Mais c'est vrai comment je vais expliquer cela à ma famille, J'étais tellement omnibuler par les propos du jeune homme que je n'y pensais plus... bon j'ai le temps du trajet pour trouver une solution et surtout trouver un moyen de convaincre ma grand mère de le garder.
Tout en montant les marches du train, je me disais que c'était pas avec la tête qu'il a que je vais pouvoir le convaincre qui que se soie.
- Mademoiselle, vous avez deux possibilités soit vous le mettez sur vos genoux soit vous lui payer un billet...
- Oh pardon monsieur le contrôleur
je regardais dans mon portefeuille mais j'aVais plus un sous et comme je n'avais toujours pas été du bar...,
- Je vais le garder sur mes genoux
- Très bien..., dit il d'un air étonné, votre billet ?
- Oui le voici, dis je en lui tentant mon billet.
Très vite, il me l'a contrôlé et rendu.
J'ai vite pris le chien sur les genoux, pendant un bon moment je l'ai regardé sans rien faire tout en réfléchissant au pourquoi moi il est venu vers moi, c'est vrai que je mangeais mais je n'étais pas là seule, de plus il est sortie de nul part. Et puis je ne sais pas comment l'expliquer mais je ne pouvais supporter qu'on puisse lui faire du mal, au point d'avoir eu du mal à le confier au jeune homme.
- Bon mon petit bonhomme, il est peut être temps que je te trouve un nom. Je ne peux continuer à t'appeler le chien. Alors que penses tu de Rex
Il me signe non, je me suis dit que cela était légèrement étrange car l'espace d'un instant j'avais l'impression qu'il me comprenait totalement
- Alors max
Cette fois j'avais cru voir une grimace...
En un instant il m'y s'est deux pattes sur moi et posa sa tête contre la mienne. Je ne savais comment réagir à cela mais je le disais qu'il voulait me faire comprendre quelque chose. Je le regardais dans le fond des yeux... pendant un bon moment... j'en oubliais même les gens qui nous entouraient. L'atmosphère autour de nous devenait de plus en plus légère et j'avais la sensation d'être entouré d'esprit positif...
- Démon, voilà un prénom qui te va comme un gant, j'ai même l'impression que tu me l'as légèrement souffler.
A ces mots, il me donna une petite lèche sur le nez et il se coucha à nouveau sur mes genoux.
C'est quand même étrange, cette sensation que j'ai ressenti pendant que nos regards communiquaient, Une sensation de lien indestructible comme si depuis ma naissance il existait déjà.
Je sortie de mes pensées en sentant Démon bouger et heureusement pour moi car il fallait que je descende, nous sommes arrivés à Rochefort, c'est vrai que mon temps de trajet est assez court vu que je me suis inscrite à université de Namur.
En descendant, je me rendais compte que je n'avais toujours pas trouvé un moyen d'expliquer et de convaincre pour pourvoir garder Démon à la maison. Je pense que le seul moyen est de dire la vérité tout simplement. Peut être que je n'aurais pas de crise et qu'on acceptera de le garder. Je marchais tranquille dans les rues jusqu'à la maison, arrivé devant, j'ai eu bizarrement la nostalgie de mon enfance et de mon ignorance. Mais je n'ai pas eu le temps d'aller jusqu'au bout de ma pensée que la mélodieuse voix (de manière ironique) de ma sœur dernière moi.
-Je te parle, tu sais quand même me répondre cela n'est pas dure à ce que je sache.
-Quoi ? Qu'est ce que tu veux ?
-Je te demande ce que c'est ?
-Quoi donc ?
-Ne me prend pas pour une conne, je te parle de ça ? D'un ton sévère comme si elle voulait me cermoner tout en montrant Démon du doigt.
-Ce n'est rien
-Comment ça rien ?
