LE MARI DE MA MÈRE ET SON AMI ME BAISENT
img img LE MARI DE MA MÈRE ET SON AMI ME BAISENT img Chapitre 3 MES PREMIÈRES CARESSES DEVANT UN FILM PORNO
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Chapitre 8 MA PREMIÈRE VISITE CHEZ FRANCK img
Chapitre 9 LA DÉCISION DE MA MÈRE img
Chapitre 10 LA DÉCISION IRRÉVERSIBLE DE MA MÈRE img
Chapitre 11 MON PREMIER FAUX MALADE img
Chapitre 12 COMPLOT BIEN ÉTABLI img
Chapitre 13 LA PREMIÈRE BAISE DE MA VIE AVEC DEUX HOMMES img
Chapitre 14 LE PREMIER CONSTAT DE MA MÈRE img
Chapitre 15 LA PUNITION DE MA MÈRE EST DEVENUE INSUPPORTABLE img
Chapitre 16 ENCORE LA BAISE AVEC MES DEUX BAISEURS img
Chapitre 17 LA VISITE DE MA GRAND-MÈRE img
Chapitre 18 LA REPRISE DE MA BAISE MALGRÉ LES MENACES DE MA MÈRE img
Chapitre 19 LES CAMÉRAS CACHÉES DE MA MÈRE img
Chapitre 20 MA MÈRE EST INCONSOLABLE img
Chapitre 21 LE JOURNAL INTIME DE MA MÈRE img
Chapitre 22 LA SUITE DU JOURNAL INTIME DE MA MÈRE img
Chapitre 23 LA LETTRE DE MA MÈRE À SON ÉPOUX img
Chapitre 24 CANDIDE ET MOI ENTRE LES MAINS DES FORCES DE L'ORDRE img
Chapitre 25 KATY PLEURE SA MÈRE ET EST INCONSOLABLE img
Chapitre 26 LE SOUTIEN DE FLORA POUR MA LIBÉRATION img
Chapitre 27 MA RÉCONCILIATION AVEC MA GRAND-MÈRE img
Chapitre 28 MON PLAN D'EMPOISONNEMENT DE FRANCK img
Chapitre 29 PLAN D'EMPOISONNEMENT RÉUSSI AVEC SUCCÈS img
Chapitre 30 LES MIRACLES DE MA MÈRE DEPUIS L'AU-DELÀ img
Chapitre 31 MA COUSINE img
Chapitre 32 MA FOLLE ENVIE img
Chapitre 33 L'ARRIVÉE DE MON COUSIN img
Chapitre 34 MA PREMIÈRE TENTATIVE AVEC MON COUSIN img
Chapitre 35 MA PREMIÈRE BAISE AVEC MON COUSIN img
Chapitre 36 MA DEUXIÈME BAISE AVEC MON COUSIN img
Chapitre 37 LE PREMIER MIRACLE DE LA PIPE DANS MA VIE img
Chapitre 38 LE SILENCE DE JULIEN ME REND MAL À L'AISE img
Chapitre 39 MA DÉSOLATION POUR JULIEN img
Chapitre 40 MA PREMIÈRE BAISE AVEC MON FRÈRE img
Chapitre 41 MA PEINE DE RÉCONCILIATION DE MON COUSIN ET MON FRÈRE img
Chapitre 42 MA BAISE AVEC MES DEUX FRÈRES img
Chapitre 43 MA PÉRIODE DE FÉCONDITÉ MAL CALCULÉE img
Chapitre 44 MA NÉGOCIATION AVEC JOCELYNE img
Chapitre 45 JOCELYNE ET MOI À LA BAISE DANS MA CHAMBRE img
Chapitre 46 JOCELYNE EN COLÈRE CONTRE MOI img
Chapitre 47 JOCELYNE ME MENACE img
Chapitre 48 LA REPRISE DE LA BAISE DE JOCELYNE ET MOI img
Chapitre 49 LA BAISE LA PLUS FOLLE img
Chapitre 50 L'ERREUR DE MON FRÈRE NOUS A COMPROMIS img
Chapitre 51 AU COMMISSARIAT img
Chapitre 52 PAPA EST TRÈS EN COLÈRE AVEC NOUS img
Chapitre 53 LES CONSEILS DE PAPA img
Chapitre 54 LE PARDON DE PAPA VIS-À-VIS DE MON FRÈRE img
Chapitre 55 PUNITION LA PLUS SÉVÈRE DE MON COUSIN img
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Chapitre 3 MES PREMIÈRES CARESSES DEVANT UN FILM PORNO

