Aujourd'hui est un jour fatidique pour elle, pour la suite de leur histoire. Passy sourit, elle se rappelle des mois passés où elle avait envie de lui dire qu'elle le déteste, des fois où il la poussait à bout, elle souhaitait le voir souffrir, elle avait même un jour imaginé sa mort car tellement humiliée par lui. Ce jour lui revient en tête où en débarrassant la table elle a fait renverser de l'eau sur celle-ci. Ce jour-là il l'avait tellement insulté qu'il s'en ait fallu de peu qu'il lui ordonne de lécher sa belle table. Ce jour-là, elle l'avait haïr pour la énième fois. Aujourd'hui le sort se retourne contre elle, elle veut lui déclarer sa femme et non sa haine, elle veut lui ouvrir les portes de son cœur en espérant qu'il fasse de même. subitement une extrême chaleur la parcours le corps, elle retire son pul. Le courant d'air qui arrive de la fenêtre soulève ses poils et les hisse comme des drapeaux, Passy frémi en ce moment elle suit les pas vers sa porte et se lève brusquement. Celle-ci s'ouvre, enfin il est là. Andrew entre, il ferme la porte derrière lui et fait deux pas vers elle. Il garde les mains dans ses poches, se redresse, poitrine bombée, tête haute et la fixe. Passy découvre l'homme qu'elle a connu dans cette maison immense où elle a passé une année de sa vie à travailler à la sueur de son front et à essuyer de nombreuses humiliations. Elle espère qu'il n'a pas changé, qu'il n'est pas redevenu cet homme mauvais et malsain, que son cœur brisé ne l'a pas rendu désagréable comme l'être qu'il était. Son regard croise le sien, elle frémit de plus. Il est beau, très beau, élégant, propre. Sa corpulence impose le respect. Elle se demande si elle est encore à son niveau, elle, femme de pauvre et mère célibataire, sans compte en banque garni, ni maison ni voiture de luxe. Est-elle encore à son niveau
Elle fuit son regard et baisse la tête pour regarder ses doigts qu'elle manipule entre elles.
Andrew : tu voulais qu'on parle je suis là
Passy : oui. Comment tu vas
Andrew : ça va et toi ? Tu as maigri ou c'est une impression
Passy se regarde comme si elle était étonnée du constat qu'il lui a fait, elle sait pertinemment qu'elle a fondu depuis son départ et depuis l'annonce de sa grossesse qui l'empêche de se nourrir convenablement.
Passy : je vais bien. Merci d'avoir garder Mia
Andrew : tu n'as pas à me remercier c'est normal je le ferais toujours
Une phrase que Passy reçoit comme une bénédiction ce qui l'encourage à continuer
Passy : bon je voulais te parler c'est vrai que j'aurai dû le faire depuis mais je n'ai pas pu pour une raison ou une autre. Je ne sais pas où commencer mais sache que je serais sincère avec toi. Je vais commencer au début. Je veux déjà te dire que je n'avais rien prémédité, quand je t'ai vu à l'hôpital je ne cache pas que j'étais contente de te voir dans cet état. L'idée est venue après de te faire refaire ce que tu m'as fait. J'avais prévu de te garder une semaine et ensuite appeler ton oncle.
Andrew : une semaine d'esclavage.
