Mes clients son monsieur et madame de tout les jours mais aussi des prostituées, des personnes pas fréquentables mais moi je m'en foutais ce commerce me nourrissait moi, ma grande mère et mon petit frère. Comme dans la coutume après la mort du fils aîné ses biens revenait a ces frères, son fils et ces enfants. Et a première vue mon père ne possédait pas grand chose. Pour mes oncles il était hors de question de m'envoyer a l'université avec leurs argent.
A pars la dépendance dans lequel nous vivions avec papa dans la maison de mon grand père nous n'avions rien. Un an après leurs morts je me suis retrouvé a vendre du Attikê au pour pouvoir payer l'écolage de mon petit frère. Après avoir compter l'argent des funérailles je décide de les mettre sur un compte d'épargne pour mon petit frère Cédric moi je me débrouillais.
Je m'étais fait construire une grosse cabane derrière les murs de la maison ainsi une autre voisine c'était joint a moi ainsi qu'un jeune homme du quartier eux aussi vendais de la nourriture pour survivre. A l'abris de la pluie du vent et du froid on se tenait compagnie entre voisins je craignais rien vue que la majeure partie de mes clients étaient souvent des policiers qui venait manger chez moi où boire du café chez mon voisin Stéphane. Les policiers nous avait surnommé les 2 vendeuses et le pédé faisant références a l'homosexualité de notre voisin Stéphane encore surnommé Stéphanie.
Ce dernier ne s'en cachait pas et les habitants du quartier le laissait tranquille car malgré l'homophobie qui régnait dans leurs cœur Stéphane était le seul celui qui possèdait une petite voiture ci quelqu'un tombe malade la nuit c'est sa voiture qui l'envoyais a l'hôpital et l'hôpital était loin trop loin pour ce permettre de l'insulter ou de lui faire un mal quel qu'il soit.
La dernière fois où certains jeunes du quartier avait agresser Stéphane est rester hospitalisé pendant 6 jours.
Dans la même semaine un petit garçon est tomber très malade dans le quartier il y avait un monsieur qui possèdes une moto mais transporter un enfant malade a moto n'était pas facile car sur le chemin qui menait au CHU ils ont eu un accident grave l'enfant est mort. Bien sûr nous avons un chauffeur de taxi dans le quartier mais il a déménagé après avoir aider 3 personnes. Pour ne plus avoir a aidé qui que se soit il a préféré partir en douceur. Et Stephan lui aussi ne se sentait plus responsable de quiconque. Tout le monde a très vite compris que la gentillesse du jeune homme avait des limites il avait décider de vendre sa petite voiture pour se trouver un studio loin de chez nous. C'était mon père et quelques hommes du quartier qui son aller le voir pour s'excuser depuis ce jour plus personne ne le regarde de travers.
Après une longue soirée de travail je rentre a 5 heure du matin toute épuiser avec ma grand-mère et mon petit frère sur le dot. Nous ne traînons pas trop dehors en plus c'est Dimanche je devais aller me coucher pour pouvoir me réveiller très tôt je devais aller faire le marché. Vers 13 heures je me réveille je vais prendre une douche et je cour faire mon marcher a mon retour je vois Sonia qui était entrain de s'amouracher avec le fils du voisin je fais comme ci je ne les avais pas vu et je passe mon chemin. Sonia était ma cousine elle était un peu plus âgée que moi. Si moi je suis passer à côté son père lui ne l'a pas rater mon oncle les a surpris et a battue sa fille. Alors que je m'apprêtais à partir Monique la grande sœur de Sonia vient m'aborder et vue son visage elle n'était pas venue pour jouer.
Monique : Tu savais que papa était derrière toi mais tu est passé sans prévenir Sonia pourquoi tu as fait ça dit moi Nia
Nia: Vous deux vous m'avez interdit de me mêler de votre vie donc je me tiens loin vous c'est tout où est le problème
Monique: Va là jalouse tu voulais que papa les surprend pour nous voler notre place c'est ça tu a menti Nia tu as mentis.
Nia: Vous voler quoi Monique?
