Voilà deux semaines que mes hommes les rechercher , elle a encore une fois réussie à effacer toutes traces.
Elle continue à jouer avec mes nerfs, j'ai envoyé plusieurs de mes hommes dans le Sud , ils font faire toute la côte pour trouver ma fille et elle.
Rocio avait appris par Anthony que les fils de Romonio étaient aussi dans le Sud , il connaissait le tempérament des frères Romonio, le plus vicieux était Julian, il ne fessait pas dans la délicatesse , il était violent, impulsif . Yann et Yoan étaient des garçons de cœur à côté de lui, mais ils avaient changés depuis le meurtre de leur mère.
Ils l'avaient retrouvés , décapitée tout le monde dans notre milieu savait qui l'avait assassinée.
Mais chaque famille Mafia avait ses règles, ses codes et personne s'en mêler temps que ça toucher pas leur propre familles.
Le souci là c'est que la Famille Romonio serait prêt à tout pour trouver Maria, il en était hors de question.
Rocio avait aussi fait ses propres investigations pour démasquer celui où celle qui aider Maria à sans sortir sans laisser d'indices.
Tout ce qu'il avait entreprit non rien donné, il avait aussi demandé à son père de se mettre en relation avec ses contacts pour leur aide , il savait qu'il y aurait une contrepartie qu'il devra s'acquitter le moment venu.
Assis à son bureau, il regardait l'écran de son ordinateur ou une photo de Maria était affichée en plein écran, elle était très belle.
Il posa un doigt sur l'écran et dessina le contour du visage de Maria, quand un coup à la porte de son bureau le fit sortir de ses pensées.
" Oui entrer " dit-il sèchement
La porte s'ouvrit et un homme grand d'un certain âge entra, malgré son âge le corps de l'homme était parfait, on voyait qu'il prenait soin de lui , les cheveux grisonnants, les yeux verts la même couleur de Rocio, son visage était impassible, froid , n'avait aucune autre émotion. Il était habillé d'un costume noir bien taillé d'un grand créateur.
Rocio se lèva, se dirigea vers l'homme.
" Bonjour père, que puis-je faire pour vous " Demanda-t-il en serrant la main de son père.
" Bonjour Rocio, je suis obligé d'avoir une raison pour venir te voir " répondit le vieil homme en ayant un sourire en coin.
" Père je vous connais, vous venez jamais sans raison "
" Allons-nous asseoir mon fils "
Rocio regarde son père sceptiquement , il indiqua un fauteuil à son père , il alla
s'asseoir dans son fauteuil derrière le bureau, et observa son père en attendant qu'il prenne la parole.
" Si je suis là c'est pour te dire que mes contacts, on fait énormément de recherches, déployer beaucoup de moyens, et tu sais qu'ils te demanderont un service en retour "
" Oui ,je le sais très bien pas besoin de me le rappeler "
" Maria est vraiment très intelligente et maligne. Jamais j'aurais pensé que ma belle-fille était comme ça "
" Oui moi aussi je me suis aperçu de ça, donc dit-moi ce qu'ils ont découvert " la patience de Rocio arriver à bout .
" Ma petite-fille s'appelle Anastasia, elle a 19 ans. Elles ont beaucoup voyagées .
Il semblerait qu'elles seraient bien dans le Sud en ce moment, mais on sait pas où exactement."
" Donc ma fille s'appelle Anastasia. L'homme que j'avais interrogé avait dit vrai. On sait qui l'aide ?"
"Non pas pour l'instant, car toutes traces sont bien effacées !
" J'ai des hommes qui sont déjà dans le sud. Mais ce qui m'inquiète le plus ce sont les fils Romonio..."
" QUOI TU VEUX DIRE QU'ILS Y SONT TOUS LES TROIS " crie son père en se lèvant du fauteuil, en claquant ses deux mains sur le bureau, regardant droit dans les yeux de Rocio.
" Oui ,mais on sait pas exactement où . On les trouvera "
" Il faudrait mieux car je veux faire connaissance de ma petite-fille , il est hors de question qu'ils la touchent .
Tu sais comment est Jul...."