Sept jours exactement que ma mère m'a installée chez elle, sous le toit de son mari. Tous les jours, ma mère allait au boulot. Elle est enseignante. Il faut que je vous parle un peu de ma mère.

Ma mère est une femme battante. Elle a beaucoup étudié. Elle était en terminale lorsque mon père l'a enceintée. Depuis qu'elle a avoué à mon père qu'elle avait perdu ses menstrues, on dirait que mon père, vaurien et irresponsable quil soit, était parti sans laisser aucune trace.

Fait-on ça ? Je remercie beaucoup Dieu davoir donné du courage à ma mère de savoir me garder dans son sein car, si elle mavortait, je ne serais plus en vie et être en train de porter ce joli prénom de Joanita.

Ma mère avait mis une pause à ses études après son baccalauréat pour s'occuper de moi. Ma grand-mère, je m'en souviens, m'a dit que c'était six jours après les résultats du baccalauréat que ma mère m'avait donné naissance. Elle m'a aussi dit que c'était mon pépé, paix à son âme, qui avait pris toutes les charges pécuniaires au cou. Ma grand-mère m'a aussi dit qu'ils vivaient tous heureux jusqu'au jour où pépé a rejoint ses pères. Ce qui signifiait que c'était après la mort de mon grand-père que la galère et la misère s'étaient installées sous le toit de ma mémé où manger était devenu chose terrible.

Ma mère, avec le temps, avait continué ses études jusqu'à avoir le doctorat. Je ne savais pas comment mais elle s'était débrouillée à aller de l'avant. Après ses études, rien n'a marché pour elle et elle essayait de vendre de petits trucs. Et c'était avec le revenu de ces produits qu'elle vendait qu'on arrivait à trouver quelque chose pour rompre la faim qui brûlait nos estomacs.

Après son mariage avec son nouveau mec, elle a trouvé une place dans une grande école de la ville où elle allait dispenser des cours de français aux élèves. Chaque matin, au plus tard à sept heures trente minutes, ma mère finissait sa douche et montait dans son véhicule pour se rendre au boulot. Toujours était-il que je ne la voyais pas avant son départ parce que pendant quelle partait, jétais souvent encore dans ma chambre en train de ronfler. Pour laccomplissement des travaux domestiques, mère avait engagé une domestique ; une jeune fille dà peine seize ans environ. On lappelait Flora. Flora est d'un teint noir et d'une corpulence maigre. Je suis légèrement un peu plus élancée qu'elle. C'est une fille qui respecte beaucoup. Elle ne comprend pas bien français. Elle fait l'effort de s'exprimer mais oups. Quand on lui parle, elle comprend presque tout mais elle a parfois du mal à s'exprimer correctement. Il faut parfois suivre ses gestes pour comprendre ce qu'elle dit.

Et voilà ce matin, ma mère était partie au boulot. Je ne sais dans quel collège elle enseigne. Mais quand elle quitte la maison le matin, c'est à midi elle y revient. Et au plus tard à quatorze heures trente minutes, elle quitte encore pour revenir le soir à dix-huit heures.

Ce matin-là, j'avais quitté ma chambre après m'être douchée. J'étais venue au salon pour prendre mon thé. Il n'y avait personne dans le salon, mais la télévision était en marche. C'est d'ailleurs l'habitude de la maison. On ne craint pas la somme exorbitante que pourrait contenir la facture d'électricité. La télévision et les brasseurs restent en marche pendant vingt-quatre heures. Donc voilà pourquoi ça ne m'avait ni étonnée ni surprise de découvrir la télévision et les autres appareils en marche.

