Trente minutes plus tard, j'étais assise dans un petit pub du centre ville de Lyon. Il n'y avais pas grand monde d'ailleurs. Mais vingts minutes après, un grand baraqué avec une touffe de cheveux énorme et métisse vint s'asseoir sur la table en face de moi sans me lâcher du regard. Je n'étais pas du genre à détourner les yeux lorsqu'on me fixait, alors de mon côté, je le fixais intensément aussi.
Une serveuse vint à sa table lui demander ce qu'il prenait de la carte et alors qu'elle s'en alla, il se leva, se dirigea en ma direction et s'adressa à moi
Lui: excusez-moi, je sais pas si vous allez partager mon avis...
Moi: quoi donc ?
Lui: mais je trouve ça dommage de se manger ainsi du regard à distance, du coup ça vous dérange si je suis à un mettre de vous et que l'on continue ?
J'éclate de rire en ramenant une mèche de mon tissage derrière mon oreille droite.
Moi: prenez place.
Lui(en tirant la chaise): super, merci
Il s'assit avec tant d'engouement qu'un énorme sourire resta greffé sur mes lèvres.
Lui(en souriant et en me fixant toujours dans le blanc des yeux): comment allez vous aujourd'hui ?
Moi: ça va, impeccable et vous ?
Lui: idem, impeccable et paisible mais pour tout vous dire, maintenant que je suis assis en face de vous, cette journée est un peu plus radieuse.
Je souris, il pose ses bras sur la table, se penche légèrement vers moi et rajoute
Lui(un tantinet sérieux et avec une voix suave): vous avez un sourire magnifique.
Je n'ai pas répondu, je me suis mise aussi à le regarder intensément.
Moi: je peux être honnête avec vous ?
Lui(il se redresse): je n'en attends pas moins de votre part
Moi: j'ai horreur des compliments
Lui(en faisant une grimace): aie, my bad !!!
Moi: je vous pardonne pour cette fois ci car vous l'ignoriez
Lui: « cette fois- ci » ? donc ça veut dire que nous sommes amenés à nous revoir ?
Moi: si vous ne me refaite aucun compliment, ça se pourrait ....
Lui: je peux également être (il pose une main sur sa poitrine) sincère ?
J'opine du chef,
Lui: la plus part du temps, je dis ce que je pense
Moi: bien
Lui: à haute et intelligible voix
Moi: ok
Lui: vous me permettez au moins cela ?
Moi: bien sur, allez y
Lui: je me très trouve beau, j'aime beaucoup mon sourire et mon teint.... Rholalala, je le trouve radieux et splendide !!!!
Puis j'éclate de rire ....
J'avais compris la tournure de ses phrases. En effet, voulant me faire des compliments mais au risque de m'offusquer il préférait parler de ce qu'il appréciait chez moi en parlant de lui. Je dois dire que j'appréciais son personnage : drôle, marrant, habile dans sa manière de parler et surtout naturel.
Lui: je suis sincère
Moi(avec un large sourire): et je n'en doute point
Lui: tant pis si je passe pour un narcissique
Moi : ce n'est pas le cas
Lui: tant mieux. vous habitez dans le coin ?
Moi: champvert et vous ?
Lui: dans le 4ième arrondissement , vous deviez rencontré quelqu'un ici ?
Moi: non du tout, pourquoi ?
Lui: rien de particulier si ce n'est curieux de vous voir assise toute seule je dois avouer
Moi: je peux vous retourner la remarque dans ce cas
Lui: vous marquez un point, demandez-moi ce que vous voulez à présent
Moi: hahaha, et si je n'ai rien à vous demander ?
Lui: ça m'attristerait car ça voudrait dire que je ne vous intéresse pas
Moi: si c'était le cas, vous ne seriez pas assis en face de moi et nous n'aurions pas cet échange
Il arqua un sourcil et ses yeux se mirent à scintiller
Lui: pufffff, c'est fous ça, qu'est-ce que j'aime le son de ma voix et discuter avec moi-même
Moi: krkrkrkr, à cette allure vous allez tomber amoureux de vous !
Lui: alors là, vous ne croyez pas si bien dire.
Nous éclatons de rire ensemble et toujours ses yeux plongés dans les miens et inversement. Nous étions détendu tous les deux et l'atmosphère qu'il avait créé depuis sa présence était agréable. Moi qui avait horreur d'être abordée en rue et qui rembarrait toujours ceux qui avaient le malheur de s'approcher. Il m'avait mise à l'aise. Je dirais même que je n'avais pas envie que ça s'arrête.
C'est ainsi que nous avons discuté pendant deux heures de temps puis le lendemain il m'invita au cinéma sauf que je me suis ramenée avec deux heures de retard.
