Chapitre 4 4

Deux mois après, nous avions déjà oublier cet incident, un soir mon chéri rentre tout guai, après avoir pris sa douche je lui ai fait comprendre que j'étais très fatiguer et que j'allais me coucher il a acquiescé et est aller au salon, une heure après, j'étais déjà endormi lorsque des caresses et des baisers dans le cou m'ont réveillées

--- ma chérie j'ai très envie de toi.

--- stp chéri pas se soir je ne suis pas très en forme, j'ai mes menstrues tu le sais très bien, mon bas ventre me fait trop souffrir.

--- stp ma chérie... j'ai très envie ...

--- non chéri demain stp je ne me sens pas très bien.

Il avait encore insisté, mais franchement, ça n'allais pas j'avais très mal, il est descendu du lit et s'est dirigé vers le salon et je me suis rendormi.

En plein milieu de la nuit, j'ai été réveillée en sursaut Xavier m'avais tiré brutalement de mon sommeil en me jettent par terre. Il m'avait ensuite donné deux bonnes gifles, j'avais à peine eu le temps de réaliser ce qui m'arrivais lorsque j'ai levé mes yeux sur lui je l'ai vue en train d'enlever sa ceinture ses yeux étaient rouges de fureur jusqu'aujourd'hui j'ignore toujours ce qui avait pu susciter en lui une telle colère, il m'a ensuite frappé avec celle-ci plusieurs fois en disant :

--- tu es ma femme tu n'as pas le droit de me dire non si j'ai envie de toi m'as-tu compris ? je ne dois pas te supplier pour que tu assouvisses mes désirs. Tu crois que tu es chez moi pour orner la maison ?

Il continuait à me frapper violemment me levais les bras pour essayer de protéger mon visage contre les coups de ceintures, mon corps chauffais, chaque fois que la ceinture se posait sur moi j'avais l'impression qu'une lame de flamme me déchirais le corps, je criais, je suppliais mais il n'arrêtait pas, on aurait dit qu'il était possédé.

Lorsqu'il a enfin arrêter de me frapper, il a arraché mon slip avec ce qui me servais de garniture, s'est poster entre mes jambes avant de libérer son engin en érection et me posséder violement , mon mari m'avais sauvagement violer ce jours-là, entre la douleurs qui me terrassais au bas ventre , les marques de ceintures qui me brulaient et les violents coups de reins que me donnait mon mari, je ne savais plus où donner de la tête , qu'avais-je bien pu commettre comme crime pour avoir une punition pareille ?

--- Xavier... stp arrête ...tu me fait très mal...Seigneur viens à mon secours stp... Seigneur aide moi ne me laisse pas mourir stp

--- ferme la...avait-il dit en me donnant une gifle.

Il avait fini sa sale besogne, il s'est levé m'a laissé la et est sorti de la chambre, je n'arrivais pas à me lever du sol, mon bas ventre me faisait tellement souffrir, j'étais rester là toute la nuit. Ce n'est que le lendemain matin, il m'a conduit à l'hôpital, à prononcer quelques paroles à l'infirmière, et m'as laissé là c'est à ce moment j'ai perdu connaissance.

Lorsque je me suis réveiller j'ai vu mes parents assis près de moi

--- ma fille Dieu soit louer tu es réveillée, comment tu te sens ?

--- j'ai très mal à la tête maman quel heure est-il ?

--- 18h ma fille et oui c'est normal ma fille avec la chute que tu as fait ce n'est que normale, avait alors dit mon père tout anxieux

J'avais sursauter

--- la chute ? quel chute papa ? mais c'est...

Ma mère m'avait rapidement coupé la parole

--- Xavier nous a expliquer que tu es tombé des escaliers, lorsque tu allais l'accueillir à son retour du boulot

J'étais très choquée, je me suis légèrement redresser et lorsque je voulais parler ma mère s'est adresser à mon père

--- chéri va appeler le docteur s'il te plait, souvient toi qu'il nous a demandé de le prévenir dès qu'elle se réveilleras

--- oui tu as raison chérie j'y vais.

Dès que mon père est sorti, j'ai dit à ma mère :

--- maman ne me dit pas que tu as crue à cela, regarde mes bras, regarde mon visage...tu penses vraiment que des marches d'escaliers peuvent crée ces marques ?

--- shut ! ma fille parle doucement were !

--- doucement ? maman Xavier m'a correctement frappé et violé et tu veux que je parle doucement ?

--- were ma fille ne crie plus s'il te plait. Je suis ta mère et je sais ce qui est bien pour toi...pour l'instant il faut que tu te reposes, on va bien parler quand tu seras un peu plus remise de tes blessures, tu m'écoutes ?

--- humm oui maman.

--- bon pour le moment je veux que tu me promettre une chose ...euh...je voudrais que tu me promettes de ne rien dire à personne ce qui s'est vraiment passer avec Xavier.

---mais maman ...

