Double division
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Chapitre 4 04

Chapitre 3

Je descends de ma voiture sans regarder derrière moi, j'ajuste l'écharpe qui couvre ma chevelure, mon visage et entame la descente vers le domicile de Ma Bouanga. On ne sait jamais qui ont peu croisé dans ce genre de milieu déjà moi-même je ne suis pas issue d'une famille aisée, ce genre de coin je connais bien. Il ne faut pas qu'un de mes anciens collègues me reconnaisse. Heureusement que j'ai ôté mes talons parce que j'allais bien tomber ici.

J'arrive devant la maison en dur et me tourne du côté du temple ou j'aperçois plusieurs personnes assises. Je rentre dans la maison et me dirige vers la chambre que j'occupe ce soir. Je trouve véronique en train de s'oindre le corps de kaolin.

Moi : bonsoir Véro

Elle : tu es la ?

Moi : oui, tu sais qu'aujourd'hui je termine avec tout ce mois de pénitence

Elle : tu es bien juteuse

Je termine de me changer et vais prendre mon seau dans la chambre de soin et file à la douche, je prends le soin de poser un seau d'eau simple pour prendre mon bain normalement. Dans la douche j'ôte ma perruque, mes nattes en dessous sont pour la circonstance. Je fais ma prière et me douche normalement. Apres cela je prie de nouveau sur mon seau de feuilles et commence à me verser cela sur le corps. Mes mains agrippent des racines en passant et je les frotte sur moi. Mon bain terminé, je vais m'oindre de kaolin et retrouve les autres pour la cérémonie qui a commencé depuis un petit moment, c'est moi qu'on attend.

Je fais mon entrée et je suis accueillie par les chants en langue des femmes, elles (quatre femmes) de la troupe, me conduisent derrière et me déshabille à proximité j'aperçois toute la mise en place qu'elles ont du préparer la journée. Nue comme un ver elles me conduisent vers un tas de feuilles mélanger à de la terre et me demandent de m'allonger à même le sol. Je m'exécute et elles me malaxent et m'enduisent de cet argile traditionnel rempli de plantes c'est froid et je ressens une sensation comme de menthol qui me glace de l'intérieur. Elle m'en mette partout sur la tête, les fesses, partout. Je suis toute boueuse quand elle me laisse la sans dire un mot, je sais par intuition que je dois rester là. Alors lorsqu'elles s'éloignent je ferme mes yeux.

Je ne sais combien de minutes sont passées lorsqu'elles reviennent me chercher. Elles ne me conduisent pas très loin de l'endroit où elles m'ont fait leur gommage traditionnelle une grosse cuvette m'attend rempli de feuilles. Je mets mon premier pied dans la cuvette, ouf l'eau est tiède. A peine assise dans l'eau accueillante, elles me nettoient, et de l'eau aux feuilles encore et encore, je suis frottée, astiquée et rincée, lorsque je sors de là je suis plus neuf qu'un sou. Je suis maquiller et emmener dans le temple. On me pose dans un cercueil d'où je ne sortirai qu'aux lueurs de l'aube. Avant de refermer le cercueil Ma Bouanga vient me parler.

Elle : tu t'en va avec ton esprit au pays des morts ne reviens pas comme un être humain normale, emmène avec toi les désirs de ton cœur et bonne chance. Le couvercle se referme sur moi, je ferme mes yeux.

*****Des kilomètres plus loin********

Je suis angoissée, Tana n'a pas pu voir Valérie qui à décommandé à la dernière minute. Ce qu'elle me fait chier celle-là. Toujours à réduire les efforts des autres à zéro. Pff et elle depuis elle envoie ses avocats me harceler pour signer. Vie de merde.

Boulot, mon nouveau patron est un requin du travail qui travaille sur anticipation de tout et pour tout. Je suis en route pour le Radison Blu ou nous avons une notre premier contrat depuis qu'Atlantis a été vendue. Nous avons conclu de mettre en place le réseau de canalisations d'eau de toute la ville de Mouila. Et pour cela nous travaillons avec l'Agence Nationale des Grands Travaux, et à cette réunion je ne vais pas manquer de croiser Jules l'ex de Malika, qui est désormais le Directeur Administratif de celle-ci, j'ai eu l'occasion de me retrouver avec lui sur plusieurs appels d'offre qu'il nous a je pense volontairement fait perdre. Bof au moins sur ce coup il ne va pas se sucrer le dos tout seul. Tout est bouclé le lancement du projet est effectif dès le 05 les agents se mettent au travail.

