-Moi, ok maman. Je vais prendre la moto. -Maman : Comment ça la moto, vas entrer dans le bus inh. -Moi : hum ok (hĂ©sitant) -Josiane : (rires) Je suis donc montĂ© dans minibus et j'ai accompagnĂ© le conducteur Ă la boutique. ArrivĂ© lĂ -bas, je profite pour piquer quelques chocolats et je pris deux canettes. Maman vend un peu de tout. Puis quand on finit de dĂ©charger les bagages, le chauffeur s'en alla ; il m'avait dit qu'il reviendrait dans 2 ou 3 heures pour me prendre (parce qu'il allait payer une somme quelque part). Je suis donc restĂ© dans la boutique pendant environs 2H 30 pour vendre au moins quelque chose avant de rentrer. A son arrivĂ©, le chauffeur m'emmena Ă la maison, pris son argent et s'en alla. Quand je suis entrĂ© au salon, maman se reposait dĂ©jĂ , elle s'Ă©tait allongĂ© sur la nappe qui couvrait le sol du salon ; juste derriĂšre le grand divan, alors je n'ai pas voulu la dĂ©ranger : il sonnait dĂ©jĂ 17h 30, j'ai ensuite dĂ©cidĂ© d'aller me reposer aussi, alors je pris le chemin de ma chambre, je croisai ma cousine dans le couloir, elle venait au salon. -Dis, tanti est rĂ©veillĂ©e ? -Non, elle dort toujours lĂ ? -Oohh, ok. -Tu voulais lui demander quelque chose ? -Oui, je voulais demander ce qu'elle aimerait qu'on mange ce soir. -Hum, tu n'as pas besoin, fais juste un bon repas. Elle n'est pas trop compliquĂ©e, mĂȘme moi aussi je prĂ©pare et elle mange, il suffit que le repas soit cool et sans dĂ©faut, sinon, elle insulte correctement. -ok, je vais faire du riz gras alors, super bien garnis, vous allez adorez. -Hum, ok, on verra bien. J'espĂšre que maman va aimer ça. -Oui, je suis sĂ»re (toute excitĂ©e) -Hum ok Je continuai mon chemin ; elle m'appela : -Stp Vido, attends un peu. -Oui -J'ai envie de t'embrasser. -Quoi, maman est lĂ hein ! -Elle dort (chuchotements) Elle me tira vers elle, enroula ses bras autour de mon cour et commença par m'embrasser ; j'avais aussi mes mains sur ses fesses. On fit ça pendant environ 30 secondes. -Ok, bon ça suffit maintenant : va prĂ©parer Ă manger. -Ok chĂ©ri. -Je ne suis pas ton chĂ©ri Josiane. Ok ? -DĂ©solĂ©. Dis, tu vas dormir Ă quelle heure ce soir ? -Je ne sais pas encore, je dormirai quand le sommeil viendra, tu veux me dire quelque chose ? -On peut se voir Ă minuit, pendant que maman sera entrain de dormir ? -Hum ? -Oui, s'il te plaĂźt, je te promets que tu vas adorer, je vais te satisfaire comme jamais. - (Je pensais dĂ©jĂ Ă tout ce qui va se passer) Ok, c'est compris. - (Elle s'approcha de moi et m'embrassa encore). Je t'adore. J'entre enfin dans ma chambre et je m'endors. Pendant que je dormais, quelqu'un chuchota dans mes oreilles : -... LĂšves-toi et viens manger, il se fait tard. Je sursautai de mon lit, c'Ă©tait Josiane. -Hum, tu veux quoi ? (Tout somnolant) -Viens manger, on t'attend depuis Je pris mon portable pour regarder l'heure et merde, il Ă©tait dĂ©jĂ 21h. Mais comment ai-je dormi ? Je me levai prĂ©cipitamment. -Ok, je viens, je vais prendre une douche et je vous rejoins. -Ok fais vite, maman a faim, je lui dirai que tu es en train de te changer. -D'accord, merci. Je parti sous la douche prendre un bain puis je revins dans ma chambre je portai un dĂ©bardeur un short puis je me rendu au salon ; Maman et Josiane Ă©taient dĂ©jĂ Ă table et m'attendaient. -Maman : Enfin il est sorti, paresseux comme ça. -Josiane : (Elle Ă©clata de rires) -Moi : Non, maman j'Ă©tais fatiguĂ© donc je me suis endormi et voilĂ , je me suis rĂ©veillĂ© Ă 21h bizarrement. -Maman : Epargnes-moi tes justificatifs et assieds-toi, moi j'ai super faim. -Moi : Hum ok. Je m'assis et on pria puis on commença par manger. Chacun s'est servi comme d'habitude. -Moi : Bon appĂ©tit. -Josiane : Merci Vido. -Maman : Ok, maintenant, laisses-moi manger. -Moi : DĂ©solĂ© maman. On mangea le riz gras sans rien se dire jusqu'Ă la fin du repas. -Maman : Hum, Josiane, ce n'est pas mal, tu as bien fait le repas, j'ai aimĂ©. -Josiane : (toute contente) Merci tanti -Moi : Hum ! -Maman : Toi, tu connais quoi en cuisine, tu dis hum comme si tu pouvais prĂ©parer quelque chose de bon. -Moi : Hein maman, tu te rappelles du spaghetti que j'ai fait la fois derniĂšre ? Tu as pourtant dit que j'ai prĂ©parĂ© ça non ? -Maman : ça c'est juste du spaghetti, tout le monde sait faire ça. -Josiane : (Elle riait seulement) -Moi : Hum ok, mais je sais prĂ©parer inh maman. C'est moi qui vais faire la cuisine de demain. -Maman : Non, pardon, je sais que tu es le meilleur des cuisiniers mais tu ne feras pas la cuisine demain. On pĂ©ta tous de rires.... -Maman : Bon, mes chĂ©ris, je vais dormir, je suis trop fatiguĂ©e. A demain. -Moi : Bonne nuit maman -Josiane : Bonne nuit tanti. Josiane me regarda, me fit un sourire et se mordilla les lĂšvres. J'avais dĂ©jĂ compris qu'elle est chaude pour la partie de jambes en l'air qu'on avait prĂ©vu ce soir-lĂ . Elle me fixa dans les yeux et commencer par dĂ©boutonner la chemise qu'elle portait. Je suis dĂ©jĂ conscient de la suite. Je ne dis rien, je me lĂšve et je prends la direction de ma chambre. Une fois dans la chambre je laisse la porte ouverte, j'enlĂšve mon dĂ©bardeur et mon short puis je m'en vais me coucher. 30 min environs, aprĂšs que je sois retournĂ© dans ma chambre, ma cousine Josiane vient dans ma chambre. J'entendu des claquements du poignet de la porte, elle Ă©tait en train de fermer la porte. Ensuite, elle se glissa sous ma couverture. Je ne m'Ă©tais pas retournĂ© pour la voir quand elle Ă©tait entrĂ©e, mais quand elle est entrĂ©e sous la couverture et qu'elle s'est approchĂ©e de moi, j'ai senti ses tĂ©tons se frotter contre mon dos, ils Ă©taient durs et prĂȘts Ă ĂȘtre sucĂ©s. Je me rendu alors compte qu'elle ne portait ni chemise ni soutien. Humm, j'Ă©tais tout excitĂ©, ma machine se levait dĂ©jĂ . Josiane avait la tempĂ©rature en hausse, je ressentais la chaleur que son corps dĂ©gageait. đA suivre.. Excusez moi pour le retard đđ đ±JOSIANE: CE GENRE DE COUSINEđ·đ