Marcel et moi (écart de 2 ans ) étions comme les doigts de la main puis Josyane est arrivé (5 ans plus tard) et nous formions alors les trois mousquetaires comme le disait notre défunt pète . Ce dernier nous a élevé en nous inculquant un amour fraternel indéfectible. Mais ça,c'était avant que Marcel ne rentre d'une sortie avec ses amis dans le temps, pendant qu'il n'était là que pour deux mois de congés. Avant qu'il ne rentre complètement bouleversé en me disant un sourire béa sur les lèvres qu'il avait vu une étoile ! Et depuis ce jour la,il n'y a plus eu qu'elle et sa famille pendant nous passons au second plan.
Etant déjà marié, je n'écoutais ses échos que pendant les visites de Josyane chez moi. Elle me disait combien elle était égoïste et me racontait comment elle gâtait nos neveux. Comment Marcel se cassait le cu en France à mélanger étude et boulot pour lui faire vivre une vie de rêve. Parce que mon père a part payé ses etudes,on sait tous qu'il était chiche et avare avec son fils.
J'ai essayé d'être gentille avec elle au début mais son attitude de princesse alors qu'on savait tous d'où elle venait, son air hautain , ses réponses acerbes ont eu raison de ma bonne volonté. Et comme ma sœur , j'ai fini par la prendre en grippe surtout quand on elle jouait a la sainte ni touche ! Toujours a se faire voir !
Moi(pestant) : elle ne paie rien pour attendre !
Je suis rentré dans ma voiture en demarrant,direction le palais de justice. Aujourd'hui Marcel va devoir choisir entre sa sauvageonne de femme et nous,nous qui sommes du même sang que lui. Car trop c'est trop !
Quand maman m'a telephonné pour me dire que l'école de la petite a appelé et qu'elle ne pouvait pas y aller,j'ai pris ma journée a la boite de logistique ou je bosses pout y aller. Ce n'était pas pour tomber sur des foutaises pareils.
Tous le monde connait Divine,une enfant polie qui jamais ne commencera une bagarre et surtout pas avec sa demi sœur sachant comment il la déteste tous. Il n'y a qu'a voir comment il regarde la pauvre enfant comme si c'est elle qui avait demandé à Marcel de regarder sa mère.
Ho celle là une autre idiote qui n'a pas su bien faire les choses. Il a fallu qu'elle soit trop conne pour le laisser filé car elle au moins, elle était une fille de chez nous. Parlait le lari comme de l'eau, connaissait les us et coutumes !
Dorine pouvait arrivé chez moi et demandé a la bonne de partir pour faire ménage elle-même. Elle s'occupait de maman même enceinte, toujours là quand on a besoin d'elle-même pour les taches ingrates ! Pas madame Tati,qui n'avait jamais le temps : je dois m'occuper des enfants ! Comme si des enfants elle était la seule a en avoir. Et pour bien gardé Marcel une fois revenu, madame lui en a chié quatre autres bien alignés ! A croire qu'elle s'est prise pour une poule pondeuse.
De prendre l'enfant de ton époux non elle n'a pas voulu et a même oser exigé un mariage a la mairie . Si ça n'avait été que ça, mais non c'était ce qu'on appelle mariage avec séquence a la télévision nationale,des routes bloqués, son visage blanc sur les dépêches(journal) le lendemain .
Quand vous lui proposez de prendre des cousines éloignées de son époux pour mettre dans ses boutiques ou même au travail chez elle, madame ne veut pas. L'égoïsme a l'état pure, même sa propre famille, personne ne met les pieds chez elle.
Moi (appelant Elda ) : Allo ?
Elda : oui yaya ?
Moi : fait la cuisine pour Mougnari et occupe toi de Steven,je ne serai à la maison pas avant seize heures !
Elda : c'est bon yaya.
Elda s'est la fille a la grande tante de maman. Je l'ai pris il y'a dix ans,quand mes jumeaux Christel et Christina sont partis étudier en Suisse ! Ils ont fait leur vie là bas, la fille est marié avec un hollandais et m'a donné une magnifique petite fille Clotilda ! Le garçon,Dieu seul sait ce qu'il fou là bas alors qu'avec ses diplômes il trouverai facilement un bon poste ici.
Je raccroche au même moment que je me gares.
Divine : Tantine Clotilde , moi je ne veux pas que papa se fâche contre moi !
Moi (la tirant hors de la voiture) : qu'il essaie seulement de se facher contre toi,on va voir entre moi et lui,qui a ouvert le chemin de la vie a l'autre !
Divine (appeurée) :....
Nous sommes montés jusqu'au deuxième étage de l'administration , nous planté devant sa secrétaire.
Moi : je suis venu voir mon frère .
Elle : vous etes ?