Je marche dans les luxueuses allées de l'hôtel et je me fais conduire vers le lieu approprié. Mon boss discute tranquillement avec le Directeur de L'Agence et ses collaborateurs.

Je prends place et me mêle à la conversation qui nous emmène vers le sujet de la rencontre. Jules est chic déjà qu'il est beau gosse, faut reconnaitre qu'il a du gout. Nous soldons notre réunion par un rendez-vous pour dans 45 jours. Je descends de l'ascenseur quand je croise Jules dans le hall

Lui : bonjour Koffi, comment vas-tu ?

Moi : très bien et toi-même ?

Lui : ça va Dieu veille au grain,

Moi pressé : ah d'accord, à la prochaine alors

Lui : j'ai même un ami avocat qui me parlait de toi tout récemment

Moi intrigué : ah oui

Lui : oui il me disait que ta femme veut divorcer

Moi honteux : les histoires avec ses femmes toutes les mêmes

Lui : hum et Malika ?

Moi : je ne sais pas où elle est

Lui : bonne chance pour ton divorce

Il tourne ses talons sans un au revoir, je pus apprécier sa carrure bien tracé il était vraiment élégant je comprends pourquoi Malika y était accro.

Je compose le numéro de Valeri qui répond sans laisser sonner plus de deux fois.

Valeri : allo

Moi : allo mais tu es folle de parler de ma vie privée à tout va ? Respecte mon statut s'il te plait tu ne vas pas me ridiculiser auprès de mon cercle relationnel.

Valeri : Koffi tout ça n'arriverait pas si tu signes les papiers

Koffi : je ne signerai pas ses papiers Valeri tu m'appartiens tu comprends ?

Valeri : et la petite maitresse dira quoi ? Tchiiiiiip

Elle raccrocha cette conasse m'exaspére avec ses allures de je me fou de tout, elle commençe sérieusement à m'agacer. Je trouverai bien le moyen de la faire céder, elle ne fera pas la plus maligne avec moi. Quelques soit les moyens je ferai plié Valeri elle ne m'aura pas ainsi.

*******2 mois plus tard

Valeri

Jetais rentré de Dubaï ce matin avec les enfants, j'ai passé du temps avec eux et les déposent chez maman car je vais préparer ma reprise de boulot. J'ai rangé et apprêté mes affaires et ceux des enfants car dimanche ils rentrent et la corvée école, boulot, maison, reprend et de manière intensive.

Koffi depuis deux mois ne s'occupe plus de la location, et n'a fait aucun signe de vie. Je ne le cherche pas, je sais qu'il reviendra. Il a peur d'un autre échec, il peut toujours courir, je suis son aéroport. Koffi n'est pas stupide, il sait que je suis garante et gardienne de plusieurs piliers de son équilibre il ne s'hasardera pas à divorcer.

Devant mon ordinateur, je peine à terminer un rapport d'activité et j'ai faim je décide d'aller me prendre un hamburger à louis. Je jette sur mon dos une djellaba et saute dans ma voiture pour ma petite gâterie nocturne.

J'arrive à la roulotte, et il semble débordé, je décide d'attendre mon cheese à cheval et ma potion de frite dans la voiture. Je patiente une trentaine de minute avant que le monsieur m'apporte mon paquet. Je démarre en direction de la maison sans oublier de m'arrêter au Feu Rouge Gros bouquet pour prendre une boisson et un pot de glace, ce soir tout est permis et le pakistanais de 24h/24 m'aide. Devant le portail le gardien ouvre sans un mot mais je trouve son regard un peu froid, il doit être préoccupé. Je rentre directement dans la maison, le salon est plongé dans le noir et une odeur d'encens émane de la pièce je m'empresse de vouloir allumer la pièce.

Koffi : ah te voila

Il allume la lumière, ma belle Valeri d'où sors-tu aussi tard, il est derrière moi, je suis tellement surprise par cette intrusion que je reste de marbre et ne me retourne pas. Koffi soulève ma main et regarde le paquet.

Koffi : ah tu es allé te prendre des gloutonneries, viens manger pourquoi ne te retournes tu pas ? Je te fais peur ?

Moi : Koffi, que fais-tu chez moi ? Comment peux-tu te permettre ?