Moi(quand j'arrive à sa rencontre): navrée, vraiment navrée marque Marc, ma soeur a fait n'importe quoi avec la machine à lavée, j'ai du appeler un dépanneur, le temps de gérer ça et de venir jusqu'ici... je te jure c'était galère
Lui: mais tu es venue
Moi: oui.
Lui: c'est l'essentiel. On y va le deuxième séance commence dans 30 minutes ?
Moi: yeah
Et nous sommes allées voir.... SamSam au cinéma. Oui le dessin animé Samsam, le plus petit des grands héros. Il m'avait dit être tombé sur ça un jour devant sa télé et avait apprécié ce vaillant petit héros de l'espace qui tenait tête au harassant Marchel Premier cha majesté incontesté. Ensuite petit restaurant et il me raccompagna chez moi. En milieu de semaine, il m'invita à prendre un verre juste après le boulot.
Il avait 30 ans, j'en avais 25. Il était comptable et moi aussi. Il avait deux petits frères, un père et une mère. Moi j'avais une petite soeur avec qui j'étais en collocation ainsi qu'un père vivant qui vivait au bled (Sénégal).
Après ce rencard du mercredi, il me proposa de le rejoindre avec sa bande au villacottage pour un week-end. Il s'agissait d'un site avec des cottages et des villas privées dans lequel on pouvait se faire des bails entre amis. Nous étions 8, 5 garçons pour quatre filles. Et une fois de plus, j'ai passé un excellent moment, avec lui, entourée de ses plus proches amis et des compagnes de trois d'entre eux.
Ce que je ne savais pas à ce moment, c'est qu'avant que ça ne devienne sérieux entre nous, il voulait que je côtoie son entourage et observer comment je me comportais avec eux mais aussi avec lui en leur présence. Mais au delà de ça, de mon côté, Marc m'est apparue avec une personnalité encore plus belle.
Cynthia, cousine de Léa qui était la copine à son ami Léo, se foula la cheville le samedi soir, lors de notre dernière soirée. Ils voulaient rentrer sur Lyon et ajourner le week-end à quelque heures près mais Marc s'est dévoué pour accompagner la blessée dans l'hôpital le plus proche afin qu'elle soit prise en charge et que ses amis continuent de faire la fête. Tous les garçons voulaient y aller avec lui et les filles voulaient suivent leur petit copain, ce qui revenait au même. Écourter le week-end. Alors Marc s'en tint et décida d'y aller tout seul quand même.
Bien évidement, je partis avec lui, mais son sens du sacrifice à ce moment là me frappa et des sentiments naquirent.
Nous nous fréquentions depuis deux mois maintenant mais il n'y avait rien d'officiel. Pas une fois, il n'avait tenté de m'embrasser et encore moins d'aller loin. Mais il y avait énormément d'attirance entre nous. On se contentait de se voir, de se parler au téléphone et de s'embêter... surtout lui. Puis un week-end ma petite soeur prenait ses 19 ans et elle avait réquisitionner l'appartement pour chiller avec ses amies. Du coup elle me mit à la porte.
Moi: et s'il te plaît, je me dois de prendre mes dispositions pour jeudi soir, car le vendredi après les cours elles arrivent toutes et je n'aurais plus accès à l'appartement.
Lui: hahaha mais pourquoi tu paniques, nous ne sommes que mardi, il te reste encore demain soir pour y réfléchir très sérieusement
Moi: lol, mais j'ai déjà contacté une amie.... Je dors chez elle jusqu'à samedi, son mec arrive le soir alors je dois me démerder pour trouver où dormir dans la nuit du samedi
Lui: je peux te laisser tout mon appartement pour le week-end et aller crécher chez des amis si tu veux. Ça ne me dérange nullement.
Moi: c'est sympa mais je ne veux pas te chasser de chez toi à cause des caprices de ma soeur.
Lui: et moi te laisser en plan pour le week-end
Moi: tu vas être sage si j'accepte ?
Nous parlions par video sur whatssap, je le voyais de profil sur l'écran, il regardait la télé et parlait en même temps avec moi. Mais après ma question; il a tourné le visage dans ma direction, m'a fixé 5 secondes, puis regarda droit de vent lui.
Lui(soulevant son marcel comme s'il y avait une poussière dessus): et si je n'ai pas envie ?
Moi: je posais juste une question
Lui: comme je te pose la mienne
Moi: et depuis quand tu réponds à une question par une question ?
Il tourne encore le visage vers moi, mieux il prends son téléphone et le met direct en face de son visage
Lui: ça dépend de toi....
