Sandrine : Bah t'as bien dû le voir en te réveillant.
Je rigole de sa tête.
Moi : Ah nan, je lui ai juste piqué un haut pour pas être serer sur mes blessures, mais on n'a pas dormi ensemble.
Sandrine : Tes blessures ?
Moi : Mon ex qui croupit en taule.
Sandrine : Ah euh...
Moi : En 10 ans il n'avait jamais été violant mais avant-hier il a pété un plomb, m'a battu et m'a violé, en me séquestrant. J'ai appelé Nathan au secours, il est venu avec les gars, je l'ai d'ailleurs empêcher d'aller démonter l'autre connard en lui disant que j'allais porter plainte. Depuis Nathan m'empêche de rentré chez moi.
Sandrine : Ça ne m'étonne pas de mon garçon.
Nathan : Qu'est-ce qu'il ne t'étonne pas de moi maman ?
Moi : Que t'es râler pour l'opération Yéti !
Nathan : Mais t'as fini avec ça !
Moi : Jamais, c'est tellement drôle de voir la tête que tu fais à chaque fois.
Il vient me faire un câlin et un bisou sur le front et se pose, je lui mets une pichenette sur la tempe.
Moi : Et le bisou à ta mère yéti !
Il rigole et va lui faire, avant de revenir vers moi, je vois qu'il boite un peu.
Moi : Ta jambe.
Il la pose sur moi, je lui masse doucement.
Moi : Tu vois que t'as mal, quand tu forces un peu trop.
Nathan : Nianiania !
Sandrine : T'es un môme, c'est à quelle heure que ma princesse sort ?
Moi : À 12h, elle veut attendre le bon plat de Drew.
Sandrine : Drew ?
Moi : Plus connu sous le nom de troll ou d'elfe. Mon meilleur ami, aussi infirmier et qui lui as fait gouter sa cuisine.
Nathan : Elle l'adore.
Moi : Faut dire qu'il est aussi mature qu'elle.
Sandrine : C'est méchant.
Moi : Mais tellement réel.
On rigole tous les trois en déjeunant, je sens la main de Nath me caresser la cuisse mine de rien. Je tourne ma tête vers lui, il fait style de rien et continue à parler à sa mère.
Sandrine : Qu'est ce qui te fait sourire ma belle ?
Il me regarde et vois enfin sa main, qu'il enlève dans la seconde.
Moi : Rien je pensais juste à l'anniversaire d'une personne merveilleuse.
Sandrine : Je suis curieuse maintenant.
Je rigole en lui racontant et en reprenant la main de Nath et la pose sur ma cuisse.
Je finis par monter m'habiller, il me suit dans ma chambre.
Nathan : Excuse-moi pour tout à l'heure, je n'aurais pas dû. Je ne m'en étais même pas rendu compte.
Moi : Pourquoi tu t'excuse ? J'aime bien quand t'es tactile. Nathan j'ai confiance en toi, ça ne me gêne absolument pas.
Il vient me faire un câlin puis me laisse m'habiller, je fouille dans le sac de sous vêtement. J'explose de rire en trouvant une tenue d'infirmière ultra sexy. Je décide de la mettre et vais dans sa chambre qui est juste à côté de la mienne, quand il me voit il beugue et fait tomber son portable qu'il avait dans la main.
Moi : Sérieusement ? T'as pas trouvé plus original ?
Nathan : Je ne m'attendais pas à ce que tu le mettes, wah t'es juste ultra sexy.
Moi : À ce point-là ?
Nathan : T'as pas idée. Je m'approche de lui et me baisse, j'ai bien envie de tester sa résistance et son self contrôle. Il est en caleçon vu qu'il sort de sa douche, je m'accroupis sensuellement.
Nathan : Qu'est-ce que tu fais ?
Moi : Bah je soigne votre jambe voyons.
Je le masse en le fixant droit dans les yeux, je sais parfaitement qu'il a une vue plongeante sur mes seins, je le vois déglutir. Je me relève avec une lenteur extrême en frôlant l'érection qu'il tente de cacher, je colle mes seins à son torse en palpant sa cote doucement et lui met une crème que je sors de mon décolté et lui applique. Je lui fais un bisou sur la joue et me barre à ma chambre en rigolant fière de mon petit numéro qui a plus que bien marché, je m'habille réellement cette fois avec un ensemble de sous vêtement qu'il m'avait choisis et met un short avec un débardeur qui mets en valeur mes formes, j'ai envie d'être sexy pour lui.