Monique: Notre héritage, ton père est mort je ne sais pas ce que tu fais dans cette maison tu attends que mon père meurt aussi pour prendre la maison familiale mais cela ne va aller.
Nia: Tu est pitoyable Monique cette maison appartient à tout le monde donc sortez de vos rêves toi et ta mère.
Tout d'un coup je vois cette idiote avancée son pied vers la grande bassinne remplie de poisson frit pour mon attikê cette voulais tout renverser au sol j'ai attrapé son pied de justesse en colère je la corrige correctement de vrai mal éduquer.
Le lendemain matin a mon retour du travail ces la femme de mon oncle Rodrigue qui vient me réveiller mes oncles voulais me parler je regarde la montre il était 9 heures je venais tout juste de déposer mon petit frère a l'école je me lève tout épuisé ma grande mère dormais toujours.
Nia: Bonjour tonton Joseph Bonjour tonton Rodrigue
Joseph: Bonjour tu a bien dormi?
Nia: Oui tonton vous vouliez me voir ?
Rodrigue: Que c'est il passer ici hier avec ta grande sœur
Nia: Tonton je m'apprêtais à partir quand elle est venue me reprocher de ne pas avoir prévenus Sonia que tonton Joseph arrivait le jour où il l'a surprise avec le fils du voisin. On discute elle m'accuse de vouloir leurs volée la maison familiale je dénie et tout d'un elle essaie de renverser toute la nourriture que j'ai prépare avec le pied je parle de la bassine de poisson je me suis énervée et on s'est battue.
Joseph: Mercie Nia va te reposer s'il te plaît.
Nia: Tonton cela tombe bien que je vous vois tout les deux ici
Rodrigue: Tu veux nous dire quelque chose ?
Nia: Oui tonton j'ai décidé de quitter la maison j'ai déjà vu une petite maison pas loin d'ici et pas chère du tout.
Joseph: Tu est folle tu quittera cette maison le jour de ton mariage pas avant tu m'as compris ?
Nia: Tonton ne le prend pas mais mes parents sont déjà mort je veux pas de problème et vue l'allure que les choses prennent dans la maison je préfère partir avec Cédric tante Éliane et ces filles son capable de tout moi je peux me défendre mais Cédric est encore trop petit il vient a peine de commencer l'école.
Rodrigue: De quoi tu parles je ne comprends rien du tout
Nia: Tonton apparemment Tante Éliane pense que je veux volé la maison familiale a tonton Joseph mon père n'avait rien donc Cédric et on ne discute rien avec quiconque. Ce n'est pas la première fois que cette phrase est lancer a mon égard avant qu'on ne m'accuse de n'importe quel chose je pars c'est mieux.
Joseph:Écoute ton père était chez lui ici le pavillon dans lequel tu vit appartient à ton père c'est ton grand père qui lui a donné et cette cour nous appartient tout et si cette folle d'eliane dit autre chose elle ment.
Nia: Tonton je comprends mais s'il vous plaît je veux aller vivre là en plus je ne vais pas la bas seul grand mère vient avec moi.
Dans la journée je serai ici le soir on sera là bas avec la vielle.
Rodrigue: Hors de questions maintenant va te coucher.
Je les laisse seul et je retourne au pavillon pour dormir mais je me rend vite compte que le sommeil m'avait quitter. Je vais m'apprêter pour me rendre au marché quand tout d'un coup un homme vêtue d'un costume cravate m'aborde devant la maison
Avocat: Bonjour mademoiselle je cherche le domicile Mensah
Nia: Bonjour! C'est ici je peux vous aider ?
Avocat: Je cherche une certaine Nia Mensah
Nia: C'est moi Nia Céli Mensah que puis je faire pour vous ?
Avocat: Je suis maître Hervé Rouanh l'avocat de Monsieur Luc
Nia: C'est mon père mais il est mort ils y'a 2 ans déjà entrer mes oncles pourrons vous éclairer.
Avocat: Non dite moi vous avez une pièce d'identité officielle ?
