déjà compris a arraché ces objets entre les mains du policier
Lisette : il s'est passé quoi ? Le propriétaire de la voiture est où
Maman mado : c'est d'abord qui c'est ce que je veux savoir
Lisette : maman va te reposer laisse moi faire
Lui : c'est votre mari ou bien ?
Lisette : non il est ou ?
Maman mado : c'est Franck ?
Sa fille ne réponds pas
Maman mado : je te demande si ça appartient à Franck ne me' prend pas pour une folle je reconnais bien son téléphone
Lui : si c'est votre fils madame je suis désolé il a eu un accident
Maman mado : ohhh mon bb ohhh j'ai moi dis que je n'arrive pas à dormir ohh
Elle s'est mise à crier dans la maison ce qui a réveillé les enfants.
Lisette : pardon dites moi qu'il n'est pas mort ?
Lui : il est à l'hôpital on l'a secouru à temps. On peut vous y conduire si vous voulez
Lisette : bien sur c'est gentil
Elle a fait coucher ses enfants et a demandé à leur grande sœur de veiller sur eux. Avec sa mère, ils sont allés à l'hôpital où Franck était interné. Il avait une jambe plâtrée et accroché, un bras aussi plâtré et des bandes autour de la tête
Maman mado : mon fils ohhh regarde dans quel état tu es werrrr seigneur.
Lisette : maman calme toi nous sommes à l'hôpital les gens dorment
Maman mado : regarde comment il est tu veux que je me calme comment
Lisette : ça va aller il est fort. Tu sais que toi même tu n'est pas en santé il faut aller te reposer je vais rester avec lui
Maman mado : c'est toi qui doit rentrer tu as les enfants à la maison va t'en occuper je vais m'occuper du mien
Lisette : hummm OK. Je vais profiter de la voiture des policiers pour rentrer.
Maman mado : OK
Lisette est partie. Sa mère a encore coulé les larmes, ça faisait mal de voir son fils dans cet état.
Maman mado : pardon mon fils c'est à cause de moi.