Ce fut un vendredi à Bakou, Julien et son meilleur ami Joe rentraient des classes en papotant et cheminant sur une route déserte et étroite. Joe : gars que compte tu fais ce week-end ?? Julien : je ne sais pas encore, c'est une fois a la maison que ma grand-mère vas programmer mon week-end comme d'habitude, toujours entrain d'aller au champ avec moi. Joe : ok, je pensais qu'on devait aller à la chasse ensemble demain. Julien : si tu veux, on arrive chez nous, je demande à ma grand-mère et tu confirmes simplement, elle pourra accepter car nous avons déjà presque terminé de cultiver ses champs.
Joe : voilà ce qu'on va faire, je rentre m'échanger et je passe chez toi pour ça. Julien : ça marche... Dit, tu penses pouvoir valider la compo d'aujourd'hui ? Joe : gars, j'ai intérêt, je ne veux pas reprendre la terminale, il me faut quitter ce village remplir de sorcellerie. Julien : ah ok, c'est bien... Joe : je sais que pour toi ce n'est même plus la peine de demander, tu seras seulement le premier de notre centre de composition comme toujours... Julien : eh oui... L'interro là était même d'abord très facile. Joe : facile tu dis ?? Hmmm eh ah!! Une épreuve que j'ai transpiré dessus comme si je faisais du cent mètres tu me racontes quoi là ? Julien : (en riant) gars pardon, je n'ai pas la force pour rire, j'ai très faim... hahaha ko'o tu as transpiré comme un coureur de cent mètres. Joe : c'est vrai gars si je pouvais avoir ton cerveau là noon je devais être très comptant, je ne sais même pas quand tu révises même, mais tu traites les sujets à l'école avec une extrême facilité. Julien : c'est la force tranquille gars. Joe : je respecte norh... Julien : bon mon frère, on va devoir se séparer ici, je t'attends à la maison tout à l'heure hein... Joe : oui oui, j'arrive. C'est dans un petit carrefour où plusieurs pistes se rencontraient forment un nœud. que Julien et Joe s'étaient séparé et chacun avait pris le chemin qui mène chez lui... - Nous sommes à Bakou comme vous l'avez sûrement constaté c'est dans ce village au milieu de nulle part que vivaient Julien et sa grand-mère paternelle condora, depuis le décès mystérieux des parents parents de ce dernier alors qu'il n'avait que deux ans d'âge... Étant l'unique enfant à ses parents, la grand mère de Julien l'avait élevé et pris soin depuis son bas âge jusqu'à ses vingt ans... Julien avait alors vingt ans et était Super intelligent, il excellait dans tous ses matières et était toujours au-dessus des meilleurs depuis le primaire jusqu'en terminal... il venait donc de composer le baccalauréat et était dans l'attente des résultats avec une ferme conviction de réussi... L'amour que portait la grand-mère condora pour Julien était inexplicable inébranlable et illimité elle était prêt à tout pour la sécurité de son petit fils... Une fois a la maison Julien avait trouvé sa grand-mère assise sur une chaise en bambou au milieu du salon fument sa pipe en bois... - mon fils, tu es rentrée ? Julien : oui grand mère, tu es là ? - oui... Tu dois être fatiguée, Change toi et viens manger, j'ai cuisiné pour toi... Julien : d'accord, je mourais même déjà de faim.. Il était entré dans sa chambre et ressortir une quinzaine de minutes après, sa grand-mère l'avait servir de la nourriture qu'elle avait cuisiné. Julien : merci beaucoup, tu ne devrais pas souvent te fatiguer pour cuisiner pour moi, tu es déjà vieille et par conséquent, tu as besoin de repos... - ne t'en fais pas pour moi mon enfant, je prendrai soin de toi jusqu'à mon dernier souffle, et même après ça... Ça ne me dérange pas, tu es mon seul et unique petit-fils... Julien : d'accord grand mère Merci. - c'est rien mon enfant mange... Pendant qu'il mangeait elle le regardait avec toutes l'attention d'une grand mère pour son petit fils... Peu de temps après un grand cri de détresse se fit entendre au dehors, juste dans la cour de leur maison. Julien : qui c'est ?. Julien avait remarqué la voix et s'était précipité d'aller voir. Julien : ce n'est pas la voix de... Cette voie m'est familière en tout cas... Il avait fixé sa grand-mère et elle n'avait pas l'air de