Elle s'appelait Charlie Simons. Une gentille adolescente, très intelligente. Elle avait une vie tranquille, voir envieuse des autres et ce, malgré l'absence de sa mère. Elle venait tous juste de déménager dans une toutes nouvelle ville, plus petite que l'ancienne, mais avec un certain charme, Beacon Hills. C'est donc dans un tous nouveau lycée, qu'aller commencer son histoire, plus que folle, en même temps quand on connait Beacon Hills, on ne pouvait que s'y attendre.
En faite, c'est comme si Charlie, cette petite surdoué ayant sauté une classe au collège, avait était attiré par cette ville, elle et son père...
??? : Charlie, tu es debout ??
Charlie : Oui, mais je vais pas tarder a y aller. Ca va aller ??
??? : Mais oui t'en fais pas. Mais tu m'accompagne toujours a l'hôpital après les cours ?
Charlie : Comme d'habitude.
La petite brune se faisait un passage entre les cartons qui joncher le sol de toutes les pièces, pour sortir de sa nouvelle maison, afin de se rendre dans son nouveau lycée, qui n'était qu'à quelques patté de maison. Et qui semblait vraiment sans dessus, dessous vu de l'extérieur. Elle prit alors son courage à deux mains et traversa le parking de l'établissement pour se rendre dans celui-ci, quand elle trouva deux moto identique garé devant les portes, deux moto, qu'elle connaissait assez bien.
Charlie : Je vous ai pas vu partir ce matin !
??? : On voulais arriver tôt pour faire l'état des lieux.
Charlie : Ouais, pour que je sois la seule paumé, c'est gentil.
??? : C'était l'idée d'Aiden !
Charlie : Ethan... T'aurais pas eu beaucoup de voisin en 45...
Ethan : Mais je suis pas en 1945 ??
Charlie : Laisse tomber, j'essayais de faire de l'humour...
Aiden : Toi et tes blagues d'intello !
Charlie : C'est juste que votre cerveau n'est pas assez développé pour comprendre mon humour.
Ethan : On te ramène après ?
Charlie : Se serait la moindre des choses.
L'absence d'une figure maternelle pour Charlie, n'avait jamais était un problème, elle avait toujours comblé ce manque avec les amis de son père, qu'elle considérer comme sa famille, parmi eux, deux jumeau, Ethan et Aiden, que Deucalion avait recueilli il y a seulement quelques années. Pour Charlie ces deux là étaient ses grandes frères, quand son père s'absenter, c'est à eux qu'était confié la tâche de baby-sitter. Enfin, ça c'était avant qu'ils ne grandisse tous les trois et prenne des chemins différent, Charlie voulant se concentrer sur ses études et ses deux frères se faisant embauché dans l'entreprises de son père.
D'ou la venu de la petite famille Simons, il se trouve que le père de Charlie, qui était un grand architecte avait était appelé à Beacon Hills pour réhabiliter une banque, Charlie sans se mentir, ne s'intéressait pas trop au travail de son père, mais vu les dizaines de cartes qu'il avait sur cette fameuse banque, ça ne pouvait être que ça.
Arrivé dans la classe, Charlie s'installa dans une ranger encore vide, alors qu'au fur et à mesure, la classe se remplissait. Tous le monde commençait à sortir leurs affaires, quand une symphonie de sonnerie de portable, réveilla la classe déjà endormie.
??? : L'horizon était barré par un banc de nuages noir. Et cette eau, qui comme un chemin tranquille mène au confins de la terre, coulait sombre sous un ciel chargé semblait mené vers le cœur même d'infini ténèbres.
Nous regardions tous nos portable, puis la femme qui venait de rentrer en lisant ce message qui était apparue sur nos portable.
??? : Ceci est la dernière phrase du livre que nous allons étudier. Et ceci est le dernier message que vous recevrez dans mon cours. Éteignez vos téléphone maintenant !
