Moi: La patrona, c'est lui... Lui le client dont je t'avais parlée, celui qui m'a frappée. Et m'a fait tous ces bleus ''voix hésitante et tremblante''
La patrona: Et... "d'un air hautain et sans scrupule"
Moi: Et bien tu... Tu ne pourrais pas envoyée quelqu'un d'autres parce que tu m'avais promis que ce client ne remettrais plus les pieds ici.
Je suis indignée elle ne va pas me faire ce coup là?!
La patrona: Écoute ce client me donne beaucoup d'argent, bussiness is bussiness
Moi: "les yeux humides, la gorge nouée" Mais je ne peux pas "me coupe"
L'homme: Hmmmm Hmmmmm "se racle la gorge" C'est pas pour attendre que j'ai payé moi j'ai un voyage d'affaire demain.
Il s'impatientait.
La patrona: Tenez elle est toute à vous "sourire hypocrite"
Cette homme se dirige vers moi attrape mon poignet d'une main ferme et me tire vers l'une des nombreuses chambres que compte ce foutu bordel. Il me traîne derrière lui, me tire et me pousse tellement fort qu'il me projette sur le lit 2 mètres devant moi.
Lui: "ferme la porte à clé" Vous vous rappellez de moi, la dernière nuit que nous avions passé ensemble était superbe, alors pour la prolongée me voilà.
Je suis couchée sur le lit et je commence a paniquer cette homme va me refaire subir les même chose horribles que la dernière fois.
Lui: "regard pervers" J'aime énormément ta robe
Moi: ne me touchez pas "avec dégoût"
Je commence à sentir mon coeur battre la chamade à l'idée que ce gros porc s'approche de moi de plus en plus dangeureusement, il puait l'alcool et la transpiration se mélange dans l'air de la pièce projetait une odeur très désagréable L'athmosphère m'était devenue pesante. C'était un homme ordinaire d'apparence, sûrement de ceux qui doivent avoir leur petite famille parfaite, métro boulot, dodo, qui recoivent des câlins de leurs enfants en rentrant et les couvrent de cadeaux. Il était grand environ 1m85, assez costaud, environ 90kilos, cheveux blanc, la cinquntaine, calvities au milieux. Mon instint de survie me demandait de me diriger vers la porte sauf que lui m'en empéchait alors ça se transformait en course poursuite dans toute la pièce. Je sautait hors du lit, me dirigeait d'un bout à l'autre puis d'un coup il me bloqua et me jetta de nouveau sur le lit d'une manière très sauvage.
Lui: t'es qu'une pute pourquoi tu cours?! Je te demande juste de faire ton boulot "hurle"
Moi: Sale PORC!!! "cri" Je ne veux pas que vous me touchez. "en larmes"
Oui oui, je commence à pleurer toutes mes larmes. Je repense à chacun de ses coups, de ces insultes. Jamais l'on ne m'avait faite autant de mal auparavant.
Lui: "énervé" C'EST MOI QUE TU TRAITES DE GROS PORC, tu vas voir ce qu'il fait le gros porc!!!
Il s'approche de moi dangeureusement, je recule petit à petit du lit jusqu'à ce que je tombe par terre. Là il descent du lit, s'accroupit sur moi et commence à m'étrangler je le supplie d'arrêter.
Moi: je te demande d'arr...êter stp... je commençais à étouffer.
Je regardais ses yeux, ils étaient noirs, ça se voyait il avait le démon. À peine il eû lâché mon cou alors que je pouvais enfin reprendre mon souffleet que je pensais mon calvaire fini... BAM!!!
Dès lors, il commence à m'asséner de coups de poings, un coup puis deux, puis trois et là je ne les comptais plus, j'essayais de me défendre mais face à cet homme je n'étais qu'une petite fourmi, puis trou noir.
Quelques temps plus tard, je me sens portée par un homme puis posée sur un lit mais je n'arrivais pas à me réveillé. J'entendais quasiment tous ce qui se passait à l'entour de moi mais je n'arrivais pas à ouvrir les yeux. Le client partait et j'étais encore immobile.
- Dans la peau de Fatou -
J'attendais suite à la sortie du client que Katrina sorte à son tour depuis environ 10min. Vous savez le temps c'est de l'argent et justement on en a pas beaucoup. C'est bon je commencais à me lasser, j'ouvre la porte de la chambre et je vois Kati allongé sur le lit, Kati est le surnom que je lui ai donné. MDR elle avait du s'endormir.
Moi: Kati, Kati
Aucune réponse ...
Moi: Réveil toi!!! "cri"
Bizzare qu'elle ne me réponde pas. Je la tire vers moi et à cet instant le choque. J'avais dis a la patronne de ne pas la laisser avec ce foutu client purée maintenant regardez son état, elle était défigurée, elle avait plein de bleus, c'était horrible,sur les draps blancs, il y'avait du sang de partout, sur le parquet également, la chambre était totalement retourné. Le combat avait dû être violent. Apeuré et stressé, je vérifie si elle est encore en vie et je constate qu'elle ne respire quasiment plus et que son pou est très faible.
Je commence à paniquée, pourquoi?