Chapitre 4 Chapitre 04

Chronique 2 :

PASSIONNÉMENT

Chapitre 4

Haletant, je regarde, le lait qui j'ai produit et qui coule sur ma main droite tenant encore HULK qui se ramollit sensiblement. Après avoir essuyé ma semence tant sur ma main droit et sur HULK avec du papier toilette qui j'ai ensuite jette dans le WC, je tire la chasse-d 'eau d'un trait et je vois la preuve de ma jouissance disparaître dans un tourbillon d'eau qui balaie tout sur son passage dans la cuvette du WC.

Je me sens libéré et léger a la fois. Je me sens en paix. D'ailleurs je masturbe chaque jour frénétiquement ou simplement par habitude depuis ma puberté. Mon cheminement vers la masturbation surtout ma toute première masturbation fut long et obscur, jalonné de divers évènements dont certains que je vais vous raconter...

Je souffle deux fois et je sors discrètement des WC des dames, je ne suis intercepté par personne apparemment on ne m'a vu entrer dans les WC des dames, hormis Mme la DG dont j'appréhende beaucoup sa réaction par la suite. Je me dirige vers mon box de travail comme si rien n'était. Je rappelle Mr Desbuissons qui ne manque pas de me faire subir son humeur. Je le prends bien, je parle avec lui cordialement quelques minutes et je raccroche. Je me replonge dans mon taff. Les heures passent sans que je ne revoie Mme la DG.

DRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR

L'horloge murale de la salle de travail sonne 15 heures de l'après-midi et la fin du taff de la journée.

Moi regardant ma montre : oh il est déjà 15 heures.

J'entends une collègue voisine dire : Ouf c'est pas trop !

Je range vite mon box de taff et prend mes effets, il faut que je sorte rapidement d'ici sinon je ne pourrais pas prendre le premier ascenseur pour le rez-chaussée de l'immeuble, sans être serré dedans comme dans une boite de sardines avec d'autres personnes de l'étage. Et ainsi me permettre d'arriver a temps au métro pour le premier train qui me permet de rentrer chez moi. J'ai une voiture, cadeau de mon père, mais je préfère prendre le métro pour éviter les embouteillages de Paris. Une fois j'avais pris ma voiture pour aller au taff, et franchement ce n'était qu'une perte de temps au lieu d'un gain de temps pour moi qui doit être ponctuel au taff.

Je sors sort en hate des locaux de TSLCA, j'arrive dans le couloir où se trouve l'ascenseur. Sur mon chemin je croise Mme Duchat, une quadragénaire très aimable, c'est notre technicienne de surface.

Mme Duchat en me souriant : ah Edward ! Alors la journée a tété bonne ?

Moi : Oh lala Mme Duchat ! Ne m'en parlé pas ! je ne sais même plus où donner la tête.

Pendant ce temps nous nous dirigeons vers l'ascenseur où 5 messieurs attendent déjà l'ascenseur. J'arrive a leur niveau en compagnie de Mme Duchat. Nous patientons une petite minute. Et un homme d'âge mure arrive, il se met derrière moi et attend l'ascenseur.

VRRRRRRR 'bruit de l'ascenseur)

Moi : Ah le voila !

L'ascenseur qui s'ouvre. Il y a 3 personnes a l'intérieur. Les 5 messieurs devant l'ascenseur entrent et il reste une place. Je peux entrer vu que je suis devant la porte ouverte de l'ascenseur mais je pense a l'homme d'âge mure qui est derrière moi. Je m'écarte et l'invite a entrer.

Moi m'adressant a l'homme âgé : Allez-y Mr ! Entrez je vous prie. J'attendrai le suivant.

L'homme âgé entrant dans l'ascenseur : ah merci jeune homme !

Les portes de l'ascenseur se ferment, Mme Duchat s'adresse a moi...

Mme Duchat en me souriant : Vous êtes très poli Edward.

Moi en regardant l'ascenseur : Je ne suis pas pressé.

Nous patientons une petite minute.

VRRRRRRRRRRRRRR

Mme Duchat : ah voici l'ascenseur !

Au même instant je vois des filles de TSLA qui arrivent vers nous, elles sont 8 dont Mme Hélise. L'ascenseur s'ouvre et il est vide.

Moi souriant et invitant les filles a entrer dans l'ascenseur : entrez les filles !

Mme Héloïse entrant en me regardant : merci Edward ! C'est gentil !

Elle me sourit et je suis sous le charme. Les filles sont entrées et il reste une petite place. Mme Duchat veut entrer dans l'ascenseur mais je la devance.

