Chapitre 3 L'INTERDICTION

J'ai toqué la porte, Dimitri est venu m'ouvrir, je suis entré, il m'a pris dans ses bras pour qu'on partage une bise sur la bouche, avant qu'on puisse s'asseoir pour discuter sur le déroulement de cette soirée.

_Dimitri : Marwa aujourd'hui, c'est ton jour de chance si tu as besoin d'interviewer Nicholas, d'après mes infos, il sera comme un invité d'honneur, cependant si tu relèves son identité toute la chance est de ton côté pour fait partie l'une des plus grandes journalistes en Côte d'Ivoire, ta carrière sera balancée sur ce coup de pion

_Moi : hummm, j'ai très peur d'échouer, tu es sûr qu'il sera là. Le travail est rude mon chéri, car personne ne le sait pas réellement qui est ce Nicholas Krachvenko.

_Dimitri : d'après mes investigations, il y aura une fête ce soir pour lui rendre hommage après avoir accepté investir dans le pays sur le plan économique et social par l'une de ses partenaires d'affaires

_Moi : merde, je n'ai rien apporté, tu ne m'avais pas prévenu au début, sinon je me serai fait une mise en beauté et une magnifique robe pour la soirée

Je lui ai répondu avec désespoir. Je veux relever sa vraie identité, c'est un rêve à coup sûr.

_Dimitri : tu sais que je fais tout en grand pompe Marwa, c'est pourquoi j'ai préparé tout de manière neutre.

Il m'a pris la main et nous sommes allés voir dans la chambre, j'ai vu une sublime robe floue, des chaussures et un sac très chic, et pour finir les produits de maquillage, j'ai sauté sur lui et je l'ai embrassée sur les lèvres.

_Moi : merci mon amour

_Dimitri : je veux te faire plaisir ma chérie.

_Moi : si, où as-tu trouvé l'argent? Je lui dis parce que je sais qu'il ne travaille pas pour une grosse somme capitale.

_Dimitri : je peux m'occuper de ma copine, c'est le reste de l'argent que tu m'as donné la semaine précédente.

_Moi : mon amour, tu as dépensé une fortune, je te le rembourserai dès notre retour.

_Dimitri : Saina me paie très bien, t'inquiète pas cette fois, c'est un cadeau rien de plus bébé.

J'ai mis deux mains sur sa taille avant de lui sourire tendrement.

_Moi : tu es un amour, je veux que tu penses à tes études universitaires.

_Dimitri : t'inquiètes pas ma belle.

****Voix de l'auteur ****

quelques minutes plus tard, Marwa s'infiltre dans la salle de la fête sans invitation pour cette mission, elle veut interviewer un politicien de renommé pour sa thèse de mémoire, ou un héros de la guerre mondiale, sa priorité pour l'instant c'est Vladimir Krachvenko, c'est un homme de guerre de l'armée russe, un commandant de haut placé, cette soirée est en son honneur, d'apres ce que j'entends, il décide subitement de relever son identité, mon prof de mémoire m'a beaucoup conseillé de faire strictement le minimum pour que je sois la première journaliste à lui accorder un interview, je pourrais décrocher un poste énorme à la télévision nationale ou à l'ONU peut-etre a l'échelle internationale aussi, on sait jamais le destin comme ça, mon père m'en voudra pas trop de l'avoir mentir durant quelques années concernant son choix, Ce Nicholas Krachvenko, un homme très puissant, d'après ses recherches personnelles, il est dans la cinquantaine rien que ça pour un homme aussi important, j'ai oublié c'est aussi un chirurgien expérimenté et puis il a une grande fortune, pourtant rien sur sa vie personnelle. Heureusement, mon copain Dimitri m'a aidé pour que je sois là ce soir. Je pris de la panique, car c'est une soirée privée que j'inflitre.

J'entre, tout le monde parle entre eux, j'rejoins le barman, j'prends de la place.

_Barman : whisky ou cocktail, il m'a dit

_Moi : cocktail

_Barman : d'accord Mlle.

Je tourne le visage pour contrôler la foule, les pieds croisés de l'autre côté avec ma robe fendue sur ma jambe droite mis en valeur mes cuisses sensuelles.

Je bois mon verre lentement. Je suis trop excité de voir cet homme en question.

Mes yeux sont tombés dans ses yeux, il se tenait dans la foule, parlant à plusieurs personnes autour de lui, j'ai vite reconnu que c'était le même homme qui était dans l'ascenseur cet après-midi, j'ai couru et tourné la tête vers Le Barman, je suis une idiote pourquoi ne pas voir qu'il ressemble à un homme politique parfois je suis trop maladroite, je porte pas trop attention à les personnes autour de moi des fois, j'prie pour que ce ne soit pas lui Nicholas Krachvenko, si c'est vraiment lui, je peux dire au revoir à tout mon rêve.