-Je veux dire rien qui te concerne
-Comment ça rien qui me concerne. Je te rappel très chère que j'habite ici, me dit elle
-Oui et gracieusement, dis je en murmurant
-Que dis tu ? Tu sais très bien que cela m'énerve quand tu marmonnes. Et répond à ma question car ne viens pas croire qu'il va pouvoir rester ici je te l'interdis...
-Comment ça tu me l'interdis ? Lui dis je hors de moi. Je te rappel que c'est pas toi qui décides ici mais grand maman c'est pas parce que tu fais croire a tout le monde que tu fais tout ici que tu as ton mot à dire...
A ces mots, ma sœur voulu me donner une gifle que j'esquivais en partant en direction de la porte d'entrée pour ensuite aller dans la salle de bain
- Reviens ici sale gamine ingrate...
Je me suis retourné face à elle devant la porte d'entrée
- Moi une sale gamine ingrate, si j'étais si ingrate comme tu dis je n'aurais pas payer des factures avec mon argents parce que tu as trop fait la fête cette été ni régler l'ardoise que tu avais et je dis bien avais au bar ou je bosse. Je te rappel que tu ne bosses pas toi, non tu attends que ta carrière d'actrice ou de princesse décolle mais tu n'auras ni l'un ni l'autre car tu n'as pas de talent et encore moins de grâce.
J'ai repris le chemin de la salle de bain en la laissant bouche bée, en même temps je regardais si grand maman était là mais comme je n'avais pas vu sa voiture cela m'étonnerais, effectivement elle n'était pas là. En rentrant dans la salle de bain, je l'ai verrouillé pour etre sur que ma sœur vienne nous déranger.
- Démon, mon loulou, je vais te donner un bain ainsi on va retirer toute les grasses que tu as sur toi.
- Tu n'as pas intérêt à utilisé mes produits, dit ma sœur à travers la porte
- Alors dégage...
J'entendis des pas s'éloigner, c'est bon elle est partie.
Je mis Démon dans la baignoire pour commencer à le laver,... il m'a fallu trois shampoing pour pouvoir tout ravoir tellement que la boue était incrusté.
Je pris de vieux essuie que grand maman avait gardé pour l'enrouler, je mettais toujours demander pourquoi les garder et lorsque je demandais je n'avais jamais d'explication.
Toc toc...
- c'est occupé...
- C'est grand maman, ma chérie !
En entendant sa voix, j'ai directement déverrouillé le loquet.
J'ai toujours eu un lien particulier avec elle, très futusionnele. Je sortie Démon de la baignoire pour l'essuyer et je sentie que grand maman s'approchait de moi mais... mais je me rendis compte que en faite...
- Tu n'es pas un petit chien, tu es...
- Un chiot, un chiot rottweiler. Où l'as tu trouvé ma chérie et pourquoi l'avoir amener à la maison ?
- Oh manouch, je l'ai trouvé dans le parc en réfléchissant dans quel cursus je voulais aller, il avait faim du coup je lui ai donné la fin de mon sandwich ensuite je suis partie mais il m'a suivi jusqu'au campus et depuis il voulait plus me lâche. S'il te plaît manouch laisse moi le garder...
- Et il y avait pas de propriétaire ?
- Je crains que non, sinon il ne m'aurait pas suivie et accepter de monter dans le train avec lui
- Il est monté avec toi ? Tu as du lui payer un billet du coup ? Comment as tu fait tu n'as pas d'argent ?
- Je me suis ar... comment tu sais que je nai plus d'argent ?
- Je sais que ton boulot est en retard ta sœur a ouvert ton extrait de compte il est arrivé ce matin.
- Quoi ? Encore, manouch, elle le fait exprès.
- Je sais ma chérie, cela va aller...mais tu peux le garder si tu me promets qu'il ne fera pas de bêtises.
- Oh manouch, c'est possible merci...merci...merci, en la prenant dans mes bras. Mais pourquoi tu la laisse faire ? Comme se servir sur ton compte pour son shopping et tout le reste qui ne sert strictement à rien.
- Je n'ai pas le choix ma chérie, n'oublie pas qu'elle peut me mettre dehors