--- stp ma fille je suis ta mère fait ce que je te dis. Elle a pris mes mains dans les siennes et m'a dit :

--- Stp a personne ni ton père ta sœur et surtout ton ferre ou le médecin Ruth promets le moi

--- ...

--- promets le moi ma chérie stp

--- d'accord maman

--- ma chérie voici le docteur. Avait dit mon père en entrant dans la salle suivi d'un jeune homme en blouse blanche

--- Madame Mvondo comment vous sentez vous ? avait demander le médecin.

--- je me sent un peu étourdie et j'ai assez mal à la tête.

--- c'est bien normal madame...euh j'aimerais vous parler en priver est-ce possible ?

--- euh... bien sûr ... papa, maman pouvez-vous nous laisser s'il vous plait ?

Mes parents sont sortis et le docteur s'est rapprocher de moi et m'a dit :

--- Madame tout d'abord je voudrais me présenter je m'appelle Francis Ngatchou, mais vous pouvez m'appeler Francis

--- hum d'accord docteur moi c'est Ruth Njike Mvondo.

--- d'accord Madame, je vous ai vu ce matin lorsque votre mari vous a emmené ici et votre état ne me donne pas l'impression que ce soit une chute qui vous a mis dans cet situation...alors Madame dite moi ce qui vous ai arriver hier soir.

J'ai hésité quelques secondes et j'ai dit :

--- je suis tombée dans les escaliers après avoir fait un faux pas, mon mari m'a trouvé et m'a amené ici

--- Madame s'il vous plait dites-moi la vérité, je peux vous aider ! si votre mari vous a battu .je peux vous aider...je peux faire un bilan de santé et que vous déposerez aux services sociaux et...

--- docteur !! je vous ai signifier que j'étais tombée des escaliers et c'est le cas alors svp laisser moi j'ai besoin de me reposer.

--- Madame vous ne devez pas protéger un homme qui vous mets dans l'état dans lequel vous êtes arrivée hier soir.

--- Docteur ailler svp l'obligeance de sortir de ma chambre svp

Le docteur était sorti de la chambre en secouant la tête, visiblement déçu. Le lendemain ma sœur est venus me voire

--- ma petite sœur chérie.

--- ah jade comment tu vas ?

--- demande celle qui est couchée dans un lit d'hôpital ...non toi dit-moi comment tu vas ? et raconte-moi ce qui s'est passer.

--- je vais assez bien ma sœur, ce n'est rien juste une petite chute

--- humm en tous cas les escaliers-là ne t'ont pas raté hein

--- je te dit j'ai fait un mauvais pas en allant accueillir Xavier

--- ah ok...c'était hier soir n'est-ce pas ?

--- oui

--- et pourquoi s'est seulement ce matin qu'il t'a conduit à l'hôpital ?

--- hum...euh ça, ça ne paraissais Pas grave alors il a cru que ça irais mieux le lendemain matin, mais comme ça n'allais toujours pas c'est pourquoi il m'a emmené ici

--- ah ! d'accord ...et les marques sur tes bras ?

--- were jade c'est l'interrogatoire ? j'ai même très mal à la tête d'abord

--- ok sœurette repose toi ...mais tu sais que tu peux tout me dire norr ?

--- oui je sais

Alors qu'elle sortait, Xavier a fait son entrée, il a salué jade mais elle n'a même pas répondu

--- comment tu te sens ma puce ?

Je n'ai pas répondu et j'ai fait mine de ne pas avoir compris, il s'est rapprocher de moi à toucher mon épaule et m'a dit :

--- ma chérie je sais que tu es fâché mais s'il te plait j'aimerais qu'on discute

--- Xavier...

--- oui ma chérie

--- Sort de cette chambre je suis fatiguée

--- bébé s'il te plait écoute moi

--- mets-toi dehors s'il te plait !

Il est sorti de la chambre et je ne l'ai plus revu de la journée. le troisième jours, le médecin m'a confirmer que je pouvais sortir, mais moi je craignais de rentrer chez moi et de subir à nouveau la fureur de mon époux , alors j'ai souhaité aller faire une semaine chez mes parents en prétextant qu'ils me manquaient beaucoup, devant mes parents, Xavier n'avais pas pue protester alors j'étais sorti de l'hôpital, même si le docteur Francis avait malgré mes réticences insister pour me fournir sa carte de visite au cas où '' la mémoire me reviendrais'' comme il l'avait dit avec un regard plein de compassion.

Chez mes parents l'atmosphère n'avaient pas changée, tout étais toujours aussi jovial et festif, l'amour y régnait sans aucun doute, je n'avais toujours parler à personne en dehors de ma mère de ce qui m'étais vraiment arriver, et puis un jour j'étais dans ma chambre lorsque m'a mère à frapper à la porte

--- ma puce je peux te parler ?

--- oui maman entre

--- euh...Tu te souviens que je t'avais dit qu'on parlerait de ce qui s'est passer avec Xavier la semaine dernière ? alors dit moi qu'est ce qui s'est passer ?