Je secoue mes pieds pour augmenter le plaisir, je secoue mes seins aussi. Je prends appuie sur le coude d'un bras et me sers de mon autre main pour carresser mes tétons. Je les pince en secouant mes pieds. Monsieur Konan me pénètre à l'aide de sa langue. Il tourne la langue dans le trou de mon minou, je tourne la hanche pour recevoir plus de plaisir.
Moi : Oh....oh...oh ouiiii.......
Je jouis encore une fois, monsieur Konan lèche le liquide que j'ai libéré. Il me fait une toilette avec sa langue. Il me soulève les fesses et mets sa tête entre mes deux paires de fesses. Il passe sa langue sur mon anus. Je souris coquinement.
Moi : Tu es le meilleur papy, Dis-je en riant.
M.Konan : Viens ma poupée, dit-il en détachant la boucle de sa ceinture.
Il descend son pantalon et abaisse son bermuda. Son pénis tout mou et fatigué pointe à l'horizon. Je descend de la table et me mets à quatre pattes devant lui. Je soulève son pénis et commence à sucer ses couilles qui pendouille. Je les suce et les relâchent. Ça fait *kpè, kpè*
M.Konan : Oh mon Dieu crie t-il submergé par le plaisir. Vicky....ouiiii....
Après un moment, j'attaque son pénis que j'enfouie dans son entièreté dans ma bouche. Je suce et suce. Je ne lui fais aucun pitié.
M.Konan : Ahhhhh..... Vicky doucement.....ahhhh mon Dieu.
Il crie et essaie de retirer son pénis de ma bouche mais je retiens fermement ses jambes et continue plus vite. Ma tête va et vient. Je le suce comme un bonbon.
_Glok, glok, fit le bruit du suçage. Glok, glok, glok, je continue. Je sens son pénis toucher au fond de ma gorge. Glok, glok, glok, je vais plus vite.
M.Konan : Ah Vicky.....aaahhhhhh.....
Il crie si fort que les voisins pourrait nous entendre. Je continue dans cette lancée environ quelques minutes de plus puis je libère sa bite de ma bouche. Son sperme me remplit la bouche, je l'avale. Il a jouit, ce que je ne voulais pas. Je voulais qu'il bande pour pouvoir me baiser mais son pénis est redevenu encore tout mou.
Je le prend entre ma main, c'est un peu dur. Ça fera l'affaire. Je me relève du sol et lui tire la main. Pendant ce temps, il est tout chamboulé le vieux. Ptdr, le pauvre n'est toujours pas encore remis de ses émotions à ce que je vois. On arrive à la table d'étude, je l'aide à se coucher là dessus. Il faut que je prenne les rennes pour pouvoir jouir avec ce vieux.
Il se couche et je monte sur lui. Je me positionne confortablement et prend son pénis que je dirige dans le trou de mon minou. Je pousse un gémissement lorsque sa bite pénètre ma chatte.
Moi : Anhnnn oui....vas-y papy......
Il commence à me pilonner mais je n'ai toujours pas ce que je souhaite. Je prends les choses en main finalement.
Je vais et viens sur sa bite, je le baise pratiquement. Son pénis s'endurcit au fur et à mesure. Je soulève un peu mes fesses pour bien écarter ma foufoune. Je mets mon sein dans sa bouche et il commence à sucer. Mes fesses se lèvent et vont s'écraser contre son bassin.
Ma chatte dévore l'entièreté de sa bite. On entend *KPOU, KPOU* dans toute la salle. Je baise le vieux.
Moi : Annhhh....anh....anh.... criai-je en étant couchée sur lui, je gémis dans son oreille.
Il me frappe les fesses. C'est tellement bon.
M.konan : Aahhhhhh......ouiiiii....ahhhhh, gémit-il la voix étouffée par mon sein dans sa bouche.
Moi : Ayi, ayi papy....ayiiiiiii......
À partir de mon ventre jusqu'à ma poitrine, je ne fais aucun mouvement, sauf mon sein qui se fait tirer dans la bouche du vieux mais c'est de ma hanche à mes pieds que je fais tout le travail. Je vais et viens, je monte et descend. Ça fait *kpê, kpê* Ah papyyy!
Je m'arrête, sa bite dans ma chatte. Je commence à tourner la hanche sur son pénis. Je tourne tantôt dans le sens droit, tantôt dans le sens gauche. Oh oui! Le liquide chaud du vieux signale qu'il a jouit, moi également. Je reste coucher sur lui un moment avant de me lever. Son pénis est tout rapapla. Il est assèche le vieux. Il a les yeux fermé. Est-ce que je l'ai tué ?
Je lui tape la joue pour vérifier s'il est toujours vivant. Je souris en voyant que c'est le cas.
Moi : J'ai cru que t'étais mort, Dis-je en m'adressant à lui dans un éclat de rire.
M.konan : Tu es une sorcière ! Marmonne t-il difficilement.
J'éclate de rire.
Moi : Bon, on a fini. Il faut maintenant étudier pour que au moins je puisse montrer quelque chose à ma mère lorsqu'elle demandera à voir ce qu'on a fait.
M.konan : D'accord, au travail, on a à peine une heure.
Moi : C'est parti !
Je me suis habillé et monsieur Konan a étudié avec moi durant le temps restant. Je n'ai même pas suivi son explication puisque je repensais à tout ce qui venait de se passer. Je me mordille les lèvres.
