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Ma Maladie Et Moi

Ma Maladie Et Moi

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Résumé

À vrai dire... Je suis terrifiée à l'idée de mourir ! «Mon nom est Érika Asano, fille unique de Meily Matsuri et Ayase Asano. J'ai perdu ma mère depuis ma naissance, suite à une terrible maladie dont aucun médecin n'a sut tenir tête. Personne ne sait de quelle maladie il s'agit... De mère en fille, je suis née avec la maladie... Mes séjours me sont comptés... » Mon père veux que je reste toujours enfermée, pour lui c'est la meilleure solution pour que je sois en sécurité. Je trouve cela inadmissible ! Il n'a pas le droit de me faire ça. Et puis j'ai besoin de sortir un peu, pour voir à quoi ressemble la vraie vie, qu'es ce que les gens font à longueur de journée. C'est bien une chose que j'ai envie de faire avant de mourir. Il sait très bien qu'il n'existe aucun vaccin contre cette maladie, aucun. Mais il croit à ce docteur. Et moi je le trouve trop bizarre comme docteur, il est toujours songeur quand on est ensemble. " Je ne suis pas une princesse... Je n'ai jamais voulu d'une vie comme celle-là" ~Plongez dans notre monde " Ma Maladie Et Moi " pour plus d'épris.

Chapitre 1 Ma Maladie

Où suis-je ? Pourquoi tout est blanc à mes yeux ? Et cette lumière aveuglante qui brille comme une étoile tous ces gens en blanc comme neige, pourquoi m'encerclent-ils ? Je me rappelle plus de rien, qui suis-je en réalité ? Et qu'es ce que je fais ici, allongée dans ce lit et incapable de bouger ? Tout ces appareils qu'ils m'ont mises, à quoi servent-ils ? Mon corps ne répond pas à mon appel, j'ai mal partout et mon cœur me pince si fort qu'une aiguille.

Et cet homme quadragénaire pourquoi pleures-t-il en me regardant ? Serais-ce des larmes de joie ou de tristesse ? J'ignore complètement.

-Ça y est elle a repris connaissance.

L'homme qui semble me connaître mieux que toutes les personnes présente s'avance vers moi tout inquièt. Et en même temps soulagé de me voir éveillée.

-Ma princesse...

Il se met à genoux et colle son front contre le mien, ses yeux pétillants plongés dans les miens me rappel quelques choses.

Oui c'est sûrement cela, cet homme est mon père je me souviens maintenant de qui je suis. Je n'arrive pas à lui parler, pourtant je sais qu'il veut entendre ma voix.

-Tiens bon ma princesse, tout se passera bien, je te le promets.

Il me sourit légèrement en caressant ma joue. Ce sourire me plonge dans un océan de tendresse incompréhensible.

-Je t'aime plus que tout.

Il me donne un baisé sur le front avant de se redressé. Je ne peux que le suivre du regard.

-Nous rentrerons bientôt à la maison tous les deux, soit forte ne laisse pas cette maladie prendre le dessus sur toi.

Cette maladie... Oui c'est bien elle, depuis ma naissance elle vie en moi. Chaque jour elle me vide de mon sang, me prive des jeux des hivers, des sorties à la plage, être en public, manger des sucreries, et pour conclure aller à l'école...

J'ai jamais eue la chance de voir à quoi ressemble un lycée en vrai. Mon père trouve que cela est inutile, pour lui il est préférable que je reste bien au chaud chez moi avec ma gouvernante. J'ai même pas le droit de voir à quoi ressemble la ville dans laquelle je me trouve, et tout ça à cause de ma Maladie.

Les médecins n'y peuvent rien il essaient de prolonger ma durée de vie. D'après eux je ne pourrai pas atteindre mes dix-neuf ans voir dix-huit ans. Mais mon père tiens à me sauver même s'il devait sacrifier sa propre vie pour y parvenir, à quoi bon forcé si c'est le destin qui le décide ?

Personne ne sait de quoi je souffre, c'est une maladie inconnue. Et je suis la seule qui en soufre. Mon père m'a dit que ma mère avait la même maladie malheureusement suite à ma naissance elle n'a pas survécu, tout cela à cause de cette maladie et moi je l'ai eue à mon tour.