Me dirigeant vers la table à manger, je me suis servie et me suis retournée vers les divans où j'ai fini par m'installer dans l'un. Saisissant la télécommande, j'ai changé la chaîne pour mettre une autre sur laquelle on passait du dessin animé. Je suivais la série quand tout à coup, le mari de ma mère a fait son irruption dans le salon. J'avais porté un petit maillot transparent à travers lequel les mamelons de mes seins étaient bien apparents. Je vous avais déjà dit que je suis d'un teint clair. Imaginez donc un peu la couleur que peuvent avoir mes seins. Si les femmes, aussi noires quelles soient le plus souvent, leurs seins réussissent à être un peu clairs, comment seraient les miens ?

J'ai de jolis seins et ça, je le sais. Je n'ai pas besoin qu'on me dise : « Joanita, tu as de jolis seins » avant que je ne men rendisse compte. Je sais que Dieu m'a donné de jolis seins ; des seins qu'il a pris le soin de bien manier avant de me plaquer sur la poitrine.

Et le mari de ma mère a fait son irruption dans le salon comme je venais de vous l'annoncer. J'ai levé ma tête vers son adresse pour lui dire « bonjour tonton ».

Oui bonjour mademoiselle Joanita, comment ça va ? me répondit-il.

Je vais très bien, tonton, merci.

Et l'homme s'avança vers moi pour venir s'asseoir dans le même divan que moi. Et moi, mon regard fixé sur l'écran téléviseur, je ne le calculais pas.

Aimes-tu du dessin animé ? me demanda-t-il.

Oui, je les adore, tonton !

Ça, c'est très bien ! Cela veut dire que nous avons le même hobby !

Que mettez-vous dans hobby, monsieur ?

Hobby, c'est pour désigner le dada ou le loisir. Tu comprends un peu ?

Oui, je comprends enfin. Sinon j'aime trop le dessin animé.

Ça, c'est super ! Si nos loisirs sont alors communs, sûrement que tu dois aussi aimer le porno parce que jaime aussi le porno en plus des dessins animés.

Non, le porno, c'est pour les grands.

Et toi, tu n'es plus une enfant !

Je le suis ? Puisque je n'ai pas encore vingt ans !

Vingt ans, c'est déjà trop ! Quinze ans, c'est déjà largement suffisant et

Voilà, c'est ce que je vous disais ; je n'ai que quatorze ans, lui reprochai-je.

Je n'en disconviens pas ! Quand on te regarde, tu as l'air d'une grande fille !

Cest ma corpulence qui dit le contraire de ma légende !

Joanita, j'aime quand tu parles !

Ah bon ?

Sincèrement ! Tes lèvres, j'aime les regarder quand elles bougent.

Vous êtes sérieux, tonton ?

Oui, je suis sincère. Dieu t'a donné une belle créature. Tu es trop belle !

Mais pas comme ma mère, votre femme !

Tu es encore plus belle que ta mère !

Pourtant vous l'aimez !

Je ne l'aime pas à cause de son apparence.

Et pourquoi l'aimez-vous ?

Je l'aime parce qu'elle sait me gérer au lit.

Et c'est bien !

J'imagine combien tu seras plus douce au lit que ta mère.

Je fronçai les sourcils pour dévisager mon interlocuteur.

Ah oui, j'aime dire de n'importe quoi quand je suis en compagnie des gens que j'aime beaucoup.

Ces propos que vous tenez avec moi sont au-dessus de ma capacité.

C'est selon toi ça ! Donc tu n'as jamais fait l'amour ?

Je suis une gamine et cela ne m'a jamais intéressée.

Oh, tu es donc encore vierge ?

Oui, je suis encore vierge.

Wouah ! Que j'aime les femmes vierges !

Vraiment ?