Quand je vais pour descendre il me tire dans sa chambre en me collant contre la porte. Je pourrais facilement avoir peur de lui avec sa carrure et qu'il soit aussi proche de moi.
Nathan : Tu t'es bien amusé à me rendre fous ?
Pdv Nathan :
Elle me fait un petit sourire en se mordant la lèvre.
Lorie : Bah quoi ? c'est ce que tu avais en tête nan ?
Je grogne, en me retenant de lui sauter dessus et me contente de lui caresser les cuisses en remontant et passe mes doigts sous son tee shirt et continue de monter. Elle me laisse faire totalement, quand je vois l'ensemble qu'elle a mis j'ai qu'une envie c'est de lui enlever.
Moi : Magnifique et en bas c'est pareil ?
Quand je la regarde dans les yeux, ils sont complétement voilés de désir et sa voix devient plus roque.
Lorie : Ah toi de deviner.
Je lui caresse les seins du bout des doigts puis redescend mets mes mains au niveau de ses fesses et lui agrippe fermement en la collant à moi.
Lorie : Hum.
Je continue de lui malaxer son magnifique derrière, plus elle gémit plus je continue. Je la retourne et la plaque contre le mur sans lui faire mal et lui baisse doucement son short en lui laissant la possibilité d'arrêter à chaque instant. Son short atterri à ses pieds, je vois qu'elle a mis le string qui va avec. Je lui mordille les fesses.
Lorie : Han oui continue.
Je lui fais 2 gros suçons sur chaque fesse et lui remet son short en lui reboutonnant et la retourne de nouveau pour lui faire un bisou sur la joue mais proche de la bouche, elle ne pourrait pas être plus rouge.
Moi : Je confirme c'est bien le même ensemble. On descend ?
Lorie : On est obligé ?
Moi : Oui aller.
Je lui mets une petite claque au cul et lui prend la main pour la tirer. Dans les escaliers, je la fais évidemment passer devant pour pouvoir mater ses fesses rebondit dans son mini short.
Maman : Wah Lorie, tu es magnifique.
Lorie : Merci.
Elle rougit encore, elle est vraiment trop mignonne quand elle fait ça.
Je l'emmène à l'hôpital, comme la veille elle va dire bonjour à ses collègues puis nous rejoint en souriant.
Sarah : Ma fée câlin.
Elle la prend dans les bras et se barre dans le couloir. Je les suis en rigolant, elle fait tout le tour du service avec ma fille sur les épaules quand on revient on voit une belle robe de princesse rose. Lorie la pose, ma fille court dessus, j'attrape Lorie par la taille et lui chuchote.
Moi : Arrête de la gâter ma puce.
Lorie : Ce n'est pas moi.
Moi : Si ce n'est pas toi c'est Drew donc ça revient au même.
Elle rigole et va la voir en lui mettant. Sarah lui fait ses petits yeux. Donc elle lui fait un léger maquillage.
Lorie : Une vraie princesse.
Sarah : T'as vu papa ?
Moi : T'es magnifique ma chérie, on dirait une grande.
Sarah : Ma fée je peux te maquiller ?
Lorie : Si tu veux.
Elle se démaquille totalement et s'assoit en tailleur, je reste sur le pas de la porte à les regarder.
??? : Elle a ça dans le sang.
Je tourne la tête et vois Drew.
Moi : De quoi tu parles ? Merci pour la robe, ne fallait pas, vous la gâter beaucoup trop tous les 2.
Drew : D'ordinaire, tous les enfants sont en pédiatrie peu importe l'importance la pathologie. Si Sarah est là c'est simplement qu'elle n'a pas laisser le choix au chef du service.
Moi : Comment ça ?
Drew : Elle a menacé notre bosse de changer de service si SA patiente été déplacer. En sachant que si elle bouge, elle m'emmène et elle emmène quasi toutes les infirmières avec. Si on est le meilleur service de traumato de l'état ce n'est pas grâce au médecin mais surtout à Lorie qui fait toujours en sorte que tout se passe bien entre les différents métiers, donc autant te dire que c'est la reine de l'hôpital. Ce sont même nos supérieures qui lui payent ses études et ont insisté.