Mme Duchat stupéfaite et s'adressant a moi : oh mais Edward, dites donc vous ! :o

Moi en entrant vite dans l'ascenseur : Excusez-moi Mme Duchat là je suis pressé.

Je vois Mme Duchat qui amarre le visage. Je ne fais pas attention a elle, je me faufile vite entre les filles jusqu'au fond de l'ascenseur. On est serré mais cela ne me gêne pas bien au contraire ça m'arrange... être serré contre ces fille m'émoustille, en plus je sens bien leur odeur... leur parfum ! je suis derrière Mme Héloïse et je peux sentir ses fesses contre mon bas-ventre. Franchement la situation est HOT HOT. J'ai envie de faire là a Mme Héloïse... la tenir par les hanches, déchirer sa robe légère, la caresser partout, l'embrasser, la mordre le cou, peloter ses seins et les sucer et les mordre, frotter mon membre dur contre ses fesses, arracher son string d'un coup, la prendre dans tous le sens... lui mettre ça profond... abimer sa viande et gaspiller ça. J'ai folle envie sexuelle qui monte en moi, je sens HULK qui commence a se gonfler. Il fait chaud dans l'ascenseur qui descend. Je fais un effort surhumain pour penser a autre chose pour chasser mes pensées érotiques.

L'ascenseur se bloque puis s'ouvre. Les filles sortent.

Mme Héloïse : Ouf ! Qu'est-ce qu'on est serré là-dedans ! :o

Moi en parlant dans ma tête : Humm ! Qu'est-ce qu'on est bien là-dedans ! ^_^

Je sors de l'ascenseur en dernier, le sourire aux lèvres. Ma journée se termine bien. Hihihi !

Je sors de l'immeuble en compagnie des filles et on se sépare en se disant « Au revoir ! A demain ! ». Je me dirige vers le métro dont l'entrée est au bout de a rue. Sur mon chemin je vois des filles plus ou moins jolie et sexy. Je les regarde en souriant. Je me rince l'œil quand je peux en admirant leurs fesses, leurs jambes nues. J'arrive dans le métro qui est bombé de monde, il y a pas mal de filles en présence. Une fois arrivé sur le quai du métro, je patiente. Un train arrive et s'arrête. Ses portes s'ouvrent. Des gens descendent, d'autres montent y compris moi.

Par chance je trouve une place où m'asseoir a côté de la porte d'entrée-sortie du wagon où je suis monté. De là je zieute sur les filles, les fesses et les jambes qui passent devant mes yeux. Le spectacle est au rendez-vous pour mon bonheur. Le train démarre, roule a vive a l'allure, s'arrête d'un arrêt puis a un autre arrêt. Je descendrais après les 2 arrêts suivants. Soudain je vois deux magnifique longues jambes nues sur des chaussures a talons haut. Ces jambes s'arrêtent net devant moi et aussitôt je lève les yeux pour voir la fille a qui appartient ces jambes de rêve. Quand je vois la fille, je suis juste... Waouh ! C'est une jolie jeune femme a la chevelure lise blond qui lui arrive au dos. Des blondes j'en connais mais celle-là dépasse ce que j'ai vu auparavant. Cette blonde porte manteau belge ouvert, une robe courte belge et des chaussure belge a talon. Sa petite robe est fermé par de nombreux boutons a la manière d'une chemise (vêtement). Sa petite robe est très près de son corps et couvre a peine ses cuisses. Cette blonde trop sexy. Elle s'assoit sur la place libre en face de moi. Elle serre ses jambes en s'asseyant puis une fois assise, elle croise ses jambes. Sa robe est remontée et j'ai une belle vue de ses cuisses parfaites. Vraiment cette blonde a de belles jambes.

Je la scanne un peu... son corps est un bâtie et sa poitrine... un 90C. Humm pas mal. Je regarde son visage... joli ! Elle a un rose a lèvres sur ses lèvres fins, des sourcils noirs. Nos regards se croisent et je vois qu'elle a des yeux bleus comme l'océan, de plus au maquillage crayon bleu entoure ses yeux et du mascara noir sur ses cils. Oh lala ! C'est une sirène cette fille. Elle soutient son regard sur le mien. Elle a un air sérieux, le visage un peu amarré. Je détourne mes yeux tellement elle m'intimide trop. Du coin de l'œil, je la vois regardé la porte de la rame. Je commence a transpirer tellement sa présence me trouble.