J'ai pris une profonde inspiration, je me suis levé et m'approche de lui avec un charmant sourire. J'essaie de lui conquis le mieux que je peux, le plus important, c'est faire la bonne impression.

_Moi : bonsoir, je suis étudiante finissante en journalisme de l'université la plus réputée de cette ville sans besoin de citer le nom.

_Nicholas : journalisme, il l'a répété ironiquement.

_Moi : en communication pour être plus précise, M. Kravencho [ Dis-je avec l'espoir que je me suis pas trompé sur la personne que je pense ]

_Nicholas : je ne suis pas la personne que vous pensez Mlle. [ il m'a rétorqué sans exiciter]

_Moi : waw quel accueil Monsieur. Lui répondis-je en riant très narquoisement.

_Nicholas : tu me veux quoi ? Puisque tout le monde ici veut une chose, ne me dis pas, tu veux voir M. Nicholas Krachvenko pour relever son identité à tout le monde.

Je lui ai souri, on dirait qu'il lit dans mes pensées cet homme si mystérieux.

_Moi : apparemment oui.

_Nicholas : bah, désolé, il ne pourrait pas y venir, il a eu un souci à la dernière minute.

Je plie mes yeux de la désolation. Puis je lui lâche doucement.

_Moi : tu es son assistant pour savoir tout ça. Tu es sûrement un russe

_Nicholas : oui

_Moi : alors !

_Nicholas : je suis son collègue. Excusez moi Mlle.

Il est parti sans rien me laisser le temps d'approfondir notre conversation, je viens de réaliser que je pourrai lui soutirer des informations sur cet homme, je vais lui donner du contrôle pour le reste de la soirée car il fait partie de l'armée russe si il est son collègue, je continue à me poser des questions sans réponses.

Où est cet homme Nicholas Krachvenko ? Pourquoi n'est-il pas là ? Il reste dans l'anonymat, pourquoi tant de mystère, mais je suivis ses débats, il est vraiment bon dans leurs dialogues, il domine aussi et à marqué son territoire, j'ai décidé de lui accorder une interview concernant cet homme peut importer pour savoir la relation entre les deux pays.

Une heure plus tard.

La soirée touche à sa fin, je suis déçue que cet homme ne soit pas présent, ils ont annoncé son absent par une lettre qu'il avait rédigée, je suis presque au bord des larmes, c'était mon seul espoir de convaincre mon père, je me suis sacrifié pour rien, je suis épuisée, je veux être dans mon lit pour avoir les idées plus claires, j'ai vu deux hommes venir vers moi, je suis surpris.

_Mlle suivez nous s'il vous plaît.

_Moi : vous me voulez quoi ?

_Suivez nous, notre patron voulait vous parler

_Moi : c'est vrai.

<< LA SUITE D'HOTEL >>

Je souris, car je reconnais un des hommes qui était à côté de lui pendant toute la soirée, je les ai suivis jusqu'au couloir, ils m'ont ouvert la porte, je suis entré, j'ai regardé tous les recoins de la pièce, je me suis dirigé vers la terrasse, cette suite est trop magnifique, on voit qu'il est un richissime homme politique.

J'ai entendu le bruit de ses pas derrière moi, je me suis retourné et je l'ai vu debout là avec un visage crispé, un verre à la main.

Un homme mûr qui a un caractère sacasme qui me déconcerte juste par son regard noir, il n'exprime aucun sentiment sur son visage. Il est très grand vis-à-vis de ma taille à la fois hautaine, ses cheveux grisâtres lui vont très bien d'après mon constat durant une seconde.

_Nicholas : Mlle. Vous pouvez vous asseoir

_Marwa : merci Monsieur.

J'occupe le siège en face de lui.

_Nicholas : qu'est-ce que tu veux que je fasse pour toi ? Me répondit-t-il après avoir bu une gorgée de son verre.

_Moi : je veux avoir un interview ou un témoignage de ta part, comme tu te connais très bien en la politique, j'ai entendu ta façon de penser entre les Russes et les Ivoiriens, donc j'aimerais entamer une conversation sur ce sujet avec toi, si c'est possible bien sûr.

Nicholas tourne les yeux vers la jeune femme, cette robe lui fera des merveilles et qui met en valeur ses courbes spectaculaires, elle est ronde et ses cheveux bouclés naturels lui vont à merveilles, il est difficile de nos jours que les femmes africaines acceptent leurs originalités et sa culture aussi.