" OUI JE SAIS COMMENT ET JULIAN ET MOI AUSSI JE VEUX LA CONNAÎTRE C'EST MA FILLE. MARIA ME L'A ENLEVÉE PERSONNE D'AUTRES ME L'ENLEVERA" hurle Rocio contre son père
" ÉCOUTE-MOI BIEN ROCIO SI JAMAIS IL LUI ARRIVE QUOIQUE CE SOIT TU LE PAIERAS DE TA VIE AINSI QUE TOUT LES AUTRES CAPICHE " éclata son père
" TU ME MENACES PÈRE FAITE ATTENTION À CE QUE VOUS DITES, JE FERAI TOUT POUR SAUVER ANASTASIA ET MARIA " fulmine Rocio
" TU SAIS QUE MARIA DEVRA EN SUBIR LES CONSÉQUENCES DE CE QU'ELLE A FAIT " menace son père
" JE SAIS..... elle aura ce qu'elle mérite, je m'en changerai moi-même père "
" IL FAUT MIEUX POUR TOI." Avertit son père
Rocio savait que si il ne le fessait pas son père s'en chargerait.
Et les femmes Archossion doivent obéir à leur mari sans exception.
Dans la Mafia, la femme doit faire ce que son mari lui dit et ordonne sinon elle en subit les conséquences.
Les conséquences se sont être battues, mutilées ou la mort .
Sa fille ne connaissait pas les règles de la Mafia ayant vécue sans toutes ses règles , comment va-t-elle les accepter quand il l'aura retrouvé.
Rocio fixa son père qui s'était rassis, il voyait qu'il bouillonnait en lui .
Son père n'a jamais été une personne très patiente avec n'importe qui , enfant il a subit la colère et la violence de son père, sa mère ne pouvait pas s'interposer sinon elle endurait la colère de son père.
Il se rappelle quand il avait 10 ans , son père lui ordonna t'exécuter un traite en lui mettant une balle dans la tête, il ne voulait pas , sa mère sait interposée en lui expliquant qu'il était trop jeune, que c'était qu'un enfant.
Son père s'importa et pointa son arme sur la tempe de sa mère, en lui disant de choisir soit de tuer le traite ou lui il logeait une balle dans la tête de sa mère, s'il en arrivait là ,ça aurait été de sa faute à lui si sa mère sera morte .
Ne voulant pas en arriver à cette extrémiste , il avait appuyé sur la détende en logant une balle dans la tête de l'homme, pour sauver la vie de sa mère.
Le souci ça n'avait pas suffit à son père, devant lui il avait frappé sa mère jusqu'à qu'elle perde connaissance, il n'avait pas réussi à la protéger.
Il lui a inculté que la femme doit tenir sa place , s'occuper de faire tourner la maison , de son mari ,l'éducation du garçon jusqu'à 10 ans après c'était au père de faire l'éducation de son fils, et la fille la mère lui apprenait les règles et sa place , aussi la préparer au mariage à ses 18 ans pour lier les familles entre elle.
Sa mère était passée par là , entre ses parents il n'y avait aucun sentiment, quand il est né , ils ont fait chambre à part, son père a eu de nombreuses maîtresses, sa mère ne pouvait rien dire, elle subissait l'humiliation.
Autant que lui , il a aimé Maria dès qu'il l'a vu , malgré le mariage arrangé, il n'avait jamais lèvé la main sur elle, il l'a respecté, aucune maîtresse.
Il ne savait pas pourquoi elle s'était enfuie du jour au lendemain.
Il lui posera la question quand il les aura retrouvé.
Mais depuis 20 ans ,elle s'était cachée, donc il n'aura pas d'autre choix que te lui faire comprendre sa place .
C'est vrai que pendant tout ce temps il a eu énormément de maîtresses.
" Rocio tu m'écoutes bon sang " Dit son père en tapant sur le bureau.
Ce qui fait sortir Rocio de ses pensées.
" Tu disais quoi ?"
" Faut que je rejoigne ta mère. Mais avant est-ce que tu as fait le nécessaire pour la livraison des armes pour les russes. "
" Le rendez-vous à lieu ce soir. Mais je prends mes précautions car j'ai pas confiance à Roumaof. "
" Soit très prudent, prends avec toi assez d'hommes car il est très sournois.
Et je vois avec mes contacts pour Maria et Anastasia s'ils ont d'autres renseignements, et je te tiens au courant " lui dit-il en se lèvant et se dirigeant vers la porte.