Passy : j'avoue que j'ai eu du plaisir à te voir faire le ménage, la vaisselle, laver les vêtements et autres, t'occuper des enfants, oui ça m'a amusé. Au fil du jour tout à commencé à changer les enfants te voyaient vraiment comme leur père et surtout que tu te comportais comme tel. Avant d'ouvrir les yeux que j'étais déjà amoureuse de toi. Nous étions si bien ensemble que je ne savais pas comment me sortir de là, surtout que je cherchais le bon moyen de le faire sans que tu ne souffres. Tu sais que j'ai essayé de le faire une fois mais tu ne m'avais pas écouté. Mes sentiments pour toi ont commencé à être très forts au point où j'ai commencé à m'en vouloir. Je peux t'assurer que ça n'a pas été facile de vivre tout ceci. Je pense qu'on peut dire que je suis tombée dans mon propre piège. J'aimerais te présenter mes sincères excuses et te dire que tu me manques ici, tu manques aux enfants. Ton départ a laissé un grand vide dans cette maison, la tristesse s'est installée. Je continue de t'aimer et te pleurer en secret, pendant mes nuits, seule, en passant à tes baisers tes caresses tes mots doux 'nos folies nocturnes, nos petites disputes insensées, notre intimité matinale j'y pense chaque fois au couché, au réveil, c'était devenu des rituels. J'aimerais enfin te demander si je te manque ? Si tu m'aimes toujours et si tu veux qu'on se donne une deuxième chance. Je veux savoir s'il y a une minime possibilité qu'on puisse renouer ensemble. Si oui j'aimerais la saisir. Et toi
Andrew qui est resté à l'écoute pendant le long monologue de Passy retire les mains de ses poches pour les frotter et souffler à l'intérieur comme pour chasser le froid. D'un air sérieux et avec beaucoup d'aisance il prit la parole
Andrew : je t'ai écouté, et je ne peux malheureusement pas répondre à tes questions, du moins pas pour le moment. Je te demanderai de m'accorder quelques jours pour réfléchir et te donner une réponse
Passy : Andrew arrête de faire ça qu'est ce que tu veux
Andrew : je sais ce que je veux Passy. Je ne veux juste pas me cogner la tête. Donc tu permets que je revienne vers toi dès que possible
Passy : d'accord.
Andrew : ok. J'ai un appareil qui m'attend à l'aéroport il faut que j'y aille. Concernant Mia, tu sais que la chicotte ne l'éduque pas, il faut lui parler
Passy : ravi de savoir que tu la connais bien.
Andrew : je suis parti
Il tourne le dos et s'en va. Passy est déçue de son comportement, même si ça ne la surprend pas. Néanmoins, sa satisfaction est grande car elle lui a dit ce qu'elle avait sur le cœur qu'il l'ai cru ou pas elle est soulagée de s'être libérée de ce lourd fardeau qui l'a rendait triste.
Andrew va dire au-revoir à Mia, elle est assise sur son lit et se ronge les ongles
Andrew : toc toc
Mia : papa tu pars
Andrew : oui je dois partir
Mia : tu vas revenir
Andrew : peut-être mais je suis sûr de t'appeler. Reste sage et ne dérange pas maman. Tu me promets
Mia : oui je te promets. Tu es sur que tu vas m'appeler nor
Andrew : très sûr j'ai pris votre numéro de téléphone tu as le mien tu me fais signe quand tu veux
Mia : d'accord. Moi je suis puni je ne peux pas t'accompagner
Andrew : ce n'est pas grave.
Il lui fait un câlin et va dehors ou Kevin grignote les biscuits.
Andrew : champion on dit quoi
Kevin : tu pars
Andrew : oui je dois partir. Tu ne vas pas pleurer nor
Kevin : oui j'ai déjà grandi
Andrew : hahahaha c'est bien. Je vais appeler maman si elle me dit que tu n'as pas bien travailler à l'école je ne viens pas
Kevin : je vais bien travailler tu verras
Andrew : je te fais confiance. Esther à bientôt
Esther : tu rentres bien.
Andrew : merci..
Esther et son neveu sont restés dehors voir la voiture de Andrew partir jusqu'à disparaître de leur champ de vision. Esther se précipite dans la chambre de sa sœur pour s'enquérir de la situation et le verdict qui a été prononcé.
Esther : ça été ? Vous avez discuté
Passy : je dirais qu'il y a eu plus de monologues que de dialogues. Je lui ai dit ce que j'avais sur le cœur ça m'a soulagé
Esther : qu'a-t-il dit
Passy : qui ne peut pas me donner de réponse maintenant. Je comprends par là qu'il ne veut plus de moi.
