-Ben : maintenant, si je comprends bien hein , un seul amant ne te suffit plus. Dit-il en s'approchant dangereusement de moi. Je me suis mis à reculer en arrière tout en essayant de m'expliquer mais comme à son habitude il n'a rien voulu attendre. J'ai reculée jusqu'à m'être collé contre le mûr. Voir Ben , aussi furieux m'a directement donner la chair de poule.
Aujourd'hui, c'est ton dernier jour Aya. Me souffle ma conscience.
-Ben : avec tout ce que j'ai fait pour toi Aya , avec tout l'amour que j'éprouve à ton égard malgré ton infidélité, c'est comme ça que tu me rends l'appareil de tous mes bienfaits pour toi? comme signe de reconnaissance, tu n'as trouvé d'autre moyen que de couché de gauche à droite avec les hommes d'autrui sans scrupules tout sachant combien je suis jaloux hein.
-Moi : mais pourquoi tu n'ecoutes jamais ma version Ben? Tu es prêt à me battre à chaque fois q...
Avant que je ne terminés ma phrase, il m'a donné une gifle monumentale qui m'a fait tourner la tête quelque secondes avant que je reprenne mes esprits. Pour cette fois-ci, j'ai vraiment lu dans ses yeux en m'etranglant qu'il était prêt à me tuer si je ne fais pas quelque chose pour ma défense. Essayant de me sauver de son emprise en me débattant, ma main a touché quelque chose de bien solide posé sur une table dans un coin du salon. Je l'ai vite saisi et sans hésiter, je lui ai donnée un coup violent sur la tête avec... Il a laissé mon cou puis tient sa tête en criant sûrement de douleur. De mon côté, j'ai suffoquée pendant des minutes avant qu ma respiration ne revienne à la normale. En me levant de là ou j'étais , j'ai vu le corps inerte de Ben couché sur le sol , le sang jaillissait de son front. Avec le gardien qui tapait à la porte en criant si ça va dedans, je n'ai pas eu le temps de voir si il est encore vivant ou pas . je suis directement monté cherché mes bagages déjà prêt puis me changer en toute vitesse. J'ai ouvert la porte au gardien tout en tenant ma petite valise et mon sac à main contenant mes accessoire de valeurs.
-Lui : ça va madame ?
Je lui ai bousculer de toute mes forces puis prend la poudre d'escapade sans attendre mes restes. Je me suis engouffré dans le premier taxi sans même savoir où j'allais. Le taximan a rouler une demie heure avant de s'arrêter dans un coin de la rue pour me demander ou j'y vais. Sa voix m'a fait sursauté vu que j'étais très très loin dans mes pensées. Voir Ben inerte, me revient en boucle dans ma tête. En ce moment , je me suis rappelée de la petite Fatou , elle sera la seule qui peut m'aider à me cacher. Je suis sûr et certaine que la police est a ma trousse en ce moment même. Ces sorcières de soeurs feront tout pour rajouter la prison aux calvaires qu'elles m'ont fait vivres depuis que j'ai mis les pieds chez leur cher frère.
Mais malheureusement pour moi, le numéro de la petite Fatou ne passait pas. Il faut que je trouve vite une solution avant que cet homme assis tout près de moi ne remarque que quelque chose close. J'ai ouvert mon sac pour voir si ça me restait encore un peu d'argent qui pouvait au moin m'aider à payer une nuit à hôtel pas très cher. Cela me permettra de mettre mes idées en place et de trouver aussi une solution avant que la police ne me retrouve. J'ai fouillée de font en comble mon sac sous le regard inquisiteur du chauffeur. J'ai laissé un ouf d'air en voyant quelques gros billets de 5000fr. J'ai compté puis demande au chauffeur de me déposer dans un l'hôtel.
Curieux que lui tu meurs. Il s'est mis à me bombarder des tas questions.