" Oui père. Passer le bonjour à ma mère "
" Ça saura fait " sur ses mots il sort du bureau sans jeter un regard à Rocio.
Rocio se pinça l'arrête de son nez , cette conversation l'avait irrité au plus au point .
Il soupira , décida d'aller dans le salon se servir un verre d'alcool.
Il ouvrit son bar , et se servit un whisky.
" Patron, on doit aller à l'entrepôt "
" Oui allons-y " il avala d'un trait son verre.
Et sortit de sa villa pour aller à l'entrepôt.
********
Julian, Yann et Yoan étaient dans le bureau de leur boîte de nuit, Yoan regardait par la vitre teintée qui surplomber la piste de danse, le bar ,de se faites ils pouvaient surveiller tout ce qui se passer , qui venez dans leur boîte, de surveiller leurs employés, même s'ils avaient installés dans toute la boîte des caméras.
À part , au sous-sol où était des salles privées VIP , pour des gens aisés qui voulaient laisser assouvri leurs désirs et plaisirs les plus pervers et la luxure, cachés à la vue de toutes personnes.
Mais ce privilège avait un prix .
Le personnel de la boîte de nuit n'était pas le même que celui des salles VIP , ils ne se croisaient jamais car il y avait deux entrées différentes, sauf s'ils étaient en boîte, et voulaient changer de décor, il le signalait au barman, et celui-ci prévenez le bras droit de Julian qui n'est autre Anthony, il fessait le nécessaire pour emmener les personnes dans les salles en le demandant ce qu'il voulait comme plaisirs et leurs exigences.
Tout ce qu'il voulait, il l'avait sans soucis.
Leur boîte de nuit était très chic , moderne, les murs peints dans les tons noir et blanc, le mobilier était tout blanc, le bar couleur noir avec sur le mur en miroir qui reflétait les bouteilles et les verres, le mur en face du bar était un énorme miroir qui fessait la totalité du mur , l'estrade du DJ se trouvait sous le bureau de Julian.
Ça permettait à Yoan d'avoir un œil sur Amy, quand elle travaillait.
Surveiller qu'elle ne se fasse pas harceler par les clients , car les serveuses portaient une mini jupe en cuir mi-cuisse , un crop top noir qui révéler leur ventre , avec des escarpins noirs avec des talons de 10cm .
Ça attirer énormément la clientèle masculine, c'était bon pour les affaires.
La boîte se remplissait d'heures en heures, il pouvait accueillir jusqu'à 2000 personnes, et 1000 dans les salles VIP .
Yoan vit Amy au bar , il plissa les yeux, appuya sa main droite contre la vitre , ce qu'il était entrain de voir ne lui plaisait pas du tout, serra sa main gauche en poing.
Julian s'aperçut le changement de position de Yoan, il se lèva, se dirigea vers lui , regarda dans la même direction, et il vit Amy et un peu plus loin Ana, ce qu'il vit ne lui à pas plu, ça l'énerver de voir trois hommes autour d'Ana, un autre vers Amy qui lui mit la main aux fesses. Un attrapa Ana par la taille et la tira sur ses genoux, il voyait qu'elle essayait de se sortir des bras de l'homme.
En voyant ça, Julian mit la main sur l'épaule de Yoan et lui fit signe de le suivre, ils sortirent tout les trois du bureau.
Mais pourquoi il fallait que ça tombe sur moi ce soir ,d'avoir trois cons autour de moi, ils insistaient pour que je boives un verre ,alors que je ne bois jamais, en plus je détestais ses tenues qu'il fallait porter, j'avais l'impression d'être une pute .
Je voyais Amy avec un type qui n'arrêter pas de la faire chier, il lui a mis la main aux fesses.
D'un coup un des types m'attrappa pas la taille et me tira sur ses genoux, je le repoussais mais sa prise était forte .
