Ibekelia:Le choix du destin
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Chapitre 4 Le choix du destin

*****Ibekelia Ibague*****

Mon réveil sonne, il est 6h30 du matin. C'est lundi, et je n'ai pas cette envie de quitter mon lit. Je regarde mon téléphone, je n'ai reçu aucun message de sa part depuis une semaine. Ça m'énerve, je pensai qu'après chez mes grands-parents j'aurais eu de ses nouvelles. Ce n'est pas grave, mieux je me concentre sur ma journée qui sera très mouvementée, car ce matin j'ai cours en après-midi, et je travaille au restaurant.

Je file à la douche ensuite, je me brosse les dents et repart dans ma chambre pour enfiler mes habits que j'ai minutieusement choisis la veille. J'ai opté pour un jean destroyed noires avec un t-shirt noir et des bottines noir. C'est plus facile pour moi, car au travail il y a un dress code. Enfin prête, j'entends que l'on cogner à ma porte. C'est étrange, qui peut bien venir à cette heure chez moi. J'ouvre la porte et je le vois.

Lui : Bonjour Kelia.

Moi. Bonjour Americk.

Lui. Je peux entrer ou bien ?

Je lui cède le passage pour qu'il rentre et son parfum remplit la pièce comme à son habitude. Il se dirige vers la cuisine qui se trouve à ma droite pour déposer les croissants sur la table. Puis il se retourne face à moi qui suis toujours debout devant la porte.

Moi : Qu'est-ce tu fais ici ?!

Lui : Je voulais passer la journée avec toi. Dit-il enlevant sa veste pour la poser au bord du canapé.

Moi : Je ne peux pas. J'ai cours très tôt ce matin, et je travaille cet après-midi. En avançant en direction de ma chambre.

Lui : OK, je comprends mais je veux juste passer la matinée avec toi. Dit-il en m'arrêtant pour me prendre dans ses bras.

Moi : Je ne peux pas, je ne peux pas rater mes cours ce matin...

Lui : mon cœur... Me regardant avec ses yeux doux.

Je quitte ses bras pour aller récupérer mon sac à dos dans la chambre et je le vois, qui me suit et il referme la porte derrière lui. Je me retourne... Il est tout proche moi, puis il m'embrasse. Je ressens des frissons tout le long de mon corps juste par le contact de ses lèvres.

Lui : Kelia, j'aimerais passer du temps avec toi aujourd'hui. Tu sais très bien que je n'ai pas beaucoup de temps sur Paris. Dit-il en m'embrassant encore une fois.

Moi (soupirant) : OK alors, Mais juste pour la matinée, ensuite tu me déposeras au travail.

Désolé, je n'ai pas réussi à lui dire non. C'est plus fort que moi. Il m'a proposée qu'on aille manger dans une boulangerie pas loin de chez moi. Nous sommes arrivés main dans la main, puis la serveuse nous a installés à une table tout au fond très loin des regards indiscrets.

Moi : Pourquoi as-tu disparu pendant une semaine ?

Lui : Je n'ai pas disparu, j'étais juste occupé.

Moi : Americk, Je sais que tu as des obligations à l'hôpital et envers ta famille. Mais où suis-je dans tout ça ?

Lui : Je ferais des efforts pour plus t'accorder du temps. Dit-il en buvant son expresso.

Il se lève sous prétexte qu'il doit passer un appel d'urgence. Je me sens déçu par sa réaction, car je pensais qu'il allait plus me rassurer. Je regarde ma tarte aux pommes en me demandant si je vais encore tenir longtemps dans cette relation... Il revient s'asseoir, et me caresse la main ce qui me fait sortir de mes pensées.

Lui : Je m'excuse, je devais passer cet appel....

Moi : Hum. Lui dis-je toujours la tête dans mon assiette.

Lui : Écoute Kelia, je t'ai fait la promesse que je ferais des efforts pour nous. Donc change ton attitude, je veux passer une belle matinée avec toi !

Moi : OK...

Après cela, je me suis tue, j'ai continué à manger. Lui, il était sur son téléphone sans faire réellement attention à moi. Je sais ce que vous êtes en train de vous dire. Qu'est-ce que je fais avec cet homme ? je mérite mieux. Mais il m'a tout appris cet homme. Si aujourd'hui, je suis si stable dans ma vie, c'est en partie à cause de lui, car il a toujours été là pour moi.

Lui : Chérie, tu penses à quoi ? Dit-il en me coupant dans mes pensées.

Moi : A rien ne t'inquiète pas.

Lui : Si tu as fini on peut y aller si tu veux.

Il était déjà 09h30 matin quand nous avons quitté la boulangerie. Il me proposa d'aller chez lui dans l'appartement qui loue quand il séjourne ici à Paris. Le trajet se fait en silence. Puis nous arrivons à destination dès qu'il rentre, il me tire vers lui.

