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: 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐢𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐬𝐜𝐞𝐧𝐞𝐬 🔞🔞
𝐏𝐚𝐫 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐞𝐪𝐮𝐞𝐧𝐭 𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐧' 𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐟𝐚𝐢𝐭𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐦𝐞𝐬 𝐬𝐞𝐧𝐬𝐢𝐛𝐥𝐞𝐬 𝐦𝐞𝐫𝐜𝐢 𝐝𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐫𝐞𝐧𝐝𝐫𝐞 )
𝐁𝐨𝐧𝐧𝐞 𝐥𝐞𝐜𝐭𝐮𝐫𝐞 ʕ•ᴥ•ʔ
Quinze minutes plus tard, elle roulait derrière lui, confiante et impatiente d'être chez lui. Elle ne savait pas ce qui l'attendait, mais tant qu'il était là, elle se sentait bien. De même elle ne savais pas réellement ce qu'elle voulait de lui , de l'amour ? De l'amitié ? Du sexe ? Peut importe , l'essentiel était qu'elle se sente bien à ses côtés , qu'elle parvienne à guérir des blessures que lui avait infligé Jonathan.
Au bout d'un moment, elle le vit ralentir et comprit qu'ils y étaient presque.
Killian s'arrêta enfin devant une modeste villa qui n'avait rien à voir avec le château dans lequel elle vivait avec Jonathan, ouvrit le portail, gara sa moto et l'invita à faire de même avec sa voiture.
Ils entrèrent, et Killian l'invita à s'installer.
- Bienvenue chez moi, kielle. Installe-toi.
Il lui indiqua un canapé, très confortable . kielle remarqua qu'il avait bon goût en matière de décoration , tout était très bien entreposé, des canapé jusqu'à la table à manger , elle fut encore plus ravie .
Il était clair que Killian ne vivait pas dans le même luxe qu'elle, mais ici, elle se sentait instinctivement en paix.
Comme quoi, l'argent ne fait pas tout.
- Je te sers quelque chose à boire, kielle ?
- Oui, je veux bien. Qu'as-tu ?
- J'ai un peu de punch planteur que je prépare moi-même et quelques rhums arrangés, si ça te tente.
- Ah oui ? Tu les fais toi-même ?
- Oui. Au moins, je sais ce que je bois et je peux ajuster le goût comme je veux.
- Alors, je veux bien goûter à tout ce que tu as à m'offrir.
En se dirigeant vers la cuisine, il s'arrêta et marqua un arrêt pour l'observer. Il était bien conscient des sous-entendus que pouvait contenir cette phrase.
Killian se contenta de sourire avant de disparaître.
Kielle profita de son absence pour scruter son intérieur, cherchant à en apprendre plus sur lui. Était-il marié ? Avait-il des enfants ? Apparemment non, ou bien il avait fait le choix délibéré de ne pas afficher leur présence. Ce qui la surprit, c'était la quantité de livres. Sa bibliothèque était immense. Voilà donc d'où lui venait sa grande intelligence, pensa-t-elle.
Au bout de quelques minutes, il vint avec des bouteilles de spiritueux et trois verres. Il s'installa non pas à côté d'elle sur le canapé, mais en face, sur un fauteuil. Quelle déception... Elle s'était assise exprès dans le grand canapé pour espérer qu'il la rejoigne.
- Goûte-moi ça.
Il versa dans son verre un mélange dans lequel flottaient des morceaux de fruits de la passion, du gingembre, du piment rouge et des clous de girofle, et se servit aussi.
- Ça a l'air bon tout ça.
- Goûte avant de dire ça. J'expérimente beaucoup de mélanges, et celui-ci est un de mes préférés.
Il prit une gorgée et ferma les yeux pour savourer chaque goutte.
Elle l'imita.
C'était délicieux. Fort, mais délicieux.
- Ah, j'adore ! C'est exquis.
- N'est-ce pas ? Merci.
Elle vidait son verre lorsqu'il l'interrompit :
- Doucement, jeune dame. Ce n'est pas de l'eau. Vous avez un volant à prendre.