Il a remplit le tableau avec son charabia puis il est reparti. Ma mère est rentrée aux environs de 20h30 et nous sommes passés à table pour le dîner. Ça fait un bon moment qu'aucune de nous n'a adressé la parole à l'autre. On dîne dans le silence.
Ma mère : Monsieur Konan est passé aujourd'hui ? Demande t-elle pour engager la conversation.
J'aquiesce de la tête.
Ma mère : Vous avez fait quoi?
Moi : Il m'a éclairci sur certaines zones d'ombre que je rencontrais en biologie et aussi on a fait des exercices.
Ma mère : D'accord ! Je....
La sonnerie de son téléphone vient l'interrompre. Elle quitte la table et s'éloigne pour répondre.
Ma mère : Oui mon amour, l'entendis-je dire avant de s'éloigner dans une autre pièce.
C'est encore son fiancé Jacques. Je hais cet homme, ma mère a complètement changé depuis qu'elle l'a connu. Il ne m'aime pas et je suis prête à parier que c'est lui qui exige à ce que je parte chez ma sœur. Je continue tranquillement de manger, ma mère arrive après une quinzaine de minutes.
Ma mère : Désolée ma chérie, s'excuse-t-elle en s'asseyant. C'était ton beau père.
Moi : Il n'est pas mon père, Dis-je froidement.
Ma mère : Pourquoi est-ce que tu ne l'aimes pas ma chérie ?
Moi : C'est à cause de lui n'est ce pas ? C'est à cause de lui que tu veux te débarrasser de moi en m'envoyant vivre chez Manu soit disant pour passer mon bac.
Ma mère : Mais non ma chérie, dit-elle en voulant nier mais c'est flagrant que c'est la vérité.
Ma mère a cette habitude de cligner des yeux lorsqu'elle ment et elle devient nerveuse, un peu comme ce qui se passe en ce moment.
Moi : Je savais, Dis-je ai bord des larmes. Tu ne m'as donc jamais aimé ?
Ma mère : C'est pour ton bien ma chérie je....
Moi : Ok, fis-je en me levant. Si c'est ce que tu veux, ok je vais partir. Je vais te laisser vivre ton amour avec ton fiancé si c'est ce que tu veux. Excuse-moi.
Je m'en vais dans ma chambre et referme violemment la porte. Merde! J'éclate en sanglots. Ma mère, ma propre mère veut se débarrasser de moi pour pouvoir être seul avec un homme. Ok ! Si c'est ce qu'elle veut, je vais le faire. Je m'en irai et la laisserai vivre en paix.
*************
Les jours passent et ne se ressemblent pas. Depuis notre prise de tête de la nuit dernière, je ne parle plus à ma mère, je l'évite du mieux que je peux. J'ai fait mes au-revoir à mes baiseurs du quartier en leur offrant chacun un coup. Lol! Nous étions mercredi la fois passée, aujourd'hui nous sommes un samedi. J'ai fait ma valise, ma sœur est déjà là pour me chercher.
Elle a klaxonné pour nous prévenir. J'ai pris ma valise et je suis sortie suivie de très près par ma mère. Elle et ma sœur se sont enlacés et ont commencé à parler.
J'ai la mine triste, je n'ai pas envie de partir. Je fais tout pour retenir mes larmes qui menacent de couler. Pendant que mes yeux sont rivés sur la voiture de ma sœur, je vois la portière qui s'ouvre de l'autre côté et de la voiture, ressort un bel homme. Waouh ! Qu'il est beau et sexy. Quoique je n'ai pas encore vu à quoi ressemble son corps concrètement, je sais qu'il est hyper sexy. Ne me demandez pas, je le sais. C'est tout !
Ma mère : Ton mari était là? demande t-elle à ma sœur à la vue du beau mec. Je ne savais pas. Viens là mon fils, dit-elle les bras ouverts.
Ce dernier va se jeter dans les bras de ma mère. Je ne le quitte pas des yeux. C'est donc lui le mari de ma sœur ? C'est vrai que je ne l'ai jamais vu concrètement parlant. Il est si beau, finalement je ne regrette pas tant que ça de partir vivre chez ma sœur.
Je suis perdue dans mes pensées à fantasmer sur ce dieu de la beauté que la voix de ma sœur me sort des pensées.
Manu : Vicky, dit-elle. Ça va ?
Moi : Hum quoi ?
Manu : Tu as l'air un peu triste, qu'est ce qui t'arrive ?
Moi : Non rien, je vais bien.
Ma mère : Ne t'inquiète pas Manu, la rassure ma mère. Elle est juste un peu triste de laisser ses amis du quartier.
Manu : Ne sois pas triste, c'est pour ton bien d'accord ?
Moi : Ok!
Manu : Bon on va y aller mais d'abord laisse-moi te présenter mon mari. Il s'appelle Éric, c'est lui qui a accepté que tu viennes.
Éric ? Hum, pas mal comme prénom pour un si beau mec. Je le regarde dans les yeux. Il me sourit et me tend la main.
Éric : Je suis Éric Golden, le mari de ta sœur. Enchanté de te connaître.
Moi : Moi c'est Victoria, Victoria Bruner, je suis ravie de vous connaître aussi et merci pour avoir accepté. Merci beaucoup. Dis-je en resserant sa main.
Ce jour là, nous nous étions juste serrés la main, rien de plus banal entre beau-frère et belle-sœur mais vous êtes loin de vous imaginer tout ce qui s'en est suivi après, car oui le mari de ma sœur me baisait.
#À_suivre.