Le train s'arrête un arrêt de train. La blonde se lève et sort de la rame dès que les portes du wagon s'ouvrent. Des passagers sortent aussi. Je reste assis. Je descends au prochain arret. Mon cœur n'est pas en paix.

Moi parlant a voix base : P*tain ! D'où sort cette fille ?

Sous une impulsion forte, je me lève et sort précipitamment de la rame du métro en me faufilant entre les portes du wagon qui se ferment lentement. Je tente de me frayer un chemin dans la foule pour rattraper cette fille. C'est difficile car il y a trop de monde. Je regarde devant moi en levant les yeux pour la localiser dans la foule qui sort du métro. Ah ! Je la vois loin devant vers la sortie du métro.

Arrivée a mon tour a la sortie du métro, je la vois plus !

Moi dépassé : M*rde ! Elle est où ?

Je la cherche d'un regarde circulaire dans la rue, j'aperçois sa silhouette qui s'éloigne au loin. Je fonce vers elle en marchant vite et la rattrape. Je la suis en restant a une bonne distance, pas trop loin ni trop près d'elle.

Moi en la regardant : Bon sang ! Cette fille se donne vraiment du mal pour être sexy.

Je continue de la suivre, en veillant a ce qu'elle ne me remarque pas dans son dos. Je me rends compte que cette fille blonde est grande taille. Elle marche les mains dans les poches de son manteau belge, elle est si bien avec ses talons hauts. Sa démarche est naturelle, lente, gracieuse telle une girafe d'Afrique. Je suis comme hypnotisé par ta féminité... cette fille me fascine tellement, je pourrais la suivre jusqu'au bout du monde.

Je n'arrive plus a la quitter des yeux. Elle traverse une route où des voitures circulent. Quand elle finit de traversé cette route, c'est a ce moment-là je traverse aussi en la regardant marcher. Je marche sur la chaussée. Soudain j'entends un crissement de pneus... iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!

Je me tourne a gauche et je vois un bus en face de moi. Le bus vient droit sur moi et... BOM !!!

Je suis percuté a la jambe droite au niveau de la cuisse par le bus qui a tenté de tourner a gauche pour m'éviter. Sur le coup, je tombe a plat ventre sur la chaussée et ma tête heurte le sol. Je suis sonné. Je reste immobile. Le bus s'est garé a côté de moi. J'entends quelqu'un descendre vite du bus, surement le chauffeur.

La personne : Nom de DIEU ! Nom de DIEU ! Nom de DIEU ! Nom de DIEU ! Nom de...

Dans un état de semi conscience, j'entends des gens parler.

... : Qu'est-ce qu'il y a ?

... : Je crois qu'on a écrasé quelqu'un ?

... : Où ça ? Où ça ?

... : Nom de DIEU ! Nom de DIEU ! Nom de DIEU ! Nom de DIEU ! Nom de DIEU ! Nom de DIEU ! Nom de DIEU ! Nom de DIEU ! Nom de DIEU ! Nom de...

... : Vite ! il faut appeler une ambulance !

... : Qu'est ce qui se passe ?

... : Un jeune homme a traversé sans regarder !!!

Moi parlant dans mon cœur : Aiie ! Où... où est est la fille ?

Je me retourne sur le côté et me couche le dos. Je veux me lever mais je ne peux pas a cause d'une forte douleur que je sens entre ma cuisse droite et mon bas-ventre. Cette douleur me paralyse les jambes. Ma tête me fait mal, je sens un liquide dégouliner sur le bord de mon œil gauche. Je regarde droit devant moi, je vois le ciel.

Moi parlant dans mon cœur : Zut ! Elle n'est plus là ! Pas de chance pour moi !

Je sens mes yeux devenir lourd à force de les garder ouverts alors qu'ils veulent se fermer. Je lutte pour les garder ouvert. Je lutte mais je sens que le combat est inutile. Je me sens partir... je tourne la tête vers gauche puis vers la droite et là je vois une paire chaussures belge a talons près de moi, je lève les yeux et je vois deux magnifique longues jambes nues dans un manteau ouvert sous une petite robe belge sexy. Mes yeux se ferment contre ma volonté, je lutte une dernière fois pour les ouvrir et je vois sous cette petite robe belge sexy, et plus loin... Je vois une petit tissu blanc a la forme d'un petit triangle inversé entre deux belles cuisses sous cette robe belge sexy.

Moi (parlant voyant tout sous cette petite robe belge sexy) : Oh ! Le... Le paradis !!

Mes yeux se ferment et... TROU NOIR !!!

******************

Merce de commenter d'aimer, de partager.