C'est alors que kielle se rappela qu'elle n'était pas chez elle, même si elle s'y sentait divinement bien. Et surtout, qu'elle était chez un autre homme que Jonathan.
Elle consulta son téléphone pour vérifier si son mari lui avait laissé un message et il y en avait un, en effet.
Jonathan lui annonçait qu'il ne rentrerait pas avant 5h du matin, car la femme d'un de ses amis avait eu une crise et se trouvait aux urgences. Encore un mensonge ridicule. Qu'il en profite... Elle comptait bien faire de même.
- Ressers-moi un verre, s'il te plaît.
- kielle, je ne sais pas si tu tiens bien l'alcool, mais vas-y doucement. Ne te laisse pas berner par son goût sucré, il est très fort.
Elle prit la bouteille et se resservit elle-même.
Killian l'observa.
Il attrapa une télécommande et mit de la musique.
- Ah, j'adore cette chanson ! C'est bien un Francis Cabrel ?
- Exactement.
S'ensuivirent des morceaux de Lauryn Hill, Bob Marley, Loïc Nottet, Frédéric François, Céline Dion...
- Ta sélection musicale est juste parfaite.
- J'en suis ravi. Tu es bien ?
- Je suis aux anges. Merci, Killian.Merci pour ce moment. J'étais tellement tendue avant d'arriver ici.
- Et tout va mieux, maintenant ?
- Tout est parfait.
- Enlève tes escarpins. Je vais t'aider à te détendre. Je reviens.
Elle fut surprise. Enlever ses escarpins, mais pour quoi ?
Il vint avec une bassine d'eau qu'il posa à ses pieds.
- Plonge tes pieds dedans. Tu vas te sentir bien.
Elle s'exécuta.
Il avait raison. Dans cette eau tiède, agrémentée de pétales de rose, de sel et de quelques gouttes d'huiles essentielles, ses pieds, et tout son être, étaient aux anges.
- Hummmmm .
Kielle renversa la tête en arrière et ferma les yeux pour savourer cet instant.
Le stress et toute la frustration qu'elle ressentait s'évaporaient peu à peu.
C'est fou comme il en faut peu pour se sentir bien. Killian avait même baissé le volume de la musique, rendant l'ambiance encore plus douce.
- Ne vous endormez pas, s'il vous plaît.
Kielle sursauta. Elle s'était laissée emporter sans même s'en rendre compte.
- Combien de minutes sont passées, ?
- Trente minutes. Vous avez même ronflé.
Kielle éclata de rire.
- Ce n'est pas vrai, je ne ronfle jamais !
- La prochaine fois, je vous enregistrerai.
Elle rit de plus belle, pas tant pour la phrase de Killian, mais pour une autre raison. Il avait dit : « La prochaine fois. » Cela voulait dire qu'il l'inviterait à nouveau chez lui.
Elle se sentait si bien ici qu'elle aurait pu y rester toute une vie, avec ou sans ses enfants, juste pour la paix qu'il lui procurait.
Killian se leva et vint s'asseoir à côté d'elle. Elle en fut ravie.
Il posa une serviette sur ses cuisses et l'invita à y déposer ses pieds. Puis, après avoir appliqué un baume sur ses mains, il commença à lui masser les pieds, avec douceur. Chaque pression sur ses orteils lui procurait un bien-être intense.
- Hummm... je ne savais pas que vous étiez aussi bon masseur.
- Taisez-vous et détendez-vous.
Il aurait pu répondre : « Je ne sais pas que masser. Je sais faire d'autres choses à la perfection. » Et elle aurait répliqué : « Montrez-moi avec une voix suave...»
Mais Killian restait stoïque, incroyablement respectueux. Il ne cherchait pas à profiter de la situation. Kielle savait pourtant qu'elle était très belle, avec des formes qui attiraient les regards.
Killian était le seul, jusqu'ici, à rester insensible à son charme, et cela énervait presque kielle qu'il soit aussi respectueux.
C'était la première fois qu'elle espérait qu'un homme lui manque de respect, qu'il lui déchire ses vêtements et qu'il lui mo.rde le cou.
Qu'il la jette au sol ou sur un lit et qu'il lui fasse l'am.our comme un sauvage.