Je suis la fille unique de mon père, et je compte beaucoup pour lui. Il me dit à chaque fois que je suis le seul souvenirs qui lui reste de ma mère et qu'il ne supporterait pas me voir périls à ses yeux. Depuis la disparition de cette dernière il ne s'est plus remarié. J'ai donc grandir sans mère, mais j'ai quand-même une gouvernante et un garde du corps même si j'ai toujours trouvé cela inutile.

Elle répond à toutes mes préoccupations, et fait très attention à ma santé. Mon garde du corps me surveille vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Mais je me sens toujours seule même quand je suis avec eux, quand mon père, comme toujours est absent. Il n'y a que moi, ma gouvernante, mon garde du corps et les trois autres employés de la maison. Ils sont tous des adultes à part l'un des serviteurs qui est de la même catégorie que moi. Il a quatorze ans, comme moi. Mais lui n'a pas à s'inquiéter. Par contre moi, il me reste moins de cinq ans à vivre. Mon père n'aime pas quand je dis ça, du coup j'essaie d'être heureuse quand on est ensemble. Pourtant je n'ai jamais ressenti cette joie en moi...

Je ne sais plus combien de fois je me suis fait opérée ni combien de fois mon père a consulter des spécialistes. À cause de cela il passe des nuits sans dormir...

🌸🌼💮

Cela fait maintenant deux semaines que je suis à l'hôpital et mon père est toujours à mes côtés. Deux semaines sans fermé l'œil pour sa fille unique, sans prendre la peine de manger. Ma gouvernante voulais le remplacer mais il a insisté là-dessus.

Heureusement pour nous je rentre Aujourd'hui. Il est temps de retourner à la maison.

-Nous rentrons enfin ma princesse.

-Oui père, je suis heureuse de vous voir tout émut.

-Ma vraie joie c'est de te voir rétablir ma chère, Érika.

Il me sourit en glissant ses doigts dans mes cheveux oranges avant d'embrasser mon front.

Nous n'arrivons à la maison qu'à la tombée de la nuit. Mon père ne m'a pas laissé la main durant tout le trajet, il m'aime tellement...

J'ai été chaleureusement accueillis par ma gouvernante et Amel, mon garde du corps.

-Bon retour mademoiselle, m'accueille Amel.

-Vous nous avez beaucoup manquée, ajoute ma gouvernante.

-Je vous remercie.

Amel s'occupe d'amener ma valise dans ma chambre, ma gouvernante et mon père m'escorte jusqu'à ma chambre.

Elle m'avait beaucoup manquée, ma chambre est peuplée de nounours de tout genre. Mon lit j'en parle pas. J'ai toujours eue un faible pour les peluches, elles sont si douces et mignonne. Sur ma table de chambre c'est aussi la même chose.

Mon père me faire assise sur mon lit, toujours en me tenant la main. La joie se lis encore dans ses yeux.

-Je vais te faire couler un bain Érika, dit ma gouvernante en se dirigeant vers ma salle de bain.

-Merci, Mademoiselle Agnès.

-Je te laisse avec ta gouvernante ma chérie, on se retrouve pour le dîner.

-Entendue père.

Il sort de ma chambre en renferment soigneusement la porte derrière lui. Je m'assoupir dans mon lit si douillet qu'un tag de plumes, c'est tellement agréable. À cet instant ma gouvernante vient me rejoindre, elle me sourit légèrement avant de parler :

-Ton bain est prêt, allez viens.

J'entre dans la salle de bain suivit d'elle. Ma baignoire est aussi grande qu'une piscine pourtant je suis la seule qui l'utilise. En plus c'est ma gouvernante qui me fait prendre mon bain. Elle est très adorable et incroyablement belle sinon qui peut avoir des cheveux roses et des yeux émeraudes sans être belle ? Moi je la trouve très magnifique en tout cas. Elle s'habille toujours comme une gouvernante se doit d'être vertu ; une robe très amples, sa coiffure préféré ; le chignon, couleur préférée ; toutes les couleurs non-primaire. Et pour conclure son repas préféré ; sushi et thé. Je la trouve quand même un peu étrange, mais je l'adore. Elle s'occupe de moi comme une mère le faire pour son enfant, pour moi elle en est une. C'est aussi elle qui me donne des cours à la maison, parceque je ne vais pas à l'école à cause de ma Maladie. Elle est une très bonne enseignante et de tous les cours qu'elle me donne mon préféré c'est la musique, oui j'adore beaucoup la musique. Quand je joue la musique j'oublie ma Maladie, c'est comme si je me trouve sur un nuage rose qui pleut des bonbons. C'est très passionnant.