Esther : mais non ça veut peut être dire qu'il veut vraiment réfléchir. Andrew est un bel homme et les hommes comme lui aiment se faire désirer, il se vante aussi. Je pense que c'est ça il va revenir
Passy : je ne l'attends plus, le plus difficile a été fait maintenant je vais essayer d'avancer.
Esther : et s'il revient
Passy : ça serait bien. Je suis préparée aux deux cas.
Esther : ok. Moi tout ce que je veux c'est que ça s'arrange. Vous vous aimez
Passy : Mia est où
Esther : elle est dans sa chambre. Il faut que je rentre m'occuper de mon mari.
Passy : ok. On s'écrit
Esther prend congé de sa famille. C'est le moment pour Passy de causer avec sa fille. Elle va dans sa chambre. Lorsque Mia voit sa mère traverser sa porte, elle se redresse et devient sérieuse prête à tout encaisser comme coups. Passy s'assoit et lui ordonne de la regarder, ce qu'elle fait avec beaucoup de peine.
Passy : tu es possédé
Mia : non maman
Passy : qu'est ce qui t'arrive ? Mia qu'est qui t'arrive je veux savoir. Comment est-ce que tu peux te lever et voyager toute seule c'est quoi le projet Mia.
Mia : c'est que... C'est que euhhh c'est...
Passy : c'est sur quoi Mia parle
Mia : je voulais que papa revienne pour que tu ne sois plus triste.
Passy : donc tu as mis ta vie à danger parce que tu voulais que papa revienne c'est ça
Mia : oui. Je voulais t'aider maman excuse moi
Passy : mais je ne t'ai jamais demandé de m'aider. Tu ne peux pas prendre autant de risques pour moi ça ne se passe pas comme ça. C'est moi ta mère qui doit t'aider et non le contraire. Es ce que tu sais ce que tu m'as fait comme frayeur. Es ce que tu as une idée de ce que j'ai vécu pendant ces heures de recherches sans nouvelle de toi.
Passy se calme, elle a déjà des larmes qui sont accrochées à ses paupières qui n'attendent qu'un clignotement pour couler le long de son visage. Mia découvre qu'elle fait pleurer sa mère et ça lui fait de la peine
Mia : maman excuse moi ne pleure pas, je vais bien
Passy : tu vas bien oui. Mais imagine s'il t'étais arrivée quelque chose, imagine si un voyous ayant découvert que tu es seule te fasse du mal, et si tu étais arrivée et n'avait pas trouvé Andrew à l'hôtel et si, et si, il y a tellement de danger auxquels tu t'es exposé. Moi ta mère j'allais faire comment sans toi, tu veux me tuer pourquoi, je suis déjà mal, tu ajoute mon mal Mia. Je t'ai pas demandé de m'aider ? tu n'avais pas le droit d'aller voir Andrew, tu n'avais pas le droit de prendre le bus, et même le droit de fouiller mon sac pour prendre de l'argent, tu vas me rembourser cet argent. Je ne te pardonne pas cette infraction à partir d'aujourd'hui toi et moi c'est fini tu ne m'adresse plus la parole je ne veux pas te voir dans ma chambre ni près de moi es ce que tu m'as compris.
Mia ne répond pas, la punition infligée par sa mère est très lourde, ne plus lui parler c'est comme ne plus respirer. Elle se tord les doigts et resserre le visage déjà prête à verser des larmes.
Passy : tu m'as compris ou pas
Mia : pardon maman je ne vais plus te décevoir je te promets.
Passy : à partir d'aujourd'hui tu m'évite, voilà. On va mourir parce qu'on a accouché
Sur cette phrase, Passy se leva pour sortir, laissant sa fille inonder son visage de ses larmes. Pour Passy, sommer sa fille de ne plus lui adresser la parole est une bonne punition.
C'est ainsi qu'il passèrent la journée, ainsi que la soirée. Mia restée dans sa chambre à se morfondre et Kevin qui se gave de friandises en faisant ses devoirs. Passy quant à elle, déguste les émissions télévisées les unes après les autres. Au moins ça lui permet de se distraire et d'oublier toutes ses peines.