Son rire idiot m'agaçait tellement... avec tout ce qui se passe dans ma tête en plus. Ma misérable vie près de cet homme venait d'à nouveau être basculer à tout jamais. Je n'ai jamais eu de paix intérieure depuis que j'ai fait salam aleyloum chez Ben. Si ce n'est pas ses coups, ce sont ses sœurs. La voix du chauffeur m'annonçant qui nous y sommes arrivé m'a tiré de mes pensées. Je lui ai payée ce qu'il me devait et descendu tout en regardant de gauche à droite. Il faut que je sois bien sûr que je ne suis pas suivi par la police avant d'entrer. J'ai directement passée à la réception pour demandé le prix d'une nuits. La receptionnaliste m'a vite donner le prix que j'ai payé sur le champs. Dans une petite chambre, très différente des autres chambre d'hôtel mais très propre et paisible pour la réflexion. J'ai déposé ma petite valise dans un coin de la chambre. Je pris place sur le lit qui faisait face au miroir de la petite armoire. Voir mon reflet dans ce glace m'a directement fait pensée à Ben inerte dans son sang par ma faute. Une larme chaude s'est échappé de mon oeil. Je me suis levée puis m'engouffre dans la douche. L'eau tiède sur mon corps m'a fait un grand bien. Je suis sorti de là quelques minutes après et trouve que le diné est déjà servi. J'ai regardé la nourriture avec dégoût tout en regardant mes deux mains. Je les sens sale , je me sens comme une criminelle mais tout sauf finir en prison. Après m'avoir changé, j'ai à nouveau retenter le numéro de la petite Fatou qui a sonné cette fois-ci.
-Moi : comment tu vas Fatou? Pourquoi ton télephone etait eteint ?
-Elle : je vais bien Tata Aya. Problème de chargeur. Ici chez mon oncle , tout le monde charge son téléphone avec un seul chargeur.
-Moi : ah , je vois. (Sanglotant) : je l'ai tué Fatou , je l'ai tué.
-Fatou : qui ? Stp Tata Aya , calme toi et dis-moi ce qui ne va pas ?
-Moi : tu peux venir me rejoindre à l'hôtel.
Je lui ai vite indiquer l'hôtel et elle est venu me retrouver une demi-heure après. Je lui ai tout expliquer dans les moindres détailles.
-Fatou : c'est bizarre ça. Dernièrement dans le quartier, tu n'as pas eu à échange des mots avec un homme?
-Moi : sauf le monsieur qui m'a accompagné la dernière fois chez moi.
-Fatou : je comprends maintenant, sa femme vous a sûrement vu ensemble. Cette femme est très jalouse Tata.
-Moi : d'où tu connais la femme de ce monsieur?
-Fatou : par le biais des quelques amies que je m'étais faite chez vous. À chaque fois , elles me parlaient de la jalousie maladive de la dame connu par tous dans le quartier. Tu ne dois pas laissée passez ça Tata Aya. Si tu veux , je demanderai a la servante de cette femme, elle me dira où travail son patron. Comme ça demain à la premiere heure , tu iras le voir et tu lui raconteras tout ce que s idiote de femme est allé raconté chez toi. Cette femme doit payé fort pour cette accusation.
-Moi : merci Fatou , le mari de cette idiote est le seul qui pourra m'aider dans cette affaire. Je ne sais même pas si Ben est mort ou vivant.
-Fatou : j'espère qu'il est mort.
-Moi : dit pas ça Fatou , je ne pourrai pas vivre avec cette culpabilité sur la conscience. Appele ton amie là sltp.
Elle a appelé la servante du monsieur et à mis le téléphone sur haut parleur.
-Fatou : Allô, fama , comment tu vas ?
-Elle : bien Fatou et toi ? Ça fait longtemps qu'on ne te voit plus dans le quartier.
-Fatou : je n'ai plus de boulot Fama , ta patronne a mis du feu dans le ménage de ma patronne.
-Elle : sacré cette femme , qu'est ce qu'elle a encore fait là-bas ?
-Fatou : elle est allé voir le mari de ma patronne pour lui dire que ma patronne sort avec son mari. Cet dernier furieux s'est jeté sur ma patronne , pour sa défense elle à cassé la tête de son mari avec l'objet qu'elle a trouvé. Et pour ça, elle est actuellement pourchassé par la police.
-Elle : cette femme est pire que le diable.
-Moi : ma patronne a envie de voir son mari pour voir si il pourra l'aider mais elle ne sait pas où le trouvé. Tu peux nous donné l'adresse de son entreprise ?
-Elle : mais bien sur que je vais te filer son adresse, ta patronne ne doit pas laissée passer ça. Tonton Hakim , est très gentil, il aidera sûrement à se faire tiré de cette affaire. Que Dieu l'aide.
-Fatou : merci ma chérie.
Elle a envoyé l'adresse de l'entreprise de son patron et tout les informations qu'il faut. Fatou , a passé la nuit avec moi à l'hôtel pour me réconforté le moral.
Hakim.