Moi : Je voyais bien qu'elle était importante ici, mais pas à ce point-là.
Drew : On a créé un regroupement d'infirmiers pour les formé au relationnel avec les patients et leurs apprendre à ne pas les considérer comme des numéros. Tu nous dis un numéro de chambre on peut te dire la pathologie, l'avancement, le numéro de la chambre... sans regarder nos fiches.
Moi : Je n'en doute pas une seconde, tu voulais dire quoi par elle a ça dans le sang ?
Drew : D'être mère. Regarde là elle rayonne au contact d'enfants.
Je retourne la tête et la regarde se faire maquiller par la petite qui s'applique. Elle se concentre et sort son petit bout de langue comme à chaque fois qu'elle est à fond dans un truc. Lorie elle a un grand sourire et se laisse faire. 20 minutes après ma fille à terminer, Lorie regarde au miroir.
Lorie : Bravo princesse, t'es trop forte.
Sarah : Promesse du petit doigt ?
Lorie : De tous les petits doigts du monde. T'es tellement forte que je garde ton maquillage.
Ma fille retourne dans ses bras et joue avec ses cheveux. Lorie lui donne la brosse ma plus grand fierté lui fait un énorme sourire et coiffe sa fée qui me regarde en souriant.
Lorie : Vient.
Je les prends en photos et les rejoint, cette fois c'est Lorie qui nous prend en photo tous les trois.
Drew : T'es trop belle princesse.
Sarah : Merci l'elfe.
Lorie : Princesse, est ce que tu as envie d'aller manger avec la reine des fées ?
Sarah : Oh oui, dit oui papa.
Moi : C'était déjà d'accord ma chérie.
Elle me fait un câlin et on part après avoir dit au revoir à tout le monde. Dans la voiture, Lorie monte à côté de moi et Drew derrière avec Sarah ma fille rigole de toutes les bêtises que l'elfe fait, je profite pour glisser ma main sur la cuisse de Lorie qui me regarde en souriant et pose la sienne sur la mienne. On arrive devant une maison de retraite avec des chiens et des chats qui se balade en liberté. Drew et Sarah descendent dans la seconde pour les caresser. Je tourne la tête vers Lorie qui ne bouge pas non plus, sauf ses doigts qui me caresse la main.
Moi : Je n'ai pas envie de sortir.
Lorie : Moi non plus.
Moi : J'ai envie de t'embrasser.
Lorie : Moi aussi.
On ne s'est toujours pas lâcher du regard, nos regards dérive sur nos lèvres mais la porte s'ouvre sur Sarah qui tire Lorie, j'enlève ma main en vitesse et on sort. Ma fille entraine sa fée à l'intérieur.
Drew : Tire pas la gueule, y a plus romantique qu'une bagnole pour s'embrasser nan ?
Moi : On aller pas...
Drew : Je connais Lorie depuis toujours mec, elle ne peut pas me mentir que ce soient ses postures, soit sa voix... rien.
Je ne réponds rien, mais garde un petit sourire en coin. L'intérieur est décoré de partout, Lorie descend avec une petite mamie qui a un bandeau sur les yeux. Quand elles arrivent en bas Drew va lui faire un bisou et les deux lui retirent le bandeau.
Ani : Wah merci mes enfants.
Drew et Lorie : On t'aime Nini. Les deux lui font un bisou sur chaque joue. Ma fille cours sur Lorie sur qui elle saute, et qui se vautre en protégeant la tête de ma fille. Je fonce vers elle dans la seconde.
Moi : Ma chérie ça va ?
Sarah : J'ai bobo à la tête.
Drew : Montre-moi princesse. On t'a dit de faire doucement.
Il s'occupe de ma fille, je regarde Lorie qui se tient sa cote.
Moi : Ma puce ça va ?
Lorie : Oui, c'est juste que je suis tombé sur ma cote ce n'est rien.
Moi : Pourquoi tu ne t'es pas tourné ?
Lorie : C'était soit je la protéger soit je protéger ma cote, le choix est vite fait.
Je l'aide à se relever et lui met la crème en la massant.
Lorie : Merci, Drew ?