Son fils déjà au lit, elle se retrouve seule. Le sommeil semble si éloigné de ses yeux qui sont encore pleinement ouverts. Demain c'est le premier jour de la semaine, il faut se lever tôt pour apprêter le petit déjeuner des enfants. Passy décide malgré elle d'aller se coucher. Allongée sur le lit, elle regarde le plafond, compte les carreaux qui y sont. Toujours pas de sommeil à l'horizon. Elle regarde son téléphone qui marque minuit, une heure ou elle devrait déjà être dans les bras de Morphée mais hélas cette nuit s'annonce courte. Passy se souvient d'un livre que lui a prêté sa sœur et ne l'a jamais lu, cela fera l'affaire pour attirer le sommeil. Elle se lève pour aller le chercher dans sa penderie. Le calme de la nuit lui permet d'écouter à travers la fenêtre les cris des grenouilles. Subitement dans ce même calme, elle écoute des coups au salon notamment sur la porte. Elle arrête de fouiller et se demande si elle n'a pas mal suivi. Les coups se font entendre de nouveau. Passy prit peur, qui pouvait bien venir chez elle à pareille heure. Elle sort de sa chambre et va allumer au salon. Sans demander qui est derrière la porte, elle va guetter à la fenêtre et découvre son visiteur nocturne.
<> dit-elle en se reculant de la fenêtre avec frayeur, une frayeur mélangée à une joie qui émet des battements de cœur pouvant être suivi à des kilomètres. Elle reprend son souffle et ouvre la porte. Andrew s'y trouve, toujours les mains dans la poche, cette fois-ci c'est pour les réchauffer de la fraîcheur qu'il fait. Il a gardé ses mêmes vêtements ce qui signifie qu'il n'est pas rentré. Elle est pressée de l'entendre parler. Andrew la regarde dans les yeux et remu ses lèvres déjà blanchies à cause du froid
Andrew : je vais répondre à tes questions. Oui tu m'as manqué, les enfants m'ont manqué cette maison m'a manqué. Me réveiller à tes côtés m'a horriblement manqué, ne plus te faire l'amour le matin m'a affreusement manqué. Oui je t'aime je continue à t'aimer à aimer tes enfants. J'ai aimé tout le temps que j'ai passé ici. Ça serait ingrat de ma part de ne pas te dire merci, oui je me dois de te le dire, en tout sincérité merci de m'avoir changé, je suis devenu plus meilleur, plus humble et la vie est plus facile ainsi. avec toi j'ai pris goût à avoir une famille, à être un homme sérieux, à fonder une famille et les rendre heureux. En quelque sorte tu as changé ma vie . Je ne vais pas finir sans te faire mon mea culpa. Je suis désolé pour toutes les misères que je t'ai fait subir lorsque que tu travaillais chez moi, vraiment désolé. Un dernier oui je veux qu'on reprenne où on s'était arrêté, je veux continuer à être le père des tes enfants que j'adore tant.
Pour seule réponse, Passy lui offre son plus beau sourire. Comment exprimer ce qu'elle ressent à présent, elle se croit dans un rêve l'un des meilleurs rêve de sa vie. L'attente devient longue pour Andrew qui s'impatiente
Andrew : j'aimerais savoir si tu vas me laisser mourir de froid ou me laisser entrer
Passy sourit et va se jeter dans ses bras. Andrew l'entoure de ses grands bras, il l'a serre très fort, il pose un doux baiser sur ses lèvres
Passy : j'espère que je ne suis pas en train de rêver
Andrew : si, tu rêves ehhh Passy réveille toi tu pars pisser
Passy : Hahahahahahahaha
Il lui prend la main et ils entrent. Passy ferme la porte, ils vont dans la chambre. Andrew semble ne pas vouloir discuter et préfère aller tout droit au but, sceller cette réconciliation comme il se doit, c'est-à-dire revivre ce moment d'intense intimité qui lui a manqué durant plusieurs semaines. Passy le reçoit avec tellement d'amour, de passion. Ils n'ont pas mis plus de temps à rejoindre à l'unisson l'extase profond.