Après mon bain, elle me fait portée une robe blanche chandail. Je rejoins mon père pour le dîner. Dès qu'il m'a vue ses yeux ce sont remplis d'étoiles.

Il m'acceuille pour me mettre à table. Une fois installé, il s'assoit en face de moi.

-Tu es très magnifique ma princesse, si ta mère te voyais ainsi elle serait tellement contente.

-Je me disais bien la même chose.

-Tu lui ressemble tellement, tu as même l'éclat de ses yeux.

-Je dirait que j'ai héritée des votres.

Je dis ça parce qu'il a les mêmes yeux violets que moi, mais il a raison, apart ses yeux j'ai les cheveux de ma mère et d'après lui je lui ressemble beaucoup.

-Chaud devant !!!

Je sursaute d'un coup. Heureusement que ce n'est rien. J'ai failli m'enfuis pour un rien, c'est juste nos trois serviteur : Brigitte, Yohan et kagami. Ils sont du genre commode tous les trois.

-Et Voici le soupé !

Ils se planquent tous les trois en même temps. Brigitte est tellement en vitesse qu'elle a failli renversé le contenu de son assiette.

-Fait attention Brigitte tu vas le renversée sur le boxe, dit Kagami énervée par sa conduite.

-Désolée, je suis tellement contente de revoir mademoiselle Érika que j'ai presque oublié les bonnes manières, répond Brigitte un peu embêtée.

-Je suis très heureuse de vous revoir tous les trois, dis-je en souriant.

Yohan prend le soupé des mains de Brigitte. Ses joues deviennent rouge juste en croisant mon regard. Il baisse très vite les yeux en souriant timidement. Je réponds à son sourire, il reprend ses esprits et m'en sert.

-C'est moi qui l'ai fait, vous verrez c'est très bon, dit Yohan en souriant.

-Merci c'est très gentil...

Me voyant le complimenter, kagami pique une crise de jalousie.

-Eh vous deux pas touche à mon soupé ! Je l'ai fait spécialement pour mademoiselle Érika, lance kagami d'un air effronté.

-Quoi ? Mais je croyais que c'était notre soupé à tous les trois ? Demande Brigitte très étonnée.

-Eh ban non. C'est moi qui ai donné l'idée, alors...

Et c'est reparti pour une petite discussion. Mon père ne réagit toujours pas comme d'habitude, il s'amuse bien en les voyant ainsi. Moi aussi ça me rend si heureuse. Leurs querelles m'avaient vraiment manqué.

-Très bien ! Je vais préparer autre chose spécialement pour mademoiselle Érika ! Et tout seul en plus, dit Yohan l'air déterminer.

Il prend un air sérieux que les deux autres le regardent sans trouver de mot à dire. Mais une voix les l'interpelles tous les trois jusqu'à les faire sursauter.

-Il n'y aura plus de soupé ! Dit ma gouvernante qui vient de débarquer.

-Mademoiselle Agnès...?

-Allez filés maintenant, vous avez encore du travail.

-Tout de suite !!! Dit-ils en chœur en partant à tout allure.

Ma gouvernante est sévère avec eux très souvent du coup ils ne plaisantes pas avec elle. Une fois le plancher libéré, elle soupir profondément et s'excuse au près de mon père.

-Veuillez m'excuser pour tous ce boucan, monsieur.

-Ce n'est rien, j'ai bien l'habitude de voir ces chamailleries.

-Permettez moi de me retirer.

Mon père hoche la tête, elle sort poliment de la salle à manger en fermant la porte derrière elle. Nous sommes à nouveau seul moi et mon père.

-Mangeons tu dois avoir faims.

-Bon appétit père.

-Bon appétit ma princesse.

Nous commençons à manger. Et le dîner se fait calmement. Malgré que je mange, mon père me regarde discrètement, mais il fuit mon regard, à chaque fois que je le chope il me sourit innocemment.

Après le dîner je souhaite une bonne nuit à mon père avant de monter dans ma chambre :

-Bonne nuit père.

-Fait de beaux rêves mon ange.

Il m'embrasse le front, je lui sourit et sort de la salle à manger. Ma gouvernante comme toujours m'attends à la sortie. Elle m'amène dans ma chambre et s'assure que je prennes mes médicaments, brosse mes dents avant de me coucher. Elle reste avec moi jusqu'à ce que je m'endors. Même si je ne sais pas comment l'expliquer, quand je suis avec elle je me sens en sécurité...

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