J'ai passer ces deux dernier mois au près de Meryem, avant tout pour nos enfants et aussi parce que je me
sentait un peu redevable. Elle a mener cette grossesse seule sans avoir quelqu'un pour l'aider avec les complications qu'elle a rencontré, même si sa sœur lui apportait du soutiens. Tout ça pour dire que j'ai un peu délaisser Louisa, elle m'a pardonner le fait d'avoir été infidèle et c'est même elle qui m'a demandé de faire les choses bien et d'assumer les bébés. Cette fille c'est une vrai perle.
- Si tu savais a quel point c'était éprouvant, j'ai opéré deux chiens aujourd'hui. m'explique t-elle, ce stage est à la fois gratifiant et éprouvant.
- Mais t'es là meilleur donc tu va gérer, je la rassure en déposant de baiser dans son cou.
Elle se contente de soupirer avant de se mettre d'un cou à califourchon sur moi. Son regard dans le mien nos lèvres entre rapidement en contacts et je ne peux m'empêcher de faire descendre la fermeture de sa robe tout doucement. Je crois bien que ça va faire trois semaines que je n'ai pas toucher ma femme et c'est exactement ce dont-il me faut c'est juste elle, son corps, son...
Des pleures émit par le babyphone nous coupe dans le feu de l'action lui provoquant un léger grognements. J'aurais du accepter quand ma mère a proposé de les garder.
- Je vais voir reste là, assure ma p'tite blonde.
Elle est vraiment parfaite, j'ai été con de l'avoir trompé. Mais c'est pas grave, elle deviendra madame Mbappé cet été. Et j'aurais mes petits monstres avec moi, même si j'aurais voulu avoir des petits monstres avec elle.
Je me lève quand même et vais quand mêmes voir mes enfants. Louisa m'a aidé a emménager une p'tite chambre ici pour eux. Il passeront le plus clair du temps avec Meryem, mais il est clair qu'avant de partir je voulais un peu rester avec eux. Mais il ne font pas encore leur nuit donc c'est chaud.
- C'est qui pleurais ? Je demande a Louisa qui sors un biberon d'un gros sac.
- Kalvyn, je m'en suis souvenue pour le grain de beauté au dessus de l'œil, explique t-elle souriante, le chauffe biberon est dans la cuisine j'arrive.
Elle sort ensuite de la pièce alors que je prend mon fils dans les bras. Il s'est apparemment arrêter de pleurer maintenant il a un pouce dans la bouche que j'essaie de lui retirer mais il fronce les sourcils.
- Comme Lana toi, toujours a manger des parties de vos corps, je n'ai aucune réponse a part ses gazouillement, tu boude en plus ? J'suis grave pas ton pote moi, maintenant c'est des grimace étrange qu'il fait sur son visage ce qui me fait rire. T'es spéciale toi.
-Biberon près tu me le donne ? Demande Louisa en s'asseyant sur le coussin d'allaitement, ça doit pas être facile de tirer du lait.
Je lui donne mon fils qui reçoit joyeusement son lait. Quel gourmand il les yeux fermé et je penses même qu'il est capable de s'endormir en mangeant, enfin en buvant.
- Tu allaiteras nos enfants ? Je demande en m'asseyant sur le tapis.
- Je ne pensais pas que tu parlerais d'enfants maintenant, avoue t-elle, trois bébés c'est beaucoup et un quatrième en un laps de temps... Ce serait dure a gérer pour toi.
-Hé, elle relève le regard vers moi, c'est vrai que j'ai plus spécialement envie d'avoir des enfants. Mais on va se marier et j'ai envie de fonder ma petite famille avec toi.
Un sourire timide nait sur son visage et ses yeux se remplisse de joie et je ne peux m'empêcher de sourire avec elle. C'est vrai que avec les triplés mon envie d'avoir des enfants a un peu diminuer je n'en veux plus vraiment en faite mais en avoir au moins avec Louisa serait bien.
- Bah pour répondre a ta question de base, je sais pas trop si je les allaiterais. J'hausse les sourcils et mon regard se pose sur le biberon dans la bouche de mon fils.
En effet il a les yeux fermés mais il continue de boire d'ailleurs il est presque terminé, les petits dessins attire mon attention et je tilte.
- Louisa, tu as pris ce biberon dans quel poche ? Je demande légèrement inquiet.
- Celle a l'intérieur pourquoi ? Purré, Meryem va me tuer, qu'est qu'il y a ?
Je me relève pour farfouiller le sac et me rend bien compte qu'elle c'est trompé de biberon. Meryem a un régime strict, des heures strict, et tout de bien carré pour chaque bébé.
- Tu as pris le biberon avec le lait d'amande, t'aurais du prendre ce a l'extérieur sans dessin qui eux sont du lait maternelle, j'explique en passe une main sur mon front.
-Je suis désolé je pensais pas que voit aviez des habitudes avec les bébé. Elle retire lentements le biberon de la bouche de mon fils qui c'est de nouveau endormi.
- Ouais mais maintenant faut pas que Meryem sans rende compte sinon elle va me tuer, un courant d'air froid passe dans mon dos et je me tourne vers la climatisation pour constater qu'elle est allumé, putain Louisa je l'avais éteinte Kendall...
- Ma fille est juste a côté d'une climatisation allumer et pourquoi le biberon au lait d'amande qui est fait pour dix huit heures est vide ? La voix de Meryem glace la pièce alors que Louisa tient toujours mon fils dans ses bras.
Je crois que si elle ne fait pas un carnage, en fait il n'y a pas de « si » elle fera un carnage.