Chers grand mère Leoneg
Le 24mai 2019 tu nous as quitté dans le flous des événement, tous et toutes on cru a une mauvaise blague qu'on l'on a annoncé ta mort ! Ce jour là j'ai prié pour que ce ne soit qu'un cauchemar. Et pour tant !
Te souviens-tu ? Qu'avant que tu ne partes à Tana quelque jour avant ta mort tu m'avais promis de m'apprendre à tricoter un bonnet pour ma poupée Jasmine. Et ainsi rendre mes sœurs jalouses !
Te souvient tu que tu avais pleuré car je devais rentrer chez moi car les vacances de pâques était terminer ?
Te souvient tu que ma mère t'avait promis que je reviendrais pour les grandes vacances ?
Et bien après ta mort je n'y suis revenue que 5 fois aux maximums. Cette maison est pleine de toi ! Elle t'a abrité pendant nos moments de pur bonheur. Elle t'a abrité pendant nos moments de tristesse. Tu y as réunie la famille. Tu y as pleuré ! Tu y a vu d'autre pleurer te racontant ses malheurs. Tu y as porté le poids de ton rôle. C'est pour cela qu'à présent mon ancien havre de paix est devenue trop charger et impénétrable pour mon âme blesser par ta si injuste mort.
Chacun supporte à sa façon ! J'ai survécus a travers tes souvenir puis tes souvenir ce sont peut a peut défriper. J'ai donc écrie pour te graver ! Mon cœur est dedans car à chaque fois j'ai pleuré la gorge noué !
Le savais-tu ? Après ta mort mon cœur est devenu malade ! Un jour elle m'étouffera. Un jour je ne pourrais plus la supporter ! Ce jour la je serais avec toi.
J'ai en souvenir tes larmes, le jour ou devant moi et mon père tu racontas ton enfance, la douleur que cette enfance difficile avait laissé en toi. J'ai dans ma tête ta voie casser, tes sanglots étouffer, et tes yeux perdu dans tes souvenir.
J'ai en tête, ses larmes que t'a versées, le jour ou ma sœur cadette devait se faire opérer. J'étais la je te suppliais d'arrêter car mon cœur ne pouvait te voir pleurée, car mon cœur ne pouvais supporter te perdre car tu aurais pu faire un arrêt cardiaque. J'avais plus prié pour toi que pour ma sœur.
J'ai en tête nos danse, danser sous du Mireille Mathieu. Quand tu chantais « une femme amoureuse » « Acropolis »... tu rayonnais, la maison était remplie de toi, de ton bonheur, de ton amour, de ton cœur, et de nos toujours.
Je rêve encore de m'asseoir sur ce lit, adjacent a la table ou tu passais une partie de ton temps a te faire belle, ton sourire devant la glace de cette petite table, ton parfum si enivrant, mon rire suivie du tien.
Comment ne plus repenser a ses jour où quand j'étais petite tu me portais avec toi pour m'emmener aux marchés, a ta station d'essence, tu me protégeais, tu m'éduquais ! Tous ses petits caprices que tu me cédais tout ses choses que jamais tu me refusais ! Dans tout cela je n'ai su rembourser même pas un tiers.
Tu as raté mon brevet ! Je l'ai eu ! Tu as raté mes deux anniversaires consécutives qui était sensé être le 26mai. Tu as raté beaucoup de chose, et à chaque fois j'en était brisé. Tu rateras beaucoup d'autres choses ! Et j'en serais encore plus briser.
Le plus douloureux dans cette histoire c'est qu'avec le temps la douleur passera. Je t'oublierais malgré moi, ta voie déjà est beaucoup trop flou, trop lointaines. J'oublierais peut-être tout ce que tu a fais pour nous. Tout ce que tu ne pourras plus faire, tout ce que tu aimais, et tout ce que tu aurais aimé !
Depuis ta mort je ne suis jamais revenue sur ta tombe, qui sait peut être cette année.
Je sais une chose c'est que j'ai beau avoir dit « je t'aime grand-mère » plusieurs fois ! Cela n'aurais pas suffit à te rendre tout ce que tu as fait pour nous. << Tu vivras à travers moi >>