Oui, Joanita ! J'ai toujours rêvé faire des expériences d'amour avec les femmes vierges mais je n'ai jamais eu la chance !

Vous dîtes vrai ?

Je te le jure, Joanita ! Si tu pouvais m'accorder une seule chance pour découvrir la véracité de ce que tu me dis, je te jure que je te ferai un gros cadeau.

La proposition de mon interlocuteur me stupéfia et je fronçai une fois encore les sourcils pour lui demander s'il en était sérieux.

Oui ! Je te ferai tout ce que tu voudras.

Comme quoi ?

Je peux t'emmener en Amérique pour visiter les grands sites touristiques.

Et nous allons monter dans l'avion ?

Exact ! Nous allons monter dans un gros avion.

Que c'est super !

Et j'ai aussi un ami français qui vient très souvent ici ; il va nous amener chez lui en France.

Quoi ? En France ? Alors je serai pourrie !

Ah oui, je te ferai beaucoup de surprises ; des surprises que tu ne regretteras jamais.

Wouah ! Je suis partante !

Tu es donc d'accord qu'on fasse l'amour ?

Si ! Et d'ailleurs, ma mère même m'a dit une chose !

Que t'a-t-elle dit ?

Elle m'a dit de vous respecter car, en vous respectant, vous me traiterez comme votre propre fille. Elle m'a aussi dit de vous rendre tous les services que vous me demanderez ! Je considère en effet cette relation sexuelle que vous me demandez comme un service. Mais il y a une chose, je n'ai jamais fait ça ! Et si je ne l'ai jamais fait jusqu'à présent, c'est parce que ma grand-mère me donne la peur au cur que quand on fait ça, ça fait très mal alors que moi j'ai peur qu'on me fasse mal. Je n'aime pas que quelque chose touche mon corps parce que je l'aime trop.

Le mari de ma mère se mit à rire à gorge déployée avant de poser sa main droite sur mon épaule pour me dire :

Ta grand-mère n'a pas tort, elle a raison. Mais laisse-moi te dire que moi, j'ai ma technique. Et si je te le fais, aucune goutte de sang ne va couler et tu n'auras aucun mal non plus. D'ailleurs, je n'ai pas un gros pénis. Ou bien que je te le montre ?

Oh non ! m'exclamai-je, surprise.

Sinon je n'ai pas un gros pénis. Je te jure que tu vas aimer ça. D'ailleurs, permets qu'on suive un peu le porno.

Et le monsieur, sans mon avis, saisit la télécommande pour mettre une chaîne sur laquelle, deux hommes bouffaient la chatte d'une jeune fille.

Les deux hommes, sur l'écran, étaient nus ; la jeune fille aussi. Les deux hommes avaient couché la fille sur un lit. Pendant que quelqu'un lui bouffait la chatte de sa longue queue, l'autre était à son chevet, en train de la pénétrer par la bouche.

Tu vois ça ? C'est joli n'est-ce pas ? me demanda mon compagnon.

Et puisque c'était la première fois que je voyais ce truc, je ne lui prêtai aucune attention que de continuer à regarder la vidéo.

Le monsieur, me voyant concentrée sur la télé, longea la main et attrapa un de mes seins avant de se rapprocher de plus près de moi. Il commença à me caresser. Ses caresses, aussitôt, commencèrent à me faire aussitôt beaucoup de bien dans tout mon corps.

Regard fixé sur l'écran et mes seins saisit d'assaut, je ne savais plus où j'étais. Le monsieur me caressait et moi, je me perdais petit à petit.

Je commençai à sentir l'érection de quelque chose dans ma culotte ; sûrement mon clitoris. Je voulus aller contrôler mais jétais faible. Je finis par fermer les yeux et c'est là que je sentis quelque chose de frais embrasser mes lèvres.

Eh oui, le monsieur venait d'arracher mes lèvres dans sa bouche.

On se suçait les lèvres et je ne savais pas quand le monsieur m'enleva le maillot et me mit en torse nu.

            
            

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