Chapitre 5 Chapitre 5

Chapitre 5

Je commencais avec une nouvelle aventure .celle de vendeuse de fruits à 9 ans ,mon Dieu quand esce que cela à commencer ? Je devais composer cette année . Je suis tellement triste . Je Marchais de quartiers en quartier en criant

Moi : les bons fruits pour vous , sucré comme vous aimez .

Les passants me regardaient et comentaient

L'un : vois moi cette petite fille qui vend sur gros plateau quelle ne peut même pas porter? Ça c'est quoi ça? Pourquoi ses parents la font souffre de cette manière ? Orrr non Elle est si petite ,ses amies sont à l'école ,Elle est ici entrain de souffrir.

L'autre : tu dis comme ça peut être Elle à été tetu ,Elle a réfuser de fréquenter. Les enfants d'aujourdhui fuient beaucoups l'école .

En écoutant cela une larme coula sur ma joueje voulais crier que même si j'ai réfuser de fréquenter ( ce qui m'en so pas le cas) , ils n'ont pas le.droit de me.traiter de cette manière ,humm!!! Me verser de l'eau chaude sur le corps . Non je dis non m'insulter et même mes pauvres parents, prendre tout ce qu'ils n'ont laisser non humme! Non ! C'est méchant à mon age je vis des attrocités parielles pourquoi? Les larmes coulaient j'essuyais appellant les. Clients. Je vendis ce matin Presque tout le.plateau de fruits . Arrivé au marché il ne restait pourque quelques uns je vis une maman assise devant ses marchandises de tomate à l'intérieur sur une table qui se trouvait sous un parasol , avec une boutique à l'intérieur où il y avait des marchandises agro alimentaires

Moi : bonjour maman je m'appelle abiba je souhaites savoir pardon je pourrais poser ma marchandise.sur votre adventure?

Elle en souriant chalereusement :merci ma fille . Oui tu peut bien la poser .tu m'appelle maman abena .

Moi : merci beauoup maman abena

Elle : Derien ma fille . Tu est si joulie, si je peut savoir abiba que fais tu ici pourquoi ne fréquente tu pas?

Je grattais bizarrement ma.tête singne de gène . Elle consta Elle fesa semblant de changer de sujet. Aucour.de.la.journée maman abena me proposait à manger lorsque je refusais, Elle se fachait tellement ,ce qui fait que je finissais toujour par prendre et manger avec tellement d'appetit . Il faut savoir que ce qu'elme donnait était mieux que les restes que je mangeais lorsqu'il y avait reste . Je ne comprend pas comment une inconnus m'aide sans me connaitrepourtant ma famille , mes propres oncles. Me traitent comme un exclave. Je me pause donc la question à savoir si la famille est toujour ceux avec qui nous avons une parenté . Je penses que non .

À 15 heures mes fruits étaient finis je pris me route en Remerciant chalereusement maman abena .en rentrant, je vis une école où les élèves rentraient deja . Leurs voir en tetu crea un sentiment de brulure Dans mon Coeur, ils étaient si joyeux ,une joie que j'ai.perdu . Depuis quelques moi . J'étais première de ma classe l'avenir devais être meilleur pour moi s'il n'étaient pas morts .Je vis une petite fille de Presque mon age sauter sur ses parents pour leurs saluer Je voyais cette même joie que je resentais lorsque mes.parents venaientme chercher à l'école . Dire que j'ai.vecu cette même scène, quand esceque ma vie est devenu un cauchemar ? J'éclatais de.pleurs ,ce qui attiraient des regards sur moi et même celui.de la.petite fille.et de ses parents . Je décidais je.m'enfuir en courant car oui j'avais compris que je ne pourrais pas exécuter mon souhait d'aller.à l'école ce n'étais plus qu'une souvenir très encien.et pénible . J'arrivais à la maison à 17 h 30 ma tante m'attendais les pieds fermes

Elle : madaaaame où est mon agent?

Je courru et le lui remis. Elle compta et souriat

Elle: voiiiilaaaa c'est complet comme j'ai voulu . Elle.me regarda avec haine et dit : tu vas aller vite me faire le.marcher et préparer du couscous sauce pistache

Je vin faire le.marcher , au marcher je vis maman abena encore.là je décidais de faire mon marché chez Elle. Lorsqu'elle me Elle souriat en démandant si j'ai oublier quelquechose. Je répondis négativement

Elle : que fais tu donc ici ma fille?