Je venais de franchi le seuil de la porte de ma maison lessivé comme jamais. Ma journée a été très chargée avec des réunions interminable à l'entreprise. J'ai jeté mon cartable que je tenais sur le sofa puis me met a défaire ma cravate. Madame ma femme est venu prendre place à ma face sans salutation. Comme à mon habitude, moi je lui ai salué puis trace mon chemin vers les marches.
Sa voix m'a arrêté net dans mon élan.
-Elle : tu en as assez des petites salopes maintenant c'est aux femmes mariées qui tu as affaire. Tu me dégoute Hakim , tu me dégoute tellement si tu sais.
Je lui ai offert mon plus beau sourire et continue mon chemin vers notre chambre. Elle est folle Fatima , elle pense que moi je n'ai rien d'autre à faire que de courir derrière les femmes. En l'épousant je n'éprouvais aucun sentiment pour elle mais il y avait quand même de l'attirance. À cause de sa crise de jalousie et ses insultes à chaque fois que je rentres du bureau , je n'ai plus aucun sentiment que ça soit de l'attirance au autre chose envers elle. Ces juste à cause de ma mère que je suis encore marié à elle. Pour ce qu'elle venait de dire concernant les femmes mariées, quelque chose au fond de moi me reproche de pensé à chaque fois que je suis seul à cette femme. Depuis que je lui ai vu , je ne cesse de penser à elle. Parfois je me pose même cette question'' mais qu'est-ce qui m'arrive ? " je ne saurai repondre. C'est la toute première fois depuis que j'ai épousé cette folle furieuse de voir une autre femme autrement. Je me suis déshabillé puis entre prendre une douche chaude qui m'a fait un bien fou. Je me suis habillé une fois sorti puis descend diné si elle a pris son précieux temps pour me préparer quelque chose bien sûr. Je lui ai trouvé assise devant la téle.
-Moi : tu peux me servir sltp?
-Fatou ( sans un regard sur moi): vas dire à tes pétasses de préparer quelques choses pour toi.
J'ai tout simplement dit '' OK'' puis sort de la maison sans faire attention à ses cries d'hystérie derrière moi.
Le lendemain matin.
J'étais assis dans mon bureau le nez plongé dans les documents quand ma secrétaire est venu m'annoncé qu'une jeune femme souhaite me voir. Comme je n'avais pas autant de travail que ça, je lui ai dit de la faire entré. Voyant la même jeune femme au beauté irrésistible franchir le seul de la porte de mon bureau. Je me suis directement lève de mon siège pour l'accueillir avec un sourire idiot collé aux lèvres. Je ne sais pas pourquoi , mais la revoir m'a vraiment fait plaisir. Sa douce voix m'a fait sorti de ma bulle.
-Moi : toi !
-Elle( prenant place) : moi quoi ? Je vois que c'est deux fous alliés qui se sont mariés.
-Hakim ( sourire): je suis l'homme qui vous a aidez la dernière fois lors de votre malaise.
-Elle : ah , je comprends tout maintenant. C'est votre aide de ce jour là qui m'a ôté mon foyer.
-dans la tête de Aya( fronçant ses magnifiques sourcils. C'est pas trop permis d'être aussi beau wallahi): je ne comprends pas madame.
-Elle( sous la défensive ): je ne suis plus madame par la faute de votre épouse.
-Hakim : qu'est ce qu'elle a encore fait? Sacré Fatima.
-Elle : elle est allé voir mon mari pour lui dire que je sors avec vous. Cet dernier a voulu encore me battre comme à son habitude, pour ma défense , j'ai fracassée sa tête avec une peau de fleur. En ce moment , il est couché entre la vie et la dans un hôpital et la police est à ma trousse. Aidez-moi ou je portes également contre votre épouse..
Encore Fatima, que dois-je faire de cette femme ? Ma mère qui n'a d'yeux que pour elle. Quoi que tu dis sur elle, elle ne le croira jamais ? C'est pourquoi d'ailleurs que j'ai cessé d'aller me plaindre chez elle vu qu'elle ne croit qu'à la version de sa petite protégé.
-Elle ( essuyant ses larmes) : vous êtes mon seul espoir monsieur.
-Moi ( la tendant un mouchoir): ne vous en faîtes pas madame , je ferai tout mon possible pour réparer la bêtise de ma femme. Parfois , je me demande si elle va vraiment bien dans sa tête. J'appelle mon avocat , il saura quoi faire.dis-je en composant son numéro.