Koffi en me préparant un plateau dans la cuisine comme si mes préoccupations ne valent rien, s'installe à table et m'invite manger d'un air calme. Je me met à table et je savoure mon repas sous le regard de Koffi qui m'intrigue par son silence. Cette odeur dans la pièce m'enivre et reveil mes sens,je me sents relaxer, savoir Koffi près de moi me rassure, j'ai soudainement envie de lui appartenir ce soir, oui mon mari me manque et je peux mentir sur tout sauf sur la véracité de mes sentiments pour le père de ma progéniture.

Je me lève pour ranger le plateau dans la cuisine et Koffi me l'ôte des mains. Il me prend et me guide dans ma chambre, je me laisse faire comme une enfant, à ce moment tous mes doutes, toutes mes peines et mes questions se noient dans le plaisir que je ressens à le voir là. Arrivé en chambre il glisse ses mains en dessous de ma djellaba et la ramène vers mon visage pour me l'ôter. Puis il se met devant moi, et ses mains doucement me retirent mon boxer en dentelles, il me guide dans ma douche et un bain m'y attend, l'odeur de l'encens dans le salon à remplacer l'odeur fruité qui occupe ma salle de bain en général. Il entreprend de dégrafer mon soutien et sans geste brusque il me tient sa main en appuie pour que je m'installe dans le jacuzzi, je savoure la relaxation des que je m'allonge dans cette eau, un sentiment de bien-être parcourt mon corps entier. Koffi me frotte avec l'éponge il me fait prendre mon bain, me frotte partout ses mains se baladent vers mon entrejambe avec son éponge, les yeux fermés je savoure la douceur de ses frottements, Koffi est en train d'effleurer mon clitoris avec son éponge a chaque fois qu'il fait ses mouvements, il insiste à cette endroit en me sentant écartés les jambes pour mieux gouter à cet effleurement, il me rince,m'essuie,m'allonge et entreprend de me masser, cette huile au jasmin sent tellement bon.

Koffi : tu aimes ?

Moi : (grognant) oui

Koffi : je savais que tu avais besoin de relaxation ma puce je te connais

Moi : hum, il caresse mon clitoris avec la main entre mes fesses, il appuie dessus de manière cadencé et mon entrejambes commençe à devenir humide. Koffi écarte mes fesses et enfonce sa tête pour que sa langue fouille en moi, cette fois j'écarte mes fesses en me cambrant, cette douceur est bien mieux que tous les cheese du monde. Koffi fouille en moi, sa langue accompagne le mouvement de mon majeur qu'il entreprend de glisser dans mon bouton rose. Je deviens fontaine à son touché et me cambre plus encore pour lui permettre un large champ d'action, il retire son doigt qui fouillait mon anus et le remplace par un vibromasseur qui glisse en explorant mes parois anales. Koffi continue à me fouiller avec sa langue pendant qu'il active la vibration du gode dans mes fesses, je me sens partir et c'est dans sa bouche que je me vide de ma cyprine. Il me tourne et met ses jambes entre les miennes il soulève mon bassin, s'enfonce en moi en me regardant dans les yeux il pose ses lèvres qui ont le gout de ma chatte sur ma bouche dans un baiser langoureux. Il ne bouge pas et savoure ma chair, il parsème mes épaules de baisers , descend sur ma poitrine qu'il caresse de sa langue, j'ondule des hanches car j'ai envie de le sentir bouger.

Moi : Koffi

Lui : oui chérie que veux-tu ?

Moi : je veux que tu me fasses l'amour comme jamais

Koffi : c'est ce que tu veux Valeri,

Moi : oui Koffi

Koffi : hum qu'est ce qui t'a manqué ?

Moi : ne plus me sentir frémir, ne plus pouvoir avoir du désir, ne plus pouvoir ressentir tes bras quand tu me serrais contre toi, ne plus pouvoir m'abandonner sentir mes soupirs étouffés ne plus te faire l'amour passionnément comme toujours,

Koffi : que veux-tu ?

Moi : je veux remplir tes envies, ne plus manquer de ton odeur sur mon lit, je veux danser avec toi comme je le faisais autrefois, je veux m'abandonner et te sentir m'aimer comme avant.

Il commençe à trépigner dans Moi, je le sents se gravé en moi, en lettres de plaisir, je sents le désir prendre possession de mon corps, je me laisse aller a cette vague de douceur car même ma volonté du resister à fuit ma logique.

Koffi : tu sais que tu m'appartiens ?

Moi : oui je t'appartiens à jamais mon amour

Koffi : tu es à moi ?

Moi : oui je suis à toi

Koffi : oui, j'aime ça, j'aime te posséder ainsi, j'aime te sentir mienne

Moi : je suis tienne bébé, oui je t'appartiens .........

            
            

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