Je lui réponds oui en sortant ma carte d'identité de mon porte monnaie et en lui montrant... IL affiche aussitôt un grand sourire enfin crit l'avocat cela fait 1 ans que vos oncles me tourne en boucle ! Je ne comprends rien il me demande de le suivre. J'hésite mais je m'y résigne.
Nous allons dans restaurant tout juste à côté et l'avocat me livre le tableau du vrai visage de mes oncles.
Avocat : Mademoiselle Monsieur votre père vous a laissé un héritage considérable a vous et à votre petit frère. Vous nommant ainsi comme sa tutrice légales dès l'âge de 18 ans. Cela fait bientôt un an que je fais les aller retour pour faire votre connaissance et a chaque fois vos oncle me disais que vous avez voyager. Qu'ils étaient vos tuteurs légales de ce droit ils me demandaient de leur mettre a ciel découvert le testament de votre père ce que j'ai toujours refuser.
Nia: Je n'ai jamais voyager de toute ma vie
Avocat: C'est votre voisin monsieur Stéphane qui m'a éclairer sur votre situation de vie ce matin. Mademoiselle je peux vous lire le testament de vos parents ?
Nia: Pas ici monsieur l'avocat.
Avocat: Non ne vous inquiéter pas venez demain matin dans le bureau du Notaire monsieur Grégoire Truelle pour la lecture du document. Si vous avez du temps on peut y aller enssemble.
Nia: Non j'ai un rendez vous que je ne peu pas rater je peu venir vers 14 heures cela vous convient ?
Avocat: Oui mais évitez de venir avec vos oncle c'est plus sûr.
Nia: Ne vous inquiéter pas pour cela.
L'après midi je finis de mettre mon attikê au feu je cour supplié Stéphane de l'emmener voir l'avocat chez ce notaire. Je rentre seul dans le bureau et ce que j'apprends du testament de mon père me laisse sans voix. Je considère tout et je retourne vite a mon stands d'atiekê avec Stéphane aussi qui préparait son petit coins de café. Mon père ne nous avait pas laisser beaucoup d'argent mais des terrains sur lequel construire qui avait été prise en charge par le service notarial jusqu'à mes 18 ans.
Le lundi suivant je ne prépare pas vite Stéphane m'emmène voir chacun de ces terrains. Clôturé et bien entretenu je fond en larme mon père n'avait pas laisser ces enfants sans rien. Stephane me calme,
Step: Asso calme toi maintenant tu dois tout faire pour construire avant que tes oncles ne viennent mettre la main dessus.
Nia: Même si je travaille et que je vend attiekê pendant 4 ans même fondation d'un lot je peu pas financer!
Step: Commence au moins par économiser sur ton compte !
Nous reprenons le chemin de la maison. Sombré dans mes pensés je ne pouvait pas croire que mon père nous avait laisser de quoi sortir des problèmes. Je me garde d'en parler à Amandine je connais ma grand-mère elle risque de réprimandé mes oncles et je ne saurais comment défendre tout ces biens. Je pars mettre les documents dans un coffre à la banque et je retourne à la maison finir de cuisiner mon attiekê. Donc c'était pour cela que mes oncles voulais me garder dans la maison familiale. Selon nos coutumes les biens de mon père revenait aux hommes de la famille se qui voulais dire a mon petit frère. Mes oncles nous aurait tout pris en prétextant vouloir protéger les intérêts de Cédric jusqu'à sa majorité en bref mon petit frère et moi pouvions faire une croix sur tout cela. C'était maintenant clair que je ne pouvait pas déménager l'argent d'un studio représente un paquet de ciment.
Je vais me tuer a la tâche je suis devenue une machine je cuisinait attiekê sur attiekê. Un soir alors que je somnolait devant mon stand 3 voitures de luxe viennent s'arrêter devant nous. Un groupe d'homme en costume cravate bien parfumer accompagner de leur femme se dirige vers nous. L'un d'eux commande pour un total de 300 milles francs. Je finis la commande et je reçois l'argent. Pendant qu'il démarrait la voiture je remarque qu'il y avait 50 milles francs de trop je fais signe a l'un des conducteurs qui descend la vitre du véhicule et je lui remets les 50 milles.