L'un couché près de l'autre, ils reprennent leur souffle respectif. Passy se blottit dans ses bras.
Passy : tu n'étais pas parti
Andrew : non je n'ai pas pu. J'ai marché un peu, j'ai même cherché Francis, il n'était pas chez lui. Venir ici m'a ouvert les yeux sur ce que je voulais.
Passy : j'en connais qui seront heureux de te voir ce matin
Andrew : ah oui. Bébé je ne veux plus qu'on se cache des choses. Que tout ce qui s'est passé reste derrière nous cherchons à avancer
Passy : je suis totalement d'accord avec toi. Sur ce j'ai quelque chose à te dire
Andrew : ne me dis pas que tu as connu un autre homme je peux écouter tout sauf ca
Passy : mais non rien à voir. Je suis enceinte
Andrew se redresse pour la regarder, surpris de ce qu'elle vient de lui annoncer
Andrew : tu es enceinte
Passy : oui
Andrew : pourquoi tu ne m'as rien dit
Passy : je ne voulais pas que tu penses que je l'ai fait exprès, que je t'ai piégé ou quoi que ce soit.
Andrew : et tu as décidé de ne pas m'informer si je ne revenais pas n'est-ce pas
Passy : j'allais le faire après. Désolée
Andrew : waouhh je vais avoir un bébé, c'est bizarre j'ai toujours eu peur d'avoir des enfants et ne pas pouvoir les éduquer mais depuis que la nature m'a fait la grâce de m'en donner deux eh bien je me sens papa depuis et ça me plaît c'est juste waouhh. La famille va donc d'agrandir
Passy : oui elle va s'agrandir
Andrew : vient que je te fasse des câlins
Il l'a reprend dans ses bras et la couvre de baisers. Passy est aux anges, elle se sent revivre, aimer. Que c'est beau de se retrouver dans les bras de l'homme qu'on aime. Elle a l'impression que la terre à arrêté de tourner uniquement pour les regarder vivre leur amour.
Le matin, ils se sont levés tous les deux pour faire le petit déjeuner des enfants. Lorsque ceux-ci finissent de s'habiller ils sortent. Passy leur sert du lait, les bruits à la cuisine attirent leur attention
Kévin : maman il ya le djoundjou à la cuisine
Passy : tu peux aller regarder c'est une surprise
Kevin : ah bon?
Kevin quitte la table et se dirige à la cuisine, son cri se fait entendre au carrefour lorsqu'il vit Andrew. Il va se jeter dans ses bras en hurlant <>. Mia quitte la table pour aller vérifier si effectivement il s'agit de son papa. Sa joie fût presque similaire à celle de Kevin. Ils retournent tous à table..
Kévin : papa tu es revenu quand
Andrew : hier tu dormais. Je t'ai promis que j'allais revenir
Kevin : tu ne vas plus partir
Andrew : je vais partir ou quand ma femme et mes enfants sont ici
Kevin : hihihihi. Tu vas nous accompagner à l'école nor
Andrew : bien sûr
Kevin : wehhhh tu me laisses dans ma salle de classe
Andrew : c'est comme si c'était fait. Mia ça va ? Tu es calme
Mia : oui papa ça va.
Passy donne des biscuits à Kévin qu'il garde dans son sac et n'en donne pas à Mia
Andrew : Chérie !
Passy : elle n'a droit à rien et tu n'as pas intérêt à lui donner, elle rentre elle mange et va rester dans sa chambre, pas le droit de m'adresser la parole ni me regarder, voilà. Si vous avez fini vous partez
Mia quitte la table étant triste pour sortir suivi de son frère
Andrew : chérie je ne suis pas d'accord avec ça regarde comment Mia est triste, allège sa punition..
Passy : jamais ça va durer une semaine ou deux
Andrew : tu veux la tuer ou quoi. Stuippp
Je vais les laisser j'arrive..
Passy : vas-y nous avons des choses à rattraper
Andrew : petite coquine va
Il l'embrasse, va prendre les clés de voiture et sort. Joyce les a rejoint et ils sont partis.