Un été, 10 semaines, 67 jours plus précisément. C'est tout ce que j'ai pus obtenir de mes parents avant de redevenir la jeune femme bien éduquer, douce et toujours parfaite que je me dois d'être. En tant que fille de l'homme d'affaire le plus réputer du pays, je me dois de respecter à la lettre le code de vie qui m'as été imposé depuis ma naissance. Vous croyez que c'est une vie qui fait rêver? Peut-être, à d'autres, mais pas à moi. Moi, ce qui me fait rêver, c'est la vie des jeunes filles normales. De pouvoir sortir quand je veux, avec qui je veut.
M'habiller comme je veut, pouvoir penser comme je veux, et surtout! Surtout, danser comme je veux. Mais mes moindres faits et gestes sont examiner à la loupe et je me dois d'être parfaite pour être a la hauteur de mes Ôh si importants parents!
Mon père rêve de me voir suivre ses traces et prendre le relais de son empire après sa retraire qui, soyons honnête, ne viendras pas avant très longtemps selon moi. Il est beaucoup trop contrôlant et obsessif du moindre détails. Après, faut j'imaginer qu'il me laissera tout entre les mains, sans fouiner et me contrôler? Faut pas trop rêver non plus. De toute façon, cela ne m'intéresse pas. Et l'idée de devoir me plier aux volontés de mon père me déprime aux plus haut points. C' est en jouant cette carte que j'ai convaincue mon père. La déprime et ma mère qui a plaider en ma faveur. Il m'a donc autorisé 67 jours d'anonymat pour découvrir la vie normal des jeunes de mon âge. Je dois absolument me taper un chaperon 24h sur 24, mais c'est mieux que rien du tout. Et puis c'est Alex qui a obtenue le poste de baby-sitter, et il es de loin celui que je préfère parmi tout le personnel de sécurité de la famille. Alex a commencer a travailler pour mon père alors que j'avais seulement 6ans. Il avait été engager pour être mon garde du corps personnel car un pseudo maniaque aurait tenter de m'enlever en quittant l'école. Depuis, il m'accompagne lors de mes déplacements. Mais là, il vivra avec moi. Il sera constamment a mes baskets. Tant pis, je ferais tout pour l'oublier et profiter à fond de mon été.
-Ma précieuse? La voiture est prête... tu es certaine de vouloir partir seule si longtemps? me dit ma mère.
-Oh oui maman. J'en suis plus que certaine, j'attends ce moment depuis si longtemps. Et puis, ce n'est qu'un été. Pas plus longtemps que lorsque j'allais au camps équestre. Cela passera vite, ne t'en fais pas.
-Tu as probablement raison. Mais je ne peut m'empêcher de m'inquiéter. Et si on te reconnais?
- Dans un pays lointain? Je ne crois pas. Tout est si bien préparer et je connais ma fausse identité par cœur. Et puis il y aura Alex.
- Je sais, je sais. Mais n'oublie pas que je suis la, que tu n'a qu'à téléphoner pour revenir au près de nous. Et, sil te plais, va voir ton père au boudoir avant de partir. Je refuse que vous vous quittiez ainsi.
- Arrrh c'est lui qui joue a l'enfant
- Ne recommence pas Sarah Jeanne James.
Ce n'est pas ainsi que je t'ai éduquer, et il sera triste jusqu'à ton retour si tu ne va pas lui dire au revoir.
-Très bien, j'y vais. Au revoir maman, je t'aime.
- Je t'aime aussi ma précieuse, de tout mon coeur.
Je quitte ma mère pour partir à la recherche de mon père, je le trouve au boudoir, comme ma mère me l'avais indiquer.
-eum, papa? Je pars et je voulais seulement te dire au revoir ......et que je suis désolée de te décevoir.
-oh, ma princesse, viens part ici. Me dit mon père en m'indiquant le siège en face de lui.
- Tu ne me déçois pas, bien au contraire. Je ne comprends seulement pas pourquoi tu tiens a ce point a vivre cette vie de débauche.
-S'il te plais ne recomm...
-Ok. Désolé, n'en reparlons plus. La maison est prête, et des effets personnels y sont déjà installé. Je t'ai envoyer un programme afin que tu ne t'ennuie pas. Ce sont des lieux que tu peux visiter, tu y sera en sécurité. Et ne te sépare jamais d'Alex. Jamais.
- Moi aussi je t'aime papa, tu va me manquer.
- Je t'aime Sarah.
Je sais qu'il m'aime. Il attentionné et ne désire que me protéger. Il à toujours été présent pour moi, mais il temps de me donner un peu de liberté.