_Nicholas : quel âge as-tu ? Je l'interroge.

_Moi : ce n'est pas très galant de demander a une femme son âge, je suis déçue car je pensais que tu étais un gentleman, je me suis trompé [ je lui ai répondu avec un sourire malicieux d'une fougue rire ]

_Nicholas : tu me trouves mignon pour mon âge, ce n'est pas interdit pour ton âge de craquer pour un homme comme moi, me balbutia-t-il d'une voix dominante.

_Moi : il faut avouer que tu es séduisant, pour finir, je ne suis pas une fillette, plutôt une femme qui te laisse désirer à mon avis, j'ai vu la façon dont tu me dévorais des yeux et mes courbes, ça voit que je te fais de l'effet.

Il me retroussait ses lèvres, son sourire charmeur qu'il dégage me fasse frissonner bizarrement.

_Nicholas : une femme, il m'a répondu d'un ton sarcastique Je ne lui quitte pas des yeux, quand nos regards se croisent, je deviens timide et perplexe. Je lui ai affiché une bonne mine pour qu'il ne remarque pas qu'il me gêne complètement. Pourquoi cet homme m'a fait tant d'effet d'un coup. Ce n'est pas un bon signe.

Je me suis mise débout, ainsi que lui-même, j'ai pris mon sac à main pour partir, il m'a pris la main doucement, il m'a pris par la taille, sa bouche d'un Cm de la mienne, je ressens la chaleur de son corps sur le mien, sa main sur mon dos nu, je tressaillis de cette tendresse, il m'a murmuré à l'oreille.

_Nicholas : nous n'avons pas terminé cette conversation, pourquoi tu t'enfuis. Me posait-il la question sur mon empressement soudain ?

Je lui ai souri d'un air inquiétant.

_Moi : je n'aime pas ce jeu Monsieur. Lui dis-je sincèrement.

_Nicholas : pourquoi ? Tu es mineure, tu es mariée ou avoir un copain.

_Moi : je ne suis pas mineure, j'ai 30 ans puis je suis une femme libre comme de l'air, tu es satisfait maintenant.

_Nicholas : voici ma carte

Ses yeux rivés vers moi, il fait un pas de plus dans ma direction.

Je recule pas après pas. Il m'attrape brusquement dans ses bras, nos deux corps s'affolent, je ressens bizarrement une intense sensation dangereuse qui se dégage entre-nous.

Nous nous fixons dans un silence qui régnait autour de nous, je sens sa main qui va et vient tendrement. Ses caresses me font frissonner tout mon corps, ses attouchements me rendent paralysé dans ses bras, je baisse rapidement les yeux, par sa domination, j'avale mes salives pour me ressaisir de la situation indécente qu'on partage.

_Nicholas : J'accepte de t'accorder une interview, tu seras la seule avoir ce scoop, tu pourrais même décrocher un poste à l'étranger.

Je sors une nouvelle fois de son emprise contente

_Moi : je tiens à te remercier, une chose pourquoi tu acceptes subitement ? Lui posais-je la question.

_Nicholas : je suis un homme de guerre, tu es une fille qui m'impressionne, je veux juste t'aider rien plus.

_Moi : merci Monsieur.

Je suis venu pour partir, j'étais sur le point d'ouvrir la porte, il m'a retiré la main du poignet, et m'a tiré à lui pour qu'il dévore mes lèvres, d'un baiser langoureux, j'ai répondu sensuellement à son baiser, je me suis je laisse qu'il me guide dans ce moment excitant entre nous, il est venu me serrer plus fort dans ses bras, j'ai humé l'odeur de son parfum, il sentait bon, son corps est tellement viril pour un homme de son âge, il est très charismatique et très séduisant, ses deux mains sur mes fessiers, ma main sur son visage, mes yeux sont fermés, nous continuons à nous embrasser, puis nos lèvres se séparent lentement, son regard se tourne vers le mien, je me rends compte de mon erreur, j'ai honte, je regarde partout sauf lui, mais il me serre toujours dans ses bras. J'essaie de lui sourire en essayant de me dégager de ses bras, il refuse catégoriquement.

_Nicholas : pourquoi tu évites mon regard ? Je veux connaître ton nom et ton adresse.

La porte s'ouvre, c'est un de ses hommes, je me sens gêné dans cette position embarrassante qu'il nous trouve.

_Excusez-moi Monsieur. Je voudrais parler de Juliette.

_Nicholas : d'accord. Je suis soulagée d'être libérer de son emprise après être interrompu par ce mec, il m'a dit.

