- Je te demande pardon pour tout ce qui s'est passé et je m'en excuse mais je t'aime. Je ne plus quitter la maison. Je veux rester ta femme
Je n'ai pas eu le temps de répondre qu'elle commence à m'embrasser.
- La porte elle n'est pas fermée dis-je tout ba
- Je l'ai fermé t'inquiète
Je ne dis plus rien je la serre juste dans mes bras et l'embrasse comme jamais. Oh qu'elle m'avait manqué! Elle tire la petite serviette que j'ai noué au tour de mes reins. À Chaque caresse qu'elle me fait, chaque moi mot qu'elle me dit, à chaque regard qu'elle me me lance le désir monte en moi de plus en plus. J'enlève le petit décolleté qui lui sert de boubou avant de commencer à titiller tendrement ses seins. J'entends ses soupirs qu'elle lâche couronnés de gémissements, je sens du bout de ma langue ses mamelons se contracter et devenir durs, entre deux battements de paupières je peux voir nettement ses poils hérissés comme mon membre. Je laisse faufiler ma langue le long de son bust
- Vas-y me dit ell
Je continue ma manœuvre jusqu'en bas. Elle est sur le point d'exploser de désir. Ma peur de ne pas la satisfaire reprend le dessus. Je suis là à me demander je fais comment, j'y procède comment avec la bouche ou lui faire l'amour normalement. Elle se lève d'un bond et se met en califourchon sur moi. Plus le temps de réfléchir. Elle se met à me donner des coups de reins intenses me faisant gémir de plaisir à chaque fois. Voir ses courbes faire des mouvements de va-et-vient ne fait qu'accentuer le plaisir. Je n'ai jamais aussi duré au lit au grand bonheur d'Astou. Nous rejoignons les cieux presque en même temps. Elle tombe dans mes bras. Le silence est juste confortable. Elle ne dit rien moi non plus et personne ne semble avoir besoin que l'autre dise quelque chose. Je la serre tellement fort que je pourrais lui briser les o
- C'était bien mon chéri
- Ravi de l'entendre en la serrant encore plus fort
- Mais ton ventre m'a vraiment gêné tu sais
- Ah bon? Comment ça?
- Il n'a fait que crier durant la partie. Dis moi tu as mangé quoi? Rire
- Arrête. Non t'es pas sérieuse. J'ai faim c'est tout
- D'accord je vais prendre la douche purificatrice et le temps que tu prennes la tienne je vais en cuisine pour te préparer quelque chose à mange
- Je t'aime tu sais?
- Oh oui je sais. Moi aussi je t'aime
Comme mon père a raison quant il dit de ne jamais prononcer le mot divorce en cas de colère. J'aime encore ma femme c'est clair. Si seulement je pouvais trouver un boulot et avoir une sexualité normale. Je suis interrompu dans mes pensées par la sonnerie de mon téléphone
- Allô ou
- C'est Ibrahim
- Heh comment tu vas?
- Ça va suis actuellement chez moi avec ma famille
- Ah bon? C'est sûr?
- Bah oui. Pour dire vrai je veux donner le meilleur de moi pour mes enfants. Mais dis moi que faire pour la suite?. Je n'ai plus le numéro de téléphone de Nafissatou et je veux voir mes filles le plus vite possible
- Tu ne crois pas que je vais te donner son numéro quand même?
- Non toi aussi. Juste que tu m'aides si tu as une idée
- Je te demanderais d'être un peu patient. En attendant occupe toi de ton image. Actuellement je suis en différend avec mon ami et je ne voudrais surtout pas ajouter de l'huile sur le feu. Tu comprend
- Oui je comprends. En faîte j'ai un ami qui m'a proposé un boulot pour deux. Je ne sais pas si ça va t'intéresser ou pas
- Ah bon?
Et puis bipppppp
- Oh je suis sûr que ses unités sont épuisées
J'attends 30secondes il ne rappelle pas. Je prends le téléphone d'Astou pour lui envoyer un message pour qu'on se voit le lendemain matin. Mon attention est attirée par un nom sur la file des messages. Il y'a plus 100 messages à ce nom. J'ouvre la discussion et le ciel me tombe sur la tête