Drew : Notre championne va bien.
Moi : Sarah vient ici !
Ma fille arrive en baissant la tête.
Moi : Je t'ai dit combien de fois de pas faire ça ? Tu as fait mal à Lorie !
Ma fille fond en larme, Lorie s'assoit sur la marche et le prend dans ses bras.
Lorie : Allez princesse ne pleure pas, c'est fini. Ne faut pas que tu fasses la folle ou la magie de la tête peux partir et retourné à l'hôpital.
Sarah : Pa...don ma fée.
Lorie : C'est fini promis, je ne suis pas fâchée et papa non plus on a eu peur que tu te fasses mal c'est tout.
Sarah : Pourquoi t'as bobo ?
Lorie : Tu te rappelles le magicien ?
Elle hoche la tête.
Lorie : Bah c'est un méchant sorcier qui m'a fait très mal.
Sarah : Papa tu l'as tapé fort ?
On rigole tous les 3 avec Drew.
Moi : Ma chérie ne faut pas taper quand on peut faire autrement. Je t'ai déjà dit la boxe c'est un sport et on doit se battre qu'au sport sauf si vraiment on ne peut pas faire autrement.
Lorie se relève et prend la main de Sarah et lui montre Ani.
Lorie : Tu vois princesse là c'est Ani la reine des fées et Ani voici la princesse Sarah, et son papa le chevalier Nathan. Drew lui c'est soit un troll sois un elfe et je suis sa fée.
Ani lui fait un bisou.
Sarah : Mais t'es une mamie fée.
Elle rigole avec Lorie.
Ani : Eh oui même les fées deviennent des mamies. Tu sais tu peux aller embêter le monsieur le bas c'est un troll pas beau et râleur.
Elle lui montre un homme, ma fille regarde Lorie qui hoche la tête donc elle y va, on s'assoit tous ensemble.
Ani : Alors c'est quoi cette histoire de fée et qu'a fait l'autre connard ?
Lorie : Ani voit.
Ani : Quoi ? Elle ne peut pas nous entendre la.
Lorie : Il m'a frappé au point de me péter une cote. Pour pas que Sarah bouge comme elle avait un trauma crânien, je lui ai dit qu'on avait fait de la magie dans sa tête donc pour elle les infirmières sont des fées et les infirmiers des elfes sauf quand ils font mal ou là ils se transforme en trolls.
Ani : Mon petit Drew un troll ? C'est vrai que ça te va bien.
Lorie : Aller bim !
On continue à parler de tout et de rien, Ani est entre Drew et Lorie et moi à côté d'elle donc j'en profite pour lui papouiller la cuisse.
Ani : Et sinon vous êtes ensemble tous les deux ?
Lorie : ANICKA !
Ani : Je suis vieille alors tu ne peux pas m'engueuler et j'ai toujours été curieuse tu le sais ! Alors ?
Lorie : Non.
Drew : Enfin pas encore.
Il a dit ça en toussant résultats ii se retrouve avec le vers d'eau de Lorie dans la gueule.
Lorie : Toi mêles toi de ton cul !
Drew : Bah je m'en occupe très bien crois moi.
Lorie : C'est vrai que la semaine dernière tu boité beaucoup.
Cette fois il s'étouffe avec son vers et rougit d'un seul coup en s'intéressant subitement à Sarah qui joue toujours avec le petit papi.
Ani : Alors c'est qui ? Je le connais ?
Drew : Nan, Ani tu ne le connais pas et tu ne le connaitras pas.
Lorie : Il aime boiter à cause de plusieurs différents.
Drew : Mais ferme la et étouffe toi avec ton pain bordel !
Lorie : PRINCESSE.
Ma fille arrive en courant.
Sarah : Oui manou ?
Lorie : Drew il me casse les pieds.
Sarah : Papa je peux taper le troll ?
Je reste choqué de comment elle vient de l'appeler Lorie me pince.
Moi : Ah oui tu peux comme avec les tontons. Mec court.
Il joue le jeu et se barre avec ma fille qui le suit.
Ani : Manou ? ça vient d'où ?
Lorie : J'sais pas, c'est mignon.
Moi : Un jour on a revu l'une des mères d'accueil qui ne m'a jamais laisser tomber et je j'avais trouvé ce surnom pour elle, même encore maintenant je l'appelle encore Manou.