- Ça va, kielle ?
Mon Dieu ! Elle avait oublié qu'il avait cette capacité à lire dans ses pensées.
- Oui, ça va divinement bien, Killian.
Il avait terminé son massage.
- Ne remettez vos chaussures que lorsque vous voudrez partir. Laissez vos pieds respirer.
- D'accord.
Elle se servit un autre fond de rhum arrangé et garda ses jambes sur celles de Killian.
- Buvez un verre d'eau.
- Je n'ai pas soif d'eau.
Il l'observa, puis sourit.
- C'était un ordre, jeune dame. Buvez un verre d'eau.
Il avait cette autorité un peu brute qui la rendait folle.
Elle but l'eau et se rapprocha de lui.
- Killian...
- Oui, kielle ?
- J'aime être avec vous. J'aime vos petites attentions. J'aime vos potions magiques. J'aime votre intelligence. J'aime votre personnalité. J'aime votre odeur. J'aime...
Tout en parlant, elle se redressa et se rapprocha tout doucement de lui.
Il la fixait, calme.
Elle était désormais à 50 centimètres de ses lèvres.
Mais il ne bougeait pas. Elle lui fit un baiser dans le cou, puis sur le front et sur la joue.
- Retournez à votre place, kielle.
- Quoi ??? s'offusqua t-elle
- Je dis, retournez à votre place. Ne commencez pas. Vous ne pourriez plus vous arrêter, et je ne veux pas vous embarquer dans ce tourbillon. Vous n'en supporteriez pas les effets.
- Je m'en fiche. Je veux de ce tourbillon.
- Non. Vous ne savez pas ce que vous faites.
- Si. Je ne suis pas une enfant.
- Le monde dans lequel vous voulez plonger est dangereux.
- Je n'ai plus rien à perdre.
- Si.
- Quoi donc ?
- Une vie de famille, un confort, un mari.
- Aujourd'hui, tout ça m'importe peu. Je veux juste être heureuse.
- Je sais. Mais moi, je n'ai rien à vous offrir.
- Si. Vous avez la paix à m'offrir. Et croyez-moi, elle vaut tout l'or du monde.
- Non, kielle. Restez avec votre époux et contentez-vous de cette sécurité sociale.
- Vous le faites exprès ? Je vous dis que je me fiche de toute sécurité financière et sociale. Je veux juste être heu... reu... se !
- Je vous souhaite de l'être.
- C'est tout ?
- C'est tout, kielle
Killian se leva et alla dans sa cuisine un moment.
Elle ne comprenait pas. Pudique comme elle était, elle s'offrait à ce type, et il n'en faisait rien.
Tant pis !
- Vous devriez rentrer chez vous. Il se fait tard et je ne veux pas prendre le risque de vous raccompagner. Ça m'agace, mais c'est pour votre bien.
- Mon mari ne rentre pas avant 5 h du matin, il n'est que 1 h.
- Et alors ?
Elle baissa la tête. Elle sentait des larmes lui monter aux yeux. Était-elle aussi inintéressante ?
Jonathan ne la touchait plus, et cet homme non plus. Peut-être qu'elle était le problème.
- kielle ? Arrêtez. Vous n'êtes pas le problème.
- Arrêtez de lire dans mon esprit !!! Pourquoi me rejetez-vous ?
- Pour vous protéger de moi.
- Je n'ai pas peur de vous.
- Vous ne me connaissez pas. Si on commence, ça va créer trop de problèmes.
- Je m'en fous !
Il l'observait, silencieux.
- kielle... je ne peux pas.
C'en était trop !
Elle se leva, les larmes aux yeux, ramassa son sac et ses clés, puis se dirigea d'un pas rapide vers la porte.
- Attendez !
Elle ne répondit pas. Killian se précipita et la bloqua avant qu'elle ne franchisse la porte d'entrée.
- kielle, calmez-vous.
Il chuchotait presque.
- Mon intention n'était pas de vous agacer. Je voulais juste vous... comment dire ?
