Mes mains étaient brisées, et l'odeur du sang se mêlait à l'air salin de Marseille.
Dans l'obscurité d'une ruelle, la voix claire et glaciale de celle que j'aimais résonnait dans un téléphone : « Léo, mon cher Léo. Tu n'étais qu'un obstacle. »
Chloé, ma muse, celle avec qui j'avais créé "L'Âme de Duval", mon chef-d'œuvre, me condamnait à mort pour les ambitions de son empire et les caprices de son cousin Antoine.
Leurs mots résonnaient : mon talent salué, mon amour bafoué, ma vie sacrifiée pour une alliance avec des investisseurs russes et le contrôle de la Maison Duval.