J'ai appelé monsieur Diallo et il m'a donné rendez-vous dans un restaurant pas très loin de l'entreprise.
Avant qu'il ne montre sa tête , J'ai commandé deux cocktails pour moi et pour... Quel idiot! Je ne sais pas même pas comment elle s'appelle et je comptes pas demander maintenant. Diallo , a fait son entré quelques minutes plus tard. Il a pris place et s'est directement mis à bombardé la jeune dame des questions. Elle nous a raconté tout ce que son mari la faisait enduré depuis plus de 4ans. J'ai vraiment eu de la peine pour elle. Certains hommes sont des animaux, pourquoi traité une femme de surcroît ton épouse comme ta chose? Si tu ne l'aime pas , divorce d'elle au lieu de la maltraité. Je déteste trop les homme qui battent leurs femmes , c'est pourquoi celle qui me sert d'épouse a pris de la grosse tête chez moi. Il faut juste que je lui touche un mot qui ne lui plait pas et là elle monte sur son grand chevaux. Une larme a faillit s'échapper de mes yeux quand elle nous a montré son cou.
-Diallo : excusez moi pour le terme madame mais votre époux un animal sauvage. Il faut que la police voit ça avant que les traces de ses doigts ne disparaissent de votre cou. Il a faillit vous tuez si vous n'avez pas eu l'idée de écrasées sa tête avec cet objet.
-Elle ( baissant sa tête) : j'ai peur après tout ce que j'ai endurée depuis mon enfance puis termine tout ça en prison à nouveau. Slvp pas à la police , je ne sais pas si il a survécu après le terrible coup que je lui ais donné sur la tête. La police ne me croira jamais si il est mort.
-Moi : rassurez-vous madame, votre époux n'a rien , il est bel et bien vivant. Un simple coup sur la tête ne le tuera jamais. Il s'est juste assoupi.
-Elle : je l'espère bien.
-Diallo : avec tous ses traces sur votre corps madame , si votre époux est en vie ,c'est lui qui risquera de faire la prison. Ne perdont pas plus de temps. Allons, au commissariat.
Elle ne voulait pas venir avec nous par peur que la police ne l'arrête mais Diallo et moi ont réussi à la convaincre.
Son salopard de mari avait bel et bien porter plainte contre elle sachant que c'est lui qui est en faute. Je le déteste déjà sans même le connaître. Le commandant nous a reçoit dans son bureau pour prendre la déposition de la jeune femme. Elle a tout déballé à la police sans rien oublier. Après sa déposition, le commandant a directement envoyer une équipe cherché son crétin de mari.
-commandant : une dernière question madame. Pourquoi n'êtes-vous pas venir porter plainte plutôt contre votre mari?
-Elle : il me menaçait de me tuer qui si j'oses ouvrir la bouche.
-Commandant : très bien. On va à nouveau prendre la déposition de votre mari pour voir ce qu'on pourra faire pour regler cette affaire.
Le mari de la jeune femme s'est montré une demie heure après avec deux jeunes femmes à ses talons sûrement ses soeurs. Les deux femme ont directement attaqué la jeune femme quand elles l'on vu assise dans le bureau du commandant.
-L'une d'entre elle: monsieur le commandant, voici la salope qui a voulu tuer notre petit frère. Vous avez fait du beau travail en la retrouvant si rapidement. Elle pense que son crime restera impuni. Espèce de meurtrière.
-Son soi-disant mari : ma douce Aya , tu penses vraiment que tu peux te débarrassé aussi facilement de moi ? Espèce de garce ! Tu vas croupi en pr...
Sans qu'il ne termine sa phrase , je lui ai envoyé un coup violent dans sa gueule. C'est parti pour une bagarre entre nous mais les policiers nous ont vites séparer.
Après sa déposition, ils ont retenu Aya jusqu'au jour du procès vu que la version de L'Idiot à été plus forte que la tienne. On dirait qu'elle a peur d'ouvrir la bouche en présence de son idiot de mari. Elle a oublié tout ce qu'elle avait dit avant son arrivé. Le temps que Aya à fait au gardavis, je venais tous les jours la rendre visite.
Le jour du procès n'a pas tarder à arriver. Mon avocat a reussi incriminé L'Idiot. Les marques sur le corps de sa femme et le résultat de son analyse me dit ont été suffisant comme preuve contre elle. Le juge a donné son verdict en condamnant son mari à des années de prison.