Medecin (me regardant ) : elle a avoué avoir effectué un avortement médicamenteuse. La perte de connaissance était dû a la perte sanguine excessif.
Junior (me regardant ) : elle a avorté ?
Moi (la main sur le cœur) : Rosine !
Medecin : vous pouvez aller la voir ! Je m'en vais de ce pas signer une autorisation de sortie.
Moi(choqué) :.... Elle n'aura pas de séquelle ? Je veux dire pour le futur ?
Medecin : ayant été effectué durant les 10 premières semaines, je peux vous assurer que ce ne sera pas le cas. Mais elle devra voir un médecin dans deux semaine pour plus de sécurité.
Junior : merci docteur (a moi) tu le savais qu'elle était enceinte ?
Moi (m'assoyant ) : elle ne m'a rien dit ! Je ne savais rien. Quand elle m'a parlé de medicaments,j'ai cru qu'elle avait essayer de se suicider !
Junior : viens on va la voir !
Je me suis levée le cœur en peine. Ma fille,ma petite fille ! Je ne pourrai pas comprendre comment ça a dû être difficile pour elle de prendre cette décision. A chaque fois que j'ai été enceinte, j'ai aimé mon enfant a naitre a la seconde où je l'ai su. Alors mettre volontairement un terme a une grossesse, c'est vraiment impensable pour une personne comme moi. Marcel et moi les ont élevés en leur inculquant certains principes, comme le respect de la vie. Celui-ci ne sera pas du tout content , pas du tout !
Nous entrons dans la chambre,Rosine se met à pleurer !
Rosi(en larmes) : je suis desolé maman ! Je...je ne pouvais pas le garder !
Moi (mettant ma main au dessus de la tienne) : calme toi !
Junior (la regardant) : tu te sens prête à y aller ?
Rosine (se mettant en position assise) : oui.
Son frère l'a aidé a se lever et nous nous sommes séparés devant nos voitures.
Moi (démarrant) : tu aurai pu me le dire,je t'aurai accompagné,je t'aurai soutenu...je suis ta mère Rosine !
Rosi (le regard ailleurs ) : je suis désolé.
Moi : je t'ordonne de toujours tout me dire Rosine,même si c'est un assassinat que tu envisage de commettre,vient m'en parler !
Rosi :....
J'ai conduit en silence jusqu'à me garer dans la villa. Les enfants ont tout de suite entouré la voiture,ils devaient nous attendre .
Clève (touchant sa sœur) : qu'est ce qui s'est passé ? Rosine tu as fait quoi ?
Lena : tu es toute pale !
Moi(prenant Christ des bras de Sophie) : elle est fatigué,laissez la allez se reposer. Enoch demande à Annabelle de lui faire un truc a mangé !
Rosi : je n'ai pas faim maman.
Moi (la regardant) : tu vas mangé ! Enoch ?
Enoch(courant vers la cuisine) : j'y vais !
Rosine est allé dans sa chambre avec sa troupe qui la suivait comme des mouches.
Je suis allé dans la notre et j'ai déposé mon fils sur le lit . J'appréhende vraiment la réaction de Marcel. Il faudra juste que j'agisse avec tact en lui présentant les choses de manière la plus générale possible.
Moi(me déshabillant) : Sophie et Lena se sont occupé de toi ? Raconte a maman !
Et pendant qu'il me racontait , je suis allé prendre une douche avec lui derrière . Mettre une robe popo et de rejoindre Annabelle dans la cuisine ,voir ce que je peux faire a cette heure pour Marcel.
Je lui ai fait un bouillon clair de poisson d'eau douce,je n'ai pas le cœur ,ni le temps de faire autre chose.
A vingt heures nous sommes passées a table,a 21h nous sommes devant disney chanel avec les enfants. J'essaie de me concentrer en évitant de penser a Rosine qui est dans sa chambre.
Lena (se levant)ho papa ! Bonne arr....vé.
L'expression facial de celui si l'arrête dans son élan. Je me lève et vais alors le débarrassé de son sac .
Marcel : qu'est ce qui se passe ici Miranda ?
Moi (le regardant ) : tu ne veux pas discuter de ça dans la chambre ?