Il puait l'alcool à plein nez , il me chuchota à l'oreille
" Alors ma belle tu vas boire un verre .. ensuite on ira dans un coin et tu t'occuperas de moi après mes amis "
" Non merci je ne bois pas, et je ne suis pas une pute " dis-je avec un air dégoûté
" Prends pas cet air dégoûté, me dit-il en me soulevant le menton . Tu vas y prendre plaisir et tu vas en redemander je te le garantis. "
" Lâche-moi sale pervers, repliquais-je en retirant sa main de mon menton. Je t'ai dit que j'étais pas une pute " je commence à me dégager de son emprise ,quand il attrape mon bras droit et me le bloque dans le dos en le relevant de plus en plus ce qui me fait mal, je sers les dents, j'essaie de me dégager, je vais pour lui mettre une gifle un des deux autres types me bloque ma main , je le fusille du regard
" Lâche-moi pauvre type "
" Oh non , on va s'amuser " répondit-il narquoisement
Je me soulève pour lui taper sur le pieds ,quand on bloque mes jambes.
Je me sens impuissante ,tout ce que ma mère m'a apprit s'évanouir je suis bloquée par trois hommes bien baraqués avec une force incroyable, celui qui me tient sur ses genoux passé sa main libre sous mon crop top me touche mes seins , je me débats.
L'autre qui tient mon autre bras passé sa main sous ma jupe , et caresse mon intimité. Non ça peut pas m'arriver , je bouges dans tous les sens, ça les motive plus . Ils me devisagent avec des regards vicieux, satiques , de l'envie .
Ça me dégoûte, il y a personne qui voit ce qui se passe, normal avec le monde qui a comment quelqu'un pourrait voir ce qui se passe il y a que les lumières des spots qui éclairent et bougent .
Celui qui me tient les cuisses, il les caresse et remonte doucement vers mon sexe , l'autre essaie de rentrer un doigt je ne veux pas, qu'il mette un doigt en moi .
J'entends au loin qu'on m'appelle, malgré le bruit de la musique, des gens qui parlent , rigolent ou chantent ,je sais que c'est Amy, elle est aussi dans un salle pétrin avec le type qui la touche aussi. Je ne peux pas l'aider et elle non plus ne peut m'aider.
Je sais me battre, mais là je suis bloquée, je ne peux rien faire.
Ça fait qu'une semaine que je travailles ici , faut qu'il m'arrive ça à moi .
" Oh comme tu es si mouillée" me susurre celui de gauche dans l'oreille en me la lèchant .
J'ai des hauts le cœur, qu'ils en finissent mais je jures que je me vengerai .
" arrêter s'il vous plaît " supplie-je
Ça leurs fait rien ils continuent, ça m'empêche pas de bouger pour essayer de me sortir de leurs mains .
Quand je sens que l'homme à ma gauche lâche prise, celui en face de moi tombe en arrière en ayant prit en coup de pieds dans le ventre , il se plie en deux .
Je tourne ma tête pour voir Julian en colère, son regard se pose sur moi, je suis heureuse de le voir , des larmes coulent sur mes joues . Il me tire vers lui et me serre dans ses bras . Il me détaille, son regard retourne vers celui qui me tenait sur ses genoux, il fixe Julian avec un sourire en coin
" Écoute mon gars , cette pute et avec nous ,on s'occupe d'elle. Tu l'auras après avec tes potes "
" Tu viens de dire quoi là " crie Julian.
Il me pousse doucement de lui , je me retrouve dans les bras de Yann, je vois Yoan qui a Amy dans ses bras et la console, quatres videurs tiennent les deux types qui étaient sur moi , un autre videurs tient celui qui était sur Amy. Mon regard se repose sur Julian, il a serré les poings, le type se lève.
Julian lui envoie un coup de poing dans la mâchoire, il tombe par terre.
Julian s'avance vers lui ,le soulève en le regardant droit dans les yeux .
Tout sait arrêté dans la boîte, c'est des chuchotements un peu de partout.
" CE QUE TES COPAINS ET TOI VOUS AVEZ FAITS ET INADMISSIBLE, LES FILLES QUI TRAVAILLENT ICI POUR MOI NE SONT PAS DES PUTES " hurle-t-il
" Si ce sont pas des putes pourquoi elles sont habillées comme ça " rétorque le type en nous montrant avec un air dédaigneux
" C'est leur tenue de travail ABRUTI. " Julian le secoue et lui envoie un autre coup poing dans le visage, et le jete au sol.
" Emmenez-les " Ordonna Julian aux videurs.