Lorie sourit en regardant les deux jouer et finit par aller les rejoindre.
Ani : Pour qu'elle t'amène ici, c'est qu'elle t'aime beaucoup ma p'tite.
Moi : Ah bon ?
Ani : Nos après-midi ensemble c'est sacré, elle fait toujours en sorte que leurs jours de repos tombent en même temps. Ce conard de Scott et venu qu'une fois et après une heure il l'a soulé donc elle l'a dégagé et lui a interdit de revenir. Que ce soit Drew ou Lorie ne m'ont jamais présenté personne. Sauf les personnes particulières et qui ont grosse place dans leurs cœurs.
Moi : Moi aussi je l'aime beaucoup.
Ani : Je suis vieille mais pas myope ça se voit à des kilomètres.
Moi : Elle m'a beaucoup parler de vous. Les 2 vous adorent.
Ani : Moi aussi pourtant de base, je faisais seulement mon métier.
Moi : Pas un métier, une vocation.
Ani : C'est vrai, d'après ce que j'ai compris, t'es boxeur ?
Moi : Ouais, pareil c'est une vocation.
Lorie passe à côté de moi pour s'asseoir mais j'en décide autrement je mets ma jambe blesser dessus et l'assois sur moi qui me fixe.
Moi : Quoi ? Je t'écoute je surélève ma jambe.
Lorie : T'es vraiment un môme comme dit ta mère, à écouter quand ça t'arrange et arrête avec ton sourire de sale gosse.
Moi : Ils s'amusent bien les deux ?
Lorie : Ouais, elle en a à lui balancer la boue que Antonn fait.
Moi : Antonn ?
Lorie : Le papy de tout à l'heure. C'est toujours le premier à faire des conneries.
Ani : C'est sûr, d'ailleurs je vais les aider.
Elle va les rejoindre, on les regarde faire les gamins. Je passe ma main sous son tee shirt et la papouille, elle regarde nerveusement autour de nous.
Moi : Personne ne fait attention, détend toi ma puce.
Elle pose sa tête dans ma nuque et soupir d'aise. Le reste de l'aprèm se passe hyper bien même si Drew a dû aller se laver vu que ma fille a eu la bonne idée de lui mettre du bout dans le pantalon. On ramène Drew chez lui, puis on rentre. Je vais coucher Sarah qui dort à poings fermés. Je retrouve Lorie sur le canapé, je la rejoins en la prenant dans les bras.
Moi : Ma puce ça va ?
Lorie : Ouais, impec et toi ?
Moi : Je ne pourrais pas aller mieux. Tu veux faire quoi ?
Lorie : On regarde un film ?
Moi : Tant que ce n'est pas trop nianian ça me va.
Je mets Netflix et la laisse choisir. Elle met un film avec des animaux. Son film me fait très clairement chier, donc je la papouille et lui bisouille le cou.
Lorie : T'es vraiment un gosse tu le sais ça ?
Moi : Mmm, ton cou et ton corps en général et un million de fois plus intéressant que cette daube.
Elle glousse en continuant à regarder son film. Je lui relève son haut en continuant mes petits bisous.
Lorie : Hum...
Elle rabat vite son haut.
Moi : Parle-moi, je suis allé trop vite ?
Lorie : On est dans le salon, imagine si Sarah se réveille ou que ta mère rentre.
Moi : Sarah n'a pas le droit de descendre seule et ma mère ne rentre pas avant 22 heures ce soir.
Lorie : T'es sur ?
Moi : Sûr et certain.
Elle me laisse reprendre mon petit jeu seulement sur son ventre.
Lorie : Mmm, pourquoi t'aime autant mon ventre ?
Moi : Le ventre d'une femme je trouve ça magnifique quand on sait qu'il a la faculté de portée la vie.
Lorie : Tu sais que là à part des organes il n'y a absolument rien dedans ?
Moi : M'en fous, j'aime trop.
Lorie : Donc à choisir entre mon cul, mes seins ou mon ventre, tu choisis mon ventre ?
Moi : C'est trop dur comme choix.
Lorie : Répond, tu as le droit qu'à un choix.
Je fais semblant de réfléchir en la caressant sur les seins et le cul.
