AprĂšs avoir descendu sa jupe, elle glissa le plastique dans sa fente, elle se servi de ça pour frotter d'abord son clitoris lentement, ensuite quand elle mouilla, elle plongea le plastique dans son bas ventre puis commença par faire des mouvements d'entrĂ©e-sortie ; elle gĂ©missait mais toute Ă©tant discrĂšte pour que personne ne l'entende crier -hummmmmmmmmmmm haaaaaa Quelques minutes aprĂšs elle atteint l'orgasme final. Ensuite elle dĂ©tend tous ses muscles abdominaux et retira le machin en plastique. Puis elle refit ses cheveux et remit sa serviette. Quand elle approchait de la porte, je me suis cachĂ© pour qu'elle ne me voit pas, ensuite elle est retournĂ©e dans sa chambre. Ai-je rĂȘvĂ© ou c'Ă©tait vraiment ma cousine qui se masturbait dans les toilettes pendant que tout le monde dormait ? Je ne la croyais pas capable de faire. Je suis ensuite allĂ© me coucher avec toutes les imaginations du monde ; j'ai mĂȘme rĂȘvĂ© de ce qu'elle a fait dans les toilettes. Le lendemain pendant que nous Ă©tions Ă table, elle prit un sachet de biscuits et me l'envoya : -Josiane : Tiens Vido. -Moi : Non, laisses je vais prendre un autre moi-mĂȘme. (La mine un peu serrĂ©e) EtonnĂ©e, ma maman me demanda : -Maman : Qu'est-ce que tu as ? Pourquoi tu ne veux pas que ta cousine t'aide Ă prendre le biscuit ? -Moi : Non, rien maman ; le biscuit-lĂ ne me plaisait pas, je voulais prendre le salĂ©. En plus je n'ai pas bien dormi la nuit ; c'est pour cela que j'ai une mauvaise mine. Excuses-moi Josiane. -Josiane : ne t'inquiĂštes pas cousin, je te comprends et je ne suis pas fĂąchĂ©e, moi aussi, ça m'arrive d'avoir des nuits pas trĂšs agrĂ©ables. « Des nuits pas trĂšs agrĂ©ables ou plutĂŽt des nuits de masturbation » Me dis-je. -Moi : Ok, merci cousine. -Josiane : Ce n'est rien, prends ton biscuit et prends vite ton petit dĂ©jeunĂ© avant que ça ne se refroidisse. (Elle me fit un sourire) -Moi : OK, (je choisi un autre biscuit et je pris mon petit dĂ©jeunĂ©) AprĂšs avoir pris le dĂ©jeuner, ma maman nous appela : -Maman : Mes produits sont en train de finir dans la boutique, donc j'irai au NigĂ©ria cette nuit pour le ravitaillement, je vais passer deux jours lĂ -bas, alors je vous confie la maison ; vous ĂȘtes dĂ©jĂ adultes, je n'ai aucun ordre Ă vous donner, prenez juste soin de la maison et surtout, ne vous engueulez pas, vous ĂȘtes des frĂšres et sĆurs. Je te parle, surtout Ă toi Vido, tu t'es pris la tĂȘte pour une chose -banale ce matin. -Moi : ok Mum, mais pourquoi tu ne peux pas attendre demain pour aller. -Maman : Non, je dois aller au marchĂ© pour commander mes produits avant qu'il ne fasse jour parce qu'il y a des produits qui finissent vite. -Moi : Anh ok je vois. Tu vas vite revenir inh. -Maman : Oui, mais pourquoi tu me demandes ça ? Ce n'Ă©tait comme si tu es seul dans la maison, il y a ta cousine, lĂ avec toi. -Moi : oui maman. -Maman : Mais, qu'est-ce que tu as au juste. Josiane, tu lui as dit quelque chose qu'il ne fallait pas ? -Josiane : Non tanti, Vido, je t'ai fait quelque chose ? -Moi : Non Josiane, maman ne vous inquiĂ©tez pas, il n'y a rien, je suis juste un peu nerveux ce matin. -Maman : vas redormir alors. -Moi : je n'ai pas trop sommeil, mais je vais le faire Le soir, ma maman s'en alla pour le NigĂ©ria : il ne restait plus que Josiane et moi. En effet, depuis l'autre nuit oĂč je l'ai vu en train de se masturber, je l'ai dĂ©testĂ© et j'ai plus eu envie de parler avec elle et de toucher Ă quoi que ce soit qu'elle touche. Alors, quand elle a voulu faire la cuisine, je lui ai demandĂ© de me laisser faire. A 20h environ, ma petite amie Carrelle est venue me rendre visite. (Je l'avais appelĂ© pour qu'elle vienne prendre le dĂźner avec nous le soir, en plus je l'ai vu il y a longtemps). *** « En rĂ©alitĂ©, je ne suis pas vraiment amoureuse de Carrelle et elle aussi elle ne m'aime pas comme elle me le dit, c'est vrai qu'elle n'a aucun petit ami Ă part moi (Ă ce que je sache) mais, on a formĂ© un couple Ă 99% basĂ© sur le sexe, elle aime trop ça » *** Si elle est venue, c'est pour le sexe et rien de plus. -Salut Vido, excuses-moi pour le retard, ma sĆur ne voulait pas que je vienne. -Bonsoir bb, j'ai