Le type passe à côté de moi, au lieu de la fermer me dit
" On finira ce qu'on a commencé la prochaine fois poupée "
Une rage monte en moi , je lui envoie un coup de poing dans le nez ,et un coup de pied dans les couilles, il se plie en deux en m'insultant
" Sale pute , je vais te baiser jusqu'à ce que tu me supplie salope"
Vlan un coup de poing dans la mâchoire, c'est Yann qui vient de lui envoyer.
Je vois Julian parler avec un des videurs.
Ils sortent avec les quatres types.
Julian s'approche doucement de moi , je vois qu'il est encore en colère, son pouce essuie une larme qui coule sur ma joue, son contact est doux , je sens comme de l'électricité qui passe entre nous. Il m'a tire dans ses bras , je m'y attends pas je rentre directement en contact avec son torse musclés .
Il se tourne vers la foule
" ÉCOUTE-MOI TOUS CAR JE LE DIRAIS QU'UNE SEULE FOIS ET JE LE REDIRAI PAS . LES FILLES QUI TRAVAILLENT ICI SONT DES SERVEUSES ET NON DES PUTES. DONC SI VOUS VOULEZ DES PUTES ALLER VOUS EN PAYER. VOUS LEURS DEVEZ LE RESPECT, CE QU'ELLE PORTE C'EST POUR LEUR BOULOT. QUE JE NE REVOIS JAMAIS CE QUI VIENT DE SE PASSER CE SOIR SE REPRODUIRE. SINON VOUS AUREZ À FAIRE À MOI ET MES FRÈRES. CAPICHE " explique-t-il en hurlant pour que tout le monde entendent.
Tout le monde disent oui , ou font signe de la tête.
Yann fait signe au DJ de remettre la musique.
Je suis encore choquée.
" Mer...merci Julian....je ne sais pas ce que j'aurai ....de.." Begaie-je
" Chut Ana , ça va aller . Je te protége t'inquiète pas. Aller vient suit moi " chuchote-t-il dans mon oreille en me frottant le dos .
Et je l'entends dire quelque chose à Yann en Italien mais que des briques de leur conversation
"Yann porta i suoi figli di ...... dove sai che ci prenderemo ..... di loro ....
( Yann emmène ses enfoirés où......on s'occupera.....plus......)"
"non preoccuparti Julian, sto avvertendo Anthony
( Pas de soucis Julian, j'avertis Anthony )"acquisa Yann
Sur ce mots , Julian met un bras autour de ma taille, je le laisse faire et le suivit ,ainsi que Yoan, Amy et Yann qui était au téléphone avec quelqu'un.
Amy était autant traumatisée que moi , Yoan la serrait très près de lui .
On monta à l'étage, et rentra dans un grand bureau, avec une grande vitre teintée, tout les meubles étaient magnifiques et d'un chic .
Julian m'emmèna sur le canapé, mit une petite couverture sur mes épaules,
Il me dévisagea son regard plongea dans le mien, j'avais du mal à d'écrire ce que je déchiffrais , de la colère qui passa à la douceur et revenait à la colère, j'étais perdue.
Avec tout ce qui venait d'arriver j'avais qu'une envie c'était de rentrer chez moi près de ma mère, de prendre une douche pour enlever toutes ses sensations de mains sur moi qui me tripoter , de me mettre dans mon lit en m'engouffrant sous ma couette et de dormir.
Les larmes se remirent à couler de plus belle, j'éclatais en sanglots, je serrais mes bras contre moi et me mit à me balancer .
Julian s'assit à côté de moi, me rapprocha de lui tout en me serrant dans ses bras.
" Chut Chut Chut ça va aller, personne ne te touchera plus. Je suis désolé, tu n'aurai jamais dû subir une chose pareille. Chut Chut ça aurait jamais dû arriver dans ma boîte . Cuore mio, scusa cara (mon cœur désolé ma chérie )" murmura Julian dans mon oreille.
Julian n'était pas une personne à s'excuser, mais avec Ana ses barrières tombaient. La minute où il l'avait vu sur la plage, il a été attiré par elle, tout son être voulait la posséder, voulait la faire sienne et la protéger.
Jamais il n'avait agit comme ça envers ses maîtresses.
Pour Ana, il ferait tout. Il pensait qu'à une seule chose faire payer ses hommes qui avaient posés leurs mains sur ce qui lui appartenait.