Moi : Tout est trop sexy chez toi, c'est impossible de choisir.
Lorie : T'as trente secondes ou t'as un gage.
Moi : Je peux savoir ce que c'est ?
Lorie : Nan, 5, 6,7...
Moi : Et t'as pas dit que ça commencer, tu triche.
Lorie : 13, 14, 15...
Je continue mon cinéma.
Lorie : 25, 26, 27...
Moi : Mais pas possible, je veux tout.
Lorie : 30 perdus.
Moi : Alors ?
Lorie : Interdiction de me toucher pendant 24 heures.
Moi : Mais ! T'es dur la !
Lorie : Fallait répondre. Oh et là je vais aller me prendre un bon bain brulant.
Elle se marre et monte, en roulant des hanches, je la matte jusqu'à plus la voir et tombe sur le canapé en soufflant. J'ai une idée, je monte moi aussi me douché et met seulement un short de boxe et vais cuisiner. Une heure plus tard je la vois descendre en crop avec un pantalon fluide. Je vois d'ici, ses tétons pointé, bordel de merde.
Lorie : On dirait qu'il fait chaud ici.
Moi : On est bien d'accord on meurt de chaud.
J'ouvre la fenêtre espérant avoir un peu de fraicheur mais quand je la vois se mordre les lèvres en matant mon torse, aucune fraicheur pourrait nous refroidir dans notre jeu. La porte s'ouvre sur les gars qui reste en beugue devant nos tenues.
Tim : Euh, on dérange ?
Lorie : Pas du tout, ça va les gars ?
Luis : Et toi princesse ? Tiens, on est allé te chercher les affaires que tu voulais.
Elle lui saute dans les bras. En lui faisant un bisou.
Lorie : Vous êtes adorables.
Les gars se marre quand on voie Luis rougir. Il n'a pas l'habitude d'être aussi proche d'une femme, c'est le seul puceau dans la bande. « Il veut trouver la femme de sa vie ». Quand elle voit mon regarde, elle en fait des caisses à se plaindre de sa cote pour qu'il la porte et évidement lui ne vois rien et la monte à l'étage. J'explose de rire.
Tim : On vous a déranger nan ?
Moi : Plus ou moins.
Luke : Raconte.
Moi : Son film je n'en avais rien à foutre donc je m'amusais à la chauffé et surtout sur son ventre. Elle m'a mis au défi de lui dire ce que je préférer entre son cul, ses seins ou son ventre. Je n'ai pas pu répondre donc elle m'a donné un gage qui est interdiction de la touché pendant 24 heure.
On se marre tous les trois.
Luke : Donc en étant là on t'aide d'un côté.
Moi : Mouais, mais vous faites quand même chier !
Les deux continuent de rire Luis redescend en rigolant aussi.
Moi : Elle fout quoi ?
Luis : Aucune idée, mais je sens la connerie arrivée.
5 minutes plus tard elle descend en tenue d'infirmière avec sa blouse grande ouverte et elle a mis le déguisement en dessous.
Moi : LES GARS !
Ils détournent tous le regard en se marrant, je fonce sur elle, elle n'a pas d'autre choix que de reculer et se retrouve dans la salle de bain du bas que je ferme à clés et la coince contre la vasque.
Moi : Tu t'amuses bien ?
Lorie : Comme une petite folle.
Moi : Referme la blouse.
Lorie : Nan.
Moi : Et si Sarah descend ?
Lorie : Alors je la refermerais.
Moi : Et si je ne tiens pas 24 heures, il se passe quoi ?
Lorie : Alors j'irai chez mes parents. En plus t'as du bol je bosse demain.
Moi : Quelles heures ?
Lorie : 6, 18.
Moi : D'accord.
Lorie : T'aurais dû répondre, c'est bête.
Elle me pousse en me caressant le torse et retourne vers les gars qui ne savent pas quoi faire et finissent par fuir prétextant l'entrainement.
Moi : T'as fait fuir mes frères !
Lorie : Tu ne vas pas me dire qu'ils savant pas à quoi une femme ressemble.
Moi : Bah si Luis, n'en sais rien.
Lorie : Sérieux ?
Moi : Ouais, il veut attendre la femme de sa vie.
Lorie : C'est trop beau.
Moi : J'aurais dû en prend une encore moins sage.