Marcel (regardant les enfants) : Clève appelle Petronie , Enoch tu me demandes a Rosine de venir tout de suite et puis tu vas te coucher.
Enoch : mais il n'est pas encore vingt....
Je lui lances un regard,il se lève en boudant et file dans le couloir. Marcel n'est pas du tout content, ce n'est pas le moment pour le contrarié. Si c'est mon message qui la mis dans cet état, pourquoi voudrai t'il la présence des enfants ? On met toujours un point d'honneur a ne pas étaler nos problèmes devant eux .
Rosine apparait tout timide dans le cadran de la porte .
Marcel : mettez vous ! Clève !
Clève (plaçant son laptop devant lui ) : voilà.
Marcel (tonnant) : comme ça, tu essaie de te suicider Rosine ?
Rosine :....
Marcel (me regardant) : et j'apprends cela de ma mère ! Ma mère ! Donc moi Tati,je n'arrive tellement pas à gerer mes filles que Rosine tente de se suicider ?
Moi (calme ) : elle n'a pas voulu se suicider Marcel.
Marcel(me criant dessus) : alors pourquoi s'est elle retrouvé a l'hôpital ? Pourquoi tu m'as appelé des centaines de fois alors que je t'ai bien dit que je serai occupé ? Et puis tu oses me crier dessus dans un message vocal ?
Moi :....
Marcel : vous allez me dire aujourd'hui ce qui s'est passé !
Moi (perdant mes moyens ) : si ta mère sait tellement de choses, appelle là qu'elle te le dise !
Marcel ( me fixant) : c'est a moi que tu parles Miranda ? Tu me manques de respect tout d'abord au téléphone et ensuite devant mes enfants ? Moi Tati ?
Moi : ....
Marcel : Clève que s'est il passé ?
Clève (le regardant) : Junior est venu nous cherché en disant que maman était a l'hôpital avec Rosine . Je ne sais rien de plus !
Marcel (tonnant): tu ne sais rien de plus ? Je ne suis pas là,ton frère n'est pas la,c'est toi l'homme de cette maison. Quand je veux savoir ce qui se passe ici en mon absence,c'est a toi de me le dire. Et tu me sort des « je ne sais rien de plus » ? Petronie !
Nous portons tous nos regards sur l'ecran, Petronie a sursauté .
Pétronie (rouge) : papa je suis a 11 milles kilomètres de vous !
Marcel (criant) : vous me prenez vraiment pour un con dans cette maison ! Je suis votre connard c'est ça ? Miranda c'est avec moi que tes enfants et toi voulez joué ? C'est comme ca que tu les éduque en mon absence ? A me manquer du respect ?
Rosine(bègue) : j'ai avorté papa !
Marcel qui était assi se lève d'un bond et va se placer devant Rosine qui tremble de tout son être.
Moi : Marcel....
Il lève la main pour que je me taises. Mon regard rencontre celui de Léna qui est remplie de larmes.
Marcel : répète !
Rosine(tremblante) : j'ai effectué une ivg médicamenteuse. Je suis désolé papa !
Marcel (en colère ) : tu te donnes aux hommes maintenant ? Tu sais ce que tu viens de faire ? L'article 317 du 05/12/1945 p1611 du code pénal de notre pays stipule : Sera puni d'un emprisonnement de 6 mois à deux ans ,une femme qui se sera procuré l'avortement !
Nous :...
Marcel : moi procureur de mon état et c'est ma fille qui avorte ? (La giflant) tu veux que je te mettes en prison tout de suite ? C'est mon nom a moi que tu cherches a piétiné ? Non seulement tu te prostitue a tout juste 19 ans, mais tu agis en hors la loi ? (La giflant encore une fois) moi ma fille ? Fallait assumer ton dévergondage !
Je serre le cœur , les yeux déjà remplie de larmes que j'empêche tant bien que mal de sortir.
Marcel (hors de lui ) : tu me fais tes affaires ,tu ne restera pas chez moi !
Moi : Marcel arrête !
Marcel (me regardant) : voilà comment maman m'appel pour me raconter des conneries sous prétexte que j'éduque mal mes enfants et c'est vraie en plus vu qu'ils se trouvent maintenant capables de faire ce genre de connerie sous mon nez et cela avec ta complicité Oba !