****Americk Barrot****

Je l'attire à moi et commence à lui donner des petits bisous partout sur son visage tout en douceur. Je sais qu'elle aime ça parce qu'elle se met à sourire. Je continue à l'embrasser, et nos langues commencent à s'entre mêler petit à petit. Nous sommes debout au milieu de mon salon, mais je me détache d'elle en la conduisant vers le canapé pour que nous soyons plus à l'aise.

Mais elle me fait asseoir. Elle reste debout et commence à se déshabiller devant moi. J'admire son corps...J'ai toujours aimé les femmes très fines...Elle vêtue d'un ensemble en dentelle rouge.

Je me redresse pour mettre mes mains sur ses hanches. Et commence à lui faire des bisous au nombril, tout en levant sa culotte. Elle s'appuie sur moi pour m'aider à le lui enlever, et je profite de ça pour rentrer un doigt. Plus j'augmente la cadence des mouvements de mon doigt, plus j'entends sa respiration augmenter. C'est à ce moment-là que je choisis de retirer mon doigt d'un coup, elle me regarde d'un air surpris.

Moi : Tu as aimé ?

Moi : Oui. Dit-elle d'une voix timide.

Elle s'assoit sur moi, et je balade mes mains partout sur son corps. Je la sens réceptive à mes caresses, car elle commence à se déhancher très lentement. Delà, je commence à me sentir étroit dans mon pantalon.

Moi : Ibekelia, lève-toi ! Lui-dit-elle d'une voix rauque.

Elle se lève tout doucement avec un sourire au coin. Je la soulève pour l'emmener dans ma chambre, et l'allonge délicatement sur le lit. Je me redresse pour enlever ma chemise et mon pantalon....

Nous avons fait l'amour presque toute la matinée jusqu'à nous nous sommes en dormis dans les bras l'un de l'autre. Je me réveille, car j'entends mon phone qui sonne sur ma table de chevet. Je profite pour regarder l'heure, il est 12h30. J'essaye de me libérer de ses bras sans la réveiller pour répondre au téléphone.

Moi : allô ! Chérie ?

Ma femme : Oui mon cœur, tu vas bien ?

Moi : Oui chérie, tout va bien ?

Ma femme : Oui ça va. Je t'appelais pour te dire que ce soir, nous arrivons à Paris avec les filles. Tu nous manques....

Moi(surpris) : Je ne comprends pas Viviane !

Ma femme : Nous arrivons à 17h30. Il ne faut pas être en retard. Dit-elle d'un ton très calme.

Click !

Moi : elle m'a raccroché au nez !

Je me retourne et je vois Ibekelia devant moi, elle était déjà habillée.

Ibekelia : Je suis prête, on peut déjà y aller.

Moi : OK, laisse-moi le temps de me préparer.

Je veux me rapprocher d'elle pour l'embrasser, mais elle détourne la tête. Je la laisse pour rejoindre ma chambre et vite prendre ma douche. Dès que je finis, je la rejoins. Elle était assise au salon sur son téléphone. Je prends mes clefs sur la table et je lui fais signe qu'on pouvait y aller.

Dans la voiture, elle est très silencieuse....

Moi : Qu'est-ce qui se passe ?

Ibekelia : Il n'y a rien. Dit-elle tout en trafiquant son téléphone.

Moi : Je te connais par cœur Kelia, il y a quelque chose qui tracasse.

Ibekelia : Americk, Je suis juste fatiguée...

Moi : Ma femme arrive se soir avec les filles, donc je pense que cette semaine ça ne va pas être possible qu'on se voit seul. En me garant à l'entrée du restaurant.

Ibekelia : Très bien ! Dit-elle en ouvrant la portière.

Moi (la retenant) : Kelia écoute, je suis vraiment désolé pour ça... Ce n'était pas prévu tu le sais. Je te demande de me comprendre.

Ibekelia (soupirant) : Je veux aussi que tu comprennes que j'ai aussi atteint ma limite. Il faudra qu'un jour tu choisisses entre ta femme et moi. Dit-elle en descendant de la voiture.

Je suis toujours garé devant le restaurant le regard dans le vide. Tout a coup je me sens perdu, car je ne veux pas revivre ce que j'ai vécu dans le passé avec Khadija....

Je ne vous cache pas, cette double vie que je mène je n'en suis pas fier. J'ai toujours été correcte et droit dans ma vie. Je me suis marié jeune a 25 ans avec une femme que tous les hommes rêvent d'avoir. J'ai une vie rangée à 45 ans...mais Ibekelia, j'en suis tombé amoureux, sa pureté et son innocence mon attirer à elle. Je sais que je ne peux pas lui donner ce qu'elle veut. C'est peut être égoïste de ma part, mais je ne veux pas la laisser partir.

            
            

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