Chapitre 2 Chapitre 2

***Wilson***

Je n'aime pas trop voir des gens en tristesse ou autre chose, cette jeune fille me fait tellement pitié

MOI : Carole c'est ça votre nom??

CAROLE : oui monsieur, je vous en supplie de m'aider , je n'ai personne pour m'aider s'il vous plaît

LÉON : ne fait pas attention à elle monsieur, elle veut juste nous berner, je maîtrise bien ces genres des personnes, les sans abris qu'ils sont

MOI : assez parler Léon, vraiment ça suffit maintenant,tu me tapes sur les nerfs, pourquoi tu peux juger une personne que tu connais à peine?

LÉON : et toi comment tu peux faire confiance à une personne que tu connais à peine?

MOI : ah bon donc tu me prends pour un ignorant maintenant ?

LÉON : non chef je voulais juste vous aider pour ne pas regretter après

MOI : assez Léon, assez maintenant je dis

LÉON : d'accord, que votre volonté sois faite mais je vous aurai prévenu.

Je ne sais pas ce que Léon a dans sa tête mais quelque chose dans moi me dit d'aider cette jeune demoiselle et je vais suivre mon intuition

MOI : Léon aide-moi à ouvrir la portière arrière de ma voiture pour que Carole y monte

LÉON : comme vous voudrez.

MOI : tu vas d'abord passer cette nuit chez moi pour voir ce qui va se passer demain.

CAROLE : merci beaucoup merci, que Dieu vous le rende au centuple .

MOI : amen amen

Et puis Léon me regarde et marmonne quelque chose que je n'ai pas saisi mais pour laisser que la paix puisse régné entre nous, je ferai mieux de faire comme si je n'ai rien entendu et comme si de rien n'était.

Après avoir fait monter Carole, je monte également car mon chauffeur était déjà là et Leon monte dans sa voiture et direction chez moi.

Après quelques minutes nous sommes arrivés, je descends et Leon comme toujours appelle un de domestique pour nous accueillir mais cette fois-ci il fait appel à un autre pour prendre Carole avec ses mini bagages qu'elle a .

RINO : bonsoir papa

Dit Rino en courant vers moi et je le prend dans mes bras

MOI : oh le fils de papa, comment fut ta journée ?

RINO : très bien papa, je les ai épaté comme je t'ai promis le matin

MOI : voilà mon fils , tape là

Je lui tend ma main droite pour qu'il y tape déçu

Léon fait son entré au salon avec Carole

RINO : bonsoir tonton Léon

LÉON : fiston ça va ??

RINO : oui tonton, qui est cette jeune dame avec vous tonton ?

LÉON : hum, demande à ton père car moi je n'y connais absolument rien

Il veut m'accuser auprès de Rino ou quoi ? et il connaît bien les questions de celui-ci, heureusement Sandra est là pour m'aider à échapper aux questions de Rino.

Sandra s'avance vers moi pour me donner un baisé

SANDRA : bienvenue mon amour

MOI : comment as-tu passé la journée mon cœur ??

SANDRA : très bien et toi?

MOI : tu sais ce qui m'a manqué non

Et on se met à rire elle et moi car on connaît bien ce que je voulais dire..

Ma femme ne s'entend pas bien avec Léon , je ne sais pas c'est quoi le véritable problème mais Sandra me dit qu'elle est contre notre amitié car Léon ne lui inspire pas confiance mais je trouve juste qu'elle exagère

LÉON : bonsoir madame Wilson

Elle ne lui répond pas et Léon se met sur le canapé sans répliquer face aux méfiances de ma femme parce qu'il est habitué.

SANDRA : qui est cette fille chéri ?

RINO : j'ai demandé à tonton Léon mais il m'a dit que c'est papa qui connait

MOI : chérie, cette fille est une sans abris, et je voulais qu'elle reste un peu ici avec nous pour trouver un abris

SANDRA : donc Wilson est devenu est bon samaritain si je comprends bien

LÉON : je lui ai dit ne pas faire confiance à n'importe qui surtout à ces genres de personnes

SANDRA : vraiment ça ne me plaît pas Willy, ce qui te manque c'est l'esprit critique,tu penses que tout le monde est saint sur cette terre?

CAROLE : madame j'ai besoin de votre aide , je suis une intellectuelle alors j'ai perdu mes parents et ma tante me mène une vie difficile c'est pourquoi j'ai fuit de chez elle pour devenir une sans abris mais Dieu a mis votre mari sur ma route

LÉON : et elle parle même de Dieu. Vraiment madame Sandra, j'ai dit à votre mari que ce n'est pas bon d'héberger quelqu'un sans connaître ses origines

SANDRA : Léon a raison, je suis du même avis que lui, vraiment chéri je ne suis pas d'accord avec toi

RINO : maman ,tonton , la fille peut rester avec nous ici non?