compris, alors tu vas dormir chez moi ce soir ? -Non, elle a insistĂ© pour que je revienne avant 23h, pardonnes-moi bb. Pendant qu'on parlait au salon ; ma petite amie et moi, Josiane est descendue. -Josiane : bon cousin, j'ai pris dĂ©jĂ ma douche, on peut manger, j'ai super faim. Elle tourna le regard vers moi et vu Ă cĂŽtĂ© de moi Carrelle, elles furent toutes Ă©tonnĂ©es de se voir ; un peu comme si elles se connaissaient. -Moi : Euuh, vous vous connaissiez ou quoi ? -Carrelle : Ah non, j'ai cru que c'Ă©tait une amie, mais apparemment, je me suis trompĂ©e. -Moi : Ah bon ! mais pourquoi vous vous regardez comme ça toutes les deux. -Josiane : Non, ne t'inquiĂštes pas Vido, quand je l'ai aperçu, j'ai cru que c'Ă©tait une amie que j'ai connue mais ce n'Ă©tait pas elle. C'est fou qu'elle te ressemble copine. -Carrelle : (elle sourit Ă Josiane) Toi aussi, tu ressembles tellement Ă une amie que j'ai connue mais ce n'est pas elle apparemment. Salut, moi on m'appelle Carrelle, je suis la... -Josiane : Hum oui, la petite amie de mon cousin. Moi c'est Josiane, je sens qu'on va beaucoup s'entendre toi et moi. A ces mots, je senti une inquiĂ©tude montĂ©e en moi : Merde, si elles deviennent des amies, Josiane va lui apprendre des choses sales, surtout qu'elle aussi adore bien le sexe. Oh, je n'aurais pas dĂ» lui demander de venir ici, mais d'une maniĂšre ou d'une autre, elle viendrait ici. Moi : ok, ça va pour les prĂ©sentations, maintenant mangeons. Pendant qu'on mangeait Ă table, ma cousine et Carrelle ne faisaient que se regarder, ce que je n'ai pas apprĂ©ciĂ©. AprĂšs le repas, j'ai dit Ă Carrelle que je n'avais plus trop envie, elle dĂ©cida de partir. Ma cousine me demanda la permission de raccompagner Carrelle, ce que j'ai acceptĂ©, parce que je ne voulais pas qu'elle soupçonne que j'Ă©vite quelque chose. -Carrelle : Ok bb, au revoir, je t'appellerai ou je t'enverrai un message si j'arrive Ă la maison. (Elle m'embrassa). -Moi : D'accord bb, bonne nuit. Josiane la raccompagna ; mais elle passa beaucoup de temps dehors. Je n'avais aucune idĂ©e de ce qu'elle faisait mais je sais que c'est entre elle ma petite amie. Je n'ose pas demander pour ne pas Ă©veiller les soupçons. Tout ce que j'avais Ă faire dĂ©sormais, c'est surveiller ma cousine dans la nuit. A son retour de dehors, il Ă©tait dĂ©jĂ 22h moins quelques minutes. -Josiane : Excuses-moi, j'ai dĂ» prendre l'air dehors. -Moi : ok, elle est partie ? -Josiane : Oui depuis. -Moi : Anh ok. -Josiane : Tu n'as pas sommeil ? -Moi : non, non, bizarrement je suis trop dĂ©bordĂ© aujourd'hui. -Josiane : pourquoi tu ne me dis pas ce que tu as ? Tu sais, je peux t'aider Ă rĂ©soudre le problĂšme. -Moi : Non ce n'est pas un problĂšme, je me sens juste nerveux. -Josiane : J'ai une idĂ©e, et si on jouait au dame ou au Ludo, tu sais, on adorait jouer à ça quand on Ă©tait gamins. -Moi : Oui, mais on a grandi, enfin, apportes ça, c'est sous le guĂ©ridon. Elle apporta le jeu, on joua quelques minutes et je commençai par avoir sommeil. -Moi : (baillant) bon je vais m'endormir, demain on continue, surtout ne bouges pas les pignons. -Josiane : Hum, ok bonne nuit alors. Chacun alla dans sa chambre ; 1h aprĂšs, je suis sorti de ma chambre pour surveiller les mouvements dans le couloir mais rien Ă signaler, elle n'avait pas fait ça ce soir-lĂ . Le lendemain, je me suis rĂ©veillĂ© Ă 9h, le petit dĂ©jeunĂ© Ă©tait dĂ©jĂ prĂȘt mais ma cousine n'Ă©tait pas au salon. J'ai dĂ©cidĂ© d'aller prendre du jus dans le rĂ©frigĂ©rateur Ă la cuisine. Comme ma cousine n'Ă©tait pas au salon ni Ă la cuisine, j'ai voulu aller voir si elle Ă©tait dans sa chambre pour lui souhaiter bonjour. ArrivĂ© lĂ , sa porte Ă©tait un peu rabattue. J'ai alors frappĂ©, mais elle ne rĂ©pondait pas, je frappai encore mais aucune rĂ©ponse, j'ai donc voulu entrer dans la chambre pour voir si elle Ă©tait revenue dormir aprĂšs avoir fait le petit dĂ©jeunĂ© ; quand j'ouvris la porte, je vu ma cousine assise sur son lit avec son portable dans la main, elle portait juste un slip et elle avait l'air de passer un appel vidĂ©o, elle avait des Ă©couteurs dans ses oreilles. đA suivre... đ±JOSIANE: CE GENRE DE COUSINEđ·đ