Moi:
Lui: tout dépend de toi
Moi:
Lui: si tu veux que je sois sage je le serai... mais si tu souhaites le contraire
Il place une main derrière sa tête
Moi: si je souhaites le contraire ?
Lui: ça peut se négocier, je ne veux pas me vendre moins chère
J'éclate de rire..... qu'est-ce qu'il peut être bête des fois
le week-end en question le vendredi, il passe me chercher au boulot, et d'un commun accord on décide de faire à manger du coup nous allons faire des courses. Ce sera Tacos ce soir. Puis nous arrivons chez lui. C'est la première fois que j'arrivais dans sa tanière. Et il était plus que bordélique
Moi: t'aurai au moins pu faire l'effort
Lui: je t'assure que c'est rangé là
Moi: lol, je peux prendre une douche avant de commencer ?
Lui: mettez-vous à votre aise mademoiselle Cyd.
J'ai filé à la douche et à mon retour, la planche de travail était prête ! Il coupait les condiments et moi je m'attaquais à la viande.
Une heure plus tard
Moi: hahaha, c'est faux
Lui:je te jure et mon père dit à ma mère : « ben ça leur fait une expérience Sylvie, au moins on sait qu'ils ne sont pas homo »
Moi: Kia Kia Kia Kia
Lui: ma mère voulait les trucider tous les trois non.... Nous 4 y compris moi car elle n'a pas compris pourquoi mes petits frère se tapaient la même nana dans une des chambres dans sa maison tandis que moi j'étais au salon.
Il aimait me parlait de sa famille. A chaque échange que nous avions, il me racontait toujours une anecdote familiale et terminait par dire : « si un jour tu les rencontres ..... ». J'aimais passer du temps avec cet homme et même s'il n'y avait jamais eu de rapprochement, l'attraction physique était palpable entre nous !
On termine de manger, on nettoie sa cuisine. Puis place au jeux. C'était une de ses activités préférées en plus des jeux vidéo, il aimait les jeux de carte et de société. C'était un vrai féru. Et il en avait de toute sortes chez lui et en jouait parfois avec ses deux petits frères sur whatssap. Ce soir là, On commença par jouer au Monopoly puis au Uno. Il était une heure du matin quand on décida d'aller dormir. Il s'était installer au salon pour me laisser sa chambre.
Le lendemain matin, nous fîmes un footing ensemble, on fit la cuisine pour manger le midi. Après quoi c'était repos
Lui: je suis désolé mais il me faut toujours une demi-heure de repos après le repas surtout quand je suis chez moi et que c'est le week-end
Moi: ne t'en fais pas, je comprends, tu peux t'installer dans ta chambre pour mieux te reposer moi pendant ce temps je vais regarder les feuilletons de TF1
Lui: à toute ...
Moi: ok
Puis il disparut dans le couloir mais me rappela deux minutes après depuis la chambre
Lui: Cyyyyydooniiiie ?
Moi(en arrivant): yeah ?
Il indexe le lit où il y avait étalé un string à moi
Moi(en allant le prendre): oup's
Lui(tout sourire): mais je t'en prie
Moi: et ne crois surtout pas que j'ai fais ça exprès hein
Je le prends
Lui: et pourquoi (il s'allonge sur le lit) penserais-je une telle chose venait de toi ?
Il est allongé sur le dos et passe une main derrière sa tête et l'autre la pose sur son torse
Moi(me tenant toujours debout devant le lit):
Lui: hein pourquoi ?
Moi:
Lui: qu'es-ce qu'il y a ?
Moi:
Lui: tu as perdu ta langue ?
Moi: non
Lui: bah alors... pourquoi ne réponds tu pas à mes questions ?
Moi: peut être parce qu'il y a autre chose qui me trotte dans la tête
Lui: et quelle est t'elle ?
Moi: ne préférais-tu pas plutôt que je te montre
Lui: à toi d'en juger. Si tu estimes que le message passerait mieux par la vue que par l'ouïe, tu as toute mon attention.
Moi: par contre, j'hésite car je ne sais pas si c'est une bonne idée
Lui: d'après qui ? Toi ou moi ?
Moi: un peu des deux
Lui: mais encore ?
Moi: ça me gêne de me tenir autant
Lui: je t'ai dis que tu étais ici chez toi Cyd (il passe les deux mains sous sa tête cette fois ci) alors ne te gêne de rien entre ses quatre murs.
Moi: tu es sure de toi ?