Je me lèves tout simplement et quitte la pièce en les laissant se gerer entre eux. Quand les enfants excellent a l'ecole,dans les œuvres artistiques, ce sont nos enfants. Mais dès qu'ils font un truc qui ne concorde pas avec la vision des Tati,ce sont les enfant de Miranda Oba. C'est Miranda qui envoie,c'est Miranda la complice ! Qu'il la tue alors !
La voix de Marcel tonnant ne se fait plus entendre quand je referme la porte de notre chambre. Je vais prendre une douche plus froide pour faire retombé la pression et me couche a ma place.
Trente minutes apres,Marcel fait son entré dans la chambre. Je le sens qui s'agite comme a chaque fois qu'il est en colère puis va dans la salle de bain d'où il ne ressort que des minutes plus tard.
Marcel (calme) : Miranda j'ai faim !
Moi :....
Marcel : Miranda !
Moi :...
Marcel : Femme !
Moi(me retournant) : quoi ? Quoi ? Tu as fini de me donner la faute de tout les maux de la terre ?
Marcel(me fixant) : je suis déjà assez énervé comme ça ,alors n'en rajoute pas !
Moi (soutenant son regard) : alors ne me fait pas chier tu entends non ?
Marcel(hors de lui ) : non mais tu t'entends parlé ? Tu trouves ça normal ce que ta fille a fait ? Tu trouves ça normal qu'elle couche avec des hommes et avortes ? Que ce soit ma mère qui me mette au courant ? Et cela en utilisant des termes peu élogieux a notre encontre ? Remettre en cause ma place d'homme dans ma maison ?
Moi (la voix tremblante) : si tu avais daigné répondre a mes appels tu l'aurai su de moi ! (en larmes) j'ai pensé au pire, j'ai cru que ma fille voulait se donner la mort alors excuse moi de me dire que c'est mieux ainsi ! Les femmes ont le droit de vouloir porté un enfant ou pas .
Marcel (tournant sur lui) : tu le savais n'es pas ?
Moi : NON ! Bien sur que non !
Marcel : c'est qui ?
Moi :....
Marcel(me prenant les épaules avec force) : c'est qui qui a fait ça a ma fille ?
Moi : Rodrigue,le fils de ton ami !
Marcel est sorti de la chambre avec moi derrière lui , en allant ouvrir celle de Rosine avec force . Elle s'est directement mise en position fœtale et moi de me poser sur elle avant que son père ne se mette a la roué de coup.
Marcel(fou) : dégage de la Miranda !
Moi : arrête Marcel ! Arrête ! Elle est convalescente !
Clève (devant la porte ) : papa ! Les enfants ont peurs arrête s'il te plait !
Marcel : tu ne terminera pas ce mois ici. Tu pars en Afrique du sud !
Il est parti s'enfermé dans son bureau .
Clève (le regard injecté de sang) : c'est Divine qui a dû le dire a grand-mère ,il n'y avait qu'elle a ce moment là !
Moi (calmant Rosine) : il est en colère mais ça va lui passé !
Clève (regardant sa sœur) : si je te revois encore avec ce boloss,je te casses en deux ! (S'en allant) et lui aussi.
Rosine était inconsolable, mais elle n'a pu s'endormir que très tard. Quand je suis reparti dans notre chambre, Marcel n'y était pas . Il a finalement passé la nuit dans son bureau.
.... Divine Tati....
Hier , après avoir raconté a tantine la conversation entre mes demis frères , j'ai directement compris que je n'aurai pas dû ni le faire , ni au tout début le raconter a grand-mère.
Car celle-ci a appelé tantine Clotilde et cela s'est transformé en réunion de famille. Comme quoi, La femme de mon père est tellement nuisible qu'elle a poussé sa propre fille a commettre l'irréparable. Que papa est trop moue, qu'il se laisse trop dominé par elle ,bon ça ce n'est pas complètement faux . Tous le monde le sait dans la famille, qu'elle lui marche dessus.
Mes tantes se sont mises a mettre la pression sur leur mère et comme a chaque fois,elle a appelé son fils pour lui lancer tout ça au visage.
