L'AMITIÉ À SES AVANTAGES
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Chapitre 2 2

Je n'arrivais pas a m'habituer à ma nouvelle vie... Celle que mon modèle ( ma mère ) de vie m'avait offert. La rage que j'avais dans mon cœur était indescriptible. Je ne parlais a personne excepté ma meilleure amie Mia. Elle était la seule de mon entourage a être au courant de la situation de ma famille. Pour moi, s'était la sœur que je n'avais jamais eu et que j'avais toujours désiré avoir. Enfin c'était se que je croyais.

J'étais élève en classe de seconde C au lycée polyvalent de bonaberi. C'est le plus grand lycée d'enseignement technique de la région du littoral. Comme vous pouvez l'imaginer, c'était ma première année dans ce lycée puisque les classes ne commence qu'en seconde dans cet établissement. C'est se qui fait sa particularité. J'avais déjà fait juste un mois lorsque mon père avait surpris ma mère entrain de s'envoyer en l'air avec un autre dans notre salon. Nous étions en octobre et après une première séquence où j'étais sortie la meilleure de ma classe, j'étais de plus en plus absente a l'école. Lorsque par miracle je me retrouvais dans le lycée, s'était a la recherche de drogue et ou de sensations fortes. Je mettais trouvé une bande de filles de riches avec qui je traînais désormais mettant de côté ma meilleure pote et tous ses conseils a la con. Ma vie devenait un désastre.

Et à vrai dire ou alors peut-être contrôlées par des forces occultes, Je me plaisais dans cette nouvelle vie avec mes nouvelles trois copines.

Charlène Dipoko, l'aînée âgée de 19 ans. Elle était indiscutablement la plus belle et la plus sexy du groupe. Du haut de son mètre soixante quinze, s'était une pure beauté. Ses formes généreuses ne laissaient aucun homme indifférent même pas les profs. S'était la fille d'un colonel et ils vivaient au quatres étages. Elle était en 1 ère A4

Stéphanie Bikaï, fille d'un homme d'affaires propriétaire de plusieurs supermarchés aux Gabon, était fille unique tout comme moi. Elle était d'une beauté envoûtante avec un teint noir ébène qui lui allait magnifiquement bien. Elle avait une paire de fesses énorme avec de petits seins. Elle était âgé de 18 ans et fesait 1ere A4 comme Mia.

Enfin Lawrence Epoh communément appelé la mimbayeuse était d'une beauté diabolique, un corps magnifiquement sculpté. Mais se qui captivait le plus chez elle était son don pour craner. Elle se prenait vraiment la tête ; pour elle après elle s'était elle, après encore elle s'était le virage. Personne n'était a sa hauteur. Je étais persuadée que dans le dictionnaire a côté du mot craner il y'avait sa photo. Normal quand on s'est la notoriété de sa famille. Elle était quand même la fille d'un ancien ministre qui vivais dans un petit quartier chic de bonaberi. Au moins elle ne cranait pas dans le vide comme certaines filles ici dehors. Elle était belle et riche. Quoi de plus ? Elle était la deuxième et dernière née. Son grand frère était aussi très mignon et séduisant. Toutes les meufs du lycée le voulait. Elle cumulait a elle seule plus 100 miles followers sur Instagram. Elle avait le même âge que Stéphanie et était en 1ere D.

J'étais clairement la plus jeune du groupe et pour être accepté, j'avais dû promettre de faire tout se qu'elles faisaient : consommation de drogue et d'alcool, sorties nocturnes dans les snacks, les boîtes de nuit et les fêtes privées, bagarres... Enfaite tous les sales coups quoi. Et curieusement cette vie me plissait de plus en plus. J'étais encore vierge mais pas pour longtemps croyez moi.

Un mois après la proclamation du divorce de mes parents, mon père, absent de la maison pour raison professionnelle depuis déjà un mois et m'ayant laissé a la domestique, j'avais la liberté absolu. Je pouvais faire se que je voulais et sortir comme je voulais. Mon père m'avait laissé l'une de ses cartes de crédit pour payer les factures de la maison et aussi les employés et aussi pour mes besoins personnels. Donc l'argent n'était pas un problème pour moi. S'était l'avantage d'être fille unique d'un pilote reconnu.

Ce jour ou ma vie avait pris une autre tournure, je me rendis a l'école et juste a l'entrée du portail, je vis une bande de nazes de ma classe qui me dévisageait. Puis l'un lança :

- Alors comment va la fille de la pute aujourd'hui ?

Furieuse, je m'étais retournée vers la bande fixant particulièrement celui qui m'avait lancé cette phrase choquante mais véridique car ma mère n'était qu'une pute.

- De quoi tu parles gros con ? Dis je en m'approchant d'eux.

- Aller fait pas semblant. On s'est tous que ta mère est une grosse pute c'est pourquoi elle a divorcé de ton père. ahahahahah ! Se moqua un autre.

J'arrivais pas a croire qu'elle m'avait fait ça. Les larmes se mirent a couler sur ma joue et ma rage pouvait se sentir a des milliers de kilomètres. Je me dirigeais a pars rapides vers sa salle de classe et lorsque je la vie au loin, je courus, me saisis d'elle et lui infligea une raclée dont elle n'oubliera jamais. Ma meilleure copine ou plutôt, mon ex meilleure copine était allongée inconsciente au sol rempli de son propre sang. Je n'eu aucune pitié pour elle au contraire j'étais allée voir mes copines où on se retrouvait chaque matin avant de commencer la journée. Nous nous miment a sniffer de la drogue ; j'étais trop en colère et j'en avais besoin pour me calmer sauf qu'un surveillant nous attrapa et s'était ainsi que mes copines et moi avions été renvoyé du lycée pour consommation de drogue en milieu scolaire et en plus de ça pour coup et blessures sur une élève.... j'avais commis une bêtise ? Non je ne croyais pas. Mia avait juste eu se qu'elle méritait et si s'était a refaire j'allais le faire.

Je lui avais fais confiance pourtant elle m'avait trahis. Toujours contrôlée par la drogue, mes copines et moi rions en marchant dans les rues de la ville sans vraiment savoir où on allait. On était là curiosité des passants surtout avec nos cigarettes qu'on fumait à la vu de tous, sans se gêner et en plus en uniforme. Le plus drôle était qu'on prenait plaisir à voir tous ses pères et mères de famille nous insulter. Ça nous amenait à rire encore plus fort et à davantage fumer.

Après une bonne heure de marche, nous étions allées nous installer dans un bar qui venait d'ouvrir mais le propriétaire nous avait chassé car disant ne pas vouloir avoir de problème avec la police pour avoir servir de l'alcool à des élèves en plus en uniforme d'école. S'était en courant et en riant qu'on avait continuer notre chemin vers une destination qui nous était encore inconnue.

            
            

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