Lui: aussi sûre (il ferme les yeux deux secondes) aussi sûre que je m'appelle Marc et que je suis né un 8 janvier 1988
Moi: ok.... Dans ce cas
J'ai jeté mon string par terre, je suis montée sur le lit à quatre patte en avançant vers et sur lui. Il ne changea pas de posture et l'expression de son visage ne changea pas également. Comme si mon élan ne l'étonnait pas. J'avance toujours, je suis au niveau de ses jambes, de son bassin, son ventre, torse puis enfin j'arrive au niveau de son visage.
Ses mains soutenaient encore sa tête, ses yeux accrochés aux miens
Moi: si ce que je fais te gêne prévient moi.... Et je m'arrête de suite
Il pouffa tout en ayant un sourire accroché au coin des lèvres. C'est la seule réaction qu'il eut. Je me suis donc penchée un peu plus pour l'embrasser .... J'ai déposé mes lèvres sur lui, aucune réaction de sa part, puis un smack, rien, un autre mais plus prononce, toujours rien. Le mec avait même les yeux ouverts. Et alors que je m'apprêtais à approfondir notre baiser, le lit se mit à vibrer.
On a été surpris et interrompus. Et alors que je souhaitais me redresser, son bras quitta sa nuque d'une rapidité pour me rattraper par l'avant-bras,
Lui: ne.bouge.pas
C'était clairement un ordre. Je me suis exécutée. Toujours au dessus de lui et lui en dessous de moi, il prit son portable qui était dans la poche de son bermuda et coupa l'appel
Moi: tu ne regardes même pas qui t'appelle ?
Lui: ça peut et ça va attendre !
Moi: mais il peut être important
Lui: et moi je ne suis pas disposé à répondre, alors il ou elle va attendre que je le sois.
Sur le même ton autoritaire. Et toujours sans regarder son portable, je l'ai vus maintenir sur une touche pour l'éteindre. Bon, je sais pas trop qui j'ai réveillé mais il n'avait plus rien à voir avec le Marc que je connaissais depuis d'un peu plus de deux mois. Il posa le portable sur le chevet et cette même main, je la sentis sur ma fesse gauche.
Il la caressa de par et d'autre et dis
Lui: alors c'était tout ?
Ce qui m'amusa
Moi(tout sourire): bien sûr (sur ses lèvres) que non
J'ai saisi ses lèvres, nous nous sommes embrassés, sensuellement, j'eux la très nette impression que ce baiser il le désirait autant que moi. Sa main souleva enfin une partie de ma robe puis il eut un contacte direct avec ma fesse. Il s'y agrippa, la fessa et la passa dans la fente.
Lui: ficelle ? C'est que madame ne joue pas dans la dentelle !!!
Moi: évidemment
Je me suis levée et tenue debout sur le lit au dessus de lui, j'ai retiré ma robe en me suis retrouvé avec mon bout de ficelle poitrine en l'air.
Lui: la vue est géniiiiiiiale
J'ai voulus me remettre comme avant, mais il me saisit par le bas du dos et bloqua mon entrejambe devant son visage. Il s'est agrippé à mes fesses et juste avec ses dents et sa langue, mais vraiment juste avec ça. Il parvint à décaler mon string et à avoir accès à mon entre.
La prouesse me mis en émoi, je me suis appuyée sur le mur une première fois et ensuite sur la tête de lit pendant qu'il dégustait clitoris, lèvres et intérieur de ma cave. Au bout d'une minute, je bougeais le bassin et lui me faisait l'amour avec sa langue. Il me serrait fort contre son visage. Au bout de 5 minutes, je décide de passer un cran au dessus. Je tourne juste et descends à mon tour pour m'occuper de lui.
= Position 69
Je retire son bas, caresse son beau membre à travers son boxer puis retire ce dernier, et la majesté se dressa devant mon visage. Je le mis en bouche tout de suite. Le gland, le corps.... Je fis un énorme effort pour que tout rentre, sans grand succès mais j'y étais presque. Après cette gorge profonde, je me servis de sa pré-semence comme lubrifiant pour que ma main glisse sur l'entièreté de sa verge aisément, puis je la remis en bouche, touchait ses boules en même temps. Le mouvement de ma bouche étai plus rythmé et cadencé.
soudain, j'entendis le bruit d'un paquet qui se déchire, il mit un préservatif et toujours au dessus de lui . Dos tourné, torse tourné devant mais visage tourné vers lui, main posé sur ses genoux.
= CowGirl
j'avais le contrôle, du rythme, de la fréquence donc du plaisir. Au tout début, je comptais faire rentrer son pénis en moi, centimètre par centimètre en m'assaillant sur lui avec lenteur. Il voulait me tenir par les hanches
Moi: nope ..... contrôla !!!
Lui(en souriant):ok, go pretty girl !!!!!