Je ne sais pas ce que papa lui a repondu,mais Tantine Clotilde a pris le téléphone de grand-mère en insultant sa femme et ça s'est terminé en clash entre les deux.
Tantine Clotilde était tellement en colère,qu'elle s'est mise a dire que cette femme a vraiment ensorcelé mon père . Car il suffi juste de parler d'elle pour que papa démarre au quart de tour et manque de respect a ses sœurs. Elles qui ne veulent que son bien.
Moi (m'agrippant a la voiture a cause d'un dos d'âne) : Bob doucement !
Bob : desolé,la route est bizarre.
Moi : oui maman je t'écoute.
Maman : donc tu me dis que ce n'est pas vrai ?
Moi : maman je ne veux plus parler de ça,d'ailleurs je n'aurai pas dû le faire. Grand-mère transforme toujours tout !
Maman : mais toi tu es trop bete. Je te dis que cette femme a fait des herbes a ton père . Mais tôt ou tard,le Dieu que je sert me donnera raison ! Il me reviendra.
Je roule des yeux ! Petite,je revais beaucoups de ce moment ou mon père et ma mère pourraient se voir sans problème. Le jour où on formerai une famille tous les trois . Mais j'ai fini par comprendre que cela ne viendra jamais car au final maman s'est remarié et a trois enfants de plus. Mais elle continue toujours de dire qu'il lui reviendra.
Moi : maman je suis devant mon école là !
Maman : d'accord mon bébé ! Et étudie bien, ai plus de notes que ses enfants.
Moi (roulant des yeux) : nous ne sommes pas au même niveau maman !
Maman (comme toujours) : tu es bien plus belle et intelligente que toute ses filles réunis ! Ne l'oublie jamais !
Moi : oui Maman !
Maman : c'est bon mon bébé ! Bisous !
Moi : Bisous !
Je dis au revoir a Bob et sors du véhicule. Comme avec tous ce qui a attrait a moi,c'est papa qui le paie . Son boulot s'est m'emmener, moi et grand-mère ou l'on veut. Mais comme mamie Petronie ne sort pas beaucoup a part a la messe , mes tantes l'utilisent souvent pour certains courses . Parce que papa paie pour tout,il ne faudra pas qu'il gagne , il est payé pour bosser alors je comprends et les laisse faire.
Luc : « tu es belle ce matin »
Je regardes autour et le vois devant la porte de la cafeteria. Il me souri et je lui rend son sourire.
Moi : « ce matin ? »
Luc : « tous les jours mais encore plus ce matin car c'est le présent ».
Moi : « (smiley qui rit) bien rattrapé »
Luc : « on manges ensemble ce midi »
Moi : (simey qui reflechi).
Je mets mon téléphone dans mon sac et entre dans ma salle de classe. La matinée se passe calmement comme d'habitude. A douze heures,on sonne et on se précipite a l'exterieur.
Ma copine Aurore et moi,on va au toilette pissé un coup.
Moi (m'essuyant avec du papier hygiénique): Je penses que je vais m'inscrire en danse hip hop cette saison sèche ,(mettant mon slip) ça me changera des pirouettes !
Aurore (derrière la porte) : ta mère te laissera faire ?
Moi : c'est toujours mon père qui paie alors !
- Toi dégage !
Aurore : heu Didi,y'a ta demi frangine la cinglée là !
- Je ne vais pas gérer pour aujourd'hui donc tu dégage !
- Elle a dit dégage ! T'as pas saisi ?
Je sors et vois que effectivement ma demi frangine la cinglée avec ses deux acolytes sont là . Pfff !
Aurore : elles ne sont plus les même les petites go de la seconde cette année !
Acolyte 1 (la dénommée Marlène) : Normal vu que l'année dernière il n'y avait que des putes !
Aurore a voulu foncer sur elle,mais je me suis interposé.
Moi (à l'autre la) : tu veux quoi ?
Sophie : te dire que t'es qu'une salope de première. Tu as fini de fouiner quand les garcons parlaient hier,pour aller le raconter a tous les Tati.
Moi :....
Sophie : et puis ça ne tente même pas de nier !
Moi : je l'ai rapporté et j'assume . Maintenant tu veux quoi ?