Les élèves obéirent à leurs professeurs, puis le cours commença. Cours qui fut très calme, ayant pour seul travail de faire un commentaire sur l'extrait du livre que leurs professeur, Madame Blake, leurs avaient récité en entrant dans la classe. Jusqu'à ce qu'un homme, le directeur entre dans la salle de cours pour appeler l'un des élèves présents.
Professeur : Oui... Mr Scott Mccall ?? Venez s'il vous plaît.
L'élève en question réunissait ses affaires et partie de la classe avec le professeur. Charlie se reconcentra sur son travail, quand un crayon de papier lui tomba sur la tête avant de se réceptionner sur sa table. Elle attrapa le crayon et se retourna vers l'idiot qui venait de la ciblé, tandis que lui était surtout intéressé par le travail de la nouvelle.
??? : Oups... Wahou !! Ta écrit tous ça en a peine 10 minute ??
??? : Stiles, laisse la tranquille !
Stiles : Au fait Lydia, ta quoi a la cheville ? C'est a cause de l'accident ?
Lydia : Non ça n'a rien avoir. Mon chien ma mordu.
Stiles : Ton chien ?
Lydia : A ton avis ? Oui, mon chien...
Stiles : Il a déjà fait ça avant ?
Charlie : Pas que votre conversation n'est pas passionnante, mais le reste de la classe aimerait travaillé, en silence.
Lydia : Ta entendu.
Charlie lança le crayon de ce Stiles sur table et voulu se reconcentrer sur son travail, quand un oiseau aussi noir que la nuit, vint s'écraser sur la vitre à côté des élèves. Laissant derrière lui, une tâche de sang qui montrait que ce choc lui avait était fatale. Mais il n'était pas seul apparemment, puisqu'un essaim noir se mit tour à tour à s'écraser contre les fenêtre, comme un suicide collectif. Ce n'est que lorsque que l'une des fenêtre se brisa que la professeur cria au élèves de se cacher sous les tables. Les vitres qui restaient commencer à être teinté de rouge, les élèves se faisait griffé à coup de bec et les cris des oiseaux mêlé aux élèves étaient un supplice pour certains.
Charlie se protégea difficilement en plaçant son sac devant elle, quand une fille lui attrapa le bras et l'attira vers elle, avant de pousser sa table, de façon à ce qu'elle tombe et que les deux filles, puissent se cacher derrière. L'attaque d'oiseau, si on peut appeler ça comme ça, n'avait duré que 5 minute. Une fois la classe de nouveau dans le silence, tous le monde en profita pour sortir de sa cachette et découvrir avec effroi, le sol joncher de cadavres d'oiseau.
Charlie : Merci...
??? : Ca va ??
Charlie : Euh... Je crois...
Lydia : Allison, ça va ?
Allison : Oui, plus de peur que de mal.
Professeur : Tous le monde va bien ??
La professeure avait appelé la police et les urgences suite à ça, plusieurs élèves s'étant fait blessé par cette folie. Charlie était installé sur un brancard, pendant qu'une infirmière lui recousait l'arrête du nez, quand ses deux frères, entrèrent en panique dans la salle, surprotecteur ? Juste un peu.
Ethan : Ca va rien de cassé ??
Charlie : Non, je vais bien. Juste quelque égratignure.
Aiden : Deucalion pouvait pas faire une fille normale ?
Ethan : Aiden...
Aiden : C'est vrai !
Charlie : C'est pas que je suis anormale, c'est que je porte malheur ! Mais une fille m'a protégé, vous en faite pas, au passage...
Charlie chercha sa sauveuse du regard, cette Allison, et tomba sur elle dans le fond de la classe, elle était avec la rousse qui s'était fait mordre par son chien Lydia. Charlie voulu remercier Allison, mais celle-ci fixer la nouvelle d'un air dangereux, enfin pas elle, mais ses frère si. Charlie détourna le regard vers les concernés qui étaient eux aussi en train d'assassiner les deux fille du regard.