Elle se marre et me jette sa blouse à la gueule, en riant.
Moi : T'es folle.
Lorie : Pas faux, tu prépares quoi ?
Moi : Lasagne.
Lorie : Miam, tu veux un coup de mains ?
Moi : Va t'habiller.
Elle lève les yeux au ciel et monte en levant sa petite jupette, sous mon rire, cette fille est diabolique. Quand elle descend à nouveau cette fois elle a mis un soutif rouge avec un haut en resille noir avec un microshort qui lui remonte les fesses et un fin gilet.
Moi : Tu te fous de moi ?
Lorie : Quoi ? Je suis habillé là.
Elle passe sous mon bras et remue dans la casserole en tortillant du cul qui frôle mon érection.
Moi : Joue pas à ça.
Lorie : Et sinon quoi ?
Moi : Si Clément te voit comme ça, Marie te casse la gueule alors va t'habiller et vraiment cette fois tentatrice.
Elle remonte au même moment Clem et Marie arrive.
Marie : T'as aussi chaud que ça ?
Moi : Ouais.
Clem : Elle est ou ta petite protéger ?
Moi : S'habiller et vraiment cette fois j'espère.
Marie : Comment ça ?
Moi : J'ai perdu à un truc et j'ai interdiction de la touché pendant 24heures, donc elle est descendue en crop et pantalon fluide pour manipuler Luis qui l'a porté jusqu'à sa chambre ou elle est descendue en infirmière ultra sexy avec sa blouse grande ouverte devant les gars qui ont fui pour descendre en micro shirt avec un haut en resille.
Marie explose de rire en montant la rejoindre.
Clem : T'as craqué pour elle toi, je ne t'ai jamais vu comme ça.
Moi : J'sais pas, j'adore passer du temps avec, j'adore la voir s'occuper de Sarah et de voir comment elle la protège. Même Nathalie ne s'en ai jamais occupé autant.
Clem : Ne les compare pas.
Moi : Ce n'est pas ce que je fais, je te dis juste que Lorie s'en occupe comme une vraie mère poule.
Les filles redescendent avec Sarah dans les bras de Lorie qui fait un bisou à Clem et se pose sur le canapé en la papouillant tendrement. Je regarde Clem, qui hoche la tête en confirmant mes propos. JE vais les voir.
Moi : Ma chérie t'as fait un gros dodo, c'est super.
Sarah : Mmm, manou câlin.
Elle se coule encore plus dans le cou de Lorie et se cache avec ses cheveux. Après un bon quart d'heure ma fille bouge enfin et va faire un câlin à Marie puis à Clem et vient dans mes bras.
Moi : Alors t'as faim ?
Sarah : Comme un ogre. C'est quoi ?
Moi : Les pâtes à la viande. Tu peux aller jouer je te dis quand c'est prêt.
Elle va jouer pendant que Lorie vient entre mes bras en attrapant du gruyère qu'elle mange en se posant contre mon torse, j'ai qu'une envie c'est de refermer mes bras sur elle.
Marie : Vous n'étiez pas sensé ne pas vous touché 24 heures ?
Lorie : C'est que lui qui n'a pas le droit moi oui.
Les filles rigolent toutes les deux, surtout Marie qui sait qu'en couple je suis très tactile. Lorie continu puis reste contre moi, mine de rien ça me fait du bien qu'elle soit tactile c'est déjà un enfer de pas répondre mais si elle était restée loin de moi, je n'aurais jamais tenu.
Clem : Au moins si un jour tu boxes plus tu pourras te reconvertir en chef.
Moi : Ne parles pas de malheur toi !
Le repas se passe super bien, les filles s'entendent à merveille, en même temps Lorie s'entend avec tout le monde. Elle passe son temps à me chercher. Quand Clem et Marie partent elle monte coucher Sarah qui est fatigué et vient s'allongé sur mes jambes et regarde avec moi un combat de MMA. Je vais pour poser ma main sur sa hanche mais je me retiens à la dernière seconde et la pose sur le dossier du canape.
Moi : Tu y comprends quelque chose ?
Lorie : Rien du tout.
Je lui explique au fur et à mesure à la fin elle me dit qu'elle va se coucher et, me fait un bisou. J'en regarde un autre et vais dormir aussi.