s'inquiéter, il avait posé son plat de nourriture et avait traversé le seuil de la porte de sortie, il était tombé nez à nez avec Joe tout paniqué. Julien : mais Joe, c'est quoi ? Pourquoi tu hurles autant ?? Joe : (en respirant fortement) je ne sais pas gars, j'ai sûrement mal vu... Julien : voir quoi ? Joe : un serpent boa, juste a l'angle de votre maison là-bas, on aurait dit une image virtuelle, car c'est reparti en même temps en disparaissant comme ça... Julien : (en courant vers l'endroit que Joe avait indiqué) tu es sûr ? Je ne vois même pas la trace de quelque chose ici. Joe : c'est sûrement mon cerveau qui me joue des tours, mais c'était bien un serpent... Julien : (en riant) c'est vrai hahaha c'est sûrement ton cerveau... Il y a aussi la famine sur ça, vient, allons à l'intérieur, ma grand-mère a cuisiné du haricot. C'est en hésitant et en fixant l'endroit où il avait vu ce serpent qu'il suivait Julien. Julien : (en riant) un chasseur qui a peur du serpent holographique hahaha !!!! Joe : gars, c'est juste que je suis arrivé brusquement dans votre cour et mon œil à directement frappé là-bas.. Julien : gars, ce sont les effets de la faim allons manger... Joe : arrêt de te moquer de moi, il faut prendre ce que je dis au sérieux j'ai vue un serpent.. Julien avait continué de rire... Ils sont arrivés au salon et malgré tout ses bruits, sa grand-mère n'avait pas bougé de son siège, elle tenait un gros chat noir entre ses mains et continuait de tirer et rejeté la fumée de sa pipe en bois. Julien : hmmm grand mère le chat là sort d'où encore, tout à l'heure, tu n'avais pas ça en main.. - c'est mon chat, il est entré quand tu es sorti. Joe était toujours effrayé et n'avait même pas chercher à comprendre ce que Julien et sa grand-mère causait car selon lui ça ne le concernait pas... Julien également ne, c'était pas trop attardé sur ce sujet, il avait plutôt pris un plat et avait servi à manger à son ami... Julien : bonne appétit gars. Il n'avait même pas répondu et pendant qu'ils mangeaient, condora la grand-mère de Julien ne cessait pas de regarder Joe , il s'était rendu compte mais il faisait de son possible pour ne pas coincer son regard, il était mal alaise. À peine, il avait terminé son plat qu'il avait demandé à partir. Joe : j'ai un petit travail à la maison que je dois faire donc je te laisse, on dit quoi alors ? Julien : Ekiee, c'est quoi gars ? Tu n'as même pas encore digéré, mais tu es seulement pressé pour partir.. Joe : je vais digérer en chemin ne t'inquiètes pas pour moi.. Julien : je n'ai même pas encore demandé ceux dont pourquoi on s'était entendu là à ma grand-mère, je ne veux pas m'ennuyer ce week-end. Joe : dépêche-toi de lui demander alors, moi, je veux partir. C'est ainsi que Julien avait interrompu sa grand-mère en lui demandant s'il pouvait se rendre a une partie de chasse avec son ami le jour qui suivait, elle avait enlevé sa pipe dans sa bouche pour répondre. - d'accord il y a pas de problème, tu peux partir avec lui, mais faites très attention là-bas. Julien : d'accord, c'est compris grand mère. Joe n'avait plus parlé, il n'avait même pas attendu que Julien lui fasse signe pour qu'ils partent, il s'était juste levé de son siège et avait pris la direction de la porte. Julien : eh bro attends moi je te raccompagne norh ?? Joe :... Julien : tu es bizarre hein, il y a quoi ? Joe : je pense à ce que j'ai vu chez vous, je suis sérieux. Julien : ce n'était que dans ta tête toi-même tu l'as dit !! Joe : c'est vrai que cette scène s'est très rapidement déroulée, mais je pense que ce serpent était bien là.. Julien était comme traumatiser il n'arrêtait pas de penser à ce qu'il avait vécu chez Julien, d'abord ce serpent qu'il n'est pas très sûr d'avoir vu en suite le regard de la grand-mère de Julien... C'est en ce moment sur le chemin qu'il se rappela du chat et la question de Julien a sa grand-mère... Plusieurs questions le traversaient l'esprit ; comment se fait t'il que Julien ne connaisse pas ce chat alors que sa grand-mère le tenait dans les bras et en plus chaleureusement ? Dans tous les cas quelque chose ne tournait pas rond.