Moi (la regardant mal) : Clotilde Mougnari née Tati !
Elle : monsieur Tati est occupé,avez-vous rendez vous ?
Moi ( la fixant) : prend ce combiné et annonce moi !
Elle : madame je ne ....
Moi (haussant le ton ) : tu es sourde ou tu le fais exprès ? J'ai dit appelle le !
Elle (prenant le telephone) : monsieur,il y'a une Clotilde (me regardant )...
Moi : Mougnari
Elle : Mougnari qui demande a vous voir !
-.......
Elle : d'accord . (Nous lorgnant ) Tout droit,la grande porte.
Divine (petite voix) : merci.
Je l'ai tchipé avant de tirer ma nièce et d'entrer avec elle dans le bureau de mon petit frère. Marcel est debout semblant nous attendre.
Dès que l'on entre , son regard passe de moi a sa fille et de sa fille a moi .
Marcel(touchant le visage de Divine ) : c'est quoi ça ? Qui t'a fait ça ?
Divine (baissant les yeux) :....
Marcel (me regardant ) : Clotilde que fais tu ici ? Qu'est cela signifie ?
Moi : cela signifie que ta femme non seulement envoie ses enfants tabassé la pauvre fille,mais aussi elle prend le courage de lever la main sur moi . Parce que j'ai remis ma nièce qui est une impolie notoire a sa place !
Marcel (surpris) : Miranda a levé la main sur toi ?
Moi (haussant le ton ) : je suis ton ainé de trois ans Marcel et c'est ta femme avec son petit 42 ans qui ose me frapper ? Et tu doutes ? Tu crois que je serai dans cette état si ce n'était pas le cas ?
Marcel (a sa fille) : Divine qu'a tu as dire ?
Moi : parle !
Divine (tremblante) : Sophie et moi nous sommes battu a l'ecole et....
Moi : elle t'a attaqué. Sa copine l'a dit , elles etaient dans les toilette et Sophie est venue l'attaqué avec deux de ses amis. Il lui ont passé a tabac ! Regarde son visage !
Marcel : Divine continu.
Divine : tantine clotilde a dit que Sophie était mal elevé par sa mère et Sophie a dit a dit a ma tante de ne pas parler ainsi a sa mère. Tantine l'a giflé et sa mère s'est jeté sur ma tante. Elles se sont mises a se battre !
Marcel (me regardant ) : Clotilde !
Moi (en colère ) : quoi clotilde ? Quoi clotilde ? Ta femme éduque vos enfants dans la haine de leur sœur. Tellement elle la deteste qu'elle l'attaque a l'ecole . Et c'est une enfant de quinze ans qui ose me reponde,me crier dessus que je suis son amie ? Et quand je la frappe pour lui signifier de rester a sa place,c'est sa mère,ta femme qui me tombe dessus ?
Marcel :....
Moi : a peine hier tu m'as dit des choses méchantes à cause d'elle , même pas 24 heures apres,nous voilà. Le sujet c'était quoi déjà ? Ho oui,la mauvaise éducation de ta femme sur les enfants ! (M'assoyant en faisant signe a Divine de faire de même) C'est une femme ça Marcel ? Une épouse qui ne respecte même pas sa belle sœur , son ainée de pratiquement 15 ans! Que j'ai le même âge que Sophie pour qu'elle me réponde ou que Miranda ?
Marcel :....
Moi : non seulement ça regarde les gens de haut en faisant la présence que sans toi elle n'aurai jamais été, mais aujourd'hui c'était la goutte de trop Marcel. Si cette femme te monte tellement dessus que tu ne peux plus respecter ta grande sœur, tu ne peux plus protéger ta fille, franchement Marcel ou allons nous ? (La voix tremblante) c'est ce que papa voulait en mourant ? Qu'on s'entredéchire a cause d'une femme venue d'ailleurs ? Une qui n'est même pas de ta tribu ? Une nordiste ?
Marcel (soupirant ) : Clotilde je vais en discuter avec Miranda et avoir sa version des faits !
Moi (m'emportant ) : et puis une fois qu'elle t'aura retourné le cerveau,tu viendra crier sur les gens « ma femme ! Ma femme » comme si nous autres là n'avons pas de maris ? (Poussant Divine devant lui ) voilà ta fille emmène la a l'hôpital elle a des coupures !
Marcel : Clotilde !
Moi (touchant la joue de Divine) : il te ramènera ma cherie !
Je suis sortie du bureau en claquand la porte derrière moi. Voilà en quoi se résume mon frère ! Un homme fort dans ce pays qui devant Miranda devient un petit poussin apeuré . Une femme qu'il a lui-même elevé,nourri,eduqué !
Des pauvres ! Des affamés de Mboshi (ethnie de la cuvette considéré comme du nord du pays) qui aujourd'hui bouffent l'argent de mon frère comme si c'était leur parents qui l'avaient chié . Maman dans sa vieillesse, pour que Marcel la fasse voyagé il faut parler,parler,parler mais quand il s'agit de madame la blanche ho Venezuela ho Maldives !
Je démarre et seulement cinq minutes après je me gare devant la SNCC ou travaille ma petite sœur Josyane . Je lui envoie un message et descend de la voiture en vidant ma bouteille d'eau .
Moi : les bêtises !
Josyane apparait dans un tailleur bleu ciel et me souri de loin. Son sourire disparait quand elle remarque mon visage bien serré.
Josyane : la sœur c'est comment avec toi ?
Moi (pestant) : elle a osé me frappé ! Moi Clotilde une petite conasse de rien tu tout me frappé ?
Josine (s'échauffant ) : ya Clotilde calme toi, mu ke kuwa mambu nge ke kuva vé (je ne comprends pas ce que tu dis « kituba »).
Moi : kuwa munu kasi (écoute moi alors).
Je respire un coup avant de lui conter ce qui s'est produit dès l'instant où maman m'a demandé de la remplacer a mon arrivé ici !
Josyane : non mais cette femme se prend vraiment pour Antoinette (première dame) ? Qu'elle est qui elle ? Si on lui enlève le nom Tati là,qui va la connaitre dans ce Congo là ? Une batarde comme ça ! Notre frère lui a conférer un peu de dignité et ça y est,madame pète plus haut que son sale cu de metèque !
Moi : avec des enfants mal éduqués !
Josyane (hors d'elle) : enfants qui soit dit en passant ne ressemble même pas à Marcel,ni a nous sauf peut etre Junior et Petronie qui malgré leur peau claire ressemble a leur père. On ne sait même pas qui est leur père !
Moi : hum.
Josyane : je vais prendre mes affaires,on va voir maman !
Moi : J'ai laissé Divine avec son père ,il ira sans doute la deposé la bas. On a qu'a y allé demain !
Josine : non non ! C'est mainenant qu'on y va. Tu connais ta mère,elle va crié et parlé mais dès que son fils va dire un mot,c'est fini !
Moi : okay je t'attends.
Josine est partie récupérer ses affaires et nous avons mis cape a la base chez maman. Elle était dans la cuisine entrain de crier sur sa ménagère .
On a dit tout ce qu'il y' avait a dire,de ce qui s'est produit en journée et surtout de tout ce que cette femme a fait le long des années. Puis avant que Marcel ne vienne,nous sommes partis chacune chez soi !
....Marcel Tati.....
J'ai appelé Bob en lui remettant de l'argents pour qu'il conduise Divine a l'hôpital bien qu'elle n'ai eu que de petite coupures .
J'ai remis a celle-ci une petite sommes,qu'elle afin qu'elle s'achete des choses qui vont lui faire oublié cette journée et ai donné une enveloppe pour maman.
Sur ce coup,Miranda a fait fort ! La connaissant , Clotilde a dû la mettre vraiment à bout pour qu'elle réagisse de cette façon. Surtout que ma femme ne supporte pas qu'on touche a sa progéniture.
Il faudra que je pèse de tout mon poids sur maman pour faire taire cette histoire ! Mes sœurs ne laisseront pas cet affront passé . Quoi qu'elle ai pu faire ou dire, Miranda n'aurai pas dû lever la main la première sur ma grande sœur. Ça je se fait pas tout simplement sauf si elle l'avait attaquée que j'ai cru comprendre que non.
D'abord j'apprends que Rosine veut mettre sa vie en l'air et ensuite c'est Sophie et Miranda qui font n'importe quoi ! Je sens déjà une violente migraine se pointer à l'horizon. Pourquoi je ne peux donc pas avoir un seul problème dans les bras !
J'essaie de me concentrer sur le travail colossal que j'ai mais rien y fait,je n'ai plus la tête a ça !
Moi (a Mireille) : bon je m'en vais là !
Mireille : et si madame appelle ?
Moi : je suis occupé !
Je suis descendu en serrant quelques mains le temps de trouver ma voiture et de foncer a l'OMS ! J'ai juste besoin d'un peu de bien être avant de rentrer chez moi et de me disputer une énième fois avec ma femme a propos de cette famille !
Fabienne (ouvrant le sourire aux lèvres) : je ne t'attendais pas avant deux jours (m'embrassant) ça va papi ? Tu en fais une de ses têtes !
Moi (lui rendant son sourire) : des maux de tête a n'en point finir !
Fabienne (souriante) : viens papi,je vais te changer les idées tu vas voir !
Elle m'a tiré dans l'appartement que je lui paie depuis un an dans la cité de l'OMS , son chaleureux sourire ne quittant pas ses lèvres .
Elle m'a enlevé ma veste qu'elle a déposé sur le porte manteau avant de me diriger vers le salon.
Elle a enlevé ma chemise et mon pantalon en me demandant de l'attendre là pendant qu'elle disparaissait dans le couloir .
Fabienne (une carafe et un verre dans les mains) : c'est du jus de gimgimbre,je l'ai fait ce matin ! Ça va te faire du bien !
Elle m'a servi et a de nouveau disparu dans le couloir. Une chose est sur, dès que je pénètre dans cet appartement , je suis certain de repartir calme et apaisé .
C'est ce qui m'a attiré chez cette petite,le calme ,son calme. Elle ne se fache jamais,ne fouine jamais,bref ne se prend jamais la tête . Fabienne c'est une copie de Miranda en un peu plus jeune , sans enfant avec lesquelles la partagée, et en moins clair de peau ! C'est une miss mélanine !
Quand je l'ai rencontré, elle faisait le service dans une soirée diplomatique au quelle j'assistait. Son sourire m'a hanté pendant des jours mais je la trouvais trop jeune 24 ans a ce moment là. Mais j'ai fini par demandé qu'on me la trouve et cela fait un an qu'on est ensemble. Elle ne m'a jamais fait de chichi comme l'autre là !
Elle a apparu avec une bassine d'eau tiede,qu'elle a déposé a mes pieds.
Fabienne(douce) : je vais te chercher une serviette, j'arrive !
Elle est revenue deux minutes plus tard,avec une serviette , son sac de produit et un banc . Elle s'est assise en face de moi et a plongé lentement mes pieds dans l'eau. Avant de se levé de passer derrière moi en enduisant ses mains d'huile.
Je n'ai pas tardé a sentir ses doigts agiles sur mon cou !
Fabienne (me massant) : ça va mieux ?
Moi (a l'aise ) : oui Fabi !
Fabienne (gloussant) : j'aime beaucoup quand tu me nommes ainsi et j'adore la consistance de ta peau papi ,on dirait du velour !
J'aime beaucoups la manière dont cette petite a de s'occuper de moi ,de me flatter,de me toucher. Et surtout contrairement a l'autre,elle sait ou se trouve sa place et n'essaie jamais de me mettre à bout. De faire a ce que je sois méchant avec elle . Ici,je peux oublier tout mes problèmes et me laisser allé !
J'aime ma femme , ça elle le sait,elles le savent toutes car c'est la première chose que je dis avant de débuter quoi que se soit . J'aime ma femme et pour éviter tout débordement a ma façon de l'aimer, comme tout homme en possession de toute sa force de male , je me dois d'avoir de petits bureaux ici et là . De sorte a toujours me sentir jeune et vigoureux ! Surtout qu'il y'a certaines choses que je ne peux faire avec ma femme, ma petite étoile !
Je ne sais pas d'où est né le problème entre mes sœurs et Miranda , je ne sais vraiment pas. Juste qu'un soir,Miranda m'avait téléphoné en larme, me suppliant de venir la cherché. Que Clotilde et Josyane les mettaient elle et les enfants (Junior et Petronie) mal à l'aise. Qu'elle ne se sentait plus la bienvenue dans la maison de mon père.
Fabienne (arrêtant le massage) : papi tu es avec moi ?
Moi (tenant ses mains) : excuse moi ma douce !
Elle s'est retourné en venant se placé a coté de moi. D'ouvrir ma braguette et de sortir mon petit moi tout mou de sa cachette et ensuite de le prendre en bouche. Je me suis mis a grossir dans la chaleur de sa cavité buccale , sous ses coups de langues aguerris !
Fabienne s'est mise a me pomper avec avidité en me massant les couilles de temps en temps de sa main droite tout en me caressant mon nombril de l'autre. Mes mains de part et d'autres de sa tête , je me suis mis a lui imposé un rythme en m'enfonçant très loin dans sa gorge a chaque petit coup.
Après quelques minutes ,j'ai fini par me libérer dans sa bouche et en bonne bémbé (ethnie sud réputé pour ses femmes farouche au lit) ,elle a avalé le tout sans bronché.
Fabienne (souriante) : tes pensées te tracassent t'ils encore ?
Moi (lui caressant la tête ) : bien sur que non, pas après ce traitement là !
Elle a repris sa place sur le banc avant de sortir mes pieds de l'eau et de se mettre a les massés en y mettant de temps en temps de l'huile. Me procurant après cette jouissance, une relaxation extraordinaire.
Mon téléphone s'est mis a vibré , en voyant le nom de « Viviana » s'afficher , je l'ai mis en silencieux avant de l'éteindre et de rendre son sourire a Fabienne qui maintenant passe sa langue entre mes orteils.