_Nicholas : tu m'attends ici. Il m'articula d'une voix autoritaire.

Après son départ, j'en ai profité pour m'en aller loin de cet endroit.

<< LA VILLA KRAVCHENKO >>

[ OLIVIA SPENCER]

_LA VÉRANDA

J'incline mes yeux à plusieurs reprises, mes mots me manquent beaucoup, mes pensées deviennent dégradantes face à Dimitri ainsi qu'instable aux sentiments de les filles. Je sens qu'il faut mettre les choses à plat, elles doivent en discuter d'après ma réflexion malheureusement, ce n'est pas la meilleure solution, je dois parler avec ce jeune homme pour savoir sa position entre Marwa et Saina sinon les choses vont partir en cacahuète dans notre trio. Je ne veux pas qu'elles soient blessées ou avoir les cœurs en miettes juste pour une aventure sans lendemain.

Elle dépose sa main sur ma jambe qui me sort de mes pensées inquiétantes. Je lui ai souri puis répondre convenablement pour qu'elle ne remarque que rien.

_Olivia : Écoute Saina, laisse-moi te dire mon avis, je pense que tu devrais parler d'abord avec Dimitri ensuite, tu en parleras à ton père

_Saina : pourquoi tu penses ça ? Tu sais que mon père brise toute règle dans un éclatement de doigt.

_Olivia : bien sûr, je sais, cependant, il ne peut pas utiliser son nom ainsi que son pouvoir pour te trouver un mari ou un petit ami, c'est l'amour ma chérie, ça ne se force pas.

_Saina : tu le penses sincèrement, qu'il va penser ça de moi.

_Olivia : Euhh oui surtout tout le monde sait qu'il est un maniaque dans l'armée russe, ma chère, j'ai simplement donné mon avis, car j'aimerais que tu fasse les choses bien sans vouloir que tu t'empressais les choses que tu utilises ton nom pour lui avoir sans son consentement ou son approbation

_Saina (souris): je ne veux pas qu'il pense ça de moi, Olivia, je veux que tu m'aides sincèrement.

_Olivia : Saina, je ne dois pas interférer dans votre histoire.

_Saina: je suis amoureuse de lui depuis des lustres, il refuse de fait le premier pas, il est très protecteur quand il s'agit de moi

M'avoue-t-elle dans une voix adoucie.

_Olivia : presque normal puisqu'il est ton garde du corps, il ne fait que son boulot.

Repondis-je sincèrement.

_Saina : s'il te plaît Olivia, tu peux au moins parler avec lui avant que je lui dis ce que je ressens depuis ce temps à son égard

Elle se sent dans un embarras pour la demande de son amie, elle lui sourit après avoir tapé sa main sur la sienne.

_Olivia : pourquoi pas ? Mais tu dois me promettre une seule chose.

_Saina (ris): tout ce que tu veux ma chérie, tu sais que je ne peux rien te refuser

_Olivia : ça doit rester entre-nous pour l'instant sans que Marwa le sache, tu sais qu'elle traverse une période difficile, en tant que notre amie, on doit l'aider à surmonter ses épreuves.

_Saina(Attristé): je suis absolument d'accord, je ne peux pas lui montrer mon contentement, sûrement sa discussion avec son père s'est mal terminé.

_Olivia : ainsi que la dernière fois Saina, elle ne mérite sincèrement pas ça.

_Saina : il faut remarquer que sa rébellion va lui causer du tort encore et encore

_Olivia : je m'en inquiète pour elle.

<< DORTOIR DE L'UNIVERSITÉ >>

****MARWA GRAYSON****

Je sors de ma chambre pour aller retrouver Olivia dans la sienne après avoir vérifié celle de Saina, je soulevai le drap pour prendre de la place à côté d'elle et Olivia tourna pour me faire face.

dit-elle les yeux fermés

_Olivia : à quelle heure es-tu rentrée ?

_Moi: Euh 1 h du matin

Elle a couru pour ouvrir les yeux après ma réponse et s'est levée pour s'asseoir sans me quitter des yeux. Je sais qu'elle a du seum après ma réponse.

_Olivia : c'est vrai Marwa, nous n'avions pas établi une règle et tu le sais plus que nous, personne ne doit être à l'extérieur du dortoir après minuit.

_Moi : ne t'énerves pas ma chérie, Dimitri m'avait ramené à la maison.

Lui j'y réponds donc pour l'assurer que tout allait bien.

_Olivia : je n'aime pas ça, j'ai l'impression que ce Dimitri n'est pas clair, je m'inquiète pour toi, je ne veux pas qu'il ait un arrière pensé, n'oubliez pas que nos parents se sont des personnes riches.

