Chapitre 3 Chapitre 03 : La banque

Stiles : Et c'est ??

Charlie : Je sais, je sais, c'est un bien grand mots, mais je sais ou je peux le trouver.

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Lydia : D'ailleurs, tes parents ne vont pas t'en vouloir d'être rester toutes la nuit dehors ?

Charlie : Si ils vont me tuer, mais c'était amusant !

Charlie en profita pour quitter son groupe « d'amis » et sortie son téléphone pour prévenir l'assistante de son père, Kali, qu'elle avait passer la soirée dehors et qu'elle s'apprêtait à rentrer. Jusqu'à ce que la sonnerie des cours se mettent à agresser ses oreilles. C'était souvent comme ça avec Scott et sa meute, on ne voyait pas vraiment le temps passer. Charlie n'eu donc d'autre choix que de foncer en cours sans vraiment d'affaires en espérant que ce supplice l'achève assez vite. Une heure plus tard, une fois sa trigonométrie fini, elle se rendit en courant à la bibliothèque ou elle retrouva ses deux frère, qui avaient tout à coup des envie de meurtres.

Ethan : On pourrait savoir, tu étais ou hier ?

Charlie : J'ai rencontré une fille hier qui m'a invité chez elle et puisqu'il était trop tard pour que je rentre seule son père m'a proposé de rester...

Aiden : La prochaine fois préviens. Ton père a failli nous tuer.

Charlie : Promis !

Ethan : Mec, je crois que ta une touche.

Charlie : Une touche ? Mais c'est que votre deuxième jour...

Aiden : Elle ne résiste pas à mon charme.

Ethan : La rousse là-bas.

Charlie : Lydia ?

Aiden : Tu la connais ?

Charlie : J'étais avec elle hier.

Aiden : Vous êtes sur ?

Ethan : Ouais mec, fonce ! Moi je ramène la fêtarde pour qu'elle se douche, ça commence à sentir le fennec !

Charlie : Bah ça fait plaisir...

Ethan ramena sa sœur, tandis que Aiden avait une affaire plus urgente à gérer. Une fois chez elle, Charlie fonça dans la douche, pour que 10 minute plus tard, elle sois déjà en train de fouiller dans les affaires de son père, les cheveux encore humide. Mais elle voulait aider Lydia et Allison, non seulement pour remercier Allison de l'avoir aider, mais aussi parce que ces deux filles étaient de potentiels futur amie et en tant que nouvelle dans cette ville, elle ne pouvait pas passer à côté.

Deucalion : Tiens, une revenante.

Charlie : Je suis désolé, mais j'ai dormis chez une amie et j'ai juste oublier de te prévenir...

Deucalion : Une amie, déjà ?

Charlie : Oui, parfois quand on parle à d'autre personnes, on peut devenir ami, tu ne connais pas ? .

Deucalion : Je suis simplement surpris que toi Charlie, celle qui n'avait pas d'amis dans ton ancien lycée, soit tout a coup très sociable.

Charlie : J'avais des amis !

Deucalion : Tous était stupide. La prochaine fois que tu passe la soirée chez une de tes amies, tu m'appelle avant, d'accord ?

Charlie : Promis.

Deucalion partit aussi discrètement qu'il était arrivé et Charlie put reprendre son souffle et continuer sa recherche. Elle n'avait pas vraiment l'habitude de faire ce genre de choses dans le dos de son père. Heureusement pour elle, elle trouva rapidement l'objet de sa convoitise. Elle repris vite ses affaires de cours en plus d'y ranger sa trouvaille et sortit prendre le premier bus, direction le lycée. Elle arriva en courant au près des filles, telle une folles, heureuse de pouvoir aider ses nouvelles amies.

Charlie : C'est bon, je sais ce que c'est !

Lydia : Nous aussi, t'es un peu en retard.

Charlie : Ah...

Allison : C'est le logo d'une ancienne banque.

Lydia : Maintenant il nous faut les plans... Stiles et Scott n'ont rien trouvé...

Charlie : J'ai les plans si vous voulez !!

Allison : Quoi ? Comment ?

Charlie : Mon père travaille sur le site de cette banque et il à tous les plans, celle-ci à fermer d'ailleurs parce qu'il y a eu un braquage une fois, un braquage assez tordu d'ailleurs...

Lydia : On en a peut-être pas encore fini avec toi.

Charlie : Mais avant de vous aider. Je veux savoir pourquoi vous avez besoin de ses plans. Qui est ce type qu'on à rencontrer hier au lycée et pourquoi une femme qui vous agresse et vous laisse une marque, ça ne vous fait pas plus peur que ça ?

Allison : C'est une longue histoire.

Charlie : Ca tombe bien j'ai tous mon temps.

Allison : Ok.

Lydia : Attend, tu vas tous lui dire. Genre tous ??

Allison : J'en sais rien, peut-être. Bon, tu devrais y aller. Charlie suis moi, je vais t'expliquer...

Allison sentait qu'elle pouvait avoir confiance en Charlie, même si elle venait de rencontrer celle-ci, elle lui avait l'air sincère et c'était le cas. Elle emmena Charlie à la bibliothèque de façon à parler sans oreilles baladeuse et réfléchis un instant à ce qu'elle allait lui raconter, si elle devait tous lui dire, ou si elle devait inventer une histoire qui la tiendrait éloigné de toutes cette folie.

Allison : Avant, je voulais savoir. Tu crois au surnaturel ?

Charlie : J'en sais rien, on ma jamais posé la question.

Allison : Non, oublie. En faite, j'ai des amis qui coincé dans cette banque et j'ai besoin de tes plans pour aller les sauver.

Charlie : Coincé au point d'avoir besoin de plan ?

Allison : Il faut que je sois sur que tu m'aide avant de tous t'expliquer.

Charlie : Mais tu compte faire quoi, y aller pour les retrouver ? Je viens avec toi.

Allison : Non, c'est trop dangereux.

Charlie : Ah ah ! C'est qu'il y a une menace en faite, raisons de plus. Je viens avec les plans ou c'est rien.

Allison : Je vais m'en vouloir de dire ça, mais c'est d'accord.

Les filles retournèrent en cours comme si de rien était, en attendant patiemment que la journée se termine. Une fois la dernière sonnerie retentit dans les couloirs, Charlie envoya rapidement un message à son père pour prévenir qu'elle restait chez une amie. Avant de rejoindre Allison dans la voiture. Le temps qu'Allison conduise jusqu'à la banque qui se trouvait à la sortie de la ville, la nuit était tombé, pendant ce temps Charlie avait étudié du mieux qu'elle pouvait le plan de la banque, sans trop savoir ce qu'elle devait chercher, puisqu'Allison ne lui avait toujours rien dit.

            
            

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