Oui , Ana lui appartenait, elle ne le savait pas encore, mais elle le saura .
Julian regarda ses frères , Amy qui pleurait dans les bras de Yoan.
Il ne pouvait pas laisser une telle chose passer , il devait donner l'exemple ,il allait les faire payer .
" Yann, dobbiamo andare, dobbiamo prenderci cura dei suoi stronzi, avverte Anthony. chiedigli di mandarti due ragazzi davanti alla porta del mio ufficio ( Yann ,on va devoir y aller, on doit s'occuper de ses connards , previent Anthony.
demande lui t'envoyer deux gars devant la porte de mon bureau ) " Ordonna Julian
"Ok, le ragazze li hanno lasciati qui. mentre facciamo la nostra piccola cosa
( Ok , les filles ont les laisser ici .
le temps qu'on fasse notre petite affaire )" acquiesce Yann .
Je me calmais doucement, de pleurer m'avait épuisée.
Julian lèva mon visage vers le sien , j'adorais son regard vert posé sur moi .
Je ne sais pas pourquoi, je me sentais bien dans ses bras et en confiance.
Mais en même temps comme une merde , de pleurer comme une fiotte , de ne pas avoir réagi et mettre défendue, ma mère m'avait appris à me battre ,mais jamais contre trois adversaires.
" Ana, écoute- moi "
Je regarde Julian, mais je le vois flou derrière mes yeux pleins de larmes.
" Ana Ana écoute ma voix Ana "
" Humhum " dis-je simplement
" Ana, tu vas rester ici avec Amy . Nous avons une affaire à régler et nous revenons . Tu risques rien ici , il y aura deux gardes devant la porte d'accord ."
" Tu .... vous al..allez où " je murmure doucement ma voix est rauque
" Nous devons juste régler une affaire.
Viens avec moi , il y a trois chambres, tu vas aller dans la mienne te reposer le temps que je ne suis pas là " me Dit-il en m'aidant à me lèver.
" Mais....Amy ...."
" T'inquiète pas pour elle, Yoan va l'emmener dans sa chambre qui est juste là. Ça va aller "
Je regardes vers Amy , elle me fait un sourire et fait un signe de tête de suivre Julian.
Julian ouvre une porte , me fait rentrer dans une magnifique chambre, un grand Lit rond simili cuir noir avec LED au milieu de la pièce, un mur en verre sépare avec la salle de bain.
Il m'emmène vers le lit , je m'assois.
" Ana , si tu veux prendre une douche te gêne pas, dans le placard il y a des vêtements à moi , tu te sers . Et repose-toi ensuite. Je reviens très vite "
" Ok " dis-je juste
Il me remet une mèche de mes cheveux derrière mon oreille, me caresse ma joue , son pouce effleure ma lèvre inférieure. Son toucher me fait frissonner. Il s'approche doucement de mes lèvres et dépose un léger baiser sur mes lèvres.
Ses lèvres sont douces sur les miennes, je sens comme de l'électricité passer entre nous , des frissons le long de mon dos.
Que m'arrive-t-il ?
Pourquoi je ressens ça ?
Pourquoi je ne le repousses pas?
C'est quoi ses sensations ?
Il recule et sourit.
" Je dois y aller maintenant. Je reviens vite "
Sur ses mots, il sort de la chambre en fermant la porte derrière lui.
Je me sens bizarre quand il n'ait plus là,pourquoi je suis comme ça.
Il a su m'apaiser, que normalement c'est ma mère qui le fait . Je rentrais plus tard , pour l'instant je décide de prendre une douche, je fais couler l'eau chaude sur mon corps, je frotte tout mon corps ou ils ont posés leurs mains.
Je m'essuie le corps, je vois que j'ai trop frottée à des endroits c'est rouge vive .
J'ouvre le placard de Julian, il n'y a que des costumes et des chemises.
Donc autant prendre une chemise, je la choisi blanche, elle m'arrive mi-cuisse, la boutonne, laisse les 4 premiers boutons ouverts, je vois des boxers comment dire je vais nager dedans, ben je fais faire l'impasse dessus, je vais me coucher m'enveloppe dans les draps qui sont très doux sur ma peau.
Je m'endors sans m'en rendre compte.