Je suis abasourdi par sa façon de parler soudain d'un coup parce qu'elle avait une autre pensée quelques heures auparavant de cela.

_Moi : tu as dit mon père, je n'ai pas un sou Olivia.

_Olivia ( irrité) : tu es la fille d'Ernest Grayson

_Moi : tu es sérieuse Olivia sûrement pas, car il y a quelques heures, tu m'as conseillé de faire confiance à lui et mes sentiments maintenant, tu te méfies de lui.

J'articulais d'un air perdu.

_Olivia : excuse-moi ma chérie, c'est juste que je suis trop protectrice envers toi et Saina, n'écoutez pas ma stupide suggestion, je suis encore désolée.

_Moi : ne panique pas ma belle

Je lui pris la main avant de me dire avec un sourire au fond des oreilles.

_Olivia : c'est comme ça été que ton rendez-vous galant.

J'ai répondue avec enthousiasme.

_Moi : on n'a pas passé une nuit super romantique, on a tellement parlé de notre amour que je n'arrive pas à croire que je vis la vraie vie Olivia, j'ai un petit ami.

Je me suis laissé tomber sur le lit devant elle et j'ai tendu les deux bras très joyeusement puis j'ai levé les yeux vers elle de nouveau.

_Olivia : puisque tu es heureuse, je le suis pour toi.

_Moi : merci, mais où est Saina ? Elle est déjà partie en cours.

_Olivia : apparemment, son père est revenu, elle voulait en profiter au maximum.

_Moi : je ne le savais pas, heureusement, elle a une bonne relation avec lui.

J'ajoute d'un air attristé.

_Moi : enfin, on va rencontrer son père.

_Olivia : s'il est craquant, je le veux Marwa.

On s'éclate une fougue de rire face à nos conneries.

<< HÔTEL SANTANA >>

22 heures

[ NICHOLAS KRACHVENOV]

Je suis arrivé à ma fête en l'honneur des Forces armées russes pour rencontrer nos compatriotes qui étaient en mission spécialement à Abidjan. Le général en chef me tape dans le dos et me fait signe pour que je le suive hors de la pièce

Nous arrivons dans un lieu privé, le serveur nous sert du champagne après son déménagement.

Nous installons confortablement sur le canapé.

_Nicholas : je te félicite chef pour cette fête.

_General : je suis très heureux que tu y participes, ça me fait spécialement plaisir de te voir après des années sabbatique hors du force russe.

_Nicholas : je voulais me concentrer sur ma carrière médicale.

_General : oui, je n'ai aucun doute et ça me fait très plaisir que tu as accepté mon invitation pour avoir cette discussion.

_Nicholas : je suis à votre service.

_Général : félicitations Nicholas, tu sais que je vais prendre ma retraite, je n'ai pas la meilleure personne qui puisse succéder ma place que toi

_Nicholas : Quoi Général ?

Je souris pour cette nouvelle surprenante.

_tu as été un bon soldat pendant des années et tu nous as fait travailler avec la mafia russe, c'était pratiquement impossible au début, grâce à tes stratégique que tu as été séquestré plus grand baron de la drogue de la mafia russe. Alors je veux que tu prennes ma place, tu es la personne la mieux placée d'après le comité central.

_Nicholas : je me sens heureux de tous ces éloges, je me sens prêt à te succéder à ta place, et tu ne regretteras pas.

_Je sais que tu es une personne professionnelle, avant de devenir Général, tu es censé te marier sinon malheureusement ce n'est pas le cas

Je trouve ça ridicule parce que je ne sais pas ce que le mariage a à voir avec une carrière professionnelle.

_Nicholas : c'est une grosse blague. Dis d'un rire cynique.

_Pas du tout, c'est la nouvelle loi que nous rétablissons dans notre règlement, alors si tu devrais trouver une femme plus vite que possible

_Nicholas : je vais jamais me marier avec tout le respect que j'ai pour toi.

Lui répondis-je d'un air fermé.

_Alors tu devras rester de toutes les fonctions ainsi que tu dois t'installer dans un autre pays puis changer tes identités, il ne faut pas oublier les secrets, tu vas avoir tes ennemis dans tes pattes durant toute votre vie. Tu sais les enjeux plus que nous.

Je soupire avant que dis-je.

_Nicholas : il me faut combien de temps pour trouver une épouse.

_Avant la fin du mois puisque si tu ne me remplaces pas se sont l'autre partie qui va tout contrôler

_Nicholas : j'accepte Général. Lui balbultias-je d'un ton ferme

            
            

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