Il fit une pause, baissa la tête, puis, sans qu'elle ne s'y attende, Killian la plaqua contre le mur, saisit son cou de sa main droite et prit ses lèvres. Kielle ne réalisait pas ce qui se passait. Elle croyait rêver.
Il l'embrassait comme on ne l'avait jamais embrassée et il savait s'y prendre, tantôt durement, tantôt avec délicatesse, mais toujours avec un goût exquis.
Elle sentait son cœur battre contre sa poitrine.
Elle avait le vertige.
Soudain, il s'arrêta :
- kielle... ne faisons pas ça.
- Si, Killian. Si... n'arrêtez pas, s'il vous plaît.
Comme s'il n'attendait que cette dernière phrase, il la souleva comme une plume et l'allongea sur le moelleux tapis du salon. Jamais Jonathan ne l'avait soulevée ainsi.
Il continua de l'embrasser, puis d'un geste sec, lui déchira le s.tring qu'elle portait.
- Oh...
Elle ne s'y attendait pas, mais elle aimait ça. Il la souleva à nouveau du tapis sans jamais cesser de l'embrasser, se dirigea vers sa cuisine alors qu'elle s'accrochait à son cou et enroulait ses jambes autour de sa taille.
Killian s'y lava les mains et revint avec elle sur le tapis.
Quand il l'allongea à nouveau, sa jupe minie-jupe rouge était montée jusqu'à sa poitrine.
Pendant qu'il maintenait ses lèvres prisonnières, il fit glisser sa main jusqu'entre ses jam.bes qu'il écarta délicatement et... d'une douceur inouïe, il lui introduisit un doi.gt dans sa fente toute hum.ide.
- Oh... Killiaaan..
Killian continua à lui ca.resser le bijou.
Kielle tremblait entre ses mains.
Il avait ce truc sauvage qui déstabilisait complètement.
Même dans sa façon de gérer le corps d'une femme, il restait authentique.
Kielle, curieuse, eut envie de le toucher en retour.
Elle passa sa main sur la jambe de Killian et dès qu'elle arriva sur sa cuisse, elle sentit une énorme bosse dure.
Elle marqua un arrêt.
- Tout va bien ? Lui demanda Enzo. Voulez vous qu'on arrête ?
Pour toute réponse, elle posa sa main sur l'énorme bos.se et la caressa tout doucement.
- Enlève moi ce jean.
Il se mit un peu plus sur le côté pour lui permettre de défaire son jean et de l'enlever.
Quand ce fut fait, elle poussa son boxer vers le bas et commença à le caresser
Elle était juste choquée.
Comment était-ce possible que ceci soit réel ?
Elle détourna la tête de ses b.aisers quelques secondes pour passer sa main sur sa langue afin de les lu.brifier et revint à cette chose qu'elle n'avait jamais cru exister.
Cet homme n'était pas humain.
- Killian... souffla-t-elle.
- Oui, kielle...
Quand de sa main humide, elle saisit l'engin, il émit un soupir.
C'était bon de savoir qu'il aimait ce qu'elle faisait.
Elle continua ses car.esses, de bas vers le haut et tout autour.
Sa main entière ne faisait presque pas le tour du bijou de famille de cet homme
Il était gâté par la nature.
Killian tremblait de désir...
Tantôt elle faisait style de l'introduire en elle, puis le ressortait et recommençait encore.
Quand elle essaya de l'intr.oduir un peu plus profondément, elle poussa un cri.
- Mon Dieu !
Elle eut un gros coup de chaleur.
- Shhhhh... laisse moi faire. Petite curieuse, tu es têtue. Je saurais quand ton corps sera prêt. Laisse moi faire.
- Tu n'es pas humain toi... souffla t'elle en sueur.
Il ne répondit pas.
Au lieu d'un doigt, il passait maintenant à deux, puis...3 doigts...
Kielle se to.rdait de plaisir.
- Oh... Ki... Killian gémit- elle lorsqu'il finit par entrer en elle .
Une partie de jambes en l'air comme elle n'en avais jamais faite au paravent , Killian était un béni des dieux du sexe , pour la première fois depuis longtemps elle avait jouit , mais le seul problème .. c'était dans les bras d'un autre ...
#À_suivre.