Moi: maman je suis là pour faire des achats pour Is cuisine d'un bon couscous sauce pistache

Elle : hum avec la fatigue des marches et ventes là? Tu es le seul? Tu n'as pas mère et frères

Moi :si j'en ai mais c'est moi qui dois le.faire maman dis je en souriant . Elle.décida de me servir mais je sentais qu'elle avait encore à dire mais je retenais .ce çi pour mon plus grand plaisir .

Arrivé à la maison, tata.me mantra comment faire la.cuisine en me.ménençant de me tapé la.prochaine fois si les instructions donner n'étaient pas respecter . Après la cuusine je me couchais dans.cette même cuisine pensant à mon avenir et ce qui se pasera après toute cette misère, si je mourrais je mourrais parceque à ce rythme j'étais sur de nourrire de faim .

Le lendemain,.j'étais en route pour ma.nouvelle occupation .après les marches j'étais voir maman abena.

Moi: maman !!! Bonsoir en souriant

Elle : oooh ma fille tu.es.là . Donc tu vend tout les.jours ?

Moi : oui maman . C'est le.nouveau business qui.m'occupe ,nous nous verons Presque tout les.jours . J'espère que sa ne te dérange pas .

Elle : non ma.fille pas du tout

Moi : ok maman

Elle : ma fille j'ai l'impression que.tu Porte un gros.fardeau sur ton dos . Quel.est ton problème? Tu fais semblant mais tu as l'air.tellement triste.

Moi fesant l'effort de ne pleurer : non maman c'est rien de grave . Ne t'inquiette pas .enplus je ne peut pas juste parles de ma vie comça . S'il vous plait maman comprenez moi quand je me sentirais capable de te le dire.je le.ferais .

Elle : oook j'abandonne !!.tu es têttu et bienn!! Moi aussi as tu manger ?? Oh non! Plutôt attend je te Donna le.riz que j'ai cuisiner . Correction je ne veux pas que tu refuse .tu as réfuser de me.parler de toi oui mais réfuser de manger çaa non .

Le lendemain j'eu tellement mal.au dos mais je ne pule.dire à ma tante . J'avais cette impression que la plaie du à la brulure d'eau chaude là c'était infecté .elle.dégagegeais une forte odeurde pouris, coulait le pû et fesait un mal attroce . L'état s'est empirerà cause des.marches sous le.soleil .

Du à la douleur , le matin je ne pu me lever à tant pour faire mes.taches ce qui vaut dire que ma tante est venu me verser une bassine d'eau froide sur le.corps . Je.sursautais en me Levant tristement.

Ellle : boniche espèce de Moinque rien que fais tu sur ce lit

Moi sortant en grelotant

Elle : atend atend petite chienne quescequi sent comme ça? Ne me dis pas que tu as fait kaka Dans ma cuisine . Dit elle.en me tirant brusquement vers Elle

Moi secouant négativement. Tête

Ellle: spppppppppallllllshhhhh . C'était le.raisonnement de la gifle que je venais de recevoir . En me poussant elle.me dit d'aller faire mes.tâches

Je la fis avec un lenteur pas possible .

Elle : si tout ces fruits ne finissent pas .tu gouteras la brulure du far à repaser ( Elle le dit en souriant.

Je m'en allais tristement . En route le passants disaient que je suis peut être une fole parceque je dégageais une odeur .

Arrivé au marché maman abena vit ma mine et decida de courir vers moi inquiette.

Elle : ma fille quel est cette mine ? Tu est brulante . Oooh! Dit Elle étonner et cette.odeur ? Qu'escque s'est dit Elle en me débarasant de mon plateau qui se trouvait sur la table .

Elle localisa l'odeur et souleva ma vieille robe qu' Elle laisse tomber d'un coup en pleurant

Elle: oooh mon Dieu , oooh mon Dieu quescequeje vois ? Nonn c'est mauvais . Allons à l'hopital ma fille .En me retournant pour répondre je vis comme une lumière et puis r

Trou noir(..... à suivre)