MOI : voilà même un enfant de 8 ans a un coeur de vouloir aider les gens contrairement à vous deux

SANDRA : ce Rino que connaît-il de la vie?? D'ailleurs Rino monte vite dans ta chambre

RINO : mais maman je donnais juste mon point de vue

SANDRA : qui te l'a demandé ?monte vite dans ta chambre avant que je ne sois en colère.

Et il monte en pleurant, il ne supporte pas qu'on tonne sur lui et en plus qu'il a raison.

Je ne sais pas quoi faire, ma femme,mon ami sont tous contre moi

MOI : mon amour,on peut monter un peu dans la chambre pour en discuter tête à tête s'il te plaît

Elle accepte après l'avoir supplier et je demande à Carole et Leon de nous attendre un peu car je vais en discuter avec ma femme et je les reviendrai pour leur donner la suite.

Une fois dans la chambre, alors ma femme déverse toute sa colère et me montre son désaccord.

Ce que j'aime chez elle est qu'elle ne peut pas me manquer le respect ou déplacer son langage quand je lui parle devant les gens mais elle le fait plutôt quand on est que nous deux

MOI : chérie, il est déjà tard et c'est une femme donc elle passera juste la nuit ici et demain on saura quoi faire d'elle

SANDRA :.....

MOI : dit alors quelque chose chérie

SANDRA : c'est mieux de me contacter quand tu veux prendre une décision car je suis à côté de toi pour ça

MOI : c'est la dernière fois mon amour, je te le promets

SANDRA : d'accord mais très tôt le matin on va régler ça

MOI : merci beaucoup mon adorée

Et je l'embrasse en lui donnant de baisé par tout et ça nous excité tous et on continue car j'en ai besoin et on dirait que ma femme aussi. On a raison parce que ça fait au-moins deux jours que l'on s'est pas touché

Je capture ses lèvres et les embrasse avec tendresse et elle déboutonne déjà ma chemise et moi je desserre mon cravate.

Elle était déjà en robe de nuit et donc ,ça devient facile pour moi de l'enlever.

En un clin d'œil, sa robe est déjà au sol et je contemple le magnifique corps de ma femme avec sa jolie poitrine que je ne perds pas le temps pour la sucée et la caressée.

Le calme regne ,juste le bruit de nos mouvements, elle soulève ma tête et descend vers mon entre jambe, elle fait descendre mon pantalon et commencer d'abord à caresser mon pilon avant de le mettre dans sa bouche.

Une fois dans sa bouche, je pousse un cri de gémissement et c'est ce qui la pousse à accélérer son mouvement, je commence à rugir comme un lion mais je rugit de plaisir. Elle accélère encore plus et ça me fait de plus en plus plaisir et je trouve que je risque d'arriver à la fin sans pour autant arriver à la phase finale donc je la stoppe et je la soulève pour ensuite la jetter au lit où je la rejoins et on fait encore de bache et puis je la suce. Notre chambre est rempli de ses gémissements et ça m'excite de plus en plus que je ne perds plus le temps et je me prépare pour pénétrer car mon truc était déjà dur très dur même mais elle me stoppe

MOI : quoi??

SANDRA : Léon et l'autre fille attendent notre réponse finale en bas

MOI : mais chérie, donc tu trouves mieux me couper juste pour ces deux là ?.

SANDRA : désolé mais le temps passe

Vraiment les femmes je ne vous comprends jamais.

Pour ne pas changer l'atmosphère, je prend mon téléphone et appel Léon pour lui dire de demander à une domestique de préparer une chambre à Carole et puis je raccroche car je ne veux pas perdre le temps et le rythme.

Je finis et je jette le téléphone et puis je m'introduit en elle par surprise et elle crit et le vas et viens en elle commence jusqu'à ce que l'on atteigne l'orgasme après 3 coups.

Je regarde ma montre et il est 22h alors que l'on a commencé à 19h .

MOI : désolé ma chérie, tu as raison d'être fatiguée

Je parlais dans le vide car elle ne m'écoutais pas vu qu'elle était endormi profondément après l'acte.

Bon comme elle est endormi, je dois aller prendre le bain seul.

****Léon***

Hier soir je suis sorti tard chez Willy mais finalement ils ont fini par héberger cette fille Carole. Donc il a convaincu sa femme vu qu'elle ne lui refuse rien.

Depuis hier j'avais des plan en tête mais il me reste juste un petit détail pour tout finaliser et donc depuis ce matin ,je suis inquiet car je n'ai pas encore reçu le petit détail qui me manque et je prie que ça soit comme je le pense.

Il est temps d'aller à l'entreprise mais je ne sais pas comment sera la journée sans avoir ce petit détail pour que mes plans soient parfaits.

J'étais déjà désespéré, je prend mes clés et mon sac pour aller à l'entreprise mais en voulant sortir je reçois un appel et c'est un numéro inconnu. Je prend mon téléphone et je décroche

MOI : allô

---: allô monsieur, tout s'est passé comme prévu, le plan a réussi.