Sophie (la haine dans les yeux) : te rendre chaque coups que papa a donné a ma sœur par ta faute !
BAM ! C'est le coup de poing que j'ai reçu a l'œil ! Ce qui m'a fait me retourner sur moi-même a cause de la puissance. J'ai foncé sur elle en la sprintant. Nous sommes allés nous fracassé toute les deux sur le grand miroir qui s'est brisé .
On s'arrache les cheveux,on se donne des coups de poings pendant que nos amies regarde en se jaugeant du regard .
Puis nous sommes tout d'un coup séparé par Golber (surnom du surveillant) pendant que nos copines prennent la fuite.
Surveillant : vous arrêtez de vous battre ,avancez ! Chez le directeur !
Celui-ci nous a reçu de suite,d'abord moi puis ensuite Sophie . Mais aucune de nous deux ne lui a donné la raison de la bagarre . On a beau se detesté,mais nous ne sommes pas des balances ! Dans le lycée,se qui se passe entre lycéens,restent entre lycéens . On ne boucave pas aux profs pour rien au monde et encore moins au directeur.
Directeur : je vais devoir demander à vos parents de venir.
Nous :....
Directeur(a sa secretaire) : appelez madame Tati !
Secretaire : pour les deux ?
Directeur(me regardant) : madame Miranda Tati pour l'une et pour l'autre Petronie Josephine Tati,c'est bien ecrit dans leur cahier de liaison non ?
Secretaire : excusez moi monsieur,c'est ecrit !
Elle est sorti du bureau et nous sommes restés là devant le directeur qui lisait calmement son livre sans faire cas de nous. On se lançait des insultes en bougeant les lèvres !
Trente minutes plus tard,sa mère est arrivé.
Elle(touchant sa fille) : Sophie mais qu'as-tu fait ? (Me regardant)....
Directeur : madame Tati,prenez place s'il vous plait.
Elle : je vous écoutes monsieur.
Directeur : les filles se sont battus dans les toilettes de l'école. Elles ont par la suite cassé des miroirs et dévissé une porte selon les constatations de notre surveillant général .
Elle (regardant sévèrement sa fille): elle sera puni comme il faut monsieur le directeur. Et je paierai ce qu'il faut concernant les dégâts sur le matériel.
Directeur : Etant donné qu'elles sont toutes les deux des élèves brillantes, je ne l'ai passerai pas en conseil de discipline (nous fixant) pour cette fois . Mais elles auront une semaine d'exclusion !
Elle : je comprends mon...
Tantine Clotilde (entrant ) : bonjour bonjour !
Directeur : madame ?
Tantine Clotilde (me montrant) : je suis sa tante, Clotilde Mougnari née Tati ! (S'assoyant) ma mère est souffrante.
Directeur : ha je comprends. Votre nièce s'est battu avec sa sœur....
Tantine Clotilde : demi sœur !
Directeur : cela va de soit. Elles seront exclus pour une semaine et....
Tantine Clotilde(me regardant) : qu'est ce qui s'est passé ?
Moi :....
Tantine Clotilde(au directeur) : ma nièce n'a pas pu être l'instigatrice de cette bagarre . Il n'y qu'a les regardé pour comprendre celle qui est mal élevé parmi les deux.
Directeur : madame nous ne sommes pas ici pour faire le procès des enfants. Mais vous mettre au courant de la mauvaise conduites de celles-ci et des sanctions prises.
Tantine Clotilde : je sais monsieur le directeur et je comprends en parti car cela va de soit que ma nièce n'a rien avoir avec cet incident. Les autres enfants de mon frère sont mal élevés , ce qui est compréhensible quand on voit qui en est la mère.
Elle (regardant ma tante ) : Sophie lève toi ! Au revoir monsieur le directeur .
Tantine Clotilde : c'est ça du balaie ! Ça regarde les gens de haut alors que c'est une baarde de blanc !
Sophie : tantine Clotilde je ne te permet pas de parler ainsi a maman !
Celle-ci lui a donné une grosse gifle sur la bouche et en un battement de cil,c'est la main de la femme de papa qui s'abattait sur la joue de ma tante. Elles se sont